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Dans les toilettes de l'�cole.

L'histoire qui va suivre est r�elle, je l'ai v�cue il y a peu de temps.

Je suis �tudiant. Personne n'est au courant de ma bisexualit�. Toutes mes rencontres chaudes se sont faites par le biais du net. Dans ma classe, Quentin. Un petit m�tisse bien baraque qui me fait bander. Je le trouve irr�sistible depuis le premier jour o� je l'ai vu. Je ne vous explique pas l'horreur dans les douches apr�s le sport, quand je voyais sa queue, qui �tait monstrueuse. Il a toujours �t� d'un caract�re arrogant, pr�tentieux, son attitude �tait d�testable. Il est du genre � �tre super cool et d�conneur �tant seul avec toi, mais super m�chant en groupe. Ce c�t� petit d�linquant m'a toujours fait fondre. Il �tait tr�s r�put� pour ses conqu�tes aupr�s des nanas. Le petit truc qui m'existait, c'est qu'il �tait du genre petit obs�d� qui rapporte tout au sexe et qui fait semblant d'�tre homo avec ses potes... Du style tape sur le cul ou carr�ment malaxage de burnes. Le truc qui fait bien marrer mais qui m'excitait trop.

Un apr�s-midi, pas de cours. Je pars en salle d'�tude, j'y �tais seul. Il d�barque, on a fait nos devoirs ensemble. On les a termin�s, et on discutait de tout et de rien, surtout de filles. Je m'amuse avec la fermeture �clair de son sac tout en discutant. Je regarde � l'int�rieur, et aper�ois un bouquin porno. Il me fait : *Je l'ai fauch� ce matin au kiosque de la gare*. Je lui demande si je peux feuilleter, il me dit qu'au milieu de l'�cole, c'est risqu�, on se bouge alors aux toilettes.

Jusque-l�, rien d'homo, que deux potes qui veulent voir une revue X. On arrive dans les chiottes, j'ouvre les bouquin et matte les jolis p'tits culs et les beaux abdos d'un slave vraiment bandant. L�, je fais genre *quelle salope celle-l�*. Mais bon, je voulais quand m�me pas sortir ma queue pour me branler devant lui, j'avais peur de sa r�action. Je matte tranquillement ce livre et oublie carr�ment mon camarade. Tout � coup j'entends le bruit du zip de son pantalon, il le descend et commence ;� s'astiquer le chibre. Il me dit alors : *ben quoi j'vais pas rester les couilles pleines devant ces nanas !* Il me met � l'aise alors je fais de m�me et je commence � me branler.

Au bout d'un moment il a ferm� les yeux et acc�l�r� la cadence en se mordant la l�vre inf�rieure. J'ai cru que j'allais exploser. J'en ai profit� pour le matter discret...Quel corps...Son pantalon �tait au niveau de ses chevilles et d�voilait des jambes parfaites... Je jute avant lui...M'essuie, et sors. Il finit, et vient me rejoindre en salle d'�tude. Il me dit qu'il peut m'en vendre, et me fait un commentaire concernant mon �jac'. Il me dit que je gicle comme un fou qu'il a jamais vu �a. Je lui fais un petit sourire du genre *tu crois quoi mon gars, c'est comme �a avec moi...* ;-) On regarde la pendule, il est 4 heures, il a son train � prendre, moi mon bus. On se serre la main, � demain.

Pendant la nuit, je r�ve de lui. Je pense � son corps, m'imagine ds sc�narios super hot, j'ai r�ussi � juter 5 fois en une nuit, imaginez mon excitation ! Le lendemain, on se met � c�t� pendant les cours. Il me dit qu'il a encore des nouveaux magazines, on se donne rdv � 14h m�me endroit que la veille. On est cens�s avoir sport alors on a pris la libert� de s�cher. On fait nos devoirs, tout tranquillement comme la veille et je d�vie sur les p�d�. (et oui j'avais d�j� tout calcul�).

Il me dit qu'il a rien contre, mais que les *folles* �a l'�nerve un peu. Et on commence � se marrer en parlant de sodo du genre *�a doit faire mal, etc...*. Tout � coup, je lui demande s'il �tait capable de sucer un mec... il me r�pond par une question : *toi tu le ferais ?* Je lui dis que normalement non, mais que s'il me suce mieux qu'une miss, je le suce...Il ne prend m�me pas le temps de r�fl�chir, et me r�pond par l'affirmative.

On s'enferme dans les toilettes, je baisse mon pantalon. Il h�site, et me demande si je le suce r�ellement apr�s. Je le rassure et il se met au boulot. Il m'avale d'un coup. J'ai la chair de poule et pousse un �norme soupir. En effet, sa salive est bouillante, et il me laisse "prendre la temp�rature" avant de commencer � me sucer. Ma queue baigne dans la salive stagnante. Je lui dis enfin *vas-y*. Il y va � fond...Comme un fou, me l�che les boules, y va jusqu'au fond, c'est un pro, c'est pas la premi�re fois, je l'ai d�masqu� mais ne dis rien. Je lui lance des mots du genre *oh mon gars tu suces mieux qu'une meuf, donne tout c'que t'as!* �a fait plaisir de dominer ce genre de petites racailles qui ne m�ritent que des pains dans la gueule...lol.

Finalement il se rel�ve, et m'embrasse... Je descends, et le suce comme un fou...cette queue si longue que j'ai tant d�sir�e dans les douches apr�s le sport. La voici. Un go�t d�licieux, � croquer ;-). Il me demande si je veux l'enculer, je sors une capote. Pas de gel, pas de coup de langue, rien !

Je pointe mon trou � l'entr�e de son fion, il se dilate imm�diatement, comme sur commande. J'y vais doucement, puis d�s que j'arrive au fond il pousse un cri ignoble. Je lui dis de fermer sa gueule car on est quand m�me � l'�cole !
Il me dit *ouais, mais quand m�me, c'est tellement bon !*.
Je commence mon va et vient, c'est trop bon. Il a un fion parfait. J'acc�l�re, je donne tout, je soupire, Quentin �jacule sur le mur contre lequel il est plaqu�. Moi, je continue, pendant 10 minutes au moins. Je l'astique, je ralentis, reprends la cadence, jusqu'au moment o� je sens que �a monte et que je suis pr�t � EXPLOSER ! je lui dis, il me demande de stopper, il veut y go�ter... je me grouille d'enlever cette capote, il se mets � genoux et je finis � la main... Un, deux, trois, quatre flots de sperme...Il en a partout. Je remonte mon fut, et me barre...Je le laisse s'essuyer... voil� notre premi�re aventure...il y en a eu beaucoup. Je vous en r�crirai plusieurs si celle la vous a plu.

A bient�t. ob.ob5.ru, je tiens � te dire que tu me fais trop bander t'es un monstre tellement t'es beau ! ;-)

bibou_hot

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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