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Un surprenant Dimanche matin

Oh la, la ! Je me tra�ne ce matin ! Par habitude, chaque dimanche matin, je vais faire mon footing dans les bois pr�s de chez moi. Aujourd'hui : 9h00 du matin, il fait tr�s beau. Equip� tr�s l�g�rement de mon maillot sans manche, mes chaussures de course (vous savez, avec la p'tite virgule .) et de mon short de course en lycra, oui, ce matin j'ai du mal � prendre mon rythme : je rame durement. Bof ! Tant pis, c'est comme �a aujourd'hui.

Je continue ma course un peu lente, mais, sans vraie conviction. Dans le sentier forestier o� je me trouve, j'entends un groupe arriver derri�re moi. Je me retourne. Ils sont 3 et ont l'air de courir � tr�s bonne allure tout en discutant et en riant fort de leurs bonnes, mauvaises blagues, sans doute. Ils me d�passent et l'un d'eux me lance au passage : " Alors, on peine ? ". Quel connard ! De quoi je me m�le ? Je ne leur ai rien demand�, moi. La distance se creuse entre eux et moi. Ils y vont vraiment fort. Tiens ! Ils s'arr�tent.

Ou plut�t, non. L'un d'entre eux s'arr�te : le connard. Il se dirige sur le bas cot� et pisse. Les 2 autres continuent leur course en baissant leur cadence. De mon cot� je continue et j'arrive � environ 20 m�tres du pisseur. Il a s�rement du m'entendre arriver. Il se retourne dans ma direction, short baiss� aux genoux, maillot relev� et ses mains sur les hanches et l�, il se montre carr�ment � moi, tout souriant. Son sexe est tr�s peu tendu, mais bien rectiligne. (Tiens ! J'ai ralenti). Il ne bouge pas et continue de me sourire. Il y a bien longtemps qu'il a fini de pisser, mais il reste l�, sans bouger, me faisant face. " Dis donc, t'as pas l'air d'avoir la forme olympique ce matin. Ce n'est pas grave, chaque peine m�rite salaire. Tu auras tout de m�me eu ta petite r�compense. A un de ces jours ". Il remonte son short et remet son maillot, reprend sa couse et rattrape ses copains. Je suis abasourdi. Je ne le connais pas ce mec et il se montre comme �a. Direct? Sans savoir si je vais �tre ok ou pas.

Oh ! Bien sur, je ne le regrette pas, mais j'ai du mal � comprendre �a. Gonfl� ce connard ! Mais, je dois reconna�tre : plut�t bien mont�. Cela m'a donn� des id�es, mais aussi des envies. Je sens comme un petit d�but de mise en forme dans mon short et le lycra ne doit pas cacher grand-chose de mon �motion naissante. Tant pis ! Il n'y a personne pour voir �a ! Je continue ma course " lente ". Je sens mon sexe un peu gonfl� battre contre ma cuisse et je pense que lui, de son cot� il doit avoir des bleus � force de coups r�p�t�s de son gros sexe contre ses cuisses. Tout de m�me dommage qu'il soit avec ses potes. J'aurai bien continu� une petite " discussion " avec lui. Peu de temps apr�s je vois au loin un autre coureur arriver face � moi. Mais ? Je le connais de vue ce type. O� nous sommes nous rencontr�s ?

J'y suis ! Tout me revient en 1/4 de seconde. C'est un type qui habite dans le m�me quartier que moi. On se croise quelques fois, le dimanche, � la boulangerie ou nous n'�changeons juste un bonjour amical. Pourtant un dimanche matin, le cot� amical de ce type a �t� juste " un peu plus loin ". En fait, je ne l'avais pas vu. Je faisais partie de la file de 7 � 8 personnes qui attendaient pour �tre servis. J'�tais �videmment debout, les mains crois�es dans le dos je patientais tranquillement. Soudain, mes mains sont entr�es l�g�rement en contact avec un tissu ? Je n'avais pas boug� et patientais toujours. Le contact cesse pour revenir tr�s vite de mani�re plus appuy�e. Il m'avait sembl� que, en plus du contact du tissu, mes mains ressentait la pr�sence d'une zone charnue et bien pr�sente. Cela cesse � nouveau pour repartir de plus belle. L� ! Aucun doute : j'ai � faire � un mec qui vient carr�ment appuyer sa queue dans mes mains.

Le bougre ne doit rien porter en dessous de son ? De son quoi d'abord ? Je ne sais pas mais le tissu est assez soyeux. Il ne bouge toujours pas ou tr�s peu, juste pour moi, avoir le plaisir de deviner la forme et la taille de son sexe. Une dame � la caisse laisse �chapper une pi�ce de monnaie. Il met sa main sur mon �paule, s'avance pour se coller � moi en se haussant sur la pointe des pieds et dit : " Madame, vous avez fait tomber de l'argent ". Autant dire que le fait qu'il s'appuie sur mon �paule pour se hisser un peu et finalement redescendre, en restant bien coll� � moi, m'a permis de bien d�couvrir que le mec qui me suit est plut�t bien muni. Il me semble m�me que la taille de son arme a bien augment� depuis le premier contact de mes mains sur le tissu.

Je me retourne. Il se d�gage de moi. " Bonjour. Excusez moi si j'ai pris un peu appui sur vous pour pouvoir alerter cette dame ". Mon bonjour en retour f�t certainement un peu g�n�. Je ne savais pas quoi dire. " Euh ! Bonjour. Vous savez, il n'y a pas de probl�me. Il faut bien s'aider. " Le type a un demi sourire. Maintenant je vois qu'il est en jogging (celui dont le pantalon a des boutons pressions du haut en bas de chaque cot� des jambes). C'est mon tour. Je prends ma baguette, paye et sort en disant " Salut " � mon charmant voisin. Je regagne ma voiture. Il sort en courant : " Hep ! Vous pouvez me d�poser chez moi ? ". Pas le temps de dire ouf ! Il est d�j� assis. Il se masse le paquet et me dit : " Tu m'as mis dans un bel �tat, c'�tait agr�able mais trop court. Il se penche un peu en avant et d'un geste sur et rapide il d�tache toutes les pressions de sa jambe gauche. Je venais juste de d�marrer et je crois que j'ai eu du mal � ne pas faire grincer le passage en seconde. Sa jambe l�g�rement poilue est totalement visible et seul l'�lastique du jogging reste en place.

Il tient maintenant son sexe bien tendu et se masse doucement en me regardant. Je peux aussi voir ses couilles monter et descendre au gr� de ses mouvements. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai un sentiment de peur et de panique. Ce type m'�tonne et m'effraie tout de m�me un peu. Tr�s vite, je lui dis : " Bon ! D�sol�, mais je crois qu'il y a m�prise. Je vous demande d'arr�ter. Vous n'�tes pas tomb� sur le bon num�ro. Bon dimanche ". Je venais d'arr�ter ma bagnole devant sa porte. Il descend : " Mon dimanche va �tre triste sans toi. Pourtant �a avait bien commenc�. Tu avais l'air de te prendre au jeu aussi. C'est bien dommage, mais, on va se revoir. ". Je suis revenu chez moi, et � plusieurs reprises ma femme et mes enfants m'ont dit qu'ils ne me trouvaient pas en forme. Je paraissais, soit disant, tr�s maussade et absent. En fait je n'arr�tais pas de penser � ce gars et � ce que je venais de vivre. C'est vrai que je ne comprends pas ces mecs qui s'exhibent, n'importe comment et n'importe o�, sans se demander si cela peut plaire ou choquer les autres. Merde ! Il y a tout de m�me des tonnes d'endroits o� l'on sait que les autres, ceux qui sont l� aussi, sont l� pour �a. Interlude termin�. J'avis crois� � plusieurs reprises ce gars, mais, mis � part nos saluts �chang�s et un large sourire de sa part, il n'y avait plus eu aucune autre forme d'aventure.

Bon, revenons � ma course ! Je le vois donc avancer en courant vers moi. " Salut l'ami ! Je vois que tu te d�penses aussi. Mais aussi et surtout, que tu fr�quentes les bons endroits chauds de notre bonne ville. On s'arr�te et on parle ? ". Mon bonjour f�t peut �tre un peu plus amical qu'� l'habitude. Du moins c'est ce qu'il a du penser. Il plonge sa main dans son jogging et je devine qu'il se palpe le sexe avec ardeur. Son autre main vient se plaquer sur mon sexe. Malgr� ma surprise et la g�ne que je ressens, je commence � ressentir, tr�s vite, que le contact de sa main sur ma queue provoque la r�action tant attendue dans mon lycra. Il a sorti sa bite et passe l'�lastique de sa ceinture sous ses couilles. A tout moment quelqu'un peut surgir et je suis tr�s mal � l'aise.

Me sentant g�n� il me dit : " Viens on va se mettre dans le sous bois ". " Non ! D�cidemment non. Je t'avais d�j� dit que tu faisais erreur � mon propos. Je te demande de ne pas insister ". " Tu sais pas ce que tu perds. Tant pis pour toi". Mais avant de me laisser tranquille, il a sorti tout mon attirail de mon lycra. Il a bien regard�, bien caress�, bien soupes� et je dois dire que mon sexe faisait honneur � ses caresses. Il s'est pench� et a englouti mon sexe dans sa bouche en me pompant. J'�tais aux anges. " Finalement, je ne sais pas qui de nous deux perds le plus. C'est peut �tre moi ! Bon je ne t'emmerde pas plus, mais c'est vraiment dommage... Si un jour tu changes d'avis ! Tu me le fais savoir. Je ne voudrais pas perdre � tous les coups ". Il m'a une fois de plus englouti dans sa bouche, a d�pos� un l�ger baiser sur mon gland, a tout remball�, et est parti en courant en me donnant une tape amicale sur les fesses. " Ciao ! beau gosse. A bient�t j'esp�re ".

Me voil� de nouveau seul et dans un bel �tat. Pourquoi je lui ai dis que j'�tais d�sol�, mais . ? OUI ! Je suis d�sol� de ma connerie. Je repars, mais cette fois ci en marchant. D�cidemment je n'ai pas la frite ce matin. Et maintenant, je n'ai m�me plus le moral. Quel con je fais ! Deux superbes loup�s dans la m�me matin�e. Je ne me reconnais plus. En fait ce type � l'air plut�t sympa et je ne comprends pas pourquoi j'ai eu une telle frayeur lors de notre premier " contact " � la boulangerie. D'habitude, j'aurais plut�t " saut� " sur l'occasion. Soyons fataliste ! C'est comme �a et voil� !

En revenant � ma bagnole, au croisement d'un autre sentier, je vois mon pote et voisin Dom. Il cavale � toute allure, me voit et s'arr�te. " Salut ! Tu ne cours pas ? Tu vas pas bien ? Moi, je tiens une de ces formes. Pourtant j'ai fait la f�te hier et je dois dire que j'ai un peu abus�. Il faut que j'�limine ". Il est en sueur. Ce qui n'est gu�re mon cas. Il faut dire qu'avec toutes ces interruptions, je n'ai pas eu le loisir de mouiller mon maillot. " Ah ! Il faut que je te dise ! C'est fait ! Je te l'avais dis, je crois, mais, l� �a y est, mon spa est install�. Je me suis fait un truc d'enfer. Faut que tu viennes voir �a. Si �a te dit, on retourne at home et tu viens te relaxer dans ma nouvelle installation. Tu verras ! C'est super et �a fait un bien fou. OK ? " Je suis content de le voir. Dom est un mec super gentil et j'aime bien parler avec lui. Il nous est arriv� de faire du jogging ensemble et j'ai toujours appr�ci� sa compagnie.

La quarantaine resplendissante. Les cheveux courts, tr�s denses et tout blancs. Une tr�s, tr�s belle gueule et un corps bien plut�t sculpt�, pour ce que j'ai d�j� pu en apercevoir. Je passe chez moi pr�venir que je vais chez Dom prendre un bain relaxant et me voil� chez lui avec ma serviette de bain et mes affaires de rechange. Il me conduit dans une v�randa qu'il a fait b�tir sur le pignon de sa maison. Superbe ! Le plancher en bois naturel donne une ambiance de pont de navire, et dans un angle le splendide jacuzzi tr�ne en donnant une note tr�s agr�able et rafra�chissante. 2 chaises longues, 3 fauteuils et dans un coin une belle cabine de douche toute rev�tue de bois. " Dom, c'est superbe ". Galets, plantes vertes. Tr�s peu de d�co, mais de tr�s bon go�t. " Bon ! Allez, ce n'est pas le tout. A poil et dans le bain ". Je regarde Dom. Il se d�shabille compl�tement, passe sous la douche et se plonge dans le jacuzzi. " Allez ! Qu'est ce que tu fous. C'est bient�t �tre l'heure de l'ap�ro. Grouille ! "

C'est la premi�re fois que je le vois � poil. J'ai aim� ce que je viens de voir, vite fait. Rien � jeter. Dom m'a toujours plu. Mais, cela n'a jamais �t� plus loin. Pourtant j'aurais aim� affronter son corps de plus pr�s. Mes pens�es vagabondent sous la douche et je frotte mon sexe qui t�moigne tout, sauf de l'indiff�rence. Je ne peux pas sortir comme �a. L'eau froide me calme un peu, ou du moins fait cesser la mont�e de ma queue. Je me dirige vers le jacuzzi. " Dis donc, mes compliments � Madame ! Tu ne fais pas partie des petites b�tes ! Allez, viens l� et allonge toi sur le si�ge de repos. Allonge toi. Mets tes bras le long du corps. Un peu plus dans l'eau pour que tu sois mass� de partout. Je vais mettre en marche. Profite de ce bon moment. D�tends toi bien " Tout commence � bouillonner.

L'eau � 34 degr�s est bonne � souhait. Les bulles se font massage et caresses. Je ferme les yeux. Je suis bien. Dom lui, a choisi de v�rifier si j'�tais bien install� et correctement plac�. Il prom�ne ses mains sur mes pieds, les d�place un peu, il contr�le que tous les jets viennent bien faire leur massage sur mes mollets, mes cuisses. Son travail de contr�le (sans jamais me toucher vraiment) fait que mon �rection est bien manifeste et bien install�e. Je viens de d�cider : je le laisse faire ce qu'il a envie. Au moment de passer au niveau de ma ceinture, sa main butte contre mon sexe dress�. " Eh bien ! Mon gaillard ! Les bulles, �a te fait de l'effet on dirait. Moi aussi je suis dans le m�me �tat, sauf que moi, c'est pas les bulles mais surtout le fait d'�tre en contact avec ta peau "

La dessus il se met debout et je peux voir qu'en effet, ce cher Dom a une forme resplendissante. Il se remet dans le bain et continue son contr�le. Ses mains se font alors plus pr�sentes et il parcourt alors ma peau avec la ferme intention de ne pas en louper une miette. J'ai referm� les yeux. Je suis BIEN. Cette fois ci il prend mon sexe et mes couilles � pleine main et en explore tous les contours. Ses mains, l'eau, les bulles ? Je ne sais plus du tout ce que j'aime le mieux. SI ! Je sais. Il se d�cale pour �tre plus en face de son " travail ". Je peux enfin lui attraper son sexe. Il sursaute de surprise mais ne bouge pas. Nous sommes bien l�, entrain de nous caresser nos sexes tendus, sans g�ne, avec plaisir. Je suis bien, et je sais que lui aussi il appr�cie mes caresses. Ma main s'aventure sur son cul. S'enhardit pour toucher son anus. Un doigt devient plus envahissant. Il ne bouge pas mais pousse de tous petits g�missements. Je reviens vers sa bite tendue � l'extr�me.

Il me lance : " Dis donc, tu es vraiment un �go�ste. C'est toi qui profites de moi. Et moi alors ? On �change nos places. Viens l� ! " Il prends place allong� et je peux me r�galer de pouvoir explorer le reste de son corps. Je suis dans un r�ve. Dom est l�, pr�s de moi, on se caresse, on s'embrasse, on se donne gentiment du plaisir. Malgr� mon d�sir datant de fort longtemps, je n'aurais jamais pens� que cela puisse arriver un jour. Mes pains n'ont de cesse de d�couvrir TOUT. Lui, de son cot� a bien pris possession de mon cul avec 1, 2 ou 3 doigts. Je plonge la t�te sous l'eau et viens gober son sexe. Il sursaute mais se laisse pomper. Je reprends ma respiration pour l'entendre : " Encore " Je replonge. Je viens respirer � nouveau et il sort du bain, se met assis sur le rebord, la queue tendue vers moi. J'ai compris ! J'avoue que je pr�f�re car, l'apn�e n'est pas un de mes sports favoris.

Je viens lui l�cher les couilles, le sexe, le gobe pleinement et je dois dire que je profite bien de cette s�ance de bain bouillonnant. C'est plut�t moi qui bouillonne ! Il s'allonge sur le rebord en se laissant aller totalement. Il est beau et semble content de ma prestation. Je lui pince les seins, il ondule de tout son corps. Je sens sa queue avoir des hoquets, des spasmes fr�n�tiques � chaque fois que je lui pince un t�ton un peu plus fortement. Il vient poser ses mains sur ma t�te, pousse un g�missement encore un peu plus fort et tente de me faire reculer. Je lui colle ma bouche sur son sexe, Attrape ses fesses et l'emp�che de me faire retirer de sa bite. Il explose en moi en se tordant et en poussant des cris brefs mais assez sonores. Sa voix est devenue soudain plus grave et il est secou� de toute part. Il rel�ve la t�te pour me regarder et voir que sa bite est encore enti�rement dans ma bouche. Je n'ai rien perdu. Je ne bouge plus. Je lui, laisse le temps de retrouver son calme. " Quelle belle inauguration ! J'ai eu bien raison de te demander de venir la faire avec moi.

Je ne regrette pas mon investissement. Surtout qu'il est � long terme et que nous allons avoir la possibilit� de profiter des int�r�ts qu'il va produire ". Sacr� Dom ! C'est bien lui �a ! C'est bien une parole de banquier ! Tout � coup : " H� ! Les gar�ons, vous avez vu l'heure ! Il faudrait peut �tre penser � d�jeuner. Vous aurez tout le temps d'y retourner apr�s la sieste. Allez ! Venez ! ". J'avais compl�tement occult� la pr�sence de sa femme. " On arrive. Juste le temps de prendre la douche ! On vient " ; Dom secoue sa main tr�s vite et souffle dans ma direction. " On a eu chaud ! Hein ! " A peine dans la douche, Dom est venu me pomper vigoureusement pour redonner forme � ce qui avait repris une dimension tr�s, tr�s timide en raison de l'interruption soudaine. J'�tais tellement excit� que j'ai joui presque tout de suite. Il s'�tait �cart� de ma bite, me branlait et regardait en attendant de voir venir mon explosion. J'ai joui sur sa joue, sur ses cheveux, sur son torse. Je croyais que je n'allais pas m'arr�ter. Savonnage en r�gle, s�chage.

Nous voil� pr�ts ! L'ap�ro f�t pass� � commenter les m�rites de l'installation. " Dis donc, tu reviens tout � l'heure ? Je n'ai pas encore eu le temps de te montrer tous les programmes et aussi l'�clairage g�nial. Bon ! Disons 17h00 ? Cela te va. Toute ma petite famille sera partie au cinoche. L� ! �a sera plus calme et je pourrais te d�montrer tous les bienfaits possibles de mon appareillage. Un " au revoir ", une poign�e de mains. Dom m'attrape par les �paules. " J'ai envie de t'embrasser comme un fr�re. A tout � l'heure "

Runner 91

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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