Page pr�c�dente

1er �pisode | �pisode pr�c�dent

Soumission / Domination 93

Dimanche pr�vu calme, pas de visite.

�a fait longtemps que nous n'avons sorti les motos. Il fait sec � d�faut de faire tr�s chaud et apr�s le footing (sage) et une bonne douche, Marc d�cide que nous allons d�jeuner au bord de la mer.

Sous v�tement polaires (pour tenir chaud), combis cuirs, casqu�s et bott�s, nous enfourchons nos bolides. Je prends ma Ducat et Marc opte pour le VFR.
3/4 heure plus tard, gel�s nous contemplons l'oc�an depuis la promenade d'une grande station baln�aire.

Bon c'est pas le tout mais on se les cailles ! Je suis s�r que mes belles " noix " sont devenue de pauvres petites olives, si je les retrouve !

Nous avisons un bar ouvert. Notre arriv�e jette un froid ;(ouverture de porte oblige). Pas grand monde, quelques habitu�s dans le fond et au bar trois jeunes en train de discuter.

Nous nous posons � une table. Je d�pose mon casque sur ma chaise et d�cide d'aller au WC (le froid �a donne envie de pisser).

Deux urinoirs et deux toilettes ferm�s. Je choisis un urinoir. Je d� zippe ma combi jusque sous les couilles et sort mon service trois pi�ces. Effectivement il est tout rabougri !
Le fait d'uriner le r�chauffe et avant que j'ai fini, je suis de nouveau " pr�sentable ".
Derri�re moi la porte s'ouvre, je jette un coup d'oeil sachant que Marc n'aurait pas laisser nos affaires sans surveillance, je vois un des trois jeunes. Il s'installe � l'urinoir d'� cot� et commence � pisser.

Je reste quelques instants � faire tomber la derni�re goutte laissant discr�tement le champ libre pour qu'il puisse mater. Ce qui ne manque pas de faire ! j'entame la conversation par un " pas chaud, �a nous avantage pas ! " en donnant un coup de menton vers mon sexe. Il acquiesce et me renvoie un " �a doit donner pas mal alors quand elle est chaude " en fixant ma bite.
Je lui propose alors de voir et nous passons � une cabine. Elle est suffisamment grande pour notre affaire.

Il s'assoit sur le si�ge et se penche pour prendre sans chichis ma bite dans sa bouche. Ca suffit pour me faire bander imm�diatement. Je le d�taille pendant qu'il me suce. Environ 18 ans, blond, fin avec la m�che qui lui couvre la moiti� du visage. En attendant il suce comme un pro. Je ne suis pas son premier. Apr�s m'avoir bien agac� le gland, il se l'envoi direct dans la gorge sans tousser. Je le f�licite et plaque une mains sur sa nuque pour lui donner le rythme. Il profite d'un retrait pour me dire qu' " elle est bonne " avant de se re jeter dessus. Pendant qu'il me suce, il se branle (je vois une bite de 15/16 cm entre ses mains).

Je sens la sauce monter. Je le pr�viens. Il cesse alors de se branler et ses deux mains sur mes fesses, me pompe de plus belle. Il veut mon jus !! il est fou, il me conna�t m�me pas !
Au bord de l'explosion, j'arrive � sortir de sa bouche et explose sur le carrelage. Si j'avais jut� sur son visage, il aurait �t� capable de tout ramener � sa bouche avec ses doigts !!
Il se branle deux coups et ajoute son sperme � la flaque que j'ai faite au sol.
Nous nous essuyons, je le f�licite pour la pipe et surtout de sa gorge profonde mais j'ajoute qu'il est fou d'avoir voulu me " boire ".
Il s'excuse et me dit qu'il avait �t� emport�, tellement elle �tait bonne (ma pine).

Je rentre le premier dans la salle. Marc me dit que j'ai pris mon temps pour pisser. Comme le jeune rentre � son tour, je lui r�pond que c'�tait lui qui avait pris mon temps en me vidant les couilles.

Marc d�cide alors d'y aller � son tour. Je sirote un grand chocolat et surveille du coin de l'oeil les trois jeunes du bar.
1mn apr�s que Marc soit entr� aux toilettes un des copains de mon suceur y va � son tour (m�me style que le mien mais en brun).

Je compte le temps en lisant un journal de la veille qui tra�ne. Marc ne me rejoint que 20mn plus tard.
Je paye les consos et nous partons chercher un restaurant. En chemin il me raconte ce qui s'est pass�.

le petit mec est entr�, s'est install� � l'urinoir d'� cot� de lui et � carr�ment descendu son pantalon sous ses fesses en lui demandant si ces derni�res l'int�ressaient.

Ses 22cm bien raides l'ayant trahi, il l'a pouss� dans une cabine et kpot� (on en a toujours dans une des poches de nos combis), l'� encul� direct.

Quand je lui ai demand� " sans pr�paration ?" il me dit " oui direct, et sans difficult�s ".

il l'a donc enfil� debout alors que le minet s'arqueboutait au mur. Il m'a dit que c'�tait une vraie salope et qu'il n'�tait s�rement pas son premier vu son app�tit de sexe. En attendant il avait bien rempli la kpote alors que son encul� jutait direct dans la cuvette.

Nous continuions � marcher quand, nous sentant suivis, je me suis retourn�. Le trio du bar nous suivait !
Nous les avons attendus et c'est le " mien " (mon suceur) qui a pris la parole nous demandant si on �tait partant pour initier leur pote (le troisi�me) qui s'�tait enfin d�cid� � sauter le pas.
Marc leur a fait remarquer que pour une premi�re fois des chiottes de bar c'�tait pas ce qui �tait le plus pratique.
Le brun nous a dit alors qu'ils habitaient pas loin.
Nous avons repris nos motos et les avons suivit quelques centaines de m�tres. Ils habitaient en fait la maison de vacances d'un des parents car leur IUT n'est qu'� 20mn en voiture, situ�e juste derri�re le front de mer et ses immeubles.

Les motos sur leurs b�quilles, nous sommes entr�s � leur suite. Apr�s le froid du dehors, nous avons tous eu l'impression qu'il y faisait une chaleur torride. Nous nous sommes d�barrass�s de nos cuirs et nous de la couche de polaire pour nous retrouver en shorty. Les mec se sont d�shabill�s aussi histoire qu'on soit pas les seuls.
Ap�ro, le jeune � initier, un peu tendu, s'est enfiler direct un grand whisky. Je lui ai dit de pas trop forcer, �tre d�tendu ok, �tre soul non !

Le brun est aller chercher les kpotes et le gel pendant que nous discutions de l'envie d'essayer du plus jeune. De toute fa�on son slip ne pouvait cacher l'int�r�t qu'il portait � la chose, une belle barre partait sur son cot� gauche d�formant le tissus de belle fa�on.
Marc lui a pris le menton dans sa mains et l'a attir� � lui pour lui rouler une pelle. Il est tr�s fort � ce jeu l� et le petit mec � fondu direct.
De mon cot� je m'occupais du bas, faisant glisser son slip � ses pieds. Son pote (mon suceur) me disant que cela faisait un bout de temps qu'il en r�vait quand ils prenaient leurs douches ensemble au foot, s'est jet� sur la bite. Au fond du canap�, son mouvement de recul n'est pas all� bien loin et son pote a pu lui bouffer la bite jusqu'� l'os.
Du coup je m'occupais de ses t�tons qu'il avait suffisamment gros pour que je puisse les prendre entre les dents.
Au bout de 10mn environ, nous l'avons " rel�ch� " pour savoir si il avait envie de continuer.
Devant sa r�ponse positive et m�me plus, enthousiaste, nous avons repris le taf.
Marc et moi avons dirig� les deux plus exp�riment�s pour qu'ils nous pr�pare le puceau. De la pipe (passif) nous l'avons initi� au 69 puis au 69 avec les couilles bouff�es par son autre copain.
Nous les avons calm�s lorsqu'il �tait trop pr�s de jouir. Puis j'ai dit au bouffeur de couilles de s'attaquer � sa rondelle.

Aussit�t dit aussit�t fait. A grands coups de langue, le brun lui a mouill� l ;"anus, puis dardant sa langue, a commenc� � lui travailler le trou. Bient�t la langue est entr�e de quelques mm puis d'un bon cm. Je lui ai dit alors de passer aux doigts. Chose faite sans douleur quelques 10mn plus tard avec alternance : doigts - langue - salive...
Les g�missements de l'int�ress� sont parvenus � nos oreilles, nous �tions sur la bonne voie.
Quand Marc a d�cid� qu'il �tait pr�t, je me suis rapproch�. Nous l'avons mis en levrette, le blond (suceur de comp�tition dessous � lui t�ter la bite), et kpot�, couvert de gel, je me suis pos� sur son anus. Marc � sa t�te lui a dit de pousser. J'en ai profit� pour enfoncer mon gland d'un coup. Le puceau a accus� le coup d'un bref cri.

Pour le distraire, Marc lui a donner sa queue � sucer. �a le changeait de celle du blond au niveau dimensions ! mais plein de bonne volont�, il s'est mis � t�ter bruyamment.
Le voyant distrait, j'ai continu� ma progression. Que c'est bon un cul vierge ! �a faisait longtemps que je n'avais plus connu cette sensation, serr�, tr�s serr�, avec des difficult�s pour m'enfoncer, vraiment tr�s bon !!

Je me suis enfonc� lentement jusqu'� ce que mes couilles touchent le front du blond en train de le sucer (jusqu'au fond quoi !).
Retrait en douceur, nouvelle couche de gel, et r� intromission, ce coup ci plus facile.
L'ex puceau ne savait plus o� donner de la t�te, sa bite lui envoyait plein d'excitation, son cul d'autres diff�rentes et le gland de Marc en lui bourrant la gueule un troisi�me point de stimuli.
J'ai c�d� rapidement la place � Marc, avant que notre jeunot explose et j'ai pris la sienne.
J'avais bien pr�par� le passage et les 22cm ce sont enfonc�s avec un minimum de grimaces.
J'ai vite abandonn� sa bouche pour le cul du brun qui �tait tr�s en manque et n'osait pas demander vu qu'on �tait occup� par son pote.
Je l'ai plac� juste en face du jeunot pour qu'ils puissent se rouler des pelles et ensemble sucer le blond .

Puis �a a �t� la cascade. L'ex puceau s'est vid� en hurlant de plaisir, le blond a tout mang� et il lui a jut� au visage. Mon brun s'est redress� et son sperme est venu s'ajouter � celui du blond pendant que je remplissais ma kpote bien cal� au fond de son cul. Marc quand � lui avait rempli sa propre Kpote avant que notre fra�chement initi� n'ai fini de se vider.

Douches pour tout le monde, et nos " nouveaux amis " ont command� des pizzas. C'�tait tout juste car il �tait presque 15h et leur service � domicile terminait.

Il aurait �t� sympa que le livreur soit une petite bombe sexuelle et que nous ayons remis �a, mais �a n'est rest� qu'un fantasme ! le mec �tait petit mais plein de boutons !

Nous sommes rentr�s pas trop tard. Pendant tout le retour, j'ai pens� � Marc et � sa queue dans mon cul. Je ne l'avais pas encore eu de la journ�e et elle me manquait. �a va �tre dur la semaine prochaine ! Marc sera en d�placement du lundi au vendredi soir !!!
Juste descendu de moto, je laissais mon casque sur le r�tro et m'approchais de lui pour lui retirer le sien. Ce dernier pos� sur son �tag�re, je me suis coll� � Marc et lui ai roul� un patin d'anthologie.
Malgr� le froid du garage, je l'ai senti chauffer sous son cuir. Son sexe c'est gonfl� et dress� contre le mien d�j� d�ploy�.
Plus nos salives se sont m�lang�es et plus nous �tions excit�s.
Nous nous sommes r�fugi�s dans le donjon (puisqu'il jouxte le garage), au chaud.

Je l'ai " d�sincarc�r� " de sa combi et tr�s vite mis � nu. Ma propre combi sur les hanches, je me suis agenouill� devant lui laissant ma langue en contact avec sa peau tout pendant la descente vers son sexe. Elle a gliss�e le long de son menton puis de son larynx. Au niveau des pecs, elle s'est perdu � droite et � gauche jusqu'aux t�tons pour les faire se dresser puis a continu� son chemin vers le bas, passant dans le sillon de ses abdos pour atterrire sur le gland qui cachait son nombril.
D�licatement j'ai pris ses couilles dans une main et les tirant l�g�rement vers le bas, ai d�coll� sa bite de ses abdos.
L� j'ai pu chapeauter son gland de ma bouche.

Dans un premier temps, je ne me suis occup� que de lui. Faisant tourner ma langue dessus, l'enduisant de salive, excitant l'ensemble par de fr�quent �tirements de son frein, essayant d'enfiler le bout dans son meat.
Quand la peau de son gland s'est trouv� tendu � son maxi et sous l'impulsion de ses mains pos�es sur mes �paules, je me le suis enfonc� jusqu'� la glotte puis apr�s une bonne respiration l'ai fait pass� dans ma gorge.
J'aime me sentir � sa merci. L�, si il ne me rel�chait pas, je m'�toufferais sur place, les voies respiratoires bouch�es par son gland.
Il rel�che la pression sur mes �paules le temps que je le d�sengage et que je renouvelle mon oxyg�ne puis appuie de nouveau. Trop bon !!

Cette position ne me permet pas de prendre ses 22cm entiers, �a m'�nerve car j'aime �a et lui aussi. Je me redresse et nous nous roulons de nouveau un patin.
Je quitte vite mes bottes et le reste de ma combi. Nu je me place vite dans un des sling, � l'envers pour avoir, sans r�glages, ma bouche � la bonne hauteur.
Je rejette ma t�te en arri�re et Marc vient enfoncer dedans son sexe.
L�, je peux vraiment profiter de sa longueur compl�te. Il s'enfonce, s'enfonce et je sens ses couilles me boucher le nez.

Marc ne peut se retenir plus longtemps et se met � me bourrer la gueule (y'a pas d'autres mots). Je cale ma respiration sur son rythme et j'arrive � tenir le coup.
Je sens des coups de pression dans sa bite. il est tr�s excit� et doit se retenir de jouir.
Il se couche au dessus de moi et tirant mon cul ver lui, me bouffe l'oignon. Il salive bien et je m'ouvre sous sa langue. il me crache dans le cul pour bien me lubrifier.
Quand il se retire de moi, c'est pour me faire pivoter et m'enculer direct.
Heureusement que c'est lui ! je suis tr�s d�tendu et m'ouvre sans probl�me sous la pouss�e de ses reins.

Je ferme les yeux pour concentrer mon attention sur le seul sens du toucher. Je sens alors de fa�on plus intense sa bite coulisser en moi, son gland �carter mon boyau puis ses abdos �craser mes couilles quand les siennes (de couilles) se collent � mes fesses. Trop bon, trop trop bon !
;Marc m'encule ainsi un bon 1/4 heure en variant les vitesses et le taux de p�n�tration. Plusieurs fois d�j�, � ma demande, il a stopp� ma mont�e de jus et appuyant fortement sur le p�rin�e. Je veux jouir en m�me temps que lui et comme il sait parfaitement se ma�triser, je sais que je vais en prendre encore un bon moment.

Comme il aper�oit une petite tache sur son gland � la faveur d'un va et vient plus complet, je re�ois l'ordre d'aller me laver. Je vais vite aux bloc sanitaire et m'octrois le lavement n�cessaire. Comme je suis d�j� bien dilat�, je fais attention et suis de retour 5mn plus tard l'int�rieur nickel.

Marc prend la pr�caution de me graisser � nouveau le cul avant de r�investir mon trou. Je me place au travers d'une des selles, pli� en deux au niveau des abdos. J'�carte bien les jambes. Je sens ses mains �carter mes deux globes et un courant d'air froid me l�cher la rondelle. Cela ne dure pas car il pose aussit�t dessus son gland. Quand je " rue " pour le faire entrer plus vite, il se recule et une de ses mains quitte mon �paule pour me donner une petite claque sur la t�te, j'ai compris, je me calme !

Je referme les yeux, de toute mani�re, mon horizon est limit� au pav�s du sol et j'attend.
Je sens qu'il prend encore plus de temps que tout � l'heure pour me prendre. C'est un supplice !! j'ai l'impression qu'il met une heure pour faire entrer son gland !
Je ressens chaque millim�tre de sa chair conqu�rante. J'en hurlerais tellement c'est bon et que je voudrais qu'il aille plus vite ! d'ailleurs je le fais nous sommes suffisamment isol�s pour que personne ne m'entende. Mais cela ne le fait pas acc�l�rer pour autant !
Je subis alors " sto�quement " mon supplice.
Enfin je sens ses couilles toucher les miennes, son gland est au plus profond de moi, c'est trop bon (je sais je me r�p�te !).

L�, il se d�cha�ne. Ses mains ancr�es � mes hanches, il me pilonne. Il profite totalement de ses 22cm sortant enti�rement pour rentrer encore plus brusquement.
Je souffle mais j'adore quand il me prend � la hussarde. Sans me toucher je me sens monter en pression et bient�t je ne peux plus me retenir et graisse le cuir de la selle avec mon sperme. A chaque fois que j'�jacule je serre ma rondelle et bloque Marc dans son mouvement. �a fait trembler le chevalet sur lequel est pos�e la selle ! quand je jute pour la troisi�me fois, je sens couler son sperme au fond de moi.
Il ne bouge plus, coll� sur mon dos. J'attend, je suis bien sous le poids de son torse, aim�, prot�g� je somnole � moiti�.
Il commence � d�bander. Mon anus se resserre et quand il sort je ne laisse �chapper aucune goutte.
Une douche rapide et, nus, nos cuir sur l'�paule, nous regagnons la maison.

�a va �tre dur une semaine sans lui !

Jardinier

La suite ici

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :