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Soumission / Domination 187

PH, vacances � la maison-4, La Baule

La distance en moto avec un grand gabarit coll� � mon dos, je ne le sens pas. malgr� l'envie qu'en a PH, je le convaincs et nous prenons la Mercedes.
Nous partons en fin de matin�e et comme cela �vitons tous les bouchons des WE d'�t�.
J'ai beau faire attention, je roule au del� de la vitesse autoris�e et comme je suis distrait par la pr�sence de PH � mes cot�s (m�me s'il n'est pas constamment pench� au dessus de moi pour me sucer la tige), je remercie l'avertisseur de radar de me pr�venir � temps.
En effet, ce n'est pas � chaque fois que je tomberais sur des motards arrangeant, aupr�s desquels je pourrais n�gocier l'amende contre ma bouche ou mon cul ou m�me ceux de mon PH !

Nous arrivons sans encombre devant l'h�tel. M�me si PH fait parti d'une famille plus qu'ais�e, il n'est jamais descendu dans ce type d'h�tel. Comme il a bien �t� �lev�, cela ne se voit pas trop.
Nos sacs sont pris en charge par un groom qui nous conduit � notre suite : un grand salon et s'ouvrant par une double porte, une chambre � peine moins grande.
D�s qu'il nous a quitt� avec un billet au creux de la main, PH saute sur le lit puis se tourne sur le dos.
Je le rejoins et le couvre de mon corps. Nos l�vres ne mettent pas de temps � se trouver et nous nous roulons un patin passionn�. Je bande et le sens bander lui aussi. Ses mains courent sur mon dos et rel�vent mon polo. Je me d�colle le temps qu'il me le fasse passer par dessus la t�te. Du coup, avant de reprendre notre baiser, je tire sur son polo et le mets torse nu lui aussi.
Le contact de nos deux �pidermes renforce nos bandaisons. Je bascule sur mon dos l'entrainant au dessus de moi. Il cesse bient�t de m'embrasser pour aller titiller mes t�tons et les faire se gonfler. Sa langue emprunte un chemin qu'elle commence � conna�tre : bouche, t�tons, abdos et gland !
Mais l� ma queue bloqu�e � l'horizontale dans mon boxer et mon bermuda lui laisse un acc�s � mon nombril et jusqu'� la naissance de ma queue.
C'est lui qui n'y tenant plus a d�fait ma ceinture, a d�-zipp� mon short et apr�s avoir pass� mon boxer sous mes couilles a enfin pu d�marrer sa fellation.

Trop, trop bon la douce chaleur de sa bouche et l'agilit� de sa langue ! J'en suis l� quand j'entends frapper � la porte. Tout concentr� � me sucer, PH ne l'entend pas.
Je lui mets mes mains sur sa t�te et crie d'entrer. En simultan� : PH essaye de relever la t�te et de cesser sa pipe, moi je lui retiens la t�te avec mes mains plac�es dessus en pr�vision de ce mouvement de retrait et je vois un gar�on d'�tage manquer de renverser le seau � champagne avec sa bouteille (qui va avec la suite), quand il nous voit.

Tr�s s�rieusement, je lui dis de d�poser son fardeau sur la table basse et de venir chercher son pour boire. Il d�pose le seau mais h�site � venir vers nous.
PH de son cot� s'est remis � me sucer avec entrain.
Quand le gar�on se d�cide � nous approcher, je glisse une main dans la poche de mon bermuda et en sort un billet de 20�. Il s'approche plus. PH se redresse d�gageant ma bite raide et luisante et tourne la t�te. Apr�s l'avoir d�visag� quelques secondes, lui demande s'il en veut. Il a tout compris comment je marche le " petit " !
Comme je sens le gar�on d'�tage h�siter, je lui propose juste un avant go�t et qu'il pourra en profiter � sa pause o� apr�s son service.

L�, il se penche au dessus de moi et enfile ma bite jusque dans sa gorge. Ma main vient naturellement sur sa nuque et le maintient le temps qu'un petit coup de rein m'assure que je suis au plus profond de sa gorge.
PH aux premi�res loges siffle d'admiration et je l'entends commenter que ce ne doit pas �tre sa premi�re !

Le gar�on se redresse, tout rouge et nous dit qu'il finit le soir � 22h. Je lui propose de nous rejoindre vers 23h. Il acquiesce et sort.

PH me fait remarquer que nous n'avons pas perdu de temps. Je lui r�ponds que question sexe, il faut faire feux de tout bois et savoir s'adapter au milieu. �a le fait rire de bon coeur.

Je coupe la discussion en appuyant sur sa t�te, qu'il reprenne l'action � avant l'interruption par le gar�on d'�tage.
PH termine sa pipe de fa�on tr�s convaincante et je lui jute sur le torse. Il vient coller son dos contre le mien (de torse) et je le branle jusqu'� ce que sa cr�me rejoigne la mienne.

Passage rapide sous la douche et j'ouvre la bouteille. Nous nous enfilons deux coupes, affal�s sur le canap� devant la baie.

Je lui fais enfiler quelques v�tements et nous sortons. A l'accueil je demande si Franck et son grand p�re sont � l'h�tel. Ils n'y viendront qu'au mois d'aout, dommage !

Il est d�j� plus de 13h quand nous d�ambulons sur le front de mer � mater derri�re nos lunettes de soleil.
Je ne sais pourquoi mais nous sommes pris pour de touristes �trangers et les remarques sur nous ne sont pas discr�tes. Faut dire que deux beaux mecs, en bermudas baggy et marcel blanc (ce qui fait ressortir notre bronzage), ch�tains clair, l'un ras� l'autre cheveux mi-longs et tong aux pieds, �a en trouble plus d'une et d'un !
Et pourtant nous ne nous tenons pas par la main !!

L'odeur qui s'�chappe du restaurant de la plage nous rappelle que nous n'avons rien aval� depuis notre petit d�jeuner. Du coup, je pousse PH vers les escaliers.
Le restaurant commence � se vider. Un des gar�ons nous prend en charge et nous emm�ne � une table en bordure de terrasse. Comme il avait attaqu� direct en anglais, nous ne le d�trompons pas et continuons dans cette langue que nous maitrisons tous les deux. �a nous amuse !

Il revient 2mn plus tard avec la carte et s'�vertue � nous la traduire.
Nous le remercions lui disant que c'est rare de trouver dans ce pays un serveur qui soit aussi � l'aise avec la langue de Shakespeare. Il nous remercie et part avec notre commande d'ap�ritif.
Sur ses conseils nous nous r�galons avec du poisson.
Quand nous finissons notre repas, il ne reste plus que deux tables. Notre serveur revient vers nous avec les caf�s et nous discutons un peu de ce qu'il y a � faire dans le coin.
Nous gardons notre r�le d'�trangers. Il commence � nous indiquer les bars sympas, ceux o� on peut draguer les meufs de notre �ge ou se faire draguer par des femmes plus " m�res ". Il passe aux boites de nuit du coin quand son boss l'interpelle pour lui demander d'avancer un peu. R�ponse en fran�ais qu'il s'occupe de clients pour qu'ils (nous) prennent son restaurant comme cantine ! Nous faisons semblant de ne pas comprendre exactement ce que veut son patron.
Il reste donc encore un peu avec nous. Quand nous lui demandons les endroits o� nous pourrions trouver plut�t des mecs, il nous sourit et nous indique la plage naturiste de Pin-Bron avec sa zone exclusive homo en pr�cisant que �a drague dans le bois entre la route et le sable.
Il ajoute que nous pourrons l'y retrouver � partir de 16h00.

Nous passons la digestion en nous promenant jusqu'� Pornichet. Nous tombons amoureux d'une grosse villa style 1900, blanche avec de grosses corbeilles de fruits aux coins de la toiture.

Retour � l'h�tel le temps de passer nos maillots et de prendre un drap de plage (2m x 2, pas besoin de deux draps !).

Je connais la route pour Pin-Bron et nous y sommes en quelques minutes.
Sur le chemin qui traverse le petit bois de pins, PH me dit n'avoir jamais �t� sur ce type de plage que ce soit homo ou nudiste. Je le rassure et lui dit avoir pris de l'�cran total pour que nos fesses et nos sexes restent blancs.

Nous grimpons la petite dune et je m'aper�ois que j'ai trop tir� � droite et nous tombons plut�t cot� " tissu ". Je me d�barrasse de mon marcel et de mon baggy et PH fait de m�me. En maillot nous rejoignons par le bord de l'eau le secteur qui nous int�resse. Malgr� le temps incertain, la plage est pas mal occup�e. Je cherche des yeux une place sympa pour poser notre serviette g�ante. Nous trouvons un espace quand notre serveur du midi se l�ve et vient � notre rencontre.
Il nous invite � se joindre � lui et ses amis.
Je n'ai pu m'emp�cher de le d�visager (enfin de le mater de la t�te aux pieds) et comme il est totalement nu, je peux remarquer que niveau pilosit�, lui aussi taille dans les poils.
Il nous dit s'appeler Beno�t. Il fait environ 1,80m, pas mal balanc�, muscl� juste comme il faut et le poil ras� sauf sur le pubis surplombant un sexe bronz�, au repos d'une 12aine de cm.
Pr�sentation des ses potes, idem de notre part, nous usurpons une nationalit� Hollandaise et nous �talons notre drap.
Ses amis, deux mecs, la 20aine aussi, sont de la m�me tribu, ras�s aussi et bronz�s int�gralement.
Ayant d�j� fait du nudisme avec Marc les premi�res ann�es, je quitte sans probl�me mon maillot (apr�s que ce dernier ai �t� admir�). PH a un peu plus de mal et il rougit alors que nu, nous pouvons tous voir chez lui un d�but d'�rection.
Sans pudeur mal plac�e, je couvre mes fesses et toute ma peau blanche d'un �cran total et passe le tube � PH pour qu'il fasse de m�me.
Bien sur, la discussion d�marre, en anglais, sur nudisme ou non... moi je leur dis que je suis pour, c'est tellement plus agr�able de se baigner sans maillot mais que j'aime beaucoup garder mon petit cul blanc, que je trouve cela plus sexy. PH ne dit rien et observe, les jambes repli�es pour cacher son �rection.

Nous papotons encore quelques instants avant qu'ils ne nous invitent � aller dans l'eau.
PH ayant d�band�, nous courrons avec eux les quelques m�tres qui nous s�parent de l'oc�an.
Dieu quelle est froide ! Malgr� les vagues qui nous fouettent, je sens tous les poils que j'ai ras�s se dresser. PH � cot� me crie que c'est glacial ! Emport�s par l'�lan, nous nous retrouvons enfonc�s jusqu'aux �paules. Je plonge et me mets � crawler pour me r�chauffer. PH me suit. Ce n'est qu'apr�s avoir fait plusieurs centaines de m�tres que je m'aper�ois que nous nous sommes bien �loign�s de la plage. Nos nouvelles connaissances nous font de grands gestes.
Direction la plage, au m�me rythme. Quand nous arrivons, ils nous regardent avec de grands yeux en nous demandant ou nous avons appris � nager comme des hors-bords. Je brode que la mer du nord et sa froideur nous motive � bouger pour �viter de finir en gla�on. Chacun son tour de se moquer gentiment de l'autre !
A barboter sur place, on se refroidi vite et nous d�cidons de regagner nos serviettes.

Ils nous demandent ou nous cr�chons. Au nom de notre h�tel l'un des amis siffle en nous disant que �a devait aller pour nous question fric. Du coup le deuxi�me pote nous demande ce qu'on fait dans la vie.
Pour me moquer gentiment tout en restant pr�s de la v�rit� finalement, je lui r�ponds putes, mais de luxe �videmment !
Ils sont sci�s et le premier � r�agir, notre serveur, nous demande si nous taffons en ce moment. PH qui commence � s'amuser lui aussi leur r�ponds que non, nous sommes en vacances mais que si une occasion se pr�sentait, nous ne la laisserions pas passer.
Silence dans les rangs ! Finalement, pas si d�vergond�s les trois jeunes !
Le premier � se reprendre nous demande si nous oeuvrons uniquement pour mecs. Nous le d�trompons et lui assurons que nous baisons de tout, ;pour de l'argent.
L�, il devient tout rouge malgr� son bronzage.

PH �clate de rire et leur demande " �a vous choque ? ", r�ponse coll�giale " mais non ! " peu convaincante.
Celui qui parait le plus jeune nous questionne sur comment �a marche, combien �a rapporte et autres d�tails. Je fini par lui demander s'il ne pr�f�rerait pas faire �a plut�t que le service de table pendant deux mois ?
Pragmatique, il me dit que cela lui rapporterait plus que son taf de vendeur.

Je lui demande son �ge, il a 18ans tout juste et s'appelle Alban. Je le d�taille. Il fait dans les 1m80, blond clair court, imberbe, muscl� type footeux, de tr�s belles cuisses, mais avec un torse correct. Je lui demande s'il est plut�t actif ou passif. Il me dit que ses 21cm font du bien � tous les culs qu'il lime. Je le traite de pr�tentieux (gentiment) et lui demande si cela le g�nerait de baiser une meuf.
Il me dit qu'un trou est un trou et qu'il n'aurait aucun mal � le faire.

Comme il faut aider la jeunesse, je lui demande son n° de portable et lui dit que je le rappellerais si je lui trouvais un ou une cliente dans l'h�tel.
Ses deux potes se r�crient qu'il est d�bile de faire �a, qu'il ne sait pas s'il ne va pas tomber sur des pervers ou des fous.

Je leur dis que depuis mon d�pucelage pr�coce, je ne suis jamais tomb� (exception faite de la m�re de Ric) sur des malades dangereux.

Nous regagnons nos voitures ensemble. Quand ils voient ma SLS, le jeune me demande si ce sont les passes qui me l'ont pay�e et sans attendre ma r�ponse me supplie de lui trouver des clients.
Je lui dis que sans �tre un mac (bon d'accord j'en suis un !) il me devra quelque chose. Il me demande quoi et je lui r�pond son cul. Il h�site regarde � nouveau ma voiture et accepte en me disant que je serais le second seulement � l'enculer car il n'aime pas �a.

Nous nous quittons sur la promesse que je l'appellerais d�s que je lui aurais trouv� un client.

Pendant le retour alors que silencieux je le voyais r�fl�chir, PH me demande s'il devra lui aussi faire partie de mon �curie (sous entendu de baiser des clients).

Je pose ma main sur sa cuisse et lui assure qu'il ne fera que ce qu'il voudra. S'il veut tenter l'exp�rience pour savoir ce que c'est, je m'assurerais de lui trouver un client de confiance, s'il veut t�ter du hard je serais � ses cot�s pour l'accompagner. S'il ne veut rien de tout �a, h� bien je serais encore l�.

De retour � l'h�tel, passage par la piscine, l'eau de mer nous a sal� le corps et c'est l'occasion de voir s'il y a des clients potentiels.

Nos corps parfaitement bronz�s, nos culs et attributs moul�s par nos maillot Aussiebum et ES attirent les regards d'une bonne 30aine de vieux beaux et vieilles peaux.
Notre crawl puissant nous d�gage deux couloirs.

Quand nous sortons de l'eau, nous sommes abord�s par un type, la quarantaine, qui nous propose un cocktail. Nous nous asseyons � sa table. Pendant qu'il se pr�sente je l'examine sas m'en cacher. Il doit faire dans les 1,80m pas muscl� mais pas bedonnant, cheveux courts brun, poilu sur le torse et les jambes.
Je ne me suis pas aper�u qu'il ne parle plus, c'est un coup de coude de PH qui me ram�ne � la r�alit�. Je le prie de m'excuser. Il me demande en souriant si je suis satisfait de ce que je vois. Je r�it�re mes excuses et laisse �chapper que c'est un d�faut professionnel. Il saisit la balle au bond en me demandant " mannequin ? ". La r�ponse fuse " non, Escort ", autant �tre franc d�s le d�part.

Il me dit que cela tombe bien c'est ce qui lui manquait pour ses vacances, et me demande si je suis libre moi ou mon ami ici pr�sent.
Je lui explique que nous sommes nous aussi en vacances mais que je devrais pouvoir lui trouver cela. Il me dit chercher quelqu'un de sportif et actif (sous entendu qui m'encule). Je lui dit alors que j'ai �a en r�serve et d�crit vite fait notre nouvel ami.
Il nous propose de le rencontrer ce soir et propose que nous dinions tous ensemble au restaurant de la plage.

L� je me dis qu'il va y en avoir un qui va bicher, c'est notre serveur !
Avant de le quitter, je le pr�viens que question tarif, nous jouons dans la cour des grands et que si cela va plus loin, il faut qu'il envisage des prestations � 500� l'unit�. (Apr�s tout il a bien les moyens de se payer un h�tel de luxe).
Il m'assure que plusieurs nuits ne lui poseront pas de probl�mes.

Jardinier

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