Comment je suis devenu une vraie lope.J'ai quelques slips dont j'ai d�chir� l'�lastique � la taille, et quand j'en porte un et que je marche, il me glisse alors sur les fesses progressivement sous mon jean, j'ai l'impression d'avoir les fesses � l'air. Vous me direz que je pourrais ne pas porter de slip du tout, je le fais aussi souvent, mais en r�alit� c'est la sensation provoqu�e par ce glissement progressif du slip sous le jean qui m'excite ! Surtout quand je marche dans la rue. Et je sais d'o� me vient ce truc. J'avais 18 ans et demi et j'�tais �tudiant, en internat. Un soir de la deuxi�me semaine, � la sortie de l'�tude du soir alors qu'on montait au dortoir, des mecs de premi�re ont d�boul� et chopp� trois d'entre nous, dont moi. Il �tait �videmment parfaitement inutile de r�sister. Ils nous ont band� les yeux et entra�n� de force au sous-sol de l'internat : comme mes deux autres camarades, je me suis retrouv� torse nu, mains attach�es en l'air, bras �cart�s, et b�illonn� ! Les mecs se marraient, et moi. Eh bien ! Je dois avouer que cette situation m'excitait, m�me si la trouille �tait plus forte que cette excitation, obscure, inavouable, qui avait commenc� � sourdre en moi lorsqu'ils m'avaient enlev� chemise et t-shirt. Qu'est-ce qu'ils allaient bien pouvoir nous faire subir ? Nous n'avons pas tard� � le savoir ! Un type de premi�re a dit : " Bon alors les gars, on va pouvoir v�rifier si vous �tes de vrais mecs ! " Je ne savais pas pour les deux autres, mais moi, ma trouille a mont� de deux crans ! J'ai alors senti un mec derri�re moi, il �tait torse nu aussi puisque j'ai senti sa peau sur mon dos quand il s'est coll� � moi ! J'ai senti alors aussi qu'il passait ses bras autour de ma taille, et qu'il commen�ait � ouvrir, lentement, ma ceinture. J'ai per�u une lueur brusque � travers le bandeau : ils nous photographiaient ! Ces flashes se sont r�p�t�s � chaque �tape de la mise � l'air : bouton par bouton, le mec ouvrait la braguette. Il a fini par baisser le jean � mes genoux. La sueur me coulait le long des aisselles, je sentais ma queue mouiller ! D'une main il a commenc� doucement � me caresser la bite et les couilles � travers le slip. Se d�collant de mon dos, il a gliss� doucement l'autre main sous l'�lastique derri�re et commenc� � me peloter le cul ! Incroyable ! Je me sentais basculer dans un autre monde : de l'humiliation, oui, mais, plus forte, cette excitation de se sentir exhib� aux regards, tripot� au plus intime. Un de ses doigts me caressait la rondelle. Alors je me suis mis � bander, irr�sistiblement ! Et les flashes continuaient. Et ils se marraient. Le mec qui me tripotait a alors, en tirant violemment dessus, distendu l'�lastique de mon slip et l'a laiss� tomber doucement. Il s'est accroch� � ma queue raide ! Et finalement le mec m'a empoign� la bite en la secouant et le slip m'est tomb� compl�tement aux genoux sur le jean.Vous voyez maintenant d'o� me vient le truc excitant que je vous ai racont� au d�but. Maintenant, toujours jean et slip aux genoux, attach� bras en l'air �cart�s, b�illonn�, yeux band�s, queue raide et fesses � l'air, le mec a commenc� � me branler. Il acc�l�rait, ralentissait, il me d�calottait, s'attardait sur mon gland, je m'entendais g�mir doucement dans mon b�illon, je me tortillais dans les lienS. Je sentais mon bassin accompagner instinctivement ses mouvements malgr� moi, il me caressait toujours le cul et, l�, j'ai explos� quand de son doigt mouill� il m'a p�n�tr� le cul. Il ne me l�chait pas, fouillant mon cul, m'extirpant les derni�res gouttes des couilles, avec acharnement. Mes cris �taient �touff�s par le b�illon. Enfin, le mec m'a l�ch�, je me sentais sali, humili�, honteux, mais jamais, jamais je n'avais encore joui avec cette intensit� ! Mes deux camarades avaient subi le m�me sort. Vous voulez savoir la suite ? Eh bien, elle est tr�s simple, j'abr�ge : on s'est retrouv� ensuite � quatre pattes tous les trois, compl�tement nus cette fois, et ils nous ont bais�s, tout simplement ! Par le cul et la bouche : ils �taient une douzaine, �a n'en finissait pas et j'ai eu, au d�but, tr�s mal au cul. Mais la jute des deux premiers a servi de lubrifiant aux suivants. Ce qui a ensuite, apr�s cette soir�e incroyable, d�cid� de mon sort, ce fut que je me suis mis � rebander pendant que le troisi�me me passait dans le cul, que la douleur disparaissait pour faire place � la jouissance. Ils s'en sont aper�us �videmment, et le mec qui me limait le cul, s'est mis aussi � me branler, et c'est au passage du cinqui�me que j'ai joui, � nouveau. Ils m'ont trait� de tous les noms : p�d�, lope, pute, etc. tout ! Et le reste de l'ann�e, au moins une ou deux fois par semaine, ils me convoquaient dans les caves et j'ai appris � tout subir : mise � l'air, branle forc�e, rasage de la bite et du cul, ils m'attachaient dans toutes les positions imaginables, ils me giclaient � la figure, me pissaient dessus, me fessaient, et bien s�r me d�fon�aient bouche et cul. Et moi je jouissais, souvent plusieurs fois lors d'une m�me soir�e. J'ai gard� beaucoup de photos de ces s�ances Et aujourd'hui encore, d�s que j'en ai l'occasion, je me livre � un groupe de mecs qui font de moi ce qu'ils veulent. Et je me prom�ne avec ces slips aux �lastiques d�chir�s. BizutR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |