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Soumission / Domination 90
2010 d�marre comme 2009. Je continue � emmener Jean � ses clients. Heureusement il ne change pas physiquement et reste imberbe fa�on juv�nile.
Emma �tant partie en vacances au soleil avec des amies pour la fin d'ann�e, nous ne nous sommes revus que la 2�me semaine de janvier.
Impatient, je quittais le bureau plus t�t et arrivais chez elle d�s 14h30.
Je rentrais la voiture au garage et p�n�trais la maison par la cuisine. Je la cherchais un peu partout et la trouvais enfin dans sa salle de bain en train de se doucher. Quel beau spectacle ! vite je me mettais nu et la rejoignais sous le jet. Le bruit de l'eau ayant couvert mon arriv�e je pensais bien la surprendre. Rat� ! Elle m'avait rep�r� dans un des miroirs.
Je me collais � son dos et mes mains pleines de savons, je l'ai caress�e. Ses seins superbes et bien suspendus, son ventre plat, sa chatte. Apr�s m'�tre �cart�, je continuais sur son autre face. De la nuque je suis descendu sur ses reins puis ses fesses pour finir en lui massant l'anus et en le perforant de mon majeur droit, ma main gauche repass�e devant, j'enfon�ais l'index et le majeur dans sa chatte.
En m�me temps qu'elle tournait son visage vers moi pour qu'on se roule un patin, j'ai senti sa main chercher et trouver mon sexe band�.
L'excitation montait trop vite pour moi. Je me reculais et nous nous sommes s�ch�s l'un l'autre (encore plein de caresses !).
Je la soulevais et en quelques pas la jetais sur le lit. Elle est rest�e sur le dos m'attendant pendant que je la matais. Je lui sautais dessus (en faisant attention � pas l'�craser quand m�me !). Elle me prit la t�te entre ses mains et nous nous sommes de nouveaux embrass�s, nos langues lutant, assoiff�s de l'autre.
Je sentais ses t�tons durcir contre mes pecs. Ma bite par quelques mouvements du bassin est venue se glisser entre ses cuisses. Je relevais le bassin pour la poser sur le creux fait de ses cuisses jointes et en la faisant glisser, j'ai pu poser mon gland � l'entr�e de sa chatte. Je sentais les grandes l�vres glissantes de sa mouille lubrifier mon gland.
Je tendais le bras vers sa table de nuit pour chercher une kpote. Sans quitter sa bouche, je l'enfilais et dans la foul�e je la p�n�trais. Sans aucun effort mes 20cm sont entr�s jusqu'aux couilles. D�s qu'elle me senti en elle, elle se mit � contracter ses muscles. Elle sait que j'aime �tre bien serr�. �a me fit g�mir de plaisir. Comme je lui demandais comment elle faisait �a, elle me dit qu'elle en avait entendu " parler" sur internet et qu'elle s'�tait exerc�e sur son gode. Le massage interne en plus de mes va et vient, j'explosais dans la kpote alors qu'elle-m�me jouissait son t�ton droit entre mes dents.
Encore tr�s excit�, je ne d�bandais pas. Un saut � la salle de bain, kpote dans la poubelle, lavage de bite et 30 secondes plus tard j'�tais de retour � ses cot�, ma main retrouvant le chemin de sa chatte histoire de maintenir le niveau d'excitation.
Doucement, je faisais rouler son clito entre mes doigts. �a plus ma bouche sur son sein gauche � aspirer le t�ton, je lui d�clenchais un nouvel orgasme. Aussit�t apr�s que ses spasmes soient termin�s, je lui enfon�ais son gode dans sa chatte, les fausses couilles sur le clito.je lui relevais les jambe et les posaient sur mes �paules. J'avan�ais mon bassin et, kpot�, j'entrepris de la sodomiser. Chose faite quelques 10aines de secondes plus tard.
En fin de p�n�tration, mon pubis appuyait sur la base du gode le faisant entrer encore plus profond.
Ce que j'adore dans cet " arrangement ", c'est de sentir l'autre bite au travers des parois vaginale et intestinale. Lorsque je lime, mon gland se presse conte la hampe de plastic puis se frotte lors du passage de la couronne du gland synth�tique avec un effet tr�s excitant sur mes terminaisons nerveuses.
Pour Emma aussi l'effet est d�cupl�. Comme j'ai d�j� jut�, bien que raide, je suis long � revenir et j'en fais profiter Emma un maximum.
Nous changeons de position. Je l'encule en levrette et elle tient elle-m�me le gode pour ne pas qu'il s'�chappe.
Je lui demande se limer la chatte avec. Le double mouvement (mes propres va et vient et ceux du gode) fait remonter la pression dans mes couilles.
Emma a encore joui deux fois avant que de nouveau je remplisse la kpote.
L�, je d�bande rapidement. Je sorts vite. Kpote jet�e, je lui caresse les seins, l'embrasse pendant que doucement je joue encore avec son gode. Elle se crispe encore une ou deux fois avant de demander gr�ce.
Je retire le gode de son vagin et elle vient recouvrir de son corps le mien �tal� dos sur le lit.
Nous restons bien 1/2 heure la conscience entre deux eaux dans les bras l'un de l'autre. Trop bon se moment de calme apr�s la temp�te.
Je l'embrasse � nouveau. Elle me rend mon baiser. Nous reprenons pieds sur terre. avant que nous allions nous laver, elle me glisse � l'oreille " tu m'as manqu� " compl�t� rapidement par un " nos galipettes ".
Je ne rel�ve pas et nous nous douchons ensemble.
J'ai droit encore � un gros baiser avant de monter en voiture avec la recommandation de bien faire attention sur la route ! Mon " oui maman ! " me vaut une claque. Je l'embrasse sur la bouche pour faire oublier cette ind�licatesse, je n'embrasserais pas ma m�re avec la langue ;voyons !
Pendant le retour en voiture, je pense � nous et � ce qui m'attend ce soir. Continuer ma relation avec Emma, c'est aussi accepter que Marc exprime sa domination sur moi le soir m�me.
J'ai besoin de ma relation h�t�ro avec elle et j'appr�cie de plus en plus la " jalousie " de Marc qui fait suite !
D�s que je suis rentr�, je me douche avec nos propres savons. Pas de trace olfactive de mon passage chez elle. J'ai encore deux heures avant que Marc arrive. Je les occupe sur les bancs de muscu. Je suis sous la douche quand il me rejoint.
Il m'ordonne de le laver.
Je commence par le d�shabiller puis une fois nu, je le place sous la douche et le mouille. Je le couvre de gel douche, le frotte, masse, lave dans tous ses recoins. Il bande mais ne dit rien, donc je continue. Une fois rinc�, il pose sa main sur ma nuque et appui. Je comprend et me place � genoux devant lui. En descendant, ma bouche est venu couvrir son gland. Hummm qu'il est bon ! chaud, gonfl�, il me remplit bien la bouche je joue de ma langue dessus, la glissant sous la couronne, en faisant le tour, la pointant pour �carter son m�at.
Ses deux mains sur ma t�te, il me guide. Il me laisse quelques instants m'occuper de son gland puis pousse un peu plus fort pour me faire comprendre qu'il fallait que je pompe.
J'enfonce sa queue dans ma bouche, d�gluti et me retrouve avec la gorge " encombr�e ". Je me redresse, respire un coup et recommence. Quand son gland passe ma glotte, il appui encore plus fort plaquant mes dents sur son pubis et p�n�trant ainsi le plus loin possible. Je m'�trangle de surprise. Quand il me rel�che, je d�gage vite, � bout de souffle. Volontairement, je le pompe de cette fa�on.
Je suis tellement concentr� qu'il me faut un instant pour remarquer qu'il est en train de me parler. J'ai loup� le d�but mais quand j'accroche, j'entend qu'il parle d'Eric et de double sodo. J'esp�re que c'est avec lui car je ne me vois pas me faire prendre par Eric et Xavier comme l'ont �t� Jean et Ric. je ne suis pas aussi souple de la rondelle qu'eux deux !
Il me redresse, enfonce dans mon trou la canule de lavement et ouvre le robinet. Je sens l'eau m'envahir. Je fais signe que je suis plein. Il retire l'embout. Je garde l'eau en moi au maximum puis me vide sur la cuvette des toilettes. A la troisi�me fois je suis tout propre.
Il me dit de m'installer sur le sling. je me couche sur le dos et place mes mains et mes pieds pour qu'il m'entrave. Chose faite 2mn plus tard.
Commence alors un assouplissement en r�gle de mon anus. Ses doigts pleins de graisse p�n�trent mon anneau. Doucement, mais imp�rieusement, il s'enfonce de plus en plus profond, tournant bien pour m'�carter de tous les cot�s.
Ses doigts sont vite remplac�s par la succession de nos godes. Avec un peu de poppers, je fini la s�ance par avoir notre " 28 x 7 " enfonc� en moi jusqu'aux fausses couilles.
Pour le maintenir en place (car j'ai tendance quand m�me � l'expulser involontairement) il colle en travers de mes fesses deux grandes bandes de straping adh�sives (heureusement que je suis imberbe sinon �a serait l'�pilation assur�e !).
Il me d�tache et me met debout. J'ai du mal avec ce que j'ai dans le cul ! je me redresse mais ne peux serrer les jambes.
La situation m'excite grave et je bande � fond, lui aussi d'ailleurs.
Il m'aide � enfiler un jock, j'ai du mal � tenir debout sur un seul pied ! puis me dit que nous allons au donjon.
L'escalier n'est pas facile � monter. C'est pas tant les sparadraps que l'engin qui me perfore. Le temps de me mettre sur les �paules un des grands manteaux et nous traversons la cour, le spectacle doit �tre �trange � voir !
Quand nous entrons dans notre " donjon ", je vois Eric qui tient par le bras un mec balaise les yeux band�s. Il lui dit que nous sommes arriv�s et nous tends � Marc et moi deux cagoules. Une fois que nous les avons mise, il enl�ve le bandeau du mec et me pr�sente comme �tant le jouet qu'il lui avait vendu et Marc comme mon propri�taire.
Il faut quelques minutes au mec pour qu'il absorbe tout, moi le jouet et le d�cor.
Marc est parti s'installer dans un des grands fauteuil, laissant Eric g�rer mais ne perdant pas une miette de ce qui peut m'arriver. �a me rassure.
Eric me dit de me pr�senter. Je quitte le manteau et me pr�sente de face. Je tourne et une fois de dos, j'entend le mec (grosse voix grave) m'ordonner de me pencher. J'�carte un peu les pieds, me penche et attrape mes chevilles. Ainsi pos�, mes fesses laissent voir ce qui les occupe. Je sens une grande main (pour l'instant tout est grand chez ce mec) passer sous les fausses couilles et tirer vers l'ext�rieur. Il est tout de suite bloqu� par le straping mais arrive quand m�me � le d�coller de mon anus. Quand il rel�che, effet boomerang, les fausses couilles se re plaquent aussit�t sur mes fesses.
Eric m'ordonne de me mettre � genoux et de d�shabiller le mec. A genoux je ne peux que m'occuper du bas. Chaussures, chaussette (propre), ceinture et pantalon, l� je d�couvre, mal cach� derri�re un shorty, une bite monstrueuse. Il ne bande pas encore totalement mais d�j� sa bite s'allonge sur son cot� gauche jusqu'� sa hanche et d�colle le tissus d'au moins 6 ou 7 cm.
Quand je baisse l'�lastique, le morceau tombe devant mes yeux. Je me fais une estimation � l'aide de mes deux mains. Minimum 28cm sinon plus par un bon 7/7,5 de diam�tre. Dans ma main, il est si gros qu'il reste bien 5cm entre mon pouce et l'indexe, il me faut les deux mains pour encercler sa hampe. Le gland circoncis est violet en forme de c�ne.
Eric m'ordonne de sucer. J'ouvre grand les m�choires et arrive � prendre le gland et quelques cm de hampe en plus. Bien qu'il essaye d'en rentrer plus, je n'arrive pas � faire glisser le gland dans ma gorge. J'ai beau d�glutir tout ce que je peux, �a a l'air physiquement impossible. M�me quand Eric se place dans mon dos et pousse ma t�te lui m�me, �a ne passe pas.
Eric me prend sous les bras et me pose sur le sling (il n'en a install� qu'un sur les trois). Il arrache les strapings. M�me sans poils, c'est un peu douloureux. Le gode tient tout seul. Mon anus doit �tre bien distendu pour ne pas expulser l'engin !
Il me le retire. Quelle sensation !! J'ai soudain comme un coup de froid au cul. Cela ne dure pas. Le monstre enkpot� (je ne sais pas o� il a pu trouver des kpotes aussi grande !), luisant de lubrifiant, commence sa progression.
Le gland entre sans probl�me, sa forme facilite le travail. Je sens sans douleur passer le renflement de la couronne. Et inexorablement, je me fais p�n�trer.
J'ai l'impression que cela dure un si�cle tellement il est long ! soudain Eric me place sous le nez le flacon de poppers et me dit de sniffer fort. J'ob�i et ma t�te comme mon cul chauffe instantan�ment. Le sling balance sous le coup de rein du mec mais moi je me retrouve empal� jusqu'� la garde !
Le mec dit � Eric que c'est la premi�re fois qu'il peut la mettre enti�re. M�me avec les meufs, dans leurs chattes, il n'y arrive pas.
Il m'attrape par mes cuisses relev�es et se met � me limer comme un fou. Eric prend quand m�me la pr�caution de rajouter du lubrifiant r�guli�rement sur le monstre.
J'explose assez vite me foutant du sperme jusque dans les cheveux. Mes contractions anales le bloque et lui aussi jute (dans sa kpote). Il met du temps pour se retirer, sa bite d�gonfle mais tr�s lentement.
Je rel�ve la t�te au moment ou il sort sa bite compl�tement. Il y doit bien y avoir un demi verre de sperme dans la kpote !!
Je me recouche sur le sling, cass�.
Dans un �tat second, j'entend Eric dire au mec qu'il le raccompagne � sa voiture (gar�e au village).
Marc s'approche de moi, il me caresse, me f�licite et tout en m'embrassant, passe sa main entre mes fesses. Par jeux il entre direct 4 doigts et vu la facilit�, il ajoute le pouce, pousse un peu et me fiste ! Je grogne un peu dans sa bouche mais ses doigts massant ma prostate envoient direct � mon cerveau des ondes de plaisir. je fond litt�ralement sous sa main !
Eric nous rejoint. A eux deux, ils me descendent du sling et je me retrouve � cheval sur la bite d'Eric avec Marc dans mon dos qui ajoute la sienne dans mon cul.
Je suis hyper sensibilis� de ma sodomie pr�c�dente et je jute de nouveau tr�s rapidement. Mes enculeurs me suivent de pr�s et je sens le sperme de Marc me tapisser le boyau.
Je n'ai plus aucune force. Ils sont oblig�s de me porter sous les douches et de me laver eux m�me. Je sens d�j� mon anus se refermer, au rin�age, il ne reste plus que la possibilit� d'entrer facile 2 doigts.
Ils me portent jusqu'au lit o� je m'endors direct.
Je saurais le lendemain matin que le mec (un diplomate �tranger d'apr�s Eric) avait allong� 1 000 euros avant la s�ance et qu'il en a ajout� 2 000 apr�s.
Je remerciais Marc mais lui dit que c'�tait plut�t un client pour Ric !
J'ai ressenti toute la journ�e les effets collat�raux mais au soir du vendredi, tout �tait revenu presque normal.
Le WE suivant fut suffisamment calme (seul avec Marc) pour que ma rondelle retrouve ses capacit�s nominales.
Jardinier
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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