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Soumission / Domination 65

Jeudi,

Je m'arrange maintenant pour commencer plus t�t afin de me d�gager du temps pour Emma.

J'arrive en moto. Pour �viter que les voisins jasent trop, elle m'a donn� le bip de son portail �lectrique pour que je rentre direct dans le jardin.
Elle m'attend dehors en maillot de bain. Je cale la moto sur sa b�quille en descend. Elle est d�j� dans mes bras, coll�e comme un moucheron sur mon cuir, elle prend ma t�te entre ses mains pour m'embrasser. Je la laisse faire.
Elle m'entra�ne vers un b�timent qui fait jonction entre la maison et les garages. Au travers de grandes arcades vitr�es, j'aper�ois une piscine. Nous y entrons. Je me mets vite � poil et tombe dans l'eau. Elle saute apr�s moi. Je fais deux trois longueurs puis l'attrape et la bloque dans un coin. Je fais glisser son maillot, nous sommes nus tous les deux.
Je la pousse hors de l'eau et vient m'asseoir � ses cot�s les jambes dans l'eau. Je la bascule en arri�re sur le carrelage froid. Elle frissonne. Je me penche et vient lui prendre les l�vres. J'approfondi mon baiser, ma langue vient chercher la sienne, l'attire dans ma bouche o� je peux l'aspirer puis la rel�cher.

Ma main est d�j� sur son sexe, le majeur enfonc� dedans. Ses l�vres �pil�es sont douces. J'�carte les grandes pour pouvoir attraper son clito.
Je me lib�re de sa bouche et bascule dans l'eau. Je me mets entre ses jambes et l'attire pour mettre sa chatte sur le rebord de la piscine. L� debout dans l'eau, la bite au frais, je ventouse mes l�vres aux siennes du bas. Ma langue joue passant du clito � son vagin, je fais monter son d�sir. Bient�t elle prend ma t�te de ses deux mains et appuyant mon visage sur sa chatte, elle se prend un premier orgasme que J'entretiens par un m�lange de succions et de morsures du clito.

On ressort de ce premier �change un peu sonn�s. Je me hisse et m'allonge � ses cot�s.
Elle roule sur moi, remarque que je bande et m'enfonce brusquement dans son sexe.
J'appr�cie la brutalit� de la prise. Je prend conscience que je n'ai pas de kpote ! je sort de son vagin. Elle g�mit qu'elle me veut en elle. Je bascule et me l�ve pour en chercher une dans ma combi. Une fois " habill� ", je reviens vers elle, la rel�ve et la plaque contre moi. On s'embrasse. Je la prend par les hanches la soul�ve puis la fait redescendre sur ma bite. instinctivement elle met ses jambes autour de mes hanches facilitant ainsi la p�n�tration. Comme je la soul�ve, elle m'aide en prenant appui sur mes �paules. Nous bougeons ainsi quelques instant mais je peine sous le poids.
Avisant des matelas au sol, je m'agenouille sur l'un d'eux puis doucement la pose sur le dos. Apr�s lui avoir mis ses jambes sur mes �paules, je me suis s�rieusement mis � lui limer la chatte. A genoux ou en position de pompe, j'ai enfonc� mes 20cm au plus profond de son vagin.

Quand j'en venais � lui t�ter le bout des seins, je limitais mes p�n�trations � la moiti� de ma bite butant parfois sur le clito lors de sorties incontr�l�es.
La kpote bien lubrifi�e de ses secr�tions intimes, je profitais d'une sortie compl�te de mon sexe pour le lui mettre dans son petit trou.
Juste un petit cri de surprise et je m'enfilais jusqu'aux couilles. Que c'est bon d'�tre bien serr� par l'anus. C'est quand m�me plus " sportif " qu'un vagin !
Je sortais bient�t pour �viter de partir trop vite.
Elle m'�ta la kpote et commen�a � me sucer. Pas mal, moins bons que par Jean ou Ric, mais pas mal quand m�me. En plus �a me calma un peu. Allong� sur le dos, je la fis pivoter pour pouvoir lui bouffer la moule, surtout le clito, je sais qu'elle y est tr�s sensible.
En 69, elle r�ussit � m'en manger plus (de ma bite) aid�e en cela par mes coups de reins. Moi, apr�s lui avoir fait gonfler les l�vres, je m'attaquais � son clito, le l�chant, aspirant, jouant de ma langue dessus apr�s l'avoir coinc� entre mes incisives...
Je lui arrachais un deuxi�me orgasme.

M�me si je n'avais pas encore joui, on fit une pause. Elle s ;"amusa de voir que je ne d�bandais pas.

Elle me dit de ne pas bouger et s'absenta 5mn pour revenir avec un gode rose avec couilles qu'elle me dit avoir choisi expr�s de 20cm x 5 comme ma bite.
On se remit en 69. elle me pompait quand je lui mis le gode profond dans la chatte puis repris son clito en bouche. Comme le gode me g�nait un peu, je le sorti. Alors que j'�tais � m'occuper de ses trous, j'ai senti qu'elle abandonnait ma bite pour mes couilles. Comme j'aime bien aussi qu'on me les manges, j'ai bascul� le bassin afin de facilit� son approche.
Soudain quand j'ai senti qu'elle commen�ait � me l�cher le scrotum, je me suis dit qu'elle devait avoir une id�e derri�re la t�te. Je l'ai laiss� faire et effectivement, 5mn plus tard elle me bouffait l'oignon !. trop bon, je laissais faire. Elle s'aper�u vite que ce genre de pratique m'excitait au plus haut point. Ma bite �tait raide comme jamais, mes couilles se r�tractaient et mon anus s'ouvrait.

Concentr� sur les sensations provenant de mon anus, je n'ai pas remarqu� qu'elle s'�tait empar�e du gode avant qu'elle ne me le pousse dans le cul.
Au m�me moment, elle reprit la pipe qu'elle avait abandonn�e le temps de me " faire " le cul et �crasait sa moule sur ma bouche. Bloqu�, excit� de tous les cot�s, j'ai pouss� un g�missement de plaisir �touff�.
A chaque fois que sa bouche descendait sur ma queue, elle m'enfon�ait le gode dans le cul. Ce r�gime apr�s les excitations pr�c�dente eu raison de ma r�sistance et je jutais sans me retenir dans sa bouche.

Ce n'est qu'apr�s ma derni�re gicl�e qu'elle me retira doucement le gode. Elle se colla � moi et me dit dans l'oreille que je n'avais pas jut� autant la derni�re fois ! je lui demandais d'ou lui venait l'id�e de me faire cela. Elle me dit que si elle avait trouv� bon de se faire enculer, il n'y avait pas de raison que ce soit d�sagr�able pour moi ! Raisonnement imparable !
Nous sommes rest�s un bon moment allong�s, l�g�rement assoupis. Le premier, je basculais dans l'eau et crawlais histoire de me r�veiller. Quand elle me rejoignit, nous avons nag� cote � cote quelques instants.

Je suis sorti de l'eau avec encore pas mal de questions. En effet, je trouvais son explication un peu courte. J'avais du mal � croire qu'elle avait trouv� cela toute seule. Non qu'elle soit idiote mais cot� sexuel, je pense qu'elle en �tait rest�e � la position du missionnaire !
De nouveau allong� sur le bord de la piscine, je la questionnais et finalement j'appris la v�rit�. Le p�re de Pierre avait dit � sa femme que j'�tais bisexuel et cette derni�re s'�tait empress�e de le r�p�ter � son amie. D'o� r�flexion, compr�hension du pourquoi j'aimais bien l'enculer et que peut �tre j'aimais cela moi aussi. D'o� achat du gode et ce qui venait de s'en suivre.

Je ruminais toutes ces explications dans mon petit cerveau, cherchant comment interpr�ter, utiliser et r�agir � ce que je venais d'apprendre.
Finalement je d�cidais d'�tre honn�te et lui dit une partie de ma v�rit�. Qu'effectivement j'�tais bi mais plut�t tendance homo, sans pour cela que je me force avec elle. Que si j'aimais bien faire l'amour � une femme (comme elle avait pu s'en apercevoir), je pr�f�rais encore plus le faire avec un homme. Que j'�tais " maqu� " avec un mec mais qu'elle avait une place sp�ciale.
Elle est rest�e muette quelques instants le temps de dig�rer ce qu'elle venait d'apprendre.
Elle me remercia de lui avoir dit la v�rit� car elle savait pour Marc, (l'indiscr�tion de p�re de Pierre avait �t� plus importante qu'elle ne me l'avait dit au d�part !).

Quand je lui ai dit que je serais absent les 3 prochaines semaines, en vacances avec mon mec, elle me demanda de la rappeler � mon retour avant de revenir la voir.

Le retour � moto fut propice � la r�flexion. Apr�s les vacances, voudra t'elle me revoir ? voudrais je continuer � la voir ? continuerons nous nos jeudi apr�s midi de baise ?

Arriv� � la maison, j'en faisais part � Marc qui m'a dit de ne pas m'en inqui�ter maintenant et de laisser faire. Qu'apr�s les vacances, il sera toujours temps d'y penser.

Jardinier

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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