Vacances tunisiennes.Apr�s la Toscane ( pour ceux qui auraient eu le plaisir de lire cette aventure post�e en mars, pour les autres, je les invite � le faire afin de me conna�tre un peu mieux), nous voi�i, mon amie et moi, en septembre 2003 � Hammamet, dans un de ces grands hotels faits pour touristes �trangers, style "club med ". Une oasis de verdure en bordure de mer. A part la mer et l'h�tel, il n'y a pas grand chose autour, ce n'est pas trop mon truc, mais bon, nous avons gagn� ce voyage alors... Nous sommes l�, autant en profiter pour d�couvrir le pays. l'hotel organise � cet effet des excursions. D�part � 5 h du mat - veritable prouesse pour le couche-tard que je suis- visite des ruines de carthages, du march� de K�rouan, des soucs, de la mosqu�e de ...? de sidi boussa�d etc ... Bref un veritable marathon, sous une chaleur �crasante, dans un car de merde m�me pas climatis� ! Nous rentrons donc E R E I N T E S, � 9h30. Le pompon, c'est que le restau est d�j� ferm� et qu'on cr�ve la dalle! D�pit�s, nous retrouvons la fra�cheur de la chambre, pour prendre une douche revigorante et nous rendant visage humain. Pendant que mon amie est sous la douche, j'appelle le room-service. Miracle !, on peut me servir un petit d�j, en guise de d�ner, le mini bar est garni, on est sauv� ! C'est � mon tour de passer sous la douche, je me lave soigneusement dans les moindres recoins ( c'est mon cot� maniaque ). Lorsque je sors de la salle de bain, en peignoir, mon amie s'est couch�e et dort d�j� profond�ment. Un tremblement de terre ne la r�veillerait pas. Quant � moi, un coca � la main, j'attends ma bouffe. Elle arrive enfin, sur un chariot. Au bout du chariot, un tunisien, brun, peau mate, yeux noirs ( normal pour un tunisien ), un petit bouc, un physique agr�able et plut�t bien foutu, petit mais mignon. 3 mots pour lui narrer les p�rip�ties de la journ�e, avant d'attaquer mon repas et qu'il ne parte. Il me souhaite une bonne soir�e, et moi je lui r�ponds banalement : merci, ce n'est pas ce soir qu'on va faire des folies ..en lorgnant sur le lit o� mon amie dort Apparemment, il me propose une pute. Comment ?, "Moi monsieur" et il pointe son doigt en direction de mon peignoir, vers la zone qu'on nomme en g�n�ral : le sexe! Il commence � me tripoter la queue, il ne doit pas �tre habitu� � manipuler des engins non circoncis, car il joue � me couvrir et d�couvrir le gland, ce qui a pour effet de me faire raidir. Putain ! �a fait quelque chose de se faire gober le zob ainsi. Il me taille une pipe divine, � chaque coup, je pousse ma bite aussi loin que possible et lui avale sans broncher. Je suis oblig� de retenir mes cris � cause de mon amie, bien que je sache qu'elle a un sommeil de plomb. Apr�s cette "mise en bouche", je lui demande de se mettre � poil. Je vire mon peignoir et m'assois sur une chauffeuse entre le pied du lit et une console murale. Je pointe du doigt ma queue, il a compris et replonge sa t�te entre mes cuisses, et c'est reparti pour un bon bouffage de bite. je suis assis au bord du fauteuil, jambes toutes �cart�es, un pied sur le lit, l'autre sur la console, un oeil sur mon amie, et la bite en feu dans la bouche de ce jeune m�le goulu. je savoure l'instant. Terriblement excit�, je l'invite � faire glisser sa langue plus en dessous. Il me regarde avec l'air de celui qui n'a pas compris. Ok, Ok, voil� encore 5 dinars! Sa langue descend donc sous mes couilles et chatouille la p�riph�rie de mon trou. Comme c'est bon! il me pointe avec sa langue, qui me para�t plus longue que la moyenne. J'ai l'impression de me faire enculer par une langue, suis dilat� et bande comme un taureau car sa main n'a cess� de me caresser le manche. Comme j'aimerais me prendre une bite dans mon cul et d�charger dans le sien! bah oui, mais je ne pas de pr�so ! D�j� qu'on peut s'intoxiquer avec la flotte, alors du jus de tunisien, vous pensez ! Tient ! mon coca ! ou plut�t ma bouteille vide de coca qui tra�ne sur la console... je la saisis et lui tends. Cette fois, il me re�oit 5/5, il me doigte, lubrifie avec sa salive et enfourne ce god de fortune dans mes entrailles. La partie renfl�e passe un peu difficilement et me fait souffler comme un boeuf, mais �a passe. Finalement le design de cette bouteille est tr�s bien �tudi� pour l'usage que l'on en fait. Les "va et- vient" de l'objet s'acc�l�rent et �a glisse presque tout seul. Je lui dis de continuer � un rythme plus lent et de reprendre ma queue en bouche. Il pompe tr�s tr�s bien ce mec et agit avec synchronisation: sa bouche aspire enti�rement mon zob , en m�me temps qu'il pousse la bouteille � fond. Continue! Je vais juter lui dis-je. Le con il s'arr�te ! Ok ok ! 5 dinars et je d�charge dans sa bouche. J'ai l'impression qu'il aspire mon jus. Je secoue ma teub sur son visage qui ruisselle de jus et sa bouche ouverte qui r�cup�re les gicl�es de spermes qui jaillissent de mon gland. Il se met � me pomper encore un peu, bien que je sois au bord de la crise cardiaque et s'arr�te enfin. J'ai senti sa queue se raidir contre mon tibia poilu. Il se l�ve et je d�couvre sa queue en branle. Mignonne la b�te! Vas-y jutes ! je suis rest� assis, et il est debout devant moi, il se branle tandis que je lui caresse ses boules hyper poilues. Il finit par se vider les couilles sur moi. Son sperme est �pais et g�latineux. j'en ai dans le cou, sur les �paules et sur le torse. Sur mes ordres, il le l�che et cette fois Je refile sous la douche, et apr�s j'attaque mes g�teaux, mon jus d'orange et mon pain- confiture. Tient ! Confiture ? je n'ai m�me pas pens� � me taper une bite � la confiture ! Je dois vieillir ! bah on verra demain matin au cas o�... Je dors comme un b�b� . Le lendemain matin, appel du room service pour reprendre le chariot, avant que nous ne descendions en salle pour prendre le petit d�j. Je dis � mon amie, d'aller devant, et moi j'attends le groom, galanterie oblige... 5 mn apr�s, on frappe, j'ai d�j� la queue qui fr�tille sous mon bermuda... Et l� ! C'est la 1�re fois, que je me paye un boy, tout �a pour 20 dinars c'est vraiment pas cher! Malgr� tout, je me dis en toute modestie qu'en France, pour me vider les couilles, je ne suis pas encore assez moche, ni assez vieux pour devoir payer. Voil� chers lecteurs, j'esp�re que vous aurez pris du plaisir � me lire, sans doute pas autant que j'en ai pris � le vivre mais ... laurtNote de ob.ob5.ru : Comme d'hab... c'est une histoire, pas un manuel sexuel. R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |