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Tournante �pisode n°1 > n°2 > n°3

Tournante 4 fin

J'ouvre la porte et nous rentrons. Je me rue dans la salle de bain ; j'ouvre les robinets, je parfume � la folie l'eau du bain.
Je cours � ma chambre et je jette mes v�tements, cale�on compris, au milieu de la pi�ce. Je me retourne et je vois Jos� qui me regarde faire. Surpris, je cache mon sexe avec ma main.
- T'es press�, me dit il en souriant ?
- Plus qu'un peu lui r�torquais-je !
- Que caches tu avec ta main ?
- Je. Je. H�b�..
- Tu sais, je t'ai d�j� mat�, sous la douche aux vestiaires ! il me semble petit !
- Ah oui ! dis-je en rougissant, tout ce qui petit est mignon !
Il s'approche de moi, me pose ses mains sur mes �paules, se penche vers ma bouche et y d�pose un baiser.

Ses yeux brillent de plaisir. Avec un sourire narquois au coin des l�vres, il me dit " Je voulais te remercier pour ce que tu as fait dans la cave. C'�tait vraiment COOL " Je le regarde en souriant et je lui dis " J'en supportais assez sans que toi tu en subisses. C'est moi qu'ils voulaient ! "
Son sourire s'accentue, je vois ses dents briller et il me dit " va te laver, je viens pour te savonner le dos " et joignant le geste � la parole, il commence � se d�saper. Son sexe pend le long de sa bourse, la d�passant. Sous mon regard, il commence � gonfler, � se tendre pour former un pic. Il s'approche de moi, pose ses l�vres sur les miennes, sa langue fraye un passage, caresse la mienne, s'enfonce et remplie toute ma bouche. Je fonds. Je m'abandonne � ce baiser tendre et fougueux.

Il passe ses mains dans mes cheveux caressant ma nuque d'une main, tandis que l'autre descend le long de mon corps, titillant au passage la pointe de mes seings, effleurant mes abdos, mon nombril, �cartant mes mains pour saisir ma verge avec deux doigts, tandis que les 3 autres jouent avec mes couilles. Je bande sous l'effet de cette caresse. Il me l�che, je recule. Enfin, je peux le mater : Un corps fin, taill� en V ; une peau fine et mate ; une touffe de poil tr�s brun d�core sa poitrine entre les 2 pectoraux bien dessin� mais fin ; de sous ses bras jaillissent des poils fris�s mi-longs. Une ligne de duvet court sur ses abdos pour finir dans une for�t vierge abondante, drue, qui entoure son sexe et ses bourses bien remplies par une paire de boulle presque ronde, lourde. Des jambes poilues et muscl�es ach�vent ce tableau.

Je rougis, quand je m'aper�ois qu'il devine mon int�r�t pour son corps. Ce qui m'a emp�ch� de d�bander. Brutalement il me retourne, me met une claque sur les fesses et me dit " au bain "
Je cours me r�fugier dans la baignoire. Il arrive majestueux, ses couilles ballottant entre ses jambes, son sexe droit, � moiti� d�calott�, le sourire aux l�vres, heureux et content de mes r�actions.
Il entre dans la baignoire, se glisse dans mon dos, m'enserre avec ses jambes, d�pose un baiser dans mon coup, prend du gel douche et commence � me frictionner le dos. Ses doigts dansent le long de mes �paules, de mes pectoraux, descendent le long des mes bras, remontent et caressent mes c�tes, mes aisselles.
Je m'abandonne sous l'effet de son jeu de main, rejetant la t�te en arri�re, m'appuyant de tout mon poids contre son corps. Je sens son membre dur. Ses mains se remettent en mouvement le long de mes c�tes, arrive au pli de mes jambes, glissent vers mon p�nis. De la droite, il s'en saisit et commence � me le d�calott�. " Il faut le laver me dit-il en faisant jaillir mon gland ". Avec 1 doigt, il le frotte, le glisse sous mon pr�puce, titille le nerf. L'autre main cherche mes boules, les attrapes, les caresses, les palpe. Quel pied !

Je sens que je vais partir dans l'eau ti�de du bain ! Je me crispe quand il m'embrasse dans le cou. J'explose, me vidant compl�ment. Il en profite pour accentuer son baiser, en faire un su�on. Heureux, amorphe, je me laisse faire. Il m'essuie et me pousse vers mon lit.

- Tu as un corps d'ados imberbe avec du duvet blond.
- Je ne fais pas mon �ge.
- Comme tu as dit, ton sexe est mignon
- Tu parles, il est si petit que j'en ai honte !
Je le regarde, bandant comme un taureau en rut, au pied de mon lit :
- Tu veux me faire l'amour, que je te suce.
- Non ! Apr�s tes aventures on verra demain. Si tu es remis de tes �motions ! Je ne veux pas t'imposer des relations que tu regretteras ou que tu ne supporterais pas.

Sur ces mots, je sombre dans un sommeil agit� o� je r�ve de mecs � poil qui m'attachent en m'�cartant les bras et les jambes � quatre pattes, me d�fon�ant la gorge avec leurs sexes gros comme mon avant bras, me prenant par la nuque pour que je les avale enti�rement. Je n'y arrive pas.
Cette sensation me tire de mon cauchemar. Lentement j'�merge tout en me touchant : J'ai la trique et une tache blanche de foutre sur mon bas-ventre !

Jos� dort � mes c�t�s en chien de fusil, tourn� vers moi. Il a d� se branler sur moi. Il bandait trop hier soir. Dans mon sommeil, il me semble que j'ai vu une ombre qui s'agitait. Cette vision a du entra�n� mon d�lire. Curieux, je soul�ve l�g�rement le drap, je vois son pieu gonfl�, dur. J'ai envie de le faire jouir ! Je plonge ma main et doucement je le saisis. Tout en faisant attention � ne pas le r�veiller, je le caresse, je le d�calotte. Sur son gland violac�, quelques gouttes de sperme apparaissent. J'ai envie d'y go�ter ! Je glisse ma t�te sous le drap jusqu'� son sexe, je l�che son bout juste sur la fente pour r�cup�rer les gouttelettes. Je veux le faire jouir. Sans aucune retenue, je gobe son membre. Je le suce comme un esquimau, maladroitement, l'enserrant entre mes l�vres, ma langue caressant sa veine. Il grossit occupe toute ma bouche se tient pr�t � exploser. Brusquement, sa main se pose sur ma t�te, bloque mes mouvements. Ses jambes se soul�vent et s'�cartent l�g�rement pour m'offrir compl�tement ses couilles. Il pousse ma t�te vers ses boules pour que je les suce. Je m'ex�cute ! Je les l�che � grand coup de langue, puis je la glisse entre sa bourse et ses jambes descendant jusqu'� la naissance de son penis. Je remonte le long de son dard. ; Je le reprends et je le mets de biais pour l'avaler enti�rement. Dans un r�le, il jouit � mort. J'en ai plein la bouche. Il se retire. Je d�glutis pour avaler son jus. Son gland est encore congestionn�, une go�te perle au m�at. Je la r�cup�re.

Je l�ve la t�te et je contemple Jos� en moiti� endormie, qui sourit, heureux, les yeux mi-clos. Ma main est pos�e sur son sexe. Il se met � me caresser mes cheveux tendrement. Il pose ma t�te au creux de son �paule ; tout en me murmurant :
- On est bien tous les deux. Tu t'es remis d'hier ?
- Oui ! dis-je en retirant ma main de son sexe.
- Laisses l� o� elle est ! il est pour toi et � toi !
- C'est vrai ?
- S�r ! tu ne l'as pas compris quand j'ai crach� ! c'�tait tellement bon ! Tu veux que je te fasse un aveu :C'�tait la premi�re fois !
- C'est la premi�re fois qu'on te suce ? Je suis heureux que ce soit moi qui l'ai fait et disant cela, je me pelotonne contre lui, remets ma main sur son sexe, tandis que Jos� glisse sa jambe entre mes cuisses, caressant au passage doucement mes boules, et plonge dans un sommeil profond.

Je le regarde dormir, v�ritable visage d'ange heureux et amoureux ; tout en somnolant sans bouger, gardant au chaud sous ma main son sexe. C'est tellement excitant que je finis par imaginer tout le plaisir qu'il va me donner et que je vais prendre : un pied d'enfer !

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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