Page pr�c�dente

1er �pisode | �pisode pr�c�dent

Soumission / Domination 20

Je retrouve Marc � la maison le samedi apr�s midi. Je lui raconte mes derni�res p�rip�ties et de lui faire voir les enregistrements.
Il rigole du boss mais trouve le jeune int�ressant. Je sais que ce terme recouvre beaucoup plus de choses que l'on pourrait penser.
Il me demande plus pr�cis�ment ce que j'en pense. Je lui dis que S�bastien m'a fil� son num�ro perso pour que je le rappelle. Que c'est un timide, mais qui � l'air d'appr�cier ce qui lui arrive.

Il me demande alors de faire en sorte de le lui amener, car il verrait bien sa nouvelle t�te dans notre groupe de " travail " !
Je lui demande jusqu'o� il m'autorise � aller, sa r�ponse fuse " jusqu'� lui donner ton cul si n�cessaire ". au moins �a a le m�rite d'�tre clair, il le veut ! et m'ordonne de le rappeler.
Je fais le num�ro, 4 sonneries et Seb d�croche. Je me pr�sente et apr�s quelques civilit�s (on s'est quand m�me vu le matin m�me !) il me propose de venir courir avec lui le lendemain matin, car il conna�t un parcours sympa.
Un coup d'oeil � Marc m'autorise � accepter. Nous fixons 10 heures chez lui.

� peine ai je raccroch� que Marc se l�ve. Je n'avais pas vu qu'il avait sorti son service trois pi�ces et c'est dans ma gorge qu'il lui a trouv� une destination, me d�fon�ant le larynx d'excitation.
M'appliquant bien sur toute la longueur de sa hampe, je l'ai amen� doucement � me remplir la bouche de son jus d�lectable avalant � grands traits au fur et � mesure de son �jaculation.

Le dimanche matin, je me levais t�t pour me pr�parer. Rasage, �pilation, lavement, � la sortie de la salle de bain j'�tais pr�t.
Marc avait choisi mes sous-v�tements (short blanc moulant), t-shirt blanc, ma combinaison moto (la une pi�ce qui me moule comme une deuxi�me peau) et dans mon petit sac � dos, un jocko, un t-shirt de rechange et un cycliste bien moule burnes avec mes chaussures.
J ;"enfilais mon casque sur la t�te et apr�s une demi-heure je sonnais � la porte de l'immeuble.

S�bastien d�clencha l'ouverture et me donna l'�tage de son appart.
Il m'attendait sur le palier d�j� pr�t en jogging. Il me fit entrer. Appart sympa de jeune cadre, type 2 avec balcon, quelques meubles de designers branch�s. Il me conduit � sa chambre et me propose de m'y changer.
Je me mets � poil devant lui qui est rest� pour discuter. J'enfile mon jock strap, il me demande si je porte toujours cela pour le sport? je lui r�ponds que oui, mais pas que pour le sport ! il rosit un peu, je finis de m'�quiper.
Nous partons en voiture (il a une A3) jusqu'� une entr�e de bois. L� � ma surprise il retire son jogging pour appara�tre dans la m�me tenue que moi, t-shirt et cycliste. Il me demande de choisir entre 5 et 10 ;Km , nous partons pour 5, je tiens � avoir un peu de temps pour le "chauffer".
Je le suis, nous nous enfon�ons dans le bois suivant un sentier bien balis�. Devant moi, j'ai la vue sur son beau petit cul rond bien app�tissant. Nous faisons le parcours d'une seule traite, croisant ou doublant de temps en temps quelques sportifs du dimanche.
Nous rejoignons la voiture en sueur, les 100 derniers m�tres ayant �t� sprint�s !

Nous regagnons son appart. Il me propose de me doucher. Je lui fais la remarque que je ne serais pas parti sans ! il me conduit � la salle de bain. Je me mets nu et fais couler l'eau sur mon corps. Je cherche le gel douche, rien. J'appelle Seb qui entre aussit�t, � croire qu'il �tait de l'autre cot� de la porte ! je sors la t�te de la douche et lui demande le gel. Il me tend le flacon. Je vois bien son sexe band� sous le Spandex de son cycliste. La douche est grande, je lui dis qu'on gagnerait du temps � la prendre ensemble. Troubl�, il dit oui et se met � poil � son tour.
Il me rejoint et nous savonnons. Il me tourne le dos, je le lui savonne. Il frissonne (peut-�tre le souvenir de l'autre fois ?), mais me laisse faire.
Je le fais pivoter, baissant un peu ma t�te, je lui prends les l�vres puis la bouche mettant toute mon exp�rience dans ce baiser.

Il fond ! je sens �a bite regonfler entre nous deux et venir appuyer sur mes couilles.
Nous restons bien 1/4 heure coll�s ainsi sous le jet d'eau. Quand j'essaye de m'�carter, il me retient dans ses bras. Je le laisse faire. La fin du ballon d'eau chaude nous expulse de la douche.

Nous nous s�chons mutuellement. Une certaine g�ne s'installe, et nous regagnons le s�jour la serviette sur les reins. Il me propose � boire, j'accepte, il part � la cuisine je le suis sans bruit. Quand il se retourne apr�s avoir pris une bouteille dans le frigo, je plaque mon corps contre le sien le bloquant contre la porte. Je rattrape au vol la bouteille qui allait s'�craser au sol et reprend l� o� nous nous �tions arr�t�s c'est-�-dire avec ma langue dans sa bouche !
Nos serviettes glissent et je sens de nouveau sa bite venir buter sur mes couilles.

Brusquement, il se rend compte que ses voisins peuvent nous voir au travers de la porte-fen�tre donnant sur le balcon. Il se baisse pour attraper les serviettes et nous en couvrir le sexe.
Il m'entra�ne dans le s�jour o� des rideaux de voile nous cachent de l'ext�rieur.

Je le couche sur le canap� et commence � le caresser. Mes l�vres glissent de sa bouche sur sa gorge puis descend sur sa poitrine trouvant son t�ton gauche, je m'y fixe un instant qui s'allonge au vue de la r�action engendr�e. Mon nouvel ami m'a l'air bien sensible et alors que je sens gonfler le petit morceau de chair entre mes dents, son souffle s'acc�l�re. Je me redresse et passe � l'autre t�ton. M�me sensibilit�, je cesse et reviens l'embrasser. Il me serre tr�s fort dans ses bras. Il se calme et je peux repartir en exploration. Je redescends donnant juste un coup de langue sur le t�ton en passant. Je laisse tra�ner ma langue au milieu de ses abdos bien dessin�s, m'attarde un instant dans son nombril. De l� j'ai une vue en gros plan de son gland. Sa bite band�e au maxi, est plaqu�e sur son ventre. Comme l'avait pr�dit Marc elle doit bien avoisiner les 19cm.

Je sors ma langue de son nombril et la pose sur le gland. Sursaut de la "b�te". Je recommence, rebelote ! � la troisi�me fois, je prends tout son gland dans ma bouche, l'emp�chant ainsi de m'�chapper. Il pousse un cri de plaisir. je le laisse se calmer sans bouger. Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite. Je continue lentement mon pompage, prenant de plus en plus de centim�tres dans ma bouche puis ma gorge. Les premiers passages du gland sous ma glotte le surpris agr�ablement, je l'ai senti relever la t�te pour me regarder faire puis, sa curiosit� assouvie, il la reposa.

Alors que j'arrivais � l'avaler enti�rement, j'ai senti son corps se tendre, j'ai tout arr�t�. Il �tait temps pour un peu il giclait. Alors que j'approchais mon visage du sien, il prit ma t�te entre ses mains et m'a attir� pour me rouler une pelle. Il me dit que c'�tait la premi�re fois qu'on le su�ait comme �a. Les quelques meuf qui voulaient bien le sucer prenaient en g�n�ral pas plus de la moiti�. Je lui expliquais qu'il leur manquait l'app�tit, mais lui confiais aussi qu'il fallait un peu d'entra�nement pour y arriver sans vomir.

Plein de bonne volont�, il me dit de prendre sa place et essaya de me rendre la pareille.
Passage de la bouche aux t�tons (un peu moins sensibles que les siens) puis il me goba le gland. Doucement il pompa de plus en plus profond�ment jusqu'� buter sur la luette, il en restait encore bien 8cm en dehors. Apr�s l'avoir laiss� s'�trangler � essayer d'en avaler plus, je me suis redress� et lui ai demand� de se coucher sur le dos sur sa table basse.
;Je lui ai plac� la t�te en dehors du plateau et lui ai pouss� la t�te en arri�re. En m�me temps je lui expliquais pourquoi cela je me suis agenouill� devant lui. Je lui mis mon gland dans sa bouche puis doucement suis entr� jusqu'� la glotte. Alors qu'� ma demande il d�glutissait, je me suis enfonc� dans sa gorge. Aussit�t je me suis retir� pour le laisser respirer. J'ai recommenc� plusieurs fois, sortant toujours aussi vite pour lui �viter les renvois. Lorsque je suis rentr� enti�rement, j'ai stopp� la le�on. Je lui avais d�montr� que lui aussi y arriverait sans probl�me.

Il me dit avoir aim� cela malgr� les contractions de son estomac. Assis sur le tapis, tous les deux cote � c�t� adoss�s au canap�, je lui demandais jusqu'o� il voulait aller avec moi ? je lui dis alors que j'�tais bi tendance tr�s gay. Il me r�pondit que pour lui la question ne s'�tait jamais pr�sent�e avant moi et que jusque-l� les meufs le contentaient. Mais depuis qu'il me connaissait, les d�couvertes qu'il faisait lui ouvraient de nouveaux horizons.

L� dessus il me bascula et nous avons roul� sur le tapis en s'embrassant. Comme il glissait vers ma bite, je l'ai fait pivoter t�te-b�che pour un 69. apr�s avoir bien saliv� sur mes doigts, je profitais du fait qu'il perde pieds sous ma fellation pour lui en enfiler un puis deux dans le cul. Trop neuf dans cette pratique, il se mit � jouir et j'ai juste eu le temps de l'expulser de ma bouche avant de recevoir sa cr�me sur mon cou et mes pecks.
Bien que son excitation soit retomb�e, il se remit � me sucer jusqu'� ce que je jute � mon tour sur mes abdos.

Apr�s un bon 1/4 heure de r�cup�ration, je reprends une douche rapide. De l'autre cot� du panneau vitr�, Seb me mitraille de questions pour savoir comment j'�tais devenu homo, pourquoi ? si j'avais aim� �a d�s la premi�re fois ? O� j'en �tais maintenant ? etc.
J'�dulcorais pas mal mon parcours pour le rendre plus "politiquement correct", lui avouant quand m�me �tre en couple, mais de fa�on tr�s libre.

Une fois habill�, je suis parti rejoindre mon Marc et tout lui raconter.

Jardinier

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :