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Soumission / Domination 49
Dimanche :
Le jour me r�veille, je sens une t�te sur mon bras. Je me tourne et vois que Pierre dans la nuit est venu se blottir contre moi. De l'autre cot� de Pierre, Marc dors encore profond�ment.
Je me glisse hors du lit sans r�veiller mes compagnons, me rafra�chit d'une douche froide et descend � la cuisine. Au passage, je regarde qui dors avec qui. Les portes des chambres sont entrouvertes ou carr�ment ouvertes. Arnaud est dans les bras de Bruno (normal), Eric s'est accapar� Ric (ce qu'il fait toujours quand ce dernier est avec nous).
Dans le baisodrome, un des grands lits est occup� par Igor avec un fils de chaque cot�, l'autre par Phil et Luc. C'est dans une autre chambre que je trouve Jean en train de r�veiller Seb par une bonne pipe bien profonde. Je reste � mater le spectacle jusqu'� ce que Jean se recule brusquement avant de recevoir partiellement sur le torse les jets de sperme. L'orgasme finit de r�veiller Seb. Je les attends alors qu'ils se douchent et nous descendons tous les trois prendre un caf�.
Nous finissons de ranger la maison et la terrasse de la piscine. Il fait beau ce matin l� et nous piquons une t�te dans l'eau.
Petit � petit, nous voyons appara�tre les partouzards. Apr�s un passage en cuisine, ils nous rejoignent, caf� en main.
Alors que Luc et Phil se penchent pour nous faire la bise, Seb et moi les faisons basculer dans l'eau. Eclaboussures, protestations...rires de ceux rest�s � l'�cart !
Bient�t nous sommes tous � patauger, d�lassant les muscles courbatur�s par certaines positions de la veille.
Contrairement � la veille, l'ambiance est plus langoureuse et sensuelle que brutalement sexuelle. Caresses et bisous dans le cou remplacent pipes et sodomies.
Cette ambiance perdure jusqu' apr�s une sieste g�n�rale qui a pris tout le monde au sortir du petit d�jeuner/d�jeuner BBQ.
J'envoyais les 4 plus jeunes (Ric, Jean, Pierre et Arnaud) r�veiller nos a�n�s par de lent, tr�s lents passage de langue sur leurs sexes. A force d'�tre l�ch�es fa�on cornet de glace, les bites se sont raidies et c'est plut�t fa�on d�gustation de glace en b�tonnet que les pipes ont continu�es. Il y avait presque un concours entre les suceurs pour �tre celui qui en prenait le plus dans sa gorge. Performance gagn�e par Ric sur Eric bien s�r ! avec l'entra�nement paternel, il est imbattable et non seulement il le prend entier dans sa bouche mais il arrive � bloquer le gland en fond de gorge plus d'une minute avec de fr�quentes d�glutitions qui font le bonheur du suc�.
Jean n'est pas loin de l'�galer. Mes clients TTBM commencent � bien lui formater sa petite gueule. Pierre et maintenant Arnaud arrivent bien a avaler leurs 22cm.
Les jumeaux ont entam� un 69. c'est amusant de les voir faire l'amour. Est ce qu'ils baisent ou ne se masturbent ils pas ?
Apr�s les avoir bien mat�s, nos bites claquant sur nos abdos, Seb, Phil, Luc en moi avons rapproch� des matelas de bronzage et nous nous sommes immisc�s dans le duo. Caresses, l�chages, bouffage d'oignons... eurent raison de leur isolement et � 6 nous nous sommes emm�les, alternant sous nos langues qui une bite qui une langue ou m�me une rondelle.
Comme je jetais un oeil en dehors de la m�l�e, j'ai pu voir que nos a�n�s �taient pass�s � la vitesse sup�rieure. Toujours �tendus cote � cote sur les m�ridiennes, ils se faisaient chevaucher par leurs suceurs respectifs.
A l'appel de Marc, je me rapprochais pour prendre les ordres. Il avait eu l'id�e que Phil, Luc, Seb et moi allions nous intercaler. A cheval plant�s sur leurs bites nous avons enfil� les pr�c�dents cavaliers. Arnaud couch� sur le torse de Bruno, lui roulait une pelle bien profonde secou� par les coups de bite de Seb. Moi, plant� � cru sur Marc faisait de m�me dans Pierre. Ce dernier s'�tait accroch� aux �paules de Marc pour ne pas glisser en avant.
Sur ma gauche, Phil chevauchait Eric tout en sodomisant Jean et Igor bourrait Luc qui lui m�me enfilait Ric. Les jumeaux de leur cot� avaient repris leur 69 masturbatoire.
Nous avons tous tenu la position et alors que notre trio avait la chance de juter sans kpotes, tous les autres ont rempli les leurs, les jeunes maculant les torses a�n�s de longues tra�n�es blanches.
Ecroul�s les uns sur les autres, nous avons repris notre souffle en matant les jumeaux se finir. Leurs bouches ventous�es sur leurs bites, on a pu les voir d�glutir � chaque �jaculation fraternelle. Trop beau � voir !
Marc exigea que tous nous passions � la douche avant de retourner dans la piscine. Pas question que du sperme flotte � la surface. M�me si chacun fait bien attention, on est jamais � l'abri d'un accident.
La fin de journ�e s'est pass�e entre bronzage, nage, mini comp�tition o� Ric nous a tous battu .
Le soir venu, alors que les " familles " et les motards nous quittaient, je ramenais Jean, Pierre et Ric chez eux.
Je laissais Jean devant chez lui. Je faisais de m�me avec Ric car le p�re de Pierre m'avait fait passer le message qu'il souhaitait me voir. Je montais donc avec Pierre jusqu'� sa maison. Son p�re nous ouvrit et apr�s avoir embrass� son fils, m'entra�na dans son bureau. L�, il me passa l'enveloppe de mes �moluments puis commen�a � discuter. Il voulait savoir comment �a allait avec Pierre. Je le rassurais, lui disant que je m'en occupais particuli�rement et que s'il avait particip� � des touzes, ce n'avait �t� qu'entre amis et jamais de fa�on tarif�e. �a l'a rassur�.
Il me demanda n�anmoins d'espacer les WE afin que Pierre r�ussisse ses �preuves de fin d'ann�e. Moi, je lui demandais des nouvelles de sa femme. Il me dit que de ce cot� l�, j'avais relanc� la machine et que maintenant, il pouvait lui faire l'amour tous les soirs ou presque. Qu ;"elle avait pris en plus un amant avec qui elle s'envoyait en l'air plusieurs fois par semaines et avec qui de temps en temps ils baisaient � trois et elle appr�ciait d'�tre fourr�e par les deux trous.
Ce qui lui permettait de retrouver le plaisir de la double p�n�tration qu'il avait test� avec moi lorsque tous les deux nous avions redonn� le go�t du sexe � sa femme.
Elle vint nous rejoindre d�s que Pierre lui ait dit que j'�tais dans le bureau de son mari. Comme je me levais, elle me serra dans ses bras, me fit un bisou sur les l�vres et me remercia d'avoir sauv� son couple. J'en attendais pas tant !
Comme elle me demandait comment elle pouvait me remercier, je lui assurais que son mari s'en �tait charg�. Elle me dit que si j'avais besoin d'un appui quelconque aupr�s de tout ce qui se faisait d'important dans la ville, il ne fallait pas h�siter, car ils en connaissaient tout le gratin �conomique, politique ainsi que toute la magistrature et le milieu m�dical.
Je la remerciais d'avance. Elle me demanda si je faisais toujours ce genre de prestation. Je lui disais que je n'ai avais plus trop le temps. Elle me dit alors que c'�tait pour une de ses bonnes amies qui saurait se montrer g�n�reuse.
C'est en fait une jeune veuve qui s'�tait occup� longtemps d'un mari infirme et qui n'avait plus le courage d'aborder et de se laisser aborder par les hommes.
Ha ! quand on pince ma corde sensible, j'ai du mal � refuser !! (serais je devenu v�nal ? !)
Je r�fl�chissais vite pour trouver deux heures dans mon emploi du temps surcharg�.
Je proposais deux fin d'apr�s midi. Elle me contacterai pour me dire laquelle irait.
Quand je suis rentr� � la maison, Marc s'amusa de mon nouveau plan meuf ! surtout que je sois pris pour un jeune homme si serviable !
Jardinier
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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