Un top model pour moi tout seulJ'ai toujours consid�r� les relations homos comme du pur sexe et rien d'autre. En tant que bi, je ne pouvais pas imaginer de vivre ma vie avec un mec. Seule, une nana pouvait me faire craquer. D'ailleurs, j'�tais toujours tomb� amoureux de femme et jamais d'homme. Pourtant, ce soir l� j'avais �t� invit� par un pote et son colocataire (un cousin � lui je crois) � une soir�e avec quelques autres personnes que je ne connaissais pas. Nous avions pris un ap�ritif copieux qui faisait office de repas. Il y avait la des femmes et des hommes. J'avais rep�r� deux d'entre eux. Une femme d'abord, Florence, 1m75 mince les cheveux ch�tain fonc�s assez long avec des reflets roux, et des yeux noisette avec lesquels elle pouvait dire ce qu'elle voulait. Elle lan�ait des regards aux mecs qui les faisaient devenir fou. J'avais aussi remarqu� un mec. Julien. Grand, 1m85, ch�tain tr�s clair, des yeux verts que l'on oubli pas et une carrure de rugby man. Rien ne d�pareillait, ni sur lui ni sur elle. Rapidement, au cours de la soir�e, des regards complices avaient �t� �chang�s entre eux, ce qui pr�jugeait de la suite de leur nuit. Dire que j'�tais jaloux serait exag�r� mais envieux de l'un et de l'autre : oui. Tard dans la nuit, les invit�s quitt�rent les lieux un par un. Je d�cidais de partir, moi aussi, (� pied le m�tro �tant ferm�) et Julien en fit autant. Nous part�mes donc ensemble faire un bout de chemin dans Paris. (J'habitais plus loin que lui). Chemin faisant, il me proposa de boire un dernier verre chez lui, ce que j'acceptais. Finalement, apr�s un compl�ment de soir�e plus long que pr�vu, il me proposa de rester � dormir pour ne pas errer seul dans les rues � 4h du mat. Son petit appartement n'avait qu'une seule pi�ce et il dormait dans le canap� lit que nous nous devions de partager (chic alors). Arrive le moment de se coucher. Je me d�shabille rapidement et me glisse sous les draps. Lui fl�ne dans la pi�ce, range quelques trucs, puis reviens vers le canap� lit et d�fait lentement les boutons de sa chemise. J'ai l'impression qu'il me fait un strep tease. Il laisse ainsi sa chemise semi ouverte et j'entrevois son corps muscl�, des pectoraux et des abdominaux bien dessin�s. Il est imberbe et une l�g�re ligne de poil clair relit le haut de son pantalon � son nombril. Il retire ses chaussures, ses chaussettes et d�boutonne son pantalon pour laisser appara�tre une partie de son slip d�j� bien rempli. Il laissa tomber sa chemise assez lentement comme si il fl�nait. Lorsque son torse m'apparut, mon cour se mit � battre � cent � l'heure et je senti une bouff�e d'air chaud mont� en moi. Ce mec �tait magnifique, un v�ritable top model. Je ne pus me contenir et le f�licitait pour sa musculature. Cela le fit sourire. "J'ai fait 15 ans de rugby, alors.". "N'emp�che que pour avoir des abdos pareil, �a doit �tre du boulot ?". "Entre copains du rugby, on faisait un concours. En plus �a aide bien pour draguer les nanas.". Evidemment. Il retira son pantalon pour appara�tre juste en slip. Ses cuisses �taient �normes. Mais un truc me choqua, il portait un string. Ca m'a scotch� ! Il alluma une lampe de chevet puis marcha lentement vers la porte d'entr�e pour �teindre la lumi�re. Il revint dans une semi obscurit�, en regardant encore les livres et autres choses sur une �tag�re. Je n'en perdais pas une miette et j'essayais de contenir une �rection faramineuse. Il s'approcha du canap� et ouvrit largement les draps si bien que mon �rection �tait largement visible. J'�tais un peu g�n� et pour d�tourner l'attention, lui reparla de ses abdos. Il s'allongea et nous nous f�mes face pour continuer la discutions. Au bout d'un moment, il me proposa de toucher la duret� de ses abdos, ce dont je ne me suis pas fait prier. Je mis ma main sur un abdos qui �tait, effectivement, dur comme du bois. Puis j'essayais de le toucher ailleurs par plaisir et je fus saisi par la rencontre de sa verge avec ma main. Elle �tait raide comme un cierge pascal. Son diam�tre �tait sup�rieur � ce que ma main pouvait faire le tour. J'avais pour le moment du mal � juger de sa longueur. Je relevais les yeux, l'air tr�s con avec sa queue dans ma main. L'avait il fait expr�s ? Il me fit un l�ger sourire. J'approchais ma t�te de la sienne. Il approcha aussi. Je d�posais un baiser sur ses l�vres. Il se recula aussit�t. Puis se rapprocha, et nous nous embrass�mes tendrement. Rapidement je le mit sur le dos et le couvrait de bisous. Je voulais profiter � fond de ce moment unique de ma vie. J'y croyais � peine. Un demi dieu dans mon lit. Alors que je continuais de l'embrasser partout, je descendais lentement le long de son corps. Ses pectoraux �taient durs, puis ses abdos dessin� � la perfection. Fatalement, je me retrouvais nez � nez avec son gland � demi d�calott�. Je passais ma langue dessus, puis pris sa queue en main et commen�a � le sucer. Il semblait appr�cier l'affaire. Il remuait un peu les reins puis mis sa main dans mes cheveux pour me maintenir la t�te. Je ne cessait de l�cher se membre magnifique qui devait faire une vingtaine de centim�tres. Mais ce que j'aimais par dessus tout c'est ce diam�tre. Je le su�ais sans cesse de plus en plus fr�n�tiquement, ses petits "ho oui" ne cessait plus et ses mouvements de bassins devenait de plus en plus amples. Il finit par me repousser un peu en me disant "attention, �a vient". Je n'allais pas laisser partir son miel comme �a, et je me ruais sur son gland que j'engouffrais au fond de ma gorge afin qu'il puisse lib�rer son nectar. Aussit�t dit, aussit�t fait, il se redressa sur ses avant bras et en trois ou quatre coups de reins lib�ra sa liqueur dans ma bouche que je m'empressait d'avaler. Il se relaissa tomber de ses avants bras sur le matelas et l�cha un "oh putain" de bonheur. Je gravis de nouveau son corps pour retourner � sa bouche. J'avais peur qu'il se retourne pour dormir et qu'il me laisse ainsi avec ma trique et mes couilles pleines. Mais non, j'approchais mes l�vres d�bordant de sperme qu'il l�cha timidement, puis m'embrassa de nouveau. Il me caressait le dos, les fesses et me passait la main dans les cheveux. J'�tais comme une puce elle dans les bras de son sauveur. Apres quelques minutes de caresse et de baisers tr�s tendre, je me risquais � lui demander de me faire l'amour. Il me mit doucement sur le dos et continua � m'embrasser. Puis, il se pencha hors du canap�, tira son jean et sorti une boite de pr�servatif. Je n'ai pas vu la marque, mais j'ai de suite rep�r� le king size. Je remis aussit�t ma bouche � son sexe un peu ramolli, pour reprendre une fellation. "Encore" dit il surpris. La b�te repris sa raideur maximum tr�s rapidement. Il me donna le pr�so que j'enfilai le plus d�licatement possible. Pendant ce temps, ses doigts commen�aient � jouer avec ma rosette. Il pris s�rement du gel qu'il enduit sur mes petites fesses. Aussit�t fait, il me rallongea sur le dos, m'�carta les jambes avec ses mains me caressa les couilles et l'entre jambes et me chevaucha. Je ne sais pas comment il avait devin� ma position pr�f�r�e. Mais mis sur moi de la sorte, j'�cartais un maximum mes jambes pour offrir ma rondelle � ce beau mec. Il mit sa queue � l'entr�e puis poussa un peu. L'entr�e �tait un peu �troite pour se monstre. Il p�n�tra tout doucement sans brusquer les choses. Il �tait d'une douceur que je n'avais jamais connue. Je me demandais m�me si de cette fa�on il arriverait � introduire son calibre dans mon intimit�. Mais il y parvint sans m�me me faire mal. Je pris un pied ph�nom�nale, allong� sur le dos, mon apollon face � moi. Il me fixait de ses yeux verts et d�pos� de temps en temps un baiser sur mes l�vres. Je mettais mes mains sur ses fesses toutes douces pour qu'il me p�n�tre plus profond encore. Ses va et viens �tait lent et r�gulier et je pouvais sentir le frottement de sa verge dans mes entrailles. Mes mains parcouraient son corps tout entier passant de ses reins � ses cheveux puis ses pectoraux et ses abdos. Je peux dire que ce soir l�, j'ai connu une nuit d'amour exceptionnelle avec un homme d'une beaut� incroyable. J'ignore le temps qu'a pu durer notre co�t mais ce fut extraordinaire. Il finit par jouir dans un r�le puis s'�croula sur moi. Un sourire complice et un bisou d'amoureux sold�rent notre rapport. Comme j'�tais heureux et amoureux. Nous avons ensuite eu une discussion qui m'�tonna fortement. D'abord il me dit qu'il n'avait jamais eu de relation homo. J'eu �norm�ment de mal � le croire parce qu'il avait du gel avec lui, ce qui est rare pour un h�t�ro, et ensuite parce qu'il avait une fa�on de sodomiser digne d'un expert. Il me r�pondit aussi facilement que la taille de son engin lui obligeait � utiliser du gel m�me avec les femmes et que sa derni�re compagne lui demander de pratiquer la sodomie. Alors pourquoi moi ce soir, alors que Flo dans la soir�e �tait � sa merci. Je ne sais pas me dit il, on s'est plut�t bien entendu dans cette soir�e, j'avais envie de rester encore avec toi. Tu m'as fait beaucoup rire, tu m'as plus mais je ne pensais pas en arriver l�. Je lui confiais que Flo m'avait beaucoup plus aussi et il me promit, au nom de notre amour, de me la livrer sur un plateau. Ce � quoi je r�pondis, d'accord mais avec toi � cot�. Il ferma les yeux pour acquiescer et me d�posa un baiser sur les l�vres. NicoR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |