Une surprise plaisante.Lentement, ses mains gliss�rent le long de mes hanches. Resserrant la prise qu'il avait sur moi, il m'attira � lui, collant son corps nu contre le mien. L'eau continuait de couler le long de ses bras, mouillant mes v�tements. Pourquoi avait-il fallut que je rentre dans la salle de bain tandis que Louis prenait sa douche ? Je n'ai pas fait attention et en peu de temps, il m'avait emmen� sous la douche tout habill�. En peu de temps, je me retrouve tremp�, mon T-shirt blanc devenant transparent et laissant appara�tre mes muscles. Lentement, Louis souleva les bords de mon T-shirt pour le faire glisser le long de mes bras tendus vers le haut. Ses doigts dessin�rent les contours de mes pectoraux, avant de glisser petit � petit vers mon bas-ventre. Il insinua sa main entre ma peau et le tissu, titillant mon sexe avec sa main gauche, tandis que la droite me prenait par la nuque, for�ant ma t�te � s'avancer vers lui pour que je l'embrasse. Sa langue glissait vers mon oreille et il me su�a le lobe, avant de descendre sur mon cou. Ensuite, il s'agenouilla, baissant du m�me coup mon pantalon jusqu'� mes chevilles. Il commen�a alors � l�cher mon p�nis dont l'�rection commen�ait � monter. Prenant sa taille maximale � l'int�rieur de sa bouche, je crus un instant que j'allais me laisser tomber dans la baignoire (c'�tait une baignoire - douche, vous savez avec le rideau comme seule protection), mais il ne me laissa pas faire, saisissant mes deux jambes, il m'assit sur le rebord de la baignoire, continuant sa fellation experte. Nus, nous sommes rest�s dans cette position durant une bonne dizaine de minutes avant que je ne le rel�ve pour le mettre face � moi pour le prendre � mon tour en bouche. Sa bite �tait d'une taille sup�rieure � la mienne, atteignant les trente centim�tres sur quatre de large. Je fus bien incapable de le mettre enti�rement dans la bouche, mais je r�ussis pour autant � en gober une bonne partie. Proche de l'�jaculation, il me fit signe d'arr�ter, ce que je fis sans pour autant me relever, le faisant tourner pour mettre ses fesses � port� de langue. L�, je le for�ais � se pencher pour que ma langue puisse se glisser dans sa rondelle. Mes petits mouvements experts eurent raison de ses contractions : Il se dilata, permettant � quatre de mes doigts de rentrer d'un seul coup en lui. Je pr�cipitais alors un peu les choses, le for�ant � s'asseoir sur mon chibre. Je l'empalais d'un seul coup, le p�n�trant au plus loin. Il poussa tout d'abord un petit cri de douleur, avant que celui-ci ne se mue en des g�missements de plaisir. Mon bassin ondula au rythme du sien, nos deux corps s'embo�tant pour notre plaisir commun. L'eau qui continuait � ruisseler sur nos deux corps entrelac�s ne faisait qu'accro�tre la douceur de nos peaux respectives. Je sentis que j'allais jouir et je lui dis entre deux g�missements. Il se releva alors, puis s'agenouilla pour me sucer jusqu'� ce que j'inonde sa bouche de ma semence. J'en aper�us beaucoup couler le long de son menton. Le baiser que nous nous donn�mes apr�s me remplit la bouche de sperme. Nous rest�mes un long moment � nous caresser l'un l'autre, avant de recommencer nos attouchements buccaux. Soudain, nous entend�mes la porte d'entr�e s'ouvrir. L'ami chez qui nous �tions, Beno�t, �tait rentr� des courses. La malchance voulue que la salle de bain se trouve juste � c�t� de la porte d'entr�, ce qui nous emp�chait de nous s�parer. Louis comme moi, nous ignorions comment il allait r�agir s'il avait le malheur de regarder dans la salle de bain. Comme de bien entendu, il entra dans la salle de bain. Nos muscles �taient plus tendus que jamais, et nous �tions paniqu�s. Lorsque Beno�t parla, nous ;sursaut�mes, surpris. Nous v�mes alors une main s'emparer du rebord du rideau et l'�carter d'un seul coup. Beno�t se retrouva alors face � un spectacle qu'il n'imaginait pas voir : moi et Louis c�te � c�te, nus et encore en �rection. Sa bouche s'ouvrit comme pour dire quelque chose, mais il s'arr�ta avant de lancer quoique ce soit. Assez petit, large d'�paule et poilu, Beno�t �tait beau, tr�s beau. Ses cheveux mi-longs �taient noirs, tout comme ses yeux et ses muscles �taient tous visibles sous sa peau l�g�rement bronz�e par sa semaine au ski. A peine arriv�, il avait, comme nous le faisions en g�n�ral, enlev� son haut et ses chaussures, tout comme ses chaussettes. Son torse �tait si parfait. Louis me regarda, effar�, mais pas plus que moi : d�j� que le revirement de Louis avait �t� �tonnant, celui de Beno�t �tait une surprise totale. N�anmoins, nous n'avons pas h�sit� longtemps et nous nous sommes rendus dans une pi�ce adjacente o� si�geait un lit deux places en plein milieu. Louis et moi �tant d�j� nus, nous nous m�mes en devoir de d�shabiller notre bel �ph�be. Je le saisis par la nuque afin de lui arracher un baiser en premier. Ma main sur son torse, je caressais ses pectoraux poilus tandis que Louis, dans son dos, commen�ait � d�boutonner son jeans. Puis, il glissa ses mains entre le cale�on et le jean pour palper le mat�riel. J'attirais alors le tout vers le lit, apr�s que Louis ait retir� son pantalon au dernier arrivant. Nous l'avons allong� au milieu du matelas o� nous l'avons tous deux l�ch�s de pied en cape avant de nous mettre � deux sur sa tige. Finalement, Louis se mit sur le dos et Beno�t vint se placer au-dessus, l'entrejambe au niveau du visage, mettant son chibre en feu dans la gorge de mon beau brun. Pendant ce temps, je m'occupais de ses petites fesses rondes et muscl�es. Ma langue s'infiltra entre elles deux pour se glisser dans sa rondelle. Apr�s un long moment, je finis par me relever un peu et enfin, je m'infiltrais tandis que Louis se retirait. Beno�t me fit chavirer sur le dos pour g�rer la p�n�tration. Nous rest�mes ainsi un long moment, Louis nous regardant en se masturbant, puis il vint se placer � port�e de bouche. Une fois que je l'eus gob�, il s'allongea sur moi pour sucer l'anus de Beno�t tout comme mon p�nis. Beno�t l�cha un g�missement de plaisir en m�me temps que la langue de Louis se gliss�t entre nos deux corps. Je finis par jaillir en Beno�t, mon sperme s'�coulant le long de ma verge ainsi que de la langue de Louis pour finir dans sa bouche. Acceptant, il se pla�a face � moi, assis sur le bord du lit. Mes deux jambes �taient pos�es sur le lit et les puissants bras de Beno�t me retenant. Louis vint se frotter contre le dos du beau muscl�. La taille du sexe en �rection qui me p�n�trait �tait assez satisfaisante, bien que moins parfaite que celle de Louis. Beno�t semblait quelque peu d�concert� au contact de l'immense bite qu'il sentait � l'arri�re de son corps. Il partit dans sa chambre, nous laissant tous les deux � nos �bats. M�me si plus petit que celui de Louis, le sexe de Beno�t �tait long et recourb�, ce qui avait pour effet de procurer un plaisir diff�rent mais agr�able � souhait. Beno�t �tait doux, langoureux. Ses mains parcouraient mon corps avec volupt� et c'est avec d�lectation que je lui rendais son plaisir. Louis revint alors avec dans la main un tube d'o� il sortit un peu de gel dont il badigeonna ma raie ainsi que sa queue raide comme un piquet. Ainsi positionn�, je fus pr�t � me faire p�n�trer par Louis en plus de Beno�t. Mon beau brun posa son gland contre mon trou et poussa une premi�re fois. Il ne r�ussit pas � passer, mais il r�it�ra sa tentative et ce coup-ci, il r�ussit � me p�n�trer. Je me sentis m'�largir � outrance, mais avec plaisir. Louis, comme Beno�t, �tait doux et ses mouvements de bassin �taient pour moi un plaisir si grand que je ne pouvais pas m'emp�cher de g�mir. Finalement, Beno�t joui, mais pas Louis. D'un commun accord, nous d�cid�rent de changer de position. Nous avons alors �t� tr�s doux avec lui. Je l'embrassais tout en le sodomisant et le plaisir qu'il ressentit fut tel qu'il r�ussit � �jaculer avant nous deux. Louis, plus endurant, ne jouit que lorsque je fis de m�me. Nous sommes alors allong�s � m�me le tapis, nus, et nous sommes tomb�s de fatigue. YohannR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |