Cyrillo

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L'usine d�saffest�e

C'est un jeudi apr�s-midi et je n'ai pas cours � la fac. Je profite de mon temps libre pour aller faire quelques photos : c'est ma grande passion. Ce que j'aime en particulier, ce sont les friches industrielles, les vieilles usines. En noir et blanc, �a donne des images extra, pleines de po�sie. Et puis, vu la banlieue o� j'habite, ce n'est pas ce qui manque les usines d�saffect�es.

Je prends mon v�lo et je file. Un peu sportif, un peu �colo, je prends soin de mon corps et, sans �tre un canon, mes �paules carr�es et ma t�te de gar�on sage plaisent assez.

Je me prom�ne depuis trois quarts d'heure pour arriver dans une zone que je ne connais pas trop bien encore. Je rep�re une vieille unit� de production de je ne sais pas trop quoi. Le b�timent est compos� surtout de tuyaux et de poutrelles, parcourus de passerelles rouill�es : le pied � mes yeux. Je pose mon v�lo dans un coin et je mets l'antivol, pr�caution superflue vu que tout le quartier est d�sert.

La grande structure est entour�e de petits b�timents abandonn�s en brique, dont les carreaux sont cass�s. Le ciel gris, qui se refl�te dans quelques flaques d'eau, participe � l'atmosph�re un peu " Quatri�me dimension " du lieu.

Je suis maintenant libre pour d�gainer mon num�rique reflex et prendre une s�rie de photos de l'ext�rieur. Pas tr�s prudent - qui sait ce qui s'est fabriqu� dans cette usine et ce qu'il en reste ? - je " rentre " dans la structure. Enfin, je " rentre ", je grimpe un escalier m�tallique ajour� qui m'am�ne � une passerelle adoss�e � de grands r�servoirs rouill�s. Je vois des pipelines qui courent partout. Je continue mon ascension p�n�trant dans les entrailles de ce monstre de m�tal. Au troisi�me niveau, presqu'en haut, j'ai une super vue sur la cour de l'usine et les autres b�timents du quartier. Je commence � mitrailler, jouant avec le zoom et la lumi�re, appr�ciant la beaut� particuli�re de la friche industrielle.

Mais la nature semble s'est aussi en partie r�appropri�e les lieux. Un renard traverse la cour prudemment. Je me couche discr�tement sur la plateforme pour me pas �tre rep�r� et je photographie la b�te. C'est un plaisir rare de voir un renard autre que furtivement. Il fuit toujours tr�s vite. D'ailleurs, il s'arr�te un instant, tend l'oreille et d�tale en trois sauts.

Une voiture arrive dans la cour : une BMW d'allure sportive. Trois mecs en sortent : un grand blond un peu mou et vo�t�, les cheveux longs. Un jeune black des cit�s avec un jogging blanc �clatant et une casquette. Et le conducteur, un type charismatique en costume noir. Brun, 35 ans, mal ras�, un cha�ne en argent, un air un peu teigneux et surtout hyper viril. Il retire sa veste, la jette dans la voiture et se retrousse les manches de chemise. Sa chemise blanche cintr�e souligne son torse muscl�. Sexy.

Il allume une clope tranquillement et indique aux deux autres d'y aller. Lui s'attarde. Je comprends vite pourquoi. Il s'approche d'un mur et se d�boutonne pour pisser. Comme il est de profil par rapport � moi, je vais profiter parfaitement du spectacle. Il sort d'une seule main une belle bite � demi-band�e. La queue pas circoncise, il rel�ve � peine son pr�puce qu'un jet puissant jailli. Excit� � mort par ce voyeurisme inopin�, je zoome avec mon appareil et je mitraille aussit�t. Je distingue m�me une belle veine qui serpente sur la peau d�licate de la verge. Les secondes s'�coulent et le jet commence � tarir. Il s'arr�te tout � fait et le mec secoue sa grosse queue encore un peu band�e. Plusieurs secousses, quelques allers-retours sur le gland avec le pr�puce et le gars remballe sa marchandise. Il jette sa clope et va probablement rejoindre ses copains.

Fin du spectacle. J'ai le coeur qui bat � 300 et je respire � peine, tout �mu de cette exp�rience troublante. Je reste allong� et regarde les photos prises : d'abord les gros plans pris en dernier puis des plans plus g�n�raux o� on voit bien le beau mec. Reprenant mes esprits, je d�colle pour rentrer chez moi. Je retourne � l'int�rieur de l'usine et me perd dans le d�dale de petits passages. J'arrive dans une partie un peu plus " en dur ", moins de tuyaux et de citernes et plus de b�ton quand j'entends des voix dans une pi�ce � proximit�. Je m'approche � pas de loup et vois dans un petit bureau mes trois comp�res r�unis autour d'une table et plusieurs petits sacs plastiques transparents. Dans certains de la poudre blanche, dans d'autres des pilules ou de l'herbe. Merde : des dealers. Un peu paniqu�, je recule pour me barrer rapidement mais je shoote dans un morceau de m�tal qui tra�ne : le bruit qu'il fait me semble raisonner dans toute l'usine. Les mecs me captent aussit�t. C'est la fuite �perdue. Sans r�fl�chir, je cours. A ce que j'entends derri�re moi, eux aussi. Je fonce comme un fou, la peur au ventre. L'appareil photo pendu � mon cou voltige dans tous les sens. Les passerelles se succ�dent, je manque de tomber � chaque marche et un des mecs me talonne. Je tombe sur une impasse, un mur. Je me retourne et me prends aussit�t une beigne qui m'assomme aux trois-quarts. Une poigne puissante me prend � la gorge et me soul�ve contre le mur. C'est le jeune black qui m'a chop�. Il me regarde m�chamment alors que ses copains rappliquent.

Le beau brun semble furieux et tr�s inquiet : Putain, t'es qui toi, un flic ? Pourquoi t'es l� ?
Sonn�, vaincu, terroris�, je fais non de la t�te. L'�treinte du black me fait voir des �toiles. Le blond s'en rend compte et lui dit de desserrer un peu. Le black se l�che et je dois lutter pour ne pas m'�crouler � terre. L'air revient douloureusement dans mes poumons en feu.

Le brun en costard avise mon appareil " Putain, un journaliste : c'est encore pire ! ". Le jeune noir m'arrache l'appareil et lui tend. Il prend mon num�rique mais a l'air d'une poule qui a trouv� un couteau et le file au blond. Pour passer sa rage, il me file gratuitement un coup de poing dans le bide qui me met � genoux. " Putain, putain, putain - il me file un coup de pied - parle connard, t'es qui, tu veux quoi ?
Tant bien que mal, dans un souffle, je lui dis : J'suis pas flic
- Journaliste, alors ?
- Non, j'suis pas journaliste. J'vous connais pas et je m'en fous de vos affaires - je me rends bien compte qu'� eux trois, ils me bloquent le passage, interdisant toute fuite. Le black �tait en particulier super vigilant. Je me rel�ve p�niblement
- Tu parles, t'es que des emmerdes ouais ! me balance-t-il, armant un nouveau coup.
- Attends, Eric - le blond rel�ve le nez de l'appareil photo num�rique, un sourire vicieux et amus� sur la face - regarde un peu apr�s quoi il en a !
La merde, les photos les plus honteuses qui soient, vues par la derni�re des personnes qui devaient les voir.
- C'est quoi cette connerie ? T'es p�d� ou quoi ? Vicelard en plus, en train de pisser ? Mon beau brun n'en revenait pas de se voir ainsi et s'�tre fait mat�. Le black s'approcha pour comprendre et regarder un peu les photos. Leurs pires craintes s'�tant �loign�es, la tension avait nettement diminu�e. Mais je n'�tais pas sorti de l'auberge pour autant.
- Alors comme �a, p�d�, t'as un faible pour ma queue ? Tu la trouves belle ? me dit-il en s'approchant et se soupesant le paquet. Alors viens, viens la chercher maintenant.

Je m'abstiens �videmment du moindre mouvement mais il ne l'entend pas ainsi. Il me saisit derri�re la t�te et me jette � genoux, la t�te contre sa braguette. Je r�siste et recule. Sans tarder, il me balance un aller-retour qui me d�colle la t�te.
- Toi, la fiotte, tu vas faire exactement ce que je te dis de faire. Sad, tiens lui la t�te.
Le black m'attrape par les cheveux, que j'ai plut�t courts mais sa prise est ferme et douloureuse. Je suis oblig� de fixer la braguette d'Eric, le beau brun, de tr�s pr�s. Celui-ci recule pour �tre plus libre de ses mouvements. Il soup�se � nouveau son paquet et la bosse de sa bite devient nettement apparente. Il commence par d�faire lentement les boutons de sa chemise blanche, d�voilant un torse muscl� et velu. Une ligne sombre de poils doux et brillants descend sur son ventre plat. Je suis terrifi� et fascin� � la fois. Il me regarde et per�ois mes sentiments confus. Mon d�sir comme ma peur l'excitent. Il continue en d�faisant lentement la boucle de sa ceinture, il retire le bouton de son pantalon de costume et baisse sa braguette. Son fut descend � mi-cuisse laissant appara�tre un boxer noir soulign� de rouge. Ses copains semblent aussi pris par le spectacle que moi et il est oblig� d'interpeler le black. Sad pousse sans m�nagement ma t�te au contact du sous-v�tement. Je sens la queue en semi �rection au travers du tissu sur mes l�vres, mon nez et ma joue. Je poursuis ma r�sistance passive en m'esquissant aucun geste. La lame, sortie de je ne sais o�, que me colle Eric sous l'oreille, me fait revoir ma position. La terreur a supplant�e d'un coup l'excitation et c'est sous la menace que je commence � embrasser le boxer. La lame disparait aussit�t et j'en ressens un soulagement indescriptible. C'est presque joyeusement que je donne de petits coups de langue sur la longueur de la bite, humidifiant le tissu. Ma main gauche se porte sur les burnes, les pressant d�licatement. Remontant lentement mais s�rement la hampe, j'arrive au gland que je sens encore prot�g� du pr�puce. Je serre avec douceur cette extr�mit� entre mes l�vres. Eric r�agit � cette caresse en prenant ma t�te � deux mains et la serrant contre lui. Coll� � son boxer, je poursuis plus difficilement mon mordillement. Sa queue d'ailleurs commence � vouloir sortir. Il est temps de passer � l'�tape suivante. La peur un peu pass�e et n'ayant � vrai dire gu�re la possibilit� d'�chapper � sa volont�, autant faire contre mauvaise fortune, bon coeur et prendre en main la suite des op�rations. Mes mains remontent sur ses cuisses et s'accrochent � l'�lastique du sous-v�tement, le repliant l�g�rement. Le gland de sa bite turgescente apparait plus franchement, mais pas encore compl�tement. J'attends une r�action de son propri�taire, que je m'abstiens prudemment de regarder mais elle ne vient pas. La pression sur ma t�te s'�tant faite plus l�g�re, je profite de cette libert� relative pour d�poser un baiser sur ce bout de bite encore recouvert de son pr�puce. La peau est douce. Je recommence deux ou trois fois. Eric d�cide d'acc�l�rer les choses et baisse d'un coup son ben. Lib�r�e la queue jaillie fi�rement. C'est une teub magnifique : bien dure, bien droite, �paisse et longue, bien proportionn�e avec un gland l�g�rement plus gros que la bite elle-m�me. La ligne discr�te qui s�pare les burnes remonte jusqu'au gland. La veine que j'avais au travers mon objectif palpite maintenant devant moi. J'admire un instant ce tr�s beau morceau. Eric semble appr�cier ce regard admiratif - les mecs sont bien tous les m�mes - et commence � jouer avec sa queue, il la secoue comme pour v�rifier sa vigueur : test r�ussi.
- Alors, elle te plait ma queue, p�d� ? Tu la vois de plus pr�s maintenant ! Je lui jette un regard rapide, le temps de voir son sourire sardonique et baisse aussit�t les yeux, soumis. Il adore �a visiblement et me bat le visage avec son sexe.

Il commence � mettre sa pine de mani�re insistante au niveau de ma bouche. Je sors le bout de ma langue pour flatter un peu ce membre : l'initiative lui plait et me laisse faire. Je donne de petits coups de langue sur toute la longueur de sa bite en alternant avec des baisers. Sa queue r�agit, devenant plus grosse et plus dure encore. Son gland se d�calotte de lui-m�me. Eric se soustrait un instant � mes caresses pour changer d'angle et pr�senter sa bite horizontalement, ne demandant qu'� entrer dans ma bouche. Je prends en main ce sexe pour contr�ler la p�n�tration que je veux progressive. Je l�che le gland et le prend en bouche avec d�licatesse. Eric r�pond par un coup de rein qui me fait avaler un tiers de sa bite. Malgr� la contrainte et la peur, je savoure cette queue et commence une vraie pipe, jouant avec ma langue, caressant ses couilles et me retrouvant souvent le nez dans le sombre buisson de son pubis. C'est une grosse bite et je dois faire des efforts pour l'accueillir toute enti�re, mais je n'ai gu�re le choix.

Je commence � percevoir que ses copains s'agitent un peu et semblent � l'�troit dans leur pantalon, en particulier le blond que je vois tout pr�s � ma droite. Je me lib�re donc la main et la pose sur la braguette de son baggy. Je sens tr�s bien sa queue en �rection comprim�e vers la droite. Vigilant � la r�action d"Eric et attentif � poursuivre une excellente fellation, je vois dans son regard que j'ai acquis le statut de salope qui fait bien son boulot. Face � des dealers, ce n'est pas le statut le plus dangereux, du moins, je l'esp�re.

Je poursuis donc, en parall�le de cette pipe, l'exploration de l'entrejambe de Xavier, le pr�nom du grand blond que j'apprendrai plus tard. Je d�boutonne son baggy qui laisse appara�tre un cale�on informe � motifs ringards. Sa queue tend le tissu et cherche � sortir. Il me suffit de retirer un unique bouton du cale�on pour la fait jaillir. C'est une belle bite aussi, � la peau claire, un peu lourde et massive. M�me en �rection, elle pointe l�g�rement vers le bas, le gland compl�tement prot�g� par le pr�puce. Tout en poursuivant ma fellation � Eric, je commence � branler doucement Xavier, faisant aller et revenir le pr�puce sur le gland. Sad, le 3e larron black reste en retrait.

Je me concentre � nouveau sur la queue d'Eric qui me semble encore grossir dans la bouche. Son propri�taire me tient par la nuque et imprime avec ses reins un mouvement qui m'oblige � subir ses coups de butoir au fond de la gorge. Je profite de la libert� de ma main gauche pour caresser ses fesses fermes et duveteuses. Xavier, qui s'est rapproch�, ne semble plus se satisfaire d'une petite branlette et frotte sa bite sur ma joue. L'invitation est assez claire. Je me d�gage doucement de la poigne d'Eric qui me laisse faire pour gober le dard de mon grand blond avec des baskets. Je n'abandonne pas compl�tement Eric que je branle d�licatement et j'avale cette queue encore vierge de mes l�vres. Elle est vraiment massive et me remplit la bouche et la gorge. Je sens la palpitation du sang dans les veines. Xavier semble tr�s excit� et donne des �-coups un peu compulsifs. Il me l'enfonce rudement dans le fond du gosier, manquant de m'�touffer, mon nez plong� dans le tissu de son cale�on et les poils pubiens dor�s qui s'en �chappent. Alors que je deviens �carlate, il mod�re enfin son enthousiasme. Sa maladresse r�v�le son inexp�rience des choses du sexe. Prudemment, je retourne au sexe d'Eric. Sa bite � nouveau dans la bouche, je lui lance un bref coup d'oeil : il est tr�s excit� et proche de la jouissance. Eric me choppe � deux mains la nuque. Il fait compl�tement ressortir son chibre de ma bouche pour mieux me l'enfoncer � fond aussit�t. Sa brutalit� m'oblige � m'accrocher � ses cuisses. J'abandonne compl�tement Xavier, qui se branle � quelques centim�tres de mon visage.

Eric acc�l�re ses allers-retours et je sens sa queue grossir encore et se tendre. Elle se contracte et propulse un premier jet de foutre dans ma gorge. Eric ralentit le rythme et donne une plus grande amplitude � ses mouvements qui se concluent par de nouvelles gicl�es de sperme dans ma bouche. Je suis envahi par le go�t doux et sucr� de ce jus �pais. Eric finit par s'immobiliser en me tenant fermement la t�te, sa queue � nouveau plant�e au fond de ma gorge anim�e de quelques ultimes contractions. Cet instant de paix, presque un c�lin de la part d'Eric, dure quelques secondes.

Mais les g�missements et le souffle rauque de Xavier annoncent un second final. Il s'astique fr�n�tiquement le dard qu'il pointe sur moi. Je tends la langue pour effleurer son gland rose et d�j� humide. Il pousse un petit cri et crache une abondante salve de sperme qui trace une ligne sur ma figure, souillant ma bouche, mon nez, mon front et m�me mes cheveux. Les jets suivants sont pour ma bouche et ma langue. Xavier contracte sa queue encore une fois ou deux, le souffle court puis l'enfonce dans ma bouche pour que je ne perde pas les derni�res gouttes de jus. J'avale en partie son sperme au go�t acre mais une bonne part coule sur mon menton.

Eric �clate de rire en me voyant d�goulinant de foutre. Je suis une pauvre tapette, ridicule et souill� � ses yeux, mais qui lui a tout de m�me donn� un plaisir puissant et inattendu. Il range sa queue devenue molle, remonte son shorty et reboutonne son pantalon.
Xavier fait de m�me, mais avec le regard perdu de quelqu'un qui vient de vivre une exp�rience tr�s forte et qui peine � revenir sur terre. C'est � croire qu'il n'a jamais rien fait avec son zob. S'il n'est pas puceau, il en a pas mal de traits.
Mais la tension n'est pas retomb�e pour tous. Sad, le jeune black n'est pas joui, il n'a m�me pas sorti son mat�riel, mais il est ostensible que sa bite est band�e � mort. Ce doit d'ailleurs �tre un tr�s beau morceau vu la d�formation de son jogging.
Eric l'interroge :
- Ben alors Sad, t'as pas envie de te taper une petite fiotte ? Il suce bien, tu sais. Bon, vu son �tat, il fait plus trop envie, je te l'accorde.
Le visage ferm�, dur, le jeune noir me fixe et lui r�pond :
- On n'en a pas fini avec lui ...

Merci d'avoir lu cette histoire jusqu'au bout. Si elle vous a plu, n'h�sitez pas � m'envoyer un petit mail pour que j'�crive une suite. Les encouragements sont toujours bienvenus.

Lion Vert

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