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La tournante 3
La tournante 3
Sur ces mots il me tend mes habits.
- Magnes toi ! me dit-il en ressortant de la cave et en partant le long du
couloir. Je m'habille � toute vitesse et je le rattrape.
Nous marchons dans l'�troit boyau qui longe les caves de la cit�, vers la
libert�. A la hauteur de la sortie, une main ;surgit de l'ombre agrippe mon
�paule, pince le muscle et me force � tomber � genoux.
- Notre gazelle s'�chappe, me dit une voix inconnue ! Et moi qui veux la
d�foncer ! Salope, tu ne vas pas t'en tirer comme �a ! Joignant la parole �
l'acte il me donne un coup de genou en pleine poitrine.
Sous le choc je perds la respiration. Jos� s'interpose ! Il est immobilis�
par une autre ombre surgit d'une cave. un troisi�me larron appara�t et dit
: Il est belliqueux le petit. faut pas toucher � sa meuf ! Tu vas voir quand
Karim saura. Retournez � la " chambre ".Il me soul�ve par les cheveux et me
tra�ne en me flanquant des coups au derri�re. Jos� est pouss� par les deux
autres � grands coups de pied.
- A poil me dit l'inconnu, fissa ! Fissa ! On a envie de te sauter. Tu es
un bon garage � bite; pierre m'a dit !
;- Et le faux fr�re dit un autre. -
-Comme sa p�tasse ! R�pond celui qui me tient. Dans la cave il pourra la
voir se faire niquer par des vrais mecs.
Je jette mes frusques au sol tandis que Jos� se d�bat. Je rentre la t�te
basse et je vais m'asseoir sur le lit.
Ils l'immobilisent, le d�shabillent, jetant son surv�t � cot� du mien. Il
est en cale�on, tra�n� par les �paules, coinc� entre deux �tag�res, puis
attach� au montant, les bras en l'air, les pieds �cart�s, face au mur. Momo
sort son couteau, le passe entre la peau de Jos� et son cale�on, coupant les
tissus pour d�couvrir son Q. Il est muscl�, rebondi avec une ligne de poil
qui d�passe de sa raie et je devine entre ses jambes ses boules et le bout
de son p�nis qui d�passe. J'imagine qu'il doit �tre long.
Un des mecs d'une main, m'attrape par les cheveux,m'oblige � me mettre �
genoux, tandis qu'avec l'autre il ouvre sa braguette, sort sa queue, se la
caresse et me vient me l'enfoncer jusqu'au fond de la bouche.
Puis, il saisi mes oreilles et commence � me faire l'amour en limant
vigoureusement butant sur ma glotte. Pendant ce temps, un autre se glisse
derri�re moi, �carte mes fesses et me p�n�tre violemment � sec. La douleur
me fait serrer la bouche sur la queue de l'autre qui g�mi et me file une
gifle. Le troisi�me s'approche en se branlant, jouissant du spectacle.
Ma bouche se rempli de sperme, mon Q r�ceptionne 3 jets br�lants, et, le
dernier me joui dessus. Quelle humiliation ! Celui qui m'enculait, me dit :
Lave moi ! Tu ne crois pas que je vais le mettre dans mon cale�on avec les
traces de ta merde. Il faut qu'il soit nickel chrome ! Il l�ve la main, je
m'ex�cute pour �viter les coups.
Puis, on se met devant moi et on me dit " ouvre ta bouche, je vais pisser "
Je baisse la t�te et je fais signe que non. Un d�luge de coup sur mon sexe,
mes fesses, ma t�te ponctua ce refus " Sale fiotte, sale pute, sale PD, me
crie le meneur, tu vas voir ce que l'ont va te faire. Rick aime les culs
sales. Viens ici mon petit Rick ! " Je sens un souffle chaud, humide sur mes
fesses.
- C'est quoi ? Je hurle en me d�battant !
- C'est un doberman, me dit-on. Tu vas aimer !
- Non, non, pas �a ! Hurle-je en gigotant comme un fou pour �viter d'�tre
monter par le doberman. On me tire brutalement la t�te en arri�re. Des
petits yeux porcins dans une figure mal lav�e, mal ras�e, avec un sourire
vicieux, cruel et une haleine qui empeste la bi�re, me fixent.
;- " Arr�te de gigoter. Tu vas y passer � la casserole ; me dit le meneur
� qui appartient cette figure de cauchemar, sinon je vais cogner ! Il se
rel�ve, l�ve le bras. Une douleur vive me fait sursauter quand la laisse du
chien frappe mes fesses. Son bras arm� s'abat 1, 2, 3, 4 fois cinglant de
plus en plus fort mon Q. la peau rouge, j'abandonne. Je ne bouge plus ! Les
bras ballants, � genoux j'attends la suite des �v�nements.
Le meneurs regarde ses coll�gues et dit :
;- il faut qu'il le branle, qu'il le suce pour le mettre en �tat de
l'enculer.
;- Bon id�e , lui r�pond une voix
;- allez, p�dale, attrape son sexe et branle " me crie le meneur en amenant
le doderman devant moi.
Je reste prostr� tout en murmurant " Faites ce que vous voulez de moi.je
m'en fout ! "
Silence dans la cave. Sur ma gauche, celui qui s'appelle Momo dit " Moi je
sais ce qu'il faut faire " et il attrape un manche de balai, me regarde avec
un sourire sardonique. Je me recroqueville en attendant les coups.
;Jos� hurle quand le manche le frappe � la hauteur des �paules. Puis Momo le
glisse entre ses jambes �cart�es et frappe ses couilles. Jos� a un hoquet,
se crispe
-" Arr�tez. je fais ce que tu veux " et disant cela, j'attrape la queue de
Rick et je le branle.
- " Tu vois, il veut pas que on ab�me son mec "
- " c'est pas mon mec, dis-je "
- " on dit �a ! Tu rates quelque chose. Pour son age il est bien mont�. "
- Allez suce maintenant ! Rick attend !
Je me glisse sous le chien et je l�che sous sexe des couilles au bout de son
penis. Je le prends dans ma bouche et je suce.
D'un seul coup,le meneur m'attrape par les cheveux et me dit " met la t�te
sur le sol, le Q en l'air, mon chien va prendre son pied. " j'ob�is!
Il pose les pattes avant du chien sur mon dos, met son sexe dans mon anus.
Dr�le de sensation ! Il est dur, pointu, fin et tr�s recourb�. Il me fait
mal. Il lime � une vitesse folle, mettant le feu � mes boyaux, haletant au
dessus de moi, bavant sur mon dos. Je ne prends aucun plaisir � supporter
cette enculade. Au bout de quelques minutes, Rick d�charge. Tous rigole
autours de moi.
Ils sortent leurs sexes et � tour de r�le me pissent dans le Q pour me laver
; disent-il ! Ils s'en vont, criant " on va faire passer le mot. Tu auras
des visites ! "
Pendant un long moment, je ne bouge pas. Aucuns bruits, je me l�ve, me
dirige vers la porte et doucement je l'entreb�illes. J'attrape nos surv�ts.
J'enfile le mien et je vais aupr�s de Jos�. Je le d�tache.
Il me dit, tournait vers le mur " Passes moi mes v�tements " Il les met,
puis se tourne vers moi et me dit : - " Attends, je prends un marteau et je
te jure que personne nous ram�nera ici ! Allons-y ! "
On sort et on marche rapidement dans la nuit noire en direction de chez moi.
Arriv�s devant ma maison, Jos� me regarde et me dit :
- Pas de connerie ! Tu ne parles � personne de ta nuit ! Sinon gare aux
repr�sailles, pour toi et ta famille !
- T'inqui�tes, je ne me venterais pas de mon aventure ni � mes parents, ni �
d'autres personnes !
- Tu as pris ton pied, alors tu n'as rien � dire.
- J'ai honte et j'ai mal ! De plus j'ai envie de prendre un bon bain pour me
laver de tout et oublier mes faiblesses ! Tu rentres chez moi ?
- Si tu ne m'en veux pas ?
- Pourquoi ? Tu n'es pas responsable de tes amis !
Marcel
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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