Vacances idylliques...par Munich Vous souvenez-vous de vos derni�res vacances idylliques ?? Moi les miennes ce fut il y a quelques jours, sur une �le magnifique qui s'appelle Isla Margarita au Venezuela, une �le situ�e pr�s de l'�quateur et de ces temp�ratures... Bref, cette �le, cet homme, ce pote... voici les ingr�dients pour cette histoire... L'avion venait de se poser sur la piste. Enfin, apr�s environ de 10 heures de vol, la terre ferme. Nous avons d�barqu� et la chaleur humide nous fit comprendre que nous venions d'arriver sur un territoire pas comme les autres... Le tour-op�rateur nous a accueillis et nous a indiqu� le bus dans lequel nous devions monter. Le paysage �tait aride et sec, comme en t�moignait la poussi�re qui volait lorsque le bus faisait une embard�e pour �viter la circulation. Arriv�e au club, accueil avec cocktail et danse locale en costumes, ben on en a eu plein les yeux ! Oui, on ! Mon pote et moi, enfin mon meilleur ami Alex... Les minets quoi ! Latin ! Chaud ! Finalement nous avons re�u la cl� de notre chambre, pour enfin prendre la douche bien m�rit�e. Mon pote, Alex, depuis notre derni�re rencontre chez moi, n'avait pas fait d'allusion � notre histoire, le fait que lui et moi... Mais je pense que �a devait le travailler beaucoup, tel que je le connais. Mais il n'aurait pas accept� de partir avec moi si �a le d�rangeait. Je venais de finir de prendre ma douche, j'�tais nu, Alex entre dans la salle de bain. Mon premier r�flexe est de mettre ma serviette autour de ma taille, et lui dit : " T'es devenu pudique ? " et moi de r�pondre " Non ! Pourquoi tu poses la question ? " " Tu viens de passer ta serviette autour de ta taille si vite, que... " Tout en terminant sa phrase, il �tait toujours dans la salle de bain et moi j'avais toujours ma serviette. Il enleva son slip et me fr�la avant d'entrer � son tour dans la douche. Il ferma le rideau et fit couler l'eau. Devant le miroir, je secouais la t�te en me disant � quel point je pouvais �tre con d'avoir eu cette r�action. On se connaissait et on �tait m�me devenu plus qu'intime... l'eau ne coulait plus et... " Mais quel con !! " Je venais de l�cher cette phrase � voix haute. Il l'avait entendue et me le confirma, et nous avons �clat� de rire ensemble, ma serviette tomba et lui continua � se rafra�chir. Apr�s cette petite pause rire, je me suis install� sur la terrasse de notre chambre o� nous avions une vue sur la baie, la plage et ses palmiers, dans un d�but de soleil couchant, car il �tait presque 18h, heure locale... Alex est venu me rejoindre sur la terrasse et nous avons pris un bon bol de soleil avant de nous diriger vers le restaurant pour d�ner. Le club a une grande piscine qui compte plusieurs bassins et au milieu, sur une �le artificielle, le bar. Nous avons donc fini cette journ�e, au bar de la piscine et fait plusieurs fois le tour des cocktails locaux. " Je crois que je vais avoir besoin d'aide pour retrouver la chambre ! " dit-il en me regardant comme un chien abandonn�, ce qui me fit litt�ralement fondre, comme � chaque fois... " Ne t'inqui�te pas, je suis l� et on trouvera la chambre ensemble " lui r�pondis-je, sans trop de conviction, car j'avais aussi un ou deux cocktails de trop. Enfin la chambre �tait en vue. Nous sommes entr�s et je l'ai dirig� vers le lit o� il s'affaissa. Je n'arrivais toujours pas � croire qu'il �tait ici, avec moi. Il �tait l� pour quinze jours, � moi et tout � moi. Il respirait fortement, se posa sur les coudes et me regarda avec malice, je lui rendis son sourire. " Alors, tu reste debout ou tu compte te coucher ? " " Me coucher, pourquoi ? Aurais-tu autre chose en t�te ? " " Faut voir ! " Faut voir ! En fait, il n'�tait pas aussi so�l que je ne le croyais. Mais moi je devais �tre un peu plus avanc� dans l'�tat d'ivresse, mais �a ne le d�rangeait pas outre mesure, enfin pas pour ce qu'il avait d�cid�. " Et le faut voir signifie quoi ? " " Benny, mon petit Ben, Tu me fais marcher ou tu es plus so�l que je crois... " " Non ! Je ne suis pas so�l, enfin pas beaucoup je crois ? " Il se leva du lit et m'attira vers lui. Le fait de se toucher, le contact de nos deux corps me fit vaciller l�g�rement. Il s'en rendit compte et me ret�nt. Ses mains sur mes bras descendirent sur ma taille. Nos mains �taient entrelac�es, ma t�te penchant sur le c�t� lui signifiant de m'embrasser, ce qu'il fit sans se faire prier. Le contact de ses l�vres sur mon cou, un choc, mais un choc aussi doux que la soie des draps, son visage fr�lant mes joues, se dirigeant vers ma bouche. Je voulais l'embrasser, lui rendre ce sentiment de douceur, de bonheur, mais il m'�vita. Sa bouche alla embrasser mon menton, puis mon cou, mon �paule. Il savait que �a me rendrait fou, il savait s'y prendre. Eviter jusqu'� plus pouvoir le contact de nos l�vres pour faire durer le plaisir des pr�liminaires. Mais je n'en pouvais plus, mes mains remontant le long de son dos, je sentais qu'il frissonnait, et je lui pris la t�te. Nos regards se sont crois�s, le contact de nos l�vres �tait in�vitable. Je l'ai alors embrass�, doucement, tendrement, nos langues se touchant, nos mains se croisant, nos corps se frottant. Hum ! Une sensation extraordinaire, un r�ve ? Non, il �tait dans mes bras et moi dans les siens. Nous sommes rest�s ainsi dix bonnes minutes, mais quelles minutes. Wouah ! Il m'attira vers le lit. Se couchant dessus, il fit glisser son bermuda, je fis tomber mon short. Son corps nu, ses formes, il me rendait vraiment fou. Il n'avait pas encore une �rection parfaite, mais elle ne saurait tarder. Moi, � l'inverse, j'avais l'�rection qu'il fallait. Je me suis mis � genoux sur le lit, lui pr�sentant mon membre. Ses yeux malicieux me regard�rent, me disant, tu vas vivre un moment que tu n'oublieras pas de sit�t. Sa main se posa sur ma jambe, remonta jusqu'� ma fesse. Il m'attira vers lui, je pouvais sentir son souffle sur mon gland, me faisant fr�mir. Il ouvrit la bouche, posa d�licatement ses l�vres sur mon gland, sa main devenant plus ferme, il fit p�n�trer le reste de ma verge dans sa bouche et entreprit un va-et-vient lent, sensuel, tr�s sensuel, jouant avec sa langue le long de ma verge, hum ! un r�gal... " Merde, j'avais oubli� � quel point tu pouvais �tre sadique... " En m�me temps il prit sa queue et se branla, pour lui donner sa forme finale. Le voyant faire, je passais ma main sur la sienne et je le branlais de concert. Tout en me titillant le mamelon, il continua de me sucer. Un dieu. Le fait de le branler, me donna envie de le sucer � mon tour. Je descendis vers sa queue raide qui n'attendait qu'une bouche pour lui donner le coup de gr�ce. Il bascula sur le dos, �carta les jambes et me pr�senta son engin. Ma langue mouilla mes l�vres. Elle se posa d�licatement � la base de son gland, remontant vers sa pointe. Son g�missement me fit comprendre qu'il appr�ciait le traitement. Mes mains de chaque c�t� de lui sur le lit, ma t�te n'effectuant que le mouvement de va-et-vient, mes cheveux lui fr�lant le bas-ventre � chaque descente. Cela le stimulait encore plus. Apr�s un bon moment il me fit monter vers lui, nos corps se fr�lant, nos queues se touchant, leur chaleur, leur union, me firent ramper vers lui. Nos regards se sont encore une fois crois�s. " Tu ne devrais pas me regarder comme �a ! " " Mais au contraire, je devrais le faire tous les jours. Tu sais Benjamin, le fait d'�tre avec toi, me donne... " Je n'avais pas envie d'entendre la fin de sa phrase. Elle me faisait peur. J'avais juste envie d'�tre avec lui, le sentir, le toucher, le vivre... " Ben, j'ai envie que tu me procures le plaisir que tu me demandes ! " Je l'ai regard� avec un regard �tonn�. Lui qui est toujours tr�s macho, moi aussi � vrai dire, mais en sa pr�sence, je ne voulais pas l'�tre. Et l� il me demandait de le p�n�trer. Une nouvelle face que j'avais d�couvert l'automne dernier " Alex, tu es s�r ? " " Ne me fais pas regretter... " Et il m'embrassa comme jamais il ne m'avait embrass�. Il en avait envie, et je n'allais pas le d�cevoir. Certes cela me conforta dans le fait qu'il me faisait confiance, une confiance que je me devais de ne pas perdre. On ne devient pas homo du jour au lendemain, c'est une d�couverte longue et lente. Et il avait envie de la faire avec moi. Je pris une capote et lubrifiais ma verge et sa rosette. Pour le mettre en forme, j'y introduisis un doigt puis deux. �a entrait comme dans du beurre, il �tait si d�tendu, cela me faisait peur... Il me faisait face. Je le mis en position sur les coussins. Il avait remis son sourire ravageur. Je lui �cartai les jambes afin de pouvoir le p�n�trer. Mon gland �tait face � son anus, il le touchait. Je poussai un peu, lui m'attira afin que je le p�n�tre... " Laisse moi faire Alex ! Sois patient, tout vient � point pour qui sait attendre... " " Trop dr�le, ce n'est pas le moment... " Pour faire retomber sa nervosit�, je me suis couch� sur lui tout en le p�n�trant compl�tement, mes couilles le touchant, et son r�le me le confirmant, je l'ai embrass� pleinement et goul�ment. Nos langues se cherchant, se repoussant, s'attirant � nouveau. Mes va-et-vient en lui devinrent plus rapides. Il se cramponna � la t�te du lit, il devenait fou, ses r�les devirent plus puissants, plus rauques. Mes mouvements rapides se firent plus lents afin de reprendre un peu de force pour la grande finale. Nous change�mes de position, une jambe en l'air, l'autre allong�e, moi toujours � genoux sur le lit, une de ses mains sur ma fesse, et une des miennes sur la sienne. Il jubilait, moi aussi. Les mouvements qu'il ajouta aux miens me firent presque perdre pied. Son visage �tait �panoui, rempli de joie, de plaisir, de jouissance. Je me suis pench� vers lui pour lui rouler un patin, sa bouche me cherchant de plus en plus. L'intensit� de cette embrassade, sa main sur ma t�te pour me retenir et continuer � m'embrasser, me d�vorer et me donner le coup final. Je basculai sur le dos, l'emportant avec moi. Il tr�nait sur moi. Il avait compris que c'�tait � lui de poursuivre. Il remit ses mains sur la t�te du lit et entreprit les va-et-vient qui me donn�rent des frissons. Son mouvement de hanche, waouh !! Je savais qu'il dansait bien, mais l� ! Merde ! (Oups !!)... Il �tait tellement dans son trip et moi en train de le branler, qu'il ne remarqua m�me pas sa jouissance. Il venait de gicler cinq jets puissants sur le lit et sur son torse... " Alex ! Waouh !! Tu es g�nial... " " Non, TU es g�nial " Il s'�tait affaiss� sur ma queue raide, et cette �jaculation fit venir la mienne... " Descend, je vais jouir ! " Il se coucha � cheval sur moi. J'enlevai rapidement la capote, il me branla et j'ai joui quatre longs jets sur sa jambe et mon torse. Il m'a regard�, m'a embrass� langoureusement, tendrement. Nous sommes rest�s un moment ainsi, et je me suis ensuite mis sous la douche. Il me rejoignit et nous l'avons prise ensemble. Apr�s quoi nous sommes retourn�s nous coucher, en rapprochant les lits, ce qui nous donna encore quelque bons fous rires durant la nuit... Le lendemain matin, un passage rapide sous la douche, et nous �tions pr�ts pour une journ�e de plage. Le petit d�jeuner se passa bien, m�me tr�s bien. Le fait que nous ayons eu un fou rire, attira les regards des autres clients et des animateurs. Apr�s de courtes pr�sentations, les trois animateurs du club ont pris place � notre table et nous avons petit d�jeun� ensemble. Ils �taient tous les trois tr�s bien physiquement, des regards malicieux, des yeux � s'y noyer sans retenue. Le teint bien bronz�, un r�ve quoi. Nous avons donc pris rendez-vous pour les 11 heures sur la plage, pour un beach volley. Nous avons battu l'�quipe d'animation sans aucun probl�me, ce qui nous a valu un gage, une bataille � cheval dans la mer. Nous avons fait des �quipes de deux, mixtes, animateurs et clients et nous en avons profit� pour faire plus ample connaissance avec Paco, l'animateur le plus " sex " du club. Un beau mec, grand, environ 1m80, cheveux ch�tains, yeux noirs et muscl� sec, il �tait parfait... Mais c'est son sourire avec ses fossettes qui m'ont fait craquer pour lui. Alex lui �tait moins impressionn�, �tant d'un gabarit similaire. Bref, nous avons par leur biais, particip� � presque toutes les activit�s que le club proposait et ainsi li� des amiti�s avec l'�quipe d'animation. Jusqu'� ce fameux jour o�, Alex et moi �tions partis faire de la plong�e en tuba et �tions arriv�s sur un petit �lot de terre en face de notre plage. Nous avions pris l'habitude d'y faire des sauts, pour le fun et pour nous sentir un peu seuls, et assouvir nos pulsions sexuelles. Ce jour l�, nous venions de faire l'amour sur cet �lot et � notre retour, Paco nous posa la question qui nous fit rougir. Certes nous avons tent� d'�tre discrets sur notre relation, mais peut-�tre pas assez. Alex ne se sentait pas tr�s bien face � ce petit interrogatoire... " Vous allez souvent sur l'�lot, et toujours sur le versant qu'on ne voit pas. Vous y faites quoi ? " Dit Paco. " Nous, rien de sp�cial ! " lui r�pondis-je, " Attend ! Faut pas me prendre pour... J'ai vu votre man�ge... " C'est � ce moment que nous sommes devenus rouges... " Man�ge ? De quoi tu parles ? " " Ok ! J'ai d�j� vu beaucoup de clients amoureux, mais vous deux, c'est... le pompon !! " " Amoureux ! Nous ?? " " Oui, je ne parle pas des autres, mais de vous deux. �a me plait ! " Il avait lu en nous comme on peut lire dans un livre ouvert !! Cela me rendit m�fiant... " Ne vous inqui�tez pas, votre secret est mon secret ! " C'�tait rassurant ? Non ! Et je lui ai pos� une question qui me trottait dans la t�te depuis plusieurs jours d�j�... " Paco, et toi, comme t'es foutu, tu dois te faire plein de filles mignonnes, non ? " " Des filles ! Non pas toujours... " Sa r�ponse, je ne l'avais pas comprise de suite, jusqu'au moment o� mon esprit n'a fait qu'un tour... Non pas toujours, r�sonnait dans ma t�te, comme un �cho en montagne. La compagnie des gar�ons ne le laissait pas indiff�rent, c'est pour �a qu'il ne nous avait pas laiss� un moment seuls dans le club. Matin, midi, soir, nous devions compter sur Paco ou un de ses acolytes. Nous avions uniquement du r�pit sur l'�le et lors des spectacles en d�but de soir�e... Bref, ce jour l� Paco frappa � la porte de notre chambre, il devait �tre tard, en tout cas plus de 2 heures du matin. Etant arriv� peu avant, j'�tais en cale�on, Alex dans la salle de bain me reparlait de la journ�e et des questions de Paco. Je me suis donc dirig� vers la porte, l'ai ouverte, et l�, dans une chemise � peine boutonn�e, un bermuda laissant appara�tre ses sous-v�tements, un regard malicieux d'enfant ayant fait une b�tise, les cheveux en bataille, ce qui ne g�chait rien au tableau, notre Paco se tenait l�... Je n'ai pas eu le temps de dire un mot, qu'il se jeta sur moi, m'embrassa fougueusement, me laissant � peine respirer, une main dans mes cheveux, l'autre sur ma fesse. Nos langues se sont cherch�es, repouss�es, ses mains se sont balad�es sur mon corps, me donnant des frissons. Ne restant pas sans rien faire, je l'avais attir� vers moi, mes mains cherchant �galement le contact de son corps, chaud, charnel... Alex ne m'ayant plus entendu lui r�pondre, s'�tait retourn�, me voyant ainsi affair�, il tira une mine pas tr�s satisfaite. " Hum ! Je d�range ? " Arrivant � d�coller mes l�vres de celles de Paco, j'ai regard� en direction d'Alex, lui fit un sourire en hochant les �paules... " Je suis aussi surpris que toi. Il s'est jet� sur moi... " " Ne lui en veut pas Alex, Ben est mon type de mec et toi t'es plut�t pas mal non plus, tr�s sexy dans cette serviette... " Tout en parlant, Paco s'�tait dirig� vers Alex. Lui d�faisant sa serviette, il la laissa tomber. Avec ses doigts, il fr�la lentement, sensuellement, le corps qui s'offrait � lui. Alex ayant eu un petit effet de surprise, se laissa faire. Je l'observai, il avait m�me ferm� ses yeux pour accentuer la sensation du toucher. Paco arriva aux mamelons, qu'il pin�a un peu. Alex frissonna. Il embrassa le torse, le cou. Alex renversa sa t�te en arri�re. D'une main Paco ouvrit les deux boutons de la chemise qu'il portait et la fit tomber. Il retira le reste de v�tements, se retrouvant nu face � mon Alex. Le corps qui s'offrait � ma vue �tait parfait, galb� comme une statue, une croupe merveilleuse, des fesses rebondies, des �paules... Ne tenant plus, j'ai enlev� mon cale�on et me suis approch� de ce couple. J'avais une �rection qui pointait et me suis coll� � Paco. La chaleur se d�gageant de cette union m'envahit pleinement. Nos corps ne formaient plus qu'un. Je n'osais y croire. Alex et moi �tions d�j� un peu hors du lot, mais ce Paco allait nous faire d�couvrir des horizons nouveaux. Alex venait de se mettre � genoux, pour embrasser le corps de Paco, qui renversa la t�te vers moi, pour que nous puissions � nouveau nous embrasser. Une de ses mains me touchant la fesse, l'autre tenant la t�te d'Alex qui venait de commencer � sucer cette queue qu'il convoitait. Risquant un coup d'oeil sur la queue qu'il su�ait me fit dire que notre Paco �tait bien dot�. Avec nous, il n'�tait pas en reste. Je me suis mis � c�t� de Paco pour qu'Alex puisse aussi me sucer. Il avait pris de l'assurance dans ses gestes et dans les effets de langue, c'�tait divin. Paco se dirigea vers le lit, s'y coucha, fit signe de le suivre pour un 69 � trois. Alex me su�ant, Paco su�ant Alex et moi Paco. Dans cette constellation, nous avons suc�, l�ch� les couilles et la queue, titill�, doigt� la rosette de chacun. Nous sommes rest�s un bon moment, � la limite de l'explosion, dans des r�les de plaisirs et la transpiration de nos corps. Alex me regarda et dit : " Paco j'ai envie que tu me prennes ! " Je n'en revenais pas. Alex ayant vu mon expression, m'embrassa langoureusement, en ne me laissant ainsi pas d'autres choix, puisque Paco venait de le prendre lentement, qu'Alex en avait pinc� ses l�vres. Il prit de sa main ma queue, la masturba et la mit en bouche pour me limer en r�gle. Paco, lui, venait d'augmenter la cadence, se tortillant du cul pour renforcer la sensation. N'y tenant plus et voyant Alex se tordre de plaisir et arriver pr�s de la jouissance, je suis all� embrasser Paco. Tout en lui malaxant les couilles d'une main, je le doigtais de l'autre. Il �tait r�ceptif, puisque je venais de lui mettre trois doigts dans son anus tr�s dilat�. Ce ne devait pas �tre la premi�re fois qu'il avait ce genre de " rencontre " et ne le laissant pas se refermer, j'enfilai une capote pour l'empaler brusquement, lui arrachant un r�le de satisfaction, que reprit Alex lorsque Paco r�percuta ma p�n�tration. Nous avons entrepris des mouvements invers�s, ce qui �tait un r�gal pour chacun de nous. " J'ai envie de me faire mettre par vous deux ! " venait de dire Alex !! Il m'avait encore coup� la chique. Je venais de d�couvrir un nouvel Alex. Mieux en tout point. Et le prenant au pied de la lettre, Paco se retira d'Alex, me laissant me coucher sur le dos, Alex s'empalant face � moi et Paco finissant le tableau en enculant Alex. Ses cris de plaisir laissaient entrevoir la suite des �v�nements. Notre fougue nous emportant dans une transe enivrante, charnelle, sensuelle. Ces baisers, langoureux, fougueux, o� nos langues se touch�rent, ce mouvement de va-et-vient de nos queues dans ce trou dilat� qui ne demandait qu'� jouir. Sans rien faire, Alex allait jouir, mais je n'�tais pas loin de cet �tat non plus. Paco ne voulant rien en perdre se mit � genoux, su�a nos queues. Alex, venant le premier en plusieurs jets, se vida dans la bouche de Paco. Entre temps je sentis une langue sur mon gland, ce qui me fit venir � mon tour aussi dans cette bouche. Il venait de r�cup�rer nos jus et n'en voulant rien perdre nettoya nos bites. Ne restait plus qu'� faire jouir Paco, sans qui tout ceci ne serait arriv�. Alex voulant se venger, prit cette queue et la su�a, il arriva assez vite avec l'excitation. Ne me retenant pas, j'ai embrass� Alex goul�ment. Langues, ;salives, spermes se m�lang�rent. Paco voulut partager ce moment, et nous avons m�lang� trois langues, salives et spermes. Nous �tions repus de cette orgie. Alex s'�tant assoupi sur le lit avec Paco dans les bras, je me suis joint � eux et nous avons pass� le restant de la nuit ainsi. C'est avec les premi�res lueurs du matin que je me suis lev� pour uriner. Retournant dans la chambre et voyant mon Alex et Paco ainsi, je n'enviais personne. Notre histoire continua durant le reste de notre s�jour dans le club, Paco venant nous voir r�guli�rement dans notre chambre, emmenant de temps en temps un quatri�me acolyte. Il nous fit d�couvrir des jeux qui ne se pratiquaient qu'en petit groupe. Le jour de notre d�part, Paco ne put contenir quelques larmes, de joie ou de tristesse, nous ne saurons pas. Mais je lui ai promis qu'il pourrait venir nous rendre visite d�s qu'il en aurait l'occasion et que nous lui ferions d�couvrir les charmes cach�s de nos villes... Notre voyage idyllique venait de prendre fin. R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |