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Tonton et ses potes

Quelques semaines apr�s mon 18�me anniversaire, mon oncle Patrick (divorc�, 2 enfants, 48 ans, 1m80, 85/90 kilos, trapu, brun, barbu) m'invite pour un week-end prolong�.

Il a un match de rugby et veut que je me change les id�es avant mes examens blancs. Il souhaite aussi me pr�senter ses trois meilleurs potes. Eux aussi font du rugby et vont venir chez mon oncle. Il a une charmante maison dans un quartier r�sidentiel.

Je pars le jeudi soir par le train de 18h02.

Mon oncle m'attend � ma descente du wagon. Il est 18h53, il ;fait encore jour et il fait doux dehors. Dans la voiture, il met la musique � fond et nous d�lirons comme deux copains sur de vieilles chansons.

Chez lui, il m'installe dans une des trois chambres. Le lit est fait et un n�cessaire de toilette m'attend dans la salle de bains � c�t� de 3 autres kits. Apr�s avoir d�ball� bri�vement mes affaires, je rejoins mon oncle dans la cuisine. Il pr�pare le d�ner en tenue d�contract�e : un d�bardeur et un vieux jeans. Tomates - Mozzarella ;et spaghettis sont au menu. Je lui propose mon aide mais il refuse poliment. Donc, je m'assois ;sur une chaise tout en buvant un soda qu'il m'a offert. Il sirote une bi�re en me souriant pendant notre conversation. Il a remarqu� que je le fixe longuement. Depuis mon entr�e dans la pi�ce, mon regard n'a pas pu se d�tacher de lui. Son tee-shirt laisse d�passer des poils sur son torse et de chaque c�t� des bretelles. A chaque mouvement de ses bras, une touffe sombre m'appara�t sous ses aisselles. Je suis troubl� par toute cette pilosit�. Moi qui n'ai qu'une toison pubienne et quelques poils sur les jambes. Il m'offre ensuite un ap�ro, je choisi whisky coca et m'installe sur le canap� devant la t�l�. Il me rejoint aussit�t tr�s � l'aise dans son r�le de ma�tre de maison. Me voyant un peu retenu, il me dit de faire comme chez moi. Il me propose de me mettre � l'aise.

- Tu peux te changer si tu veux. Met un surv�t' ! tu peux m�me te trimballer en cale�on ou m�me � poil, �a me g�ne pas. Moi �a m'arrive souvent !
- Non quand m�me pas !
- Y a pas de probl�me, ni de g�ne � avoir.

Pour changer de conversation, je lui demande des renseignements sur ses amis. Il me rassure en me disant qu'ils sont tous tr�s sympas, sans prise de t�te, naturels, blagueurs etc. et qu'il ne faut pas que je m'inqui�te. Plus tard, dans la conversation j'apprends que lorsqu'il est venu, il y a deux semaines, � la maison et pendant mon absence, il a �t� sur mon ordinateur avec la permission de mon p�re. Il a tra�n� sur Internet et sans le faire expr�s il a ouvert mes dossiers. Il a lu quelques uns de mes cours qu'il a trouv�s int�ressants mais aussi quelques textes sympathiques. Et l�, je comprends qu'il a lu une histoire �rotique que j'ai �cris. Je raconte que je r�ve de me faire d�puceler par mon tonton et par d'autres hommes en m�me temps.

Ce n'est qu'une histoire et un fantasme. Mais l� je comprend que mon oncle l� pris pour lui et je termine par :
- Y a pas de probl�mes. Si tout t'as int�ress� c'est le principale !
- C'�tait m�me passionnant ! dit-il avec un large sourire et un regard complice
Il propose lui-m�me de d�ner ce qui coupe la conversation. Il met un film dr�le pendant le repas et on rigole follement sans reparler de mes �crits. Pour la soir�e, un bon film d'action est pr�vu. Mais avant, il m'invite � me mettre en tenue de nuit pour �tre plus � l'aise.

Dans ma chambre j'enfile un cale�on et un tee-shirt assorti. Je rejoins mon oncle sur le canap�. Il est en slip kangourou et a enfil� une chemise qu'il n'a pas boutonn�e. Il s'amuse du dessin de mon maillot avant de me faire comprendre qu'il dort � poil ce qui explique sa tenue d�contract�e. Pendant qu'il met le film et qu'il nous pr�pare un coin douillet, je ne le quitte pas des yeux. Il est comme je me l'imaginais : costaud, fort, tr�s poilu, sexy avec le regard coquin. Il va nous chercher des bi�res et s'installe pr�s de moi. Il me fait remarquer que j'ai "du poil aux pattes ". Il passe sa lourde main sur ma cuisse.

- C'est pas mal. T'es un homme maintenant. T'as des poils sur le torse ?
- Non tonton, dis-je timidement.
- Ca peut encore venir mais tu n'auras pas un torse comme le mien. Dit-il en me montrant le sien.
En essayant de rester insensible ;et naturel, je dit :
- Ah, oui, t'es sacr�ment poilu tonton !
- Et oui, les gonzesses adorent �a. J'esp�re au moins que t'es poilu de la bite ?
- Oui, oui.
- C'est le principal ! Bon si on mettait le film.

Je suis rest� un peu troubl� par cet �change avant de m'int�resser � l'action. J'ai remarqu� tr�s vite que lors d'un passage tendu mon oncle se tripotait la bite. Je souhaite vicieusement que la poche de son slip s'�carte pour que je puisse enfin voir son sexe. Mais dans la peine ombre je ne vois qu'un trou noir. Quelque fois nos jambes se touchent et �a me donne comme un coup d'�lectricit�. Mais le film me captive aussi et je ne m'attarde plus sur mon oncle. Le film se termine avec panache et en trombe. Mon tonton allume la lampe et remet un peu de vie dans la maison. Il me propose un autre film mais en regardant l'heure il d�cide qu'il vaut mieux aller se coucher. Comme d'habitude je me lave les dents avant d'aller au lit. Je crois mon oncle coucher quand il entre dans la salle de bain.

Il s'excuse de me d�ranger et je lui dis qu'il est chez lui. Il me sourit et retire sa chemise qui met dans le bac � linge puis enl�ve son slip et fait de m�me. Il est tout nu � c�t� de moi. Je le d�tail fixement. Sa bite au repos est �paisse et de belle taille. Je n'en avais jamais vu comme �a en vrai. Ses couilles pendent joliment en dessous. Puis il se rapproche de moi et m'embrasse en me souhaitant bonne nuit. Il m'informe aussi que demain je dormirais avec lui car ses copains arrivent demain. Je r�ponds que c'est normal et va me coucher en pensant � cet homme qui me fascine. Je n'ose pas me branler mais l'envie est l�. Je dors bien en r�vant � mon tonton. Je me r�veille vers 8h30 quand j'entends mon oncle se lever.

Je le rejoins dans la cuisine et je suis surpris de le voir en tenue d'Adam. Il me dit bonjour et me demande si j'ai bien dormis. Je l'en remercie et lui retourne sa question. En me voyant troubl� par sa nudit�, il me dit qu'il pratique un peu le naturisme mais que si �a me g�ne il peux s'habiller. Je l'arr�te aussit�t pour lui dire qu'il peut rester ainsi. Comme �a je profite aussi. Voyant que je ne suis pas retissant, il me propose de me d�shabiller.

Je suis pris � mon pi�ge mais quand je vois mon oncle qui semble me tester je d�cide de prendre sur moi. Je me l�ve, retire mon tee-shirt. Mon tonton se pose devant moi et me regarde. En prenant une grande inspiration, je baisse mon cale�on et le jette par terre. Mon tonton me d�tail de la t�te aux pieds en prenant son temps et me dit.
- J'te f�licite mon neveu ! C'est tr�s courageux ! Tu vas voir, tu seras tr�s vite � l'aise.

Je souris fi�rement mais je suis embarrass� et m'assois � table pour le p'tit d�j'. Pendant qu'on mange, mon oncle me raconte qu'il aime se balader � poils chez lui. Il est content que j'essaye et que si j'ai des questions � lui poser, il ne faut pas que j'h�site. Il m'apprend que d�s qu'il y a une femme ou des inconnus il s'habille. Il me dit que ses potes le fond aussi et qu'ils passent de tr�s bons moments. J'ose lui demander comment il fait lorsqu'il a une �rection.

Il m'explique qu'il s'isole ou qu'il se concentre sur autre chose. Comprenant que je bande, il sourit. Son caf� aval�, il file se laver. Je le regarde de dos.

Ses belles fesses velues se baladent avec vigueur. Mon �rection redouble aussi je d�cide de faire la vaisselle pour me changer les id�es. Quelques minutes plus tard, il m'informe que la salle de bain est libre. Je vais donc occuper les lieux. La matin�e et le d�jeuner se passent avec simplicit� et complicit�. Je me sens de plus en plus � l'aise � ses cot�s. Ma timidit� s'�vanouie, je suis m�me exub�rant.

Nous partons ensuite au stade retrouver ses copains et son " �quipe " pour le match due samedi. Il y a peux de monde sur les gradins, � part quelques �pouses qui suivent leur maris et quelques enfants qui ne pensent qu'� s'amuser ailleurs. Mon oncle m'entra�ne dans les vestiaires. Je p�n�tre dans l'antre de la masculinit�, je suis un peu timide mais devant tous ses hommes je joue le naturel. Quelques mecs discutent en s'habillant. Certains sont en slip, d'autres sont d�j� en tenue. Mon oncle me pr�sente : ils r�pondent avec panache � mon salut. Trois hommes d�j� pr�s pour le match viennent � notre rencontre. Je comprends que ce sont les amis de mon oncle. Il y a Jean-Claude dit JC : 51ans,1m75, 90k, mari�, 1 enfant. Eric, 50ans, 1m82, 95k, divorc�, 2 enfants et enfin Pascal, 48ans, 1m80, 90k, c�libataire. Ils ressemblent beaucoup � mon tonton.

Ce sont des mecs trapus visiblement assez poilu, naturels, simples, blagueurs. Apparemment ils attendaient ma visite et sont impatient de notre week-end. Mon histoire �rotique se rappelle � moi mais je n'ose y croire. Comment trouver 3 potes, autant masculin passer du bon temps ensemble. Ca me semble impossible. Je crois surtout qu'ils veulent me faire marcher car mon oncle � du leur raconter mon histoire. Ils n'ont pas l'aire du tout de pr�f�rer sexuellement les hommes. Le match a lieu, je ne m'y int�resse que par la pr�sence de mon oncle te de ses copains. A la mi temps je sympathise avec une �pouse d'un joueur. Le match se termine avec une d�faite pour l'�quipe de mon tonton. Ils sont d��us mais comme ce n'est qu'une �quipe amicale, ils s'en remettent vite. Ils se sont amus� c'est bien l� l'essentiel.

Mon oncle me demande de les rejoindre dans les vestiaires. Je m'installe sur le coin du banc. En face, les douches s'offrent � moi. Tous ces mecs � poils en train de se laver m'excitent beaucoup. Personnes ne s'offusque de ma pr�sence et de mes regards. Ce ne sont que des p�res de familles, sportifs du dimanche et terriblement sensuels. Bien sur ils n'ont pas la m�me musculature que leurs fils mais c'est ce que j'aime. Ce sont des hommes des vrais, poilu, naturels, macho. Le vestiaire se vide petit � petit. Mon oncle et se potes viennent de sortirent des douches. C'est bien ce que je pensais, ils sont tous trapu, un peu bedonnant, tr�s tr�s poilu, mais excitant. Je jette des regards en pensant qu'ils ne me voient pas. Mais l'un deux dit en enfilant son slip :
- Au lieu de te rincer l'oeil, tu devrais aller faire chauffer le moteur !

Je souris et me retire calmement en prenant les clefs de bagnoles de mon tonton. Dans la voiture, j'allume la radio et le chauffage. Je suis vite rejoins par mon conducteur. Il s'excuse pour son copain mais je le rassure en lui disant que je l'ais tr�s bien pris. Les voitures nous suivent jusqu'� la maison. Une fois rentr� une ambiance amicale s'installe imm�diatement. Habitu�s aux lieux, ils les investissent rapidement. Autour d'une bi�re, ils discutent du match et s'en amuse. Je les �coute attentif et admiratif de leur complicit�. Ils me font particip� � leurs blagues et � leurs histoires. JC me demande si j'ai aim� le match. J'explique que je m'y connais mal en rugby mais que je me suis amus�. Il rajoute :
- Et les vestiaires ?
- Ouais sympa aussi ! Dis-je timidement.
- Ca t'a plus de nous voir � poils ?
Je bredouille :
- Euh.. ! Ouais. Enfin .. !
- L'emb�te pas, dis Pascal.
- C'est juste pour savoir si �a le g�ne de voir de mecs � poils.

D'habitude apr�s un match on se fait un week-end entre mecs. J'voudrais savoir si on peut se d�loquer ?

Mon oncle les informe que je me suis essay� au naturisme ce matin pendant une petite demie heure. JC, visiblement int�ress�, me demande si j'ai aim�. Je lui r�ponds que j'ai trouv� �a agr�able. Il rajoute :
- Ca te d�range pas, si on se d�shabille et qu'on reste tout nu pendant deux jours ?

Voyant que tous les regards sont tourn�s vers moi je n'ose dire non. Ravi de ma r�ponse, ils se l�vent et se mettent totalement nus. Je reste immobile � regarder ces hommes heureux de se mettre � poil. Mon oncle s'approche de moi en me lance :
- Toi aussi il faut que tu de d�froque !

Ob�issant � sa demande et presque machinalement je me l�ve et retire un par un mes habits. Je suis encourag� par mes nouveaux compagnons. Je baisse mon slip sans aucune g�ne sous les applaudissements de JC, Eric, Pascal et mon tonton. Etourdis par cette ambiance je ne me rend pas compte que je bande. JC le signale � tous et s'approche de moi. Il me prend la bite d'une main, la t�te, la branle l�g�rement et lance � se copains :
- Il bande dur le neveu !

C'est l� que je repris mes esprits. Tous ses hommes nus autours de moi, �a me semble logique et naturel. Je les regarde un par un. Ils sont beaux ces messieurs, poilus et sans pudeur. JC commence � bander un peu. Je ne sais plus quoi faire mais mon oncle casse cette situation ambigu� en me faisant m'asseoir pr�s de lui. Cette coupure permet de faire redescendre la tension. Tout le monde reprend sa place comme si de rien n'�tait. Mais la conversation change. JC me demande :
- T'as quel �ge d�j� ?
- 18 ans.
- Ca te plait d'�tre avec des hommes comme nous ?
- Je me sens plus � l'aise avec vous qu'avec des gars de mon �ge !
- C'est bien �a. Comment tu nous trouves physiquement ? dit Pascal
- Bien..., beaux, poilus, naturels, simples.. ! Dis-je ouvertement
- Tu te branles souvent ? dit Eric
- Ouais assez.
- Tu penses � des filles o� a des mecs ?
- A des hommes ! Dis-je
- Coquin le neveu ! Dit JC. Je comprends Patrick !

Mon oncle sourit en me prenant dans ses bras. Je me sens bien contre lui. Ses poils me caressent le corps et m'�lectrisent.
- T'es puceau ? demande Eric.
- Ouais, r�ponds-je un peu honteux.
- T'as d�j� touch� des mecs ? demande JC qui semble tr�s int�ress� par mon cas depuis tout � l'heure.
- Non jamais.
- Pourquoi tu ne tripotes pas ton oncle. Vas-y touche-lui la bite !
Je regarde mon tonton qui me dit :
- Tu peux vas-y !

Avec envie je plonge ma main entre les cuisses de mon tonton et lui attrape le sexe. Il ne bande pas encore. Sa bite et de belle taille et me semble lourde. Mon oncle me regarde comme pour me f�liciter et me dit :
- Tu aimes ?
- C'est doux ! Dis-je.
- Eh, le tonton ! dit JC en interpellant mon oncle. Tripote-lui la queue aussi !
Mon oncle prends ma bite en �rection en main et me caresse. J'appr�cie sa tendresse � mon �gard.
Eric, Pascal et JC lancent :
- Bon et nous !

Mon tonton me dit :
- Tu veux bien t'occuper de mes potes ? Allez vas-y !
Les trois hommes s'approchent de moi et me pr�sentent leur sexe. JC bande d�j�. Sa bite me semble tr�s longue. Un pr�puce prot�ge encore un peu son gland luisant. Pascal lui ne bande pas encore mais son sexe �pais semble se redresser � mon approche. Eric lui bande aussi, sa petite bite molle est devenue un chibre �pais et incroyablement gros. Celle de mon tonton est maintenant en �rection. Sa queue est aussi grosse qu'Eric. Toutes ces bites sont au del� de la moyenne. Je bande aussi et je me dis que j'ai une bite de belle taille aussi. Elle est moins �paisse et un peu moins grande que les autres mais elle est pas mal. D'ailleurs JC dit aux autres :
- Il bande vraiment dur le p'tit. Ca � l'aire de lui plaire de nous mater.

Sans r�ticence je commence � branler les bites les unes apr�s les autres. Mes hommes semblent aimer mes coups de mains.
- Il se d�brouille plut�t bien, dit JC.
- T'as raison, il branle bien. Il aime �a ! dit Eric

Pascal et mon tonton Patrick soupirent de plaisir. J'essaie le plus possible de changer de bite le plus souvent. Cela devient presque m�canique au bout de quelques minutes et me semble presque �vident et normal de masturber d'autres mecs. Assez vite de d�cide de sucer ces hommes. Je commence par mon tonton qui ne para�t pas surpris. JC et les autres disent :
- Oh dit donc, il prends des initiatives le gamin.. Putain sucer son oncle sans lui demander, c'est dingue. Regardez comme il aime �a. Apr�s il va nous pomper aussi hein. Il n'attend que �a, d'avoir nos grosses bites dans la bouche. Tiens, pr�sente lui ta queue au petit, Eric.

J'ai suc� le sexe �norme d'Eric avant m'essayer sur les autres. J'avais un peu de mal � aller jusqu'� la base mais je faisais mon possible pour les pomper le mieux possible. Pour la premi�re fois de ma vie je suce de bites et encore une fois �a ne me parait pas anormal mais �vident. Mes amants me tiennent la t�te pour mieux m'enfourner leur gourdin. Quelques hauts de coeur me font d�faut parfois mais je commence � prendre plaisir � sucer ces bites.

Ce qui m'excite beaucoup se sont les "encouragements " des autres.
- Suce-le bien ! Pompe-le ! Vas-y bouffe lui les couilles ! T'aime �a les grosses bites hein ? Ils sont sympa mes copains, hein mon neveu ? Tu ne regrettes pas d'�tre venu ? Je te connaissais pas si cochon ! T'en veux toi ! Tiens, pompe encore ton oncle, regarde comme il bande dur pour toi ! etc.

C'est surr�aliste, je suis en train de sucer et de caresser des queues et des couilles comme dans mes fantasmes. C'est bites m'apparaissent presque famili�res et je n'ai aucun scrupule et aucune g�ne � me jeter sur l'une au l'autre. Je suis toujours assis sur le canap� avec ces hommes debout qui se d�placent devant moi. Mais je commence � fatiguer et l'oxyg�ne me manque un peu. Je demande un peu de temps pour moi. Mon oncle me propose d'aller dans la chambre pour souffler un peu. Il insiste donc je vais dans la chambre m'allonger. JC, Eric et Pascal montrent leur d�saccord :
- Attend Patrick on s'amusait bien, ton neveu bandait rien qu'en nous su�ant. C'est trop con, on une trique d'enfer maintenant.

- Calmez-vous les mecs, il va se reposer un peu. On verra plus tard..
Ils r�pondent par un OK collectif qui m'�tonne. Je m'allonge sur le lit, je bande toujours et je me dis :
- Putain t'a sucer des bites, pour la premi�re fois de ta vie t'a sucer des bites ! C'est sympa et en plus les mecs sont canons. Je sais que peut-�tre ce soir on va passer � un niveau sup�rieur mais n'est pas peur.

Je reprends � peine mes esprits quand les hommes entrent dans la chambre. A leur t�te mon tonton Patrick. Ils me demandent si �a va mieux. Je r�ponds par un oui qui rassure ces hommes. Ils bandent encore et se rapprochent du lit. Mon tonton s'assied � mes c�t�s et me caresse. Ses copains l'imitent. Je suis � eux et je me laisse faire sans peur. Je ferme les yeux pour mieux appr�cier ce plaisir. Certains me caresse, les jambes et le corps et d'autres mes suces et me l�che la bite et les couilles. Mon tonton me propose sa bite � sucer et toujours les yeux ferm�s je le suce avec plaisir. Mais pomper une queue coucher c'est moins facile mais tout aussi plaisant. Les copains de mon oncle discutent toujours autant :

- Elle est bonne la queue de ton neveu. Si il est comme toi se sera un cadeau pour ses potes. Regarde-le comme il se dandine, le petit, il aime �a que des messieurs lui l�che la qu�quette.
- Je le savais ! dit mon oncle.

L'ambiance est conviviale, c'est bizarre d'employer ce mot mais c'est ce que je pense. Ils ont interverti leurs positions. Mais lorsque tonton me demande de lever mes jambes, je me raidis.
- N'est pas peur, je veux juste te l�cher le cul. Si tu n'aimes pas tu le dis. T'as rien � craindre.
- Ouais, tu va voir c'est g�nial de se faire bouffer le cul.

Toujours sur le dos, je remm�ne mes cuisses vers moi. Eric et Pascal m'aident � retenir mes jambes. Mon oncle se place face � mon cul et approche son visage. Il commence par faire glisser sa langue le long de ma raie. Cette sensation nouvelle m'�lectrise de bonheur. Puis je me laisse faire. Il continue ensuite avec sa langue qu'il essaie de faire rentrer dans mon trou. Le bout de sa langue sur ma rondelle humide me donne des frissons. JC peu avares des mots cochons dit :
- C'est g�nial Pat', regarde comme il a l'aire d'aimer �a. Ce p'tit PD n'attend que �a. Enfonce-lui bien ta langue dans le cul. T'aime hein que ton oncle te fourre sa langue dans le fion, �a te fait bander hein ?.. Tiens laisse-moi ta place Pat' je vais lui bouffer le trou du cul aussi.

JC remplace mon tonton et se d�cha�ne sur mon trou. Il est plus vigoureux mais tr�s patient. Il ne force rien. Eric et Pascal suivent JC. Mon oncle leur � demander de me l�cher le cul. Chacun � sa m�thode et sa fa�on de faire m�me si on peut penser que c'est pareil. Mon cul est bien humide et bien travaill� en surface lorsque mon oncle reprend sa place devant mon anus. Il lubrifie son doigt avec de la salive et le pr�sente � l'entr�e de mon trou. Tr�s doucement il l'enfonce en me demandant de me d�tendre. Son doigt passe assez facilement. Il commence � me titiller le trou du cul pour me le dilater. Apr�s quelques va et viens, il enfonce un deuxi�me doigt. Avec patience il m'attendrit le rectum. Bien sur le plaisir n'est pas encore l� mais gr�ce � ses copains la s�ance devant sexuelle.

- Tu sens bien les doigts de ton oncle dans ton p'tit cul de PD. T'aimes �a, tu vas voir comme tu vas adorer te faire baiser. Un bonne bite dans le fion �a r�veille les sens. Si tu veux, nous aussi on te bourrera le trou du cul. Nos bites sont pr�tes pour �a si tu veux. On sait ce qui fait du bien aux petits mecs comme toi etc.
- Ho, oui ! R�ponds-je

Ces phrases m'excitent vraiment beaucoup mais c'est intense lorsque mon oncle se frotte la bite le long de mon cul. Il pr�sente son gland � l'entr�e de mon trou avant de me l'enfoncer. Son gland me semble �norme. Je souffle un peu. Ensuite mon tonton avance lentement sa verge gonfl�e et durcie � l'int�rieur de moi. Je sens pour la premi�re fois de ma vie une bite au fond de mon anus. Je souffle encore plus pour montrer que j'ai mal. Il me semble que je mon cul se d�chire et que la bite de mon oncle est plus grosse que tout. Pendant un instant et apr�s une pose mon oncle attend que mon cul soit adapt� � sa bite. Voyant que je reprends sur moi mon tonton commence � me limer. D'abord doucement et amoureusement ensuite. Ses vas et viens deviennent de plus en plus agr�ables � mesure qu'il se d�hanche sur moi. Je me surprends m�me � pousser des petits g�missements. Les copains de tonton se branlent � c�t�s de moi et stimulent leur copain.
- Vas-y baise-le. Regarde-le comme il aime que tu l'encules !
C'est vrai que le plaisir et l�. La bite de mon tonton est celle qui me d�pucelle et je prends encore mon pied en le sachant. Ses couilles me cognent les fesses comme un tempo r�curent.
Je ne sais pas combien de temps il m'a sodomis� mais il a tr�s vite propos� � JC de le remplacer. JC s'est introduit en moi avec plus de facilit�. Il m'a baiser avec fougue et en me parlant :
- Tu la sens bien ma queue. Tu l'aimes grosse bite, hein ? Putain, j'adore ton cul. T'as vu, ton oncle te regarde te faire enculer ! Etc.

J'essaie de lui r�pondre mais j'ai souvent le souffle court. JC invite Eric � prendre sa place. Eric s'introduit en moi mais sa tr�s grosse bite me fait mal. Il se retire mais se repr�sente en moi. La douleur est l� mais mon oncle m'encourage � continuer :
- N'est pas peur, je suis l�. D�tends-toi �a va passer tout seul. Ils sont sympas mes potes. Regarde Eric, tu vois sa bite, il va te la mettre et tu vas adorer.

J'ai chaud, j'ai mal partout mais je laisse Eric m'enculer. Cette fois il crache sur sa queue pour que sa salive facilite la p�n�tration. Eric rentre enti�rement sa bite et me baise avec beaucoup de tendresse. Il souffle mais prend du plaisir je le vois dans son regard. Il reste longtemps � m'enculer et moi je commence � ne plus savoir o� je suis. Je me rel�che totalement et je m'aper�ois que je pousse des cris sans m'en rendre compte. Pascal rel�ve Eric de son poste. Pascal fourre sa bite dans mon cul avec aisance. Il est �nergique dans sa fa�on de me limer le fion. JC nous sert toujours ses encouragements vulgaires. Mon corps est endolori et je ne le sens plus. Quand Pascal se retire brusquement c'est pour me jouir sur les couilles. Une chaleur s'aplati dessus et me r�anim� presque. Ensuite tonton me masturbe et je joui comme jamais. Une douleur est parti du ventre et est sortie par ma queue. Mon foutre se d�verse sur mon ventre et sur les doigts de mon oncle qui se branle imm�diatement sans s'essuyer la main. Il �jacule en m�me temps que JC sur mon torse. Leur sperme se r�pand comme une flaque chaude et lourde sur moi. Eric lui jouit bruyamment en l�chant son jus �pais sur ma cuisse. Essouffl�s, ils s'effondrent � mes c�t�s sur le lit. Le sommeil nous cueille rapidement. Je me r�veille en pleine nuit. Mes amants dorment encore. Je comprends maintenant que je suis un homme. Un PD mais un homme quand m�me. Ces mecs m'ont d�pucel� comme je le r�vais. Je me rendors en tirant la couette sur nos corps nus. Pendant la nuit mes nouveaux copains me r�veillent pour baiser encore. Je prends encore plus de plaisir et me l�che totalement en leur parlant comme JC.
- Allez les mecs baisez-moi ! Vas-y tonton encule ton neveu pr�f�r� ! JC encule-moi comme tu aimes etc.

Ils adorent et moi j'aime leur bite dans mon cul.
Le week-end ce passe dans une ambiance d'orgie et d'amiti�.
Depuis mon oncle m'invite couramment avec ses copains �videmment ! Je me suis m�me essay� � ne plus �tre passif mais actif. JC, actif inv�t�r� m'a offert son cul et depuis il me demande souvent de le baiser comme je sais faire ! Comme quoi, il faut tout essayer !!!
A+

FRED

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