L'usine d�saffest�ePartie 2 (Partie 1 ici) Eric regarde sa montre et indique � ses complices qu'il doit filer : Il tourne les talons. Sad me remet sur les pieds et me pousse pour que je le suive. Xavier ramasse mon sac et l'appareil photo. Eric dispara�t par un escalier m�tallique tandis que nous rejoignons le petit bureau o� ils conditionnaient la drogue. Sad me fait m'assoir dans un coin, me jette un chiffon immonde pour m'essuyer le visage barbouill� de sperme puis range avec Xavier la dope expos�e. En quelques minutes, tout est remis dans deux sacs de sport et je redeviens l'objet de leur attention. La ma�trise de lui-m�me de Sad est assez effrayante et ne pr�sage rien de bon pour moi. Je vois pourtant � la bosse qui d�fonce son jogging blanc qu'il est toujours tr�s excit�. Sad m'indique de son regard dur la pi�ce d'� c�t� : un atelier peupl� de machines fantomatiques. Je bouge et me retrouve adoss� � un �tabli m�tallique graisseux. Sad, tr�s droit, me regarde en silence tandis que Xavier commence � fouiller mon sac. Il en extrait mon portefeuille et mes papiers : Les yeux de mon bourreau noir se durcissent � nouveau : je dois aller jusqu'au bout. Je baisse mon slip. Quand je me redresse pour aller le poser, ma bite est soumise � leur regard. Un petit bout de bite en fait, la peur et l'humiliation la faisant se r�tracter au maximum. Elle se trouve noy�e dans mon pubis ch�tain. Forts de leurs grosses bites en �rection, mes tortionnaires me dominent plus largement encore. Xavier se marre : " ouh, mais c'est une chiote biloute, �a ! " Sad ne rit pas. D'une voix rauque, peut-�tre alt�r�e par le d�sir, il m'ordonne de me branler. Autant �a peut-�tre une pratique tr�s plaisante quand on le fait seul ou lors d'�bats amoureux, autant sous la contrainte et sans excitation, c'est juste d�gradant et vain. Je tire le pr�puce de ma queue qui se cache et je commence un va-et-vient maladroit, qui se r�v�le sans aucun effet. Je vois Xavier qui zoome sur mon sexe, renfor�ant ma confusion. Sad me laisse ainsi m'humilier quelques minutes. Puis, un sourire carnassier se dessine sur son visage. Me fixant d'un regard pr�dateur, il s'exhibe, fier de ce magnifique corps de jeune sportif. Il est incroyablement sexy : torse nu, avec son jogging d'un blanc �clatant qu'il porte bas et qui r�v�le une large bande de son cale�on Calvin Klein - tiens, quelle originalit�. Il fait rouler ses muscles et esquisse un petit sourire satisfait. Ma bite, que je ne tripotais plus depuis quelques temps, se dressait fi�rement, trahissant mon excitation. Xavier ne me loupe pas et continue de me mettre dans la bo�te. Sad retire ses chaussures de sport et ses chaussettes dans la foul�e. Il joue ensuite avec la ceinture de son jogging, montrant une plus grande partie de boxer visiblement blanc. L'intensit� de ma curiosit� s'accroit quand il se met � baisser le haut de son cale�on, r�v�lant des obliques � tomber. J'ai le souffle court, oubliant de respirer. Il baisse finalement son jogging. Sa grosse queue se dessine parfaitement sous le tissu blanc de son boxer. Courb�e vers la droite, elle file loin vers la hanche. Et tandis que Sad retire ses pieds du jogging, son paquet ballotte lourdement. Le tissu peine � contenir la b�te. D�barrass� du v�tement, Sad s'avance vers moi. Plus grand que moi, il me toise du regard et m'appuie sur l'�paule pour me mettre � genou. Je me retrouve face � ce sexe prisonnier du petit morceau de tissu. Je crois deviner la suite. Sad me d�trompe en se reculant et en m'ordonnant � nouveau de me branler. Cette fois-ci, j'ai la queue bien raide, montrant ses proportions respectables, bien qu'elle soit beaucoup plus modeste que celle de Sad. Tr�s excit�, ma masturbation d�clenche aussit�t des ondes de plaisir et de chaleur qui parcourent mon corps. La jouissance risque d'�tre rapide, ce que je ne veux pas. Mon mouvement devient donc plus doux et plus lent sous l'objectif de Xavier, qui bande fort aussi, tr�s visiblement. Une sonnerie de portable interrompt la s�ance. Sad s'appr�te � sortir de la pi�ce mais se ravise et ordonne � Xavier de m'attacher les mains, avant d'aller r�pondre dans le bureau � c�t�. Xavier est un peu surpris de l'ordre re�u - il faut avouer que je ne leur ai pas donn� beaucoup de fil � retordre jusqu'� pr�sent - mais il s'ex�cute. Pour mon malheur, il trouve rapidement un morceau de ficelle en sisal. Comment a-t-il pu d�nicher ce truc ici ? Il me met debout et me plaque contre l'�tabli. Je me retrouve le torse et la face contre le m�tal froid et huileux. Il m'attrape les bras et m'attache les mains dans le dos. Il n'a pas l'air bien dou� avec les noeuds mais avec un peu de temps, il a r�ussit � m'entraver solidement, le fil mordant un peu mes poignets. Pendant sa manoeuvre, je sens son sexe gonfl� dans son pantalon se caler entre mes fesses. D'un geste furtif, il me caresse les couilles. Sad revient. Xavier m'attrape par le cou et me remet en position � genou et se met en retrait, laissant son copain black reprendre la conduite des op�rations. La f�te dans le slip du jeune dealer semble s'�tre calm�e, m�me si le membre reste de proportion honorable et pas compl�tement au repos. Moi-m�me, j'ai s�rieusement d�band� au contact du m�tal. Ma queue s'orne m�me d'une l�g�re t�che de graisse sombre tout comme ma poitrine, qui en a plusieurs et comme mon visage probablement. C'est un beau spectacle de voir Sad �voluer en sous-v�tement. Il a une d�marche souple qui sollicite tous ses muscles. Il est vraiment tr�s beau. Son visage aussi est gracieux, avec des traits r�guliers, durs parfois, malgr� sa jeunesse - 18 ans, 20 ans grand maximum. Il s'approche de moi, me dominant de toute sa hauteur. Son boxer est � quelques millim�tres de mon visage - je r�siste � l'envie d'aller au contact. Xavier a repris l'appareil photo et semble ravi de celle qu'il vient de prendre : une gros plan sur moi, la t�te effleurant le paquet d'un mec. Sad reste ainsi quelques instants. Je per�ois la chaleur de son corps et son odeur, � la fois propre, saine et animale. Il s'�carte largement de moi, semblant me narguer. Il se met de c�t� et passe les pouces dans l'�lastique de son sous-v�tement. De profil, je peux voir nettement ses fesses fermes et rebondies et son paquet avantageux. Il me laisse profiter du spectacle avant de commencer � baisser son cale�on. Ses abdominaux obliques indiquent le chemin pour le regard qui s'attarde sur son bas-ventre parfaitement plat. Ses poils pubiens apparaissent puis la naissance de sa queue. Il s'attarde puis baisse compl�tement le boxer, lib�rant sa queue. C'est une tr�s grosse bite qui confirme, cette fois au moins, la l�gende sur les blacks. Pas compl�tement dure, elle est dans sa plus grande partie en position horizontale avant de retomber un peu au niveau du gland. Non-circoncis, son pr�puce prolonge encore un peu ce sexe immense, � la fois long et �pais. Les testicules de bonne taille eux aussi compl�tent le service. On dirait un mod�le du photographe Mapplethorpe. Lentement, il revient vers moi, le sexe dress�. Il s'arr�te pr�s de moi, me laissant admirer son magnifique gourdin. La tentation de sortir ma langue pour l'effleurer est �norme, mais j'y r�siste par prudence. La situation l'excite car sa verge durcie et l'�l�ve au-del� de l'horizontale. Il pose ses index sur mes tempes et me penche le visage en arri�re. Il avance ensuite son bassin, positionnant ses couilles sous mon menton et pose sa queue sur mon visage qu'elle traverse enti�rement. Xavier ne manque l'image et photographie en rafales ma soumission � ce sceptre viril qui fait loi. Sad baisse alors le regard vers moi avec douceur, acceptant avec bienveillance ma soumission. Lentement, il se retire. Son gland zigzague sur mon front, mes yeux, mon nez et mes l�vres puis s'�loigne l�g�rement. Je redresse la t�te pour ne pas perdre des yeux ce serpent noir qui m'hypnotise. Avec humilit�, j'embrasse le bout de cette queue royale et me d�cale pour couvrir de baisers d�licats toute la longueur de ce sexe. Les mains attach�es, ce n'est simple, mais je parcours de la m�me fa�on le chemin inverse. Contr�lant du regard la volont� de Sad, je prends enfin le bout de ce phallus dans ma bouche. C'est une bite vraiment �norme et je dois faire des efforts rien que pour prendre cette extr�mit� : je peine � imaginer comment je pourrais l'avaler toute enti�re. Xavier est toujours avec son appareil immortalisant mon travail de dompteur de serpent. Sad pose ses mains sur ma t�te et imprime le mouvement qu'il souhaite. C'est tout d'abord un lent va-et-vient, pas tr�s profond mais de plus en plus n�anmoins. Je me laisse aller, ob�issant � ses ordres. La progression s'arr�te toutefois quand sa queue arrive � l'or�e de ma gorge. Impossible pour moi d'aller plus loin. Il reste pourtant un bon tiers � avaler. Sad m'adresse un regard s�v�re et donne des coups de rein plus insistants. Je commence � �touffer, assailli de haut-le-coeur. Je vois des �toiles et les yeux imp�rieux de Sad. Je me force au calme et tente de d�tendre ma gorge. Le serpent noir progresse aussit�t. Je me contracte par r�flexe, douloureusement. Je m'impose le calme � nouveau, fermant les yeux et laissant cette queue envahir ma gorge. Lorsque qu'enfin mon nez atteint le pubis, je suis tout surpris d'avoir r�ussi � avaler la totalit� de cet �norme gourdin. Sad me sourit, appr�ciant l'exploit. Xavier se met � jurer : plus de pile. A mes yeux, ce n'est pas trop t�t. Fini les photos avilissantes. Sad se retire doucement de ma bouche et me fait me relever. Il rep�re un �tabli un peu plus loin adapt� � ses envies. Il m'y entraine et se colle � mon dos : mes mains effleurent sa bite turgescente. Il me planque les jambes contre la table m�tallique et me force � coucher la poitrine dessus. Je me retrouve les fesses ouvertes et la t�te dans le vide. Mes mains, toujours attach�es dans le dos, me font mal dans cette position. J'imagine bien ce qui va suivre mais l'id�e de me faire d�florer par un engin aussi �norme me terrifie. Xavier, inoccup�, trouve vite un nouveau passe-temps et prend place devant moi : j'ai le nez sur sa braguette. Il ne perd pas de temps en pr�liminaire et baisse son baggy et son cale�on affreux. Sa grosse queue rose jaillit, d�calott�e et humide, au milieu d'une broussaille de poils blonds. Sans h�siter, il saisit ma t�te et enfourne son dard sans m�nagement. M�me si son sexe est plus modeste que celui de Sad, sa brusquerie me meurtrie la bouche et la gorge. Sad, de son c�t�, commence � me pr�parer. Il me fait �carter les jambes plus largement pour me rendre plus ouvert - plus offert en fait - et me crache sur la rondelle. Il a la d�licatesse de commencer par m'introduire un doigt. La peur me contracte intens�ment et son index passe douloureusement. Toutefois, les coups de rein maladroits de Xavier d�tournent mon attention : je dois me concentrer pour �viter que sa bite rape sur mes dents. Sad est d�j� pass� � trois doigts et mon cul commence � s'ouvrir. Il se place pour faire glisser ta teub entre mes fesses. Son gland vient flirter avec mon trou. Il fait tranquillement quelques mouvements puis, en changeant d'angle, il me p�n�tre l�g�rement. Une douleur immense me saisit et des larmes me coulent aussit�t des yeux. Le p�nis de Xavier n'�touffe pas compl�tement mon cri. L'un et l'autre per�oivent ma d�tresse. Heureusement, la p�n�tration presque � sec de Sad n'a pas �t� confortable pour lui aussi. Il propose � Xavier d'�changer leurs places. Le grand blond ne se fait pas prier et retire le pantalon qu'il avait sur les chevilles ainsi que son T-Shirt informe, avant de changer de c�t�. Je dois me remettre � sucer l'impression verge noire que Sad me propose. Ma position ne me permet pas de l'avaler aussi profond�ment qu'� genou. Heureusement, le jeune black ne l'exige pas. Xavier, toujours un peu maladroit, se cale derri�re moi et tente de me p�n�trer sans succ�s. Mauvais angle et pas assez de lubrifiant. Il crache sur sa queue et l'astique un instant puis il retente. Apr�s avoir recherch� le bon axe, il le trouve et me p�n�tre d'un coup. Je gueule et je pleure � nouveau. Quelle brute ! Sad me caresse la t�te et se contente de petits mouvements doux, tandis que Xavier s'est immobilis�. Je sens sa verge pulser dans mon cul : il doit �tre � deux doigts de jouir. Ce petit moment de calme nous apaise tous et mes tortionnaires reprennent doucement un mouvement de va-et-vient. Mon cul est en feu, mais la douleur s'apaise. Xavier me saisit par les hanches et entreprend un pilonnage intensif. Il me secoue si fort que je peine � sucer correctement Sad. Celui-ci d'ailleurs se retire et se branle, me battant r�guli�rement le visage avec son gourdin de chair. Ma propre queue frotte contre le m�tal de l'�tabli. Il contourne l'�tabli et commence par faire glisser sa queue entre mes fesses. Le foutre de Xavier a lubrifi� ma raie comme mon cul. Son gland trouve vite l'entr�e et il m'encule doucement et progressivement. Plus d�tendu, j'ai beaucoup moins mal m�me si j'appr�hende le gigantisme de son membre. Il m'enfonce d'abord � peine plus que le gland pour que je m'habitue puis entame un l�ger va-et-vient. Cette d�licatesse me donne des sensations agr�ables et mon cul commence � en demander plus. Son mouvement prend de l'ampleur et un bon morceau de sa bite est en moi maintenant. Je me sens d�j� " plein " mais il continue de s'enfoncer en moi. La douleur et la panique reviennent en force. Sad me donne des coups de queue plus vifs et je la sens passer. Les larmes aux yeux, j'essaie de ne pas gueuler. Excit� par ma d�tresse et son pouvoir de domination, le jeune black devient bourrin et me prend d'un coup jusqu'� la garde. Je crois d�faillir de douleur : j'ai l'impression que mes organes vont exploser dans mon ventre. Sad s'accroche d'un bras � mon �paule pour rester bien en moi, mais reste immobile un instant avant de reprendre de petits mouvements. La douleur et la peur refluent un peu et se m�lent � d'autres sensations : le plaisir et l'excitation. Sad me donne quelques petits coups de reins secs qui me font voir des �toiles, � moiti� de douleur, � moiti� par le massage de ma prostate. Puis il se retire presque enti�rement de moi : je me rends ainsi bien compte de la longueur de sa queue. Evidemment, il m'encule � fond aussit�t et commence une s�rie d'amples mouvements qui rendent mes terminaisons nerveuses satur�es d'�lectricit� et de sensations. Malgr� moi, honteux de ce sentiment, je me r�gale maintenant de cette sodomie forc�e. Je cambre les reins et Sad me chevauche sauvagement, une main sur l'�paule et l'autre sur ma hanche. Les mains attach�es, je me peux me tenir et suis compl�tement soumis � ses ruades. Il d�cide ensuite de changer de position. Il passe ses bras sous ma poitrine et m'accroche ainsi les �paules. Nos deux corps sont planqu�s l'un contre l'autre, uniquement s�par�s par mes mains attach�s qui touchent son ventre. Ses assauts me semblent plus profonds encore et me d�foncent litt�ralement. Une nouvelle douleur apparait et je me rends compte qu'il me mord le cou et la nuque. Mon excitation gagne alors en intensit�, je me sens bander. Un coup de queue plus fort que les autres d�clenche un formidable orgasme en moi. Je pousse un puissant cri de plaisir qui me fait prendre conscience de mes g�missements pr�c�dents. Sad n'y est pas insensible : il me donne encore quelques coups de bite brutaux et jouit intens�ment en moi. Je sens ses jets de foutre qui ne semblent pas vouloir s'arr�ter : il m'inonde de sperme puis s'immobilise enfin. Nous redescendons lentement vers le monde r�el, prenant conscience de nos battements de coeur, de nos corps en nage, de nos sexes poisseux et de Xavier qui nous photographie. Le con a retrouv� des piles. Il s'est aussi rhabill�. Sad se retire et m'ignore splendidement, tr�s macho. Je m'�croule au pied de l'�tabli, totalement vid� et me sentant tr�s sale. Le jeune black va chercher son boxer mais avise sa bite gluante. Il revient vers moi et me la pr�sente. D�gout�, je ne fais n�anmoins pas d'histoire et j'avale puis je l�che son membre en semi �rection. J'avale ce m�lange des spermes de Xavier et de Sad. Le dealer noir me d�laisse pour se retrouver ses fringues, m'abandonnant dans ma triste posture. Il revient ensuite vers moi avec Xavier pour m'accabler de son m�pris. Glacial, il me balance : L'un et l'autre remballent leur verge. Ils jettent un regard sur la pi�ce, histoire de ne rien oublier et regagnent le bureau � c�t�, tandis que je reste prostr�. Ils r�cup�rent les sacs de drogue, quand Xavier reviens vers moi, un couteau � la main. Une terreur paralysante me saisie, je vois ma vie d�filer, me pr�parant � cette mort infamante. Le film que je me fais s'interrompt quand le dealer blond coupe mes liens. Il m'adresse un petit sourire complice et file rejoindre Sad qui l'attend. Me voici libre. Lion VertR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |