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Soumission / Domination 6

Quand je racontais � Marc le cas de Richard, il �tait stup�fait que de tels comportements puissent exister encore.
Je lui disais que je n'aurais pas la prime pour avoir d�coinc� la m�re mais que je m'en foutais, qu'elle �tait trop mauvaise ! Mais que je tenais � sortir Richard de cet assujettissement.
Il sourit devant ma v�h�mence mais m'assura de son soutien.
Ce soir l� il me fit un bon gros c�lin tr�s tendre qui me rendit encore plus amoureux de lui !

Le lendemain, j'avais ajout� du gel dans ma sacoche.
Comme la veille, la m�re exc�d�e de me voir � moiti� nu, me laissa seul avec son fils dans la maison.
Il me rejoignit d�s cette que cette derni�re eu pass� la porte, juste en Speedo et tong, d�bordant de vitalit� et me sauta au cou.

Maladroitement il me roula une pelle. Je lui pris la t�te entre mes mains et ma�trisant ses mouvements, je lui enfon�ais ma langue dans la bouche.
Sa r�action fut imm�diate et je sentis son sexe grossir contre ma cuisse et venir appuyer sur mes couilles. Je n'�tais pas en reste et ma barre s'allongea sur ma hanche gauche.
Je pris un de ses t�ton entre mes doigts, le fit rouler puis le pin�a l�g�rement. Il g�mit de plaisir. Je faisais un autre test en lui serrant doucement mais fermement ses couilles. De nouveau, il g�mit et sa bite grossit encore plus contre mon poignet !
Je remarquais que sa m�re, au lieu de le rendre plus sage en le battant, lui avait rendu la douleur jouissive et en avait fait un bon petit maso !!
Il me demanda de venir dans sa chambre. Je d�couvrais son univers. Stricte, petit lit dans un coin, crucifix au dessus de la t�te, murs nus, pas d'ordinateur, rayonnages de livres une vrai cellule monacale !

Il tomba � genoux, d�fit les boutons de mon short jeans faisant surgir ma bite comme un diable de sa boite. Il prit le gland dans sa bouche et commen�a en ronronnant � me sucer.
Je le relevais et lui demandais de se coucher sur le dos la t�te hors du lit. Je lui remis ma bite dans la bouche, cette position lui permis d'en prendre plus avant de bloquer. Comme je sentais qu'il en voulait plus, je lui ai expliqu� d'avaler au moment ou mon gland toucherai sa glotte.

Il eut quelques renvois mais, vaillamment, il r�ussit atout avaler. Tout fier, il me demanda si c'�tait comme �a qu'il fallait faire. Je lui assurais qu'il s'en sortait tr�s bien. Nu, je le fis mettre � genoux sur le lit. Lui masturbant la bite entre ses jambes, je pla�ais ma bouche sur son petit trou vierge et entrepris de lui bouffer l'anus.

Apr�s un sursaut d'incompr�hension, je le sentis se d�tendre sous ma langue. je lui d�vorais le cul, salivant, pointant ma langue. Je tirais sa queue vers moi avec difficult� (tellement il bandait dur) et en m�me temps p�n�trais son trou de mon majeur. Je trouvais tout de suite la prostate et la caressais pour initier le plaisir de la p�n�tration. Cette manoeuvre fut ponctu�e par un " ouiiiiiiii " qui m'indiqua que j'�tais sur le bon chemin !

J'attrapais le gel que j'avais apport� et pla�ais l'embout du tube sur le trou. J'appuyais pour faire entre une dose puis m'en enduit l'index et le majeur.
Je fis entrer le plus long des doigts et le tourna pour bien enduire la paroi de gel.
J'y mis le second apr�s une petite r�sistance qui lui arracha un cri. Je cessais imm�diatement quand il me dit de continuer et de ne pas tenir compte de ses r�actions car c'�tait trop bon.

Apr�s un bon 1/4 d'heure de travail je faisais p�n�trer un troisi�me doigt. Nouveau sursaut, sans cri. Je tournais d�licatement en appuyant pour dilater progressivement son anneau.
Quand il m'apparut pr�t, j'enduisis ma bite de gel et pla�a mon gland sur l'anus.
En appuyant un peu, je le voyais entrer. Je pr�vins Richard de serrer les dents et de " pousser " le temps que je le p�n�tre.

Il s'accrocha aux draps et lui �cartant bien les fesses pour tirer sur les bords de l'anus, je suis entr�. C'�tait super de voir son anneau se dilater sous la pression de mon sexe. Pas un cri, une fois bien plant� au fond, il se tourna vers moi et je pu voir quelques larmes mais surtout un beau sourire. Je me retirais doucement laissant le gland bien au chaud. J'enduisis de nouveau ma hampe de gel et replongea au fond de son cul, c'�tait d�j� plus facile ! la troisi�me fois c'est lui m�me qui a recul� sur ma queue. Puis ce ne fut que r�les et soupirs. Je m'accrochais � ses �paules et lui cassais m�thodiquement son petit cul.

Le redressant contre mon torse, je lui pin�ais les deux t�tons. Un peu plus de pression dessus et il s'est mis � juter partout sur les draps avec de bonnes contractions de son anneau qui me firent me r�pandre en lui. Il s'�croula sur le lit, je me couchais sur lui la bite encore dans son cul. Quelques va et vient tir�rent mes derni�re gouttes de spermes et quelques grimaces de Richard. Je basculais sur le cot�. Je lui demandais comment il avait aim�. Il me dit avoir ador�, que c'�tait plus que tout ce qu'il connaissait comme plaisir. je lui dis que ce n'�tait qu'un d�but et qu'il avait encore plein de chose � apprendre.
Le temps ayant coul�, je retournais vite au jardin avant le retour de la mar�tre !!

Le mari et p�re est rentr� plus t�t car nous devions faire le point avant que je parte. Une fois dans son bureau, je lui ai dit que pour sa femme je d�clarais forfait. Qu'une telle bigote �tait au dessus de mes forces. Il �tait mort de rire car il le en �tait s�r depuis le d�but.
Par contre quand je lui ai racont� ce qu'elle faisait subir � son fils, il devint beaucoup plus circonspect. Je lui assurais avoir vu et m�me t�t� les cicatrices du martinet, son isolement...

Il me dit avoir bien remarqu� que Richard �tait plut�t du type renferm� mais avait mis cela sur le dos de la jeunesse. Il �tait furieux contre sa femme. Je lui dis alors qu'elle en avait fait un jeune homme soumis et m�me Maso.
Que c'est avec de la souffrance qu'il s'�clatait le plus ! Je lui expliquais que n'ayant pu lui pr�parer sa femme (celle ci s'�tant barr� de la maison ces deux derniers jours afin de ne pas me voir � demi nu), je lui avais d�bourr� son fils que j'avais trouv� plein de bonnes dispositions en ce sens.

Il mit quelques minutes � dig�rer la nouvelle, me regardant fixement. J'ajoutais que l'ayant trouv� tr�s appr�ciateur de mon petit Jean, il serait mal venu de m'en tenir rigueur !
Il fit le tour du bureau pour s "asseoir dans le fauteuil � cot� de moi et me demanda ou j'en �tais de l'�veil au sexe de son fils.
Je lui racontais par le menu, ce que j'en avais tir� � ce jour.
Il me demanda s'il serait bient�t pr�t � recevoir ce qu'il avait entre les cuisses. Je lui dis que cela prendrait quand m�me un peu de temps car, si la douleur le faisait jouir, il n'�tait pas question de lui d�chirer l'anus pour autant ! Il �tait d'accord.
Il me demanda si je pouvais m'en occuper de fa�on exclusive pendant les 2 semaines � venir et me proposa un nouveau " d�dommagement ".

Je demandais � m'isoler et appela Marc. Je lui expliquais et il me proposa qu'on le forme tous les deux � la maison.
Je donnais une r�ponse positive au p�re � la seule condition que je n'ai pas sa femme dans mes pattes. Il m'assura qu'elle ne me ferait plus d'ennuis. Je lui dis aussi que pour bien le faire progresser, j'allais devoir l'emmener chez moi car j'y avais le mat�riel n�cessaire mais qu'il y aurait des frais de pension en plus.
Il me dit �tre d'accord sur tout si je lui ramenais un " Jean bis ".
Nous nous quitt�mes sur le fait que je passerais le chercher le lendemain matin.

Jardinier

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