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Soumission / Domination 173

Am�nagement du Second (en vue de la touze estivale)

Dans la semaine qui a suivi notre d�cision d'am�nager le second �tage en dortoir, Olivier nous faisait passer les plans et nous rencontrions l'entrepreneur pour le devis.

Il est arriv� toujours aussi " sexe " m�me avec 3 ans de plus. Short court, cater aux pieds et marcel blanc immacul�. Dans le s�jour/salon, nous �talons les plans sur la grande table et lui expliquons ce qu'on attend de lui.
Nous montons voir sur place. Il donne quelques coups de tournevis dans les cloisons pour v�rifier que ce ne sont, justement, que des cloisons en briques. Nous parcourons tout l'�tage et il nous dit qu'il va devoir revenir avec son plombier et son �lectricien afin d'�tabli un devis qui tienne la route.
Il nous quitte apr�s un ap�ro l�ger et l'assurance de revenir d�s le lendemain fin d'apr�s midi avec ses coll�gues.

Ils d�boulent � 4. Il me les pr�sente, deux mecs 40aine le plombier et l'�lectro et, le dernier la 20aine, son Second. Si le Ma�on et ses coll�gues sont softs (pantalon et chemisette), son Second lui est dans la tenue que son chef avait la veille, short aux jambes roul�es sous les fesses, marcel blanc moulant et Cater aux pieds.
Je d�shabille ce dernier du regard. Un beau mec muscl�, bronz�, avec un sourire " Colgate " qui lui barre le visage. Quand nos regards se croisent, je reconnais un des apprentis de la piscine. Il me fait un clin d'oeil complice.

Nouveau passage au Second, les deux artisans compl�mentaires prennent leurs notes et nous quittent.
Le Ma�on et son Second restent un peu afin de soit disant v�rifier l'�tat de la piscine 3 ans apr�s.
Ils commencent par faire le tour du bassin, v�rifiant la terrasse, les margelles. Pour v�rifier le rebord int�rieur, le Second se met � 4 pattes et se penche au dessus de l'eau. Le Ma�on � mes cot�s me fait la remarque que s'il s'est bien d�velopp� (son apprenti), c'est toujours la m�me salope que quand ils �taient venu faire la piscine.
Je me penche au dessus du jeune mec et pose ma main droite sur son short tendu par ses fesses muscl�es. Ce simple geste le fait se cambrer. Il m'a l'air d'avoir �volu� aussi de ce cot� l�, je me rappelais un jeune mec beaucoup plus timide.
En attendant, mes doigts glissent sous la ceinture qui baille dans son dos. Je ne per�ois pas le tissu d'un slip. Comme j'en fais la remarque au Ma�on, il me dit que c'est plus simple et plus rapide quand il a besoin de se vider les couilles.
Je me redresse et je soup�se son paquet. Son 18 �pais commence � s'alourdir et je lui d�fais ceinture et boutons. Le pantalon tombe sur ses pieds et je retrouve la belle bite avec laquelle j"avais jou�. Son Second s'�tait retourn� ;et sans se relever, sa bouche est venue avaler la queue de son patron. J"ai pu voir que mes le�ons de l'�poque avaient bien port� leurs fruits (cf. la piscine parution en 2007 ou 8). C'est toute enti�re qu'il lui a enfonc� dans la bouche. Ma main du coup passait des couilles pendantes � la gorge du suceur, sentant se soulever le larynx � chaque passage de gland.
Je passais derri�re le pompeur et les bras autour de sa taille, je d�boutonnais son short. Il m'a un peu aid� pour que je le fasse glisser � ses genoux. J'ai d�couvert un beau fessier blanc rond, muscl� et ras� de pr�s.
Son patron me dit que je peux y aller, il s'assure qu'il est toujours " clean " quand il va chez des clients.
De mes pouces j'�carte ses deux fesses et de vois une superbe rondelle rose pliss�e sans aucun poil. Je fais part de mon admiration. Ma�on me dit qu'il s'�tait rappel� mes conseils et qu'il lui faisait faire mes exercices de contractions anales. Et pour me le prouver, sous mes yeux, Second s'est mis � faire palpiter son anus.
Un v�ritable appel � la bite ! Ma�on a senti mon excitation et tr�s gentiment (o� tr�s commer�ant), me dit que je peux en profiter. Apr�s tout, j'avais bien particip� � la formation de son apprenti.
En 2 secondes je suis � poil sauf la queue rev�tue de sa kpote. la " salope " en a profit� pour se d�faire de son short et de son marcel. Avec juste ses Caters aux pieds, il est encore plus bandant ! Son patron lui aussi s'est mis � l'aise.
;Ils reprennent la position, Second les jambes �cart�es. Je m'agenouille entre elles et pose mon gland sur sa rondelle. Son patron me dit que je peux y aller, il l'avait d�j� encul� dan la matin�e. j'ajoute une noisette de gel � l'interface et sans pr�venir, enfonce mes 20cm jusqu'aux couilles.
Surpris Second en ouvre encore plus la bouche et de ce fait, se prend son boss derri�re les amygdales. Cela coupe court � tous reproches. Il serre son anneau et je ne peux plus bouger. Je caresse sa taille et le f�licite d'une telle prouesse. Il se d�tend et je commence mes va et vient. Je commente � son patron le plaisir que son trou me donne. Il me dit que �a lui fait �a � lui aussi et c'est pour cela qu'il l'avait gard� et pas l'autre apprenti (m�me et probablement � cause du fait qu'il ait �t� plus exp�riment� de la chose, l'autre apprenti).
En attendant je me r�gale � sodomiser ce beau jeune homme. Sa position pench�e en avant, les mains accroch�es aux cuisses de son boss, me fait d�couvrir son dos et le d�velopp� en V de ses dorsaux. Ma main caresse ses muscles et je sens sous mes doigts fr�mir sa peau � leur passage. J'en glisse une sur son torse. Les pecs aussi sont bien d�velopp�s et vu la taille des t�tons, je me doute qu'il doit se les faire travailler. Quand mes doigts les font rouler, il g�mit de fa�on fort convaincante tout en serrant sa rondelle !
Son boss me dit que l'ann�e apr�s la construction de notre piscine, son apprenti est venu loger chez lui et que comme cela il a bien pu le prendre en main (si l'on peut dire).
Je le f�licitais du travail effectu�. Il me dit qu'en g�n�ral ses clients en �tait tr�s content et que ce ;plus de " services " par rapport � ses confr�res lui assurait bon nombre de chantiers. Car m�me les h�t�ros les plus coriaces se laissaient tenter par le beau corps de Second et la promesse de plaisir qu'il pouvait leur donner. Promesse en partie connue par, en g�n�ral, une pipe avant les signatures de commandes.

Je me r�gale de ce cul muscl� et mes coups de reins semblent lui donner toutes satisfactions. Avec son boss, nous nous rappelons nos premi�res exp�riences ensemble autour du trou en chantier (la piscine, pas celui de l'apprenti !). D'ailleurs, � ce propos je me souviens que Ma�on baisait bien et je lui indique que vu comme il �tait dur dans la bouche de son Second, il pourrait sans difficult�s perforer mon cul.
Je lui tends une kpote et Second se charge de la lui enfiler.
J'ai juste eu le temps de poser une grosse noix de gel sur ma rosette qu'il se positionnait derri�re moi. Le temps de m'enfoncer � fond dans le cul de Second et je le sentais pousser sa bite large dans mon trou. D�tente, il entre son morceau. La largeur me fait grimacer � la premi�re intromission mais apr�s �a va. Ses grandes mains rugueuses me prennent aux hanches et il me tire vers lui. Coll� � son pubis, je sors de Second jusqu'� ne laisser que mon gland emprisonn� dans son trou. L� je leur demande de ne plus bouger et je m'active. Sortie de Second = p�n�tration de Ma�on et inversement enculage de Second = lib�ration de mon trou. �a marche quelques instants jusqu'� ce que le Ma�on soit trop excit� et qu'il prenne les choses en main (si l'on peut dire).
L� j'ai re�u des coups de bite qui par ricochet me faisait m'enfoncer dans Second et je profitais qu'il se retire pour faire la m�me chose. Pour moi peu de diff�rence � part une certain " virilit� " dans le geste mais pour Second, mes coups de bite se sont fait nettement plus hard et il devait s'arque bouter pour r�sister � la pouss�e de nos deux corps.
Second a �t� le premier � juter sur le pavage de la terrasse. Ses contractions anales m'ont conduit � la m�me extr�mit� et enfoui au fond de ses boyaux, j'ai rempli ma kpote alors qu'au m�me moment je sentais le Ma�on remplir la sienne plant�e bien au fond du mien (de boyau).

Etal�s sur les fauteuils de jardin, j'ai demand� � Ma�on s'il ne recevait pas r�guli�rement des primes pour la r�alisation du chantier. Il m'a r�pondu que non car quand cela se pr�sentait, il laissait la chose � Second.
Du coup je me tournais vers lui et lui posait la m�me question. Il m'a r�pondu franchement qu'il n'avait pas � se plaindre allant jusqu'� recevoir pr�s de 10% (du montant factur� par son boss) sur certains chantiers un peu long.
Rapide calcul mental et son boss avec moi, nous avons exprim� notre �tonnement.
Second de sourire et de nous dire que oui, il savait se " sacrifier " et que oui, il �tait devenu tr�s bon � la chose (�a je m'en �tais aper�u tout seul !).

Rapide passage aux douches du sous sol et nous �tions pr�sentables quand Marc est arriv�. Enfin avec Second toujours aussi sexe avec son short dont les bords roul�s soulignaient le bas de ses fesses.
D'ailleurs Marc y a r�agit. J'ai vu se gonfler la masse qui lui pend en haut des cuisses. Le temps que je r�sume l'�tat d'avancement du projet, il fixait Second. Ma�on qui s'en �tait bien aper�u lui a carr�ment propos� de baiser son Second histoire qu'apr�s il soit r�ceptif � nos explications d'am�nagement.

Sans attendre sa r�ponse, Second est venu s'agenouiller devant lui et sans attendre non plus de permission, lui a d�fait ceinture et braguette pour pouvoir sortir du boxer ses 22 cm.
Apr�s juste un " miammm " de commentaire, il a grand ouvert la bouche et sous nos yeux, nous avons vu dispara�tre enti�rement la queue de Marc.
Bien que nous soyons vid�s r�cemment Ma�on et moi, je me suis remis � bander et lui aussi. Un coup d'oeil appuy� d'un mouvement de t�te de Marc et je m'agenouillais � mon tour mais devant Ma�on pour imiter Second. Sans difficult�s j'avalais les 18cm dans ma gorge (habitu�e a 22 de Marc et parfois plus de certains de nos amis, mais alors pas en position a genoux !).

Et les deux suc�s d'�changer sur les techniques respectives de leurs deux suceurs. L'un appr�ciant les coups de langue enveloppant son gland quand il occupait la bouche, l'autre kiffant mes d�glutitions quand il p�n�trait ma gorge. Du coup, je m'appliquais � plus faire tourner ma langue sur le gland au passage de ma bouche et j'entendais mon voisin tenter la d�glutition en gorge profonde. De chaque cot� les mains sont venu se poser sur nos t�te et prendre le relais pour le rythme, avec la remarque que nous �tions deux bonnes salopes qui s'am�lioraient � chaque instant.
Un quart d'heure plus tard, notre savoir faire les avait entrain� vers l'issue attendu et Second et moi recevions leurs spermes. Moi sur mon polo et Second entre son marcel et la peau de son cou.

Avec le souvenir de la piscine et la stimulation d'une prime en cas de fin de chantier 4 semaines plus tard, nous avons conclu le march�.

Pendant toute la dur�e du chantier, j'ai fait deux points journalier avec notre " ma�tre d'oeuvre " et /ou son Second.
J'ai mieux compris pourquoi Ma�on avait embauch� Second. Ok cot� sexe il assurait et m�me plus que bien mais aussi cot� taf professionnel, il s'est r�v�l� �tre une pointure. Organisation, surveillance, prise de d�cision, second n'a pas fait une faute.
Et 4 semaines de chantier plus tard, nous entrions en possession d'un second �tage totalement refait.

Comme pr�vu, nous disposons maintenant d'un dortoir de presque 100 m² avec tout au bout, contre le pignon l'installation sanitaire. Sur le mur gauche, les 6 lavabos (nous avons d�cid� d'en mettre plus que lors de nos premi�res id�es), en face contre l'autre mur, les 3 WC et entre les deux les douches. Finalement, avec cette disposition, nous avons pu mettre 10 pommes de douches coupl�es par deux et avan�ant perpendiculairement au pignon. Le tout sur une surface carrel�e avec juste une marche/rebord pour assurer qu'aucun d�bordement d'eau ne passe cot� couchage.

Dans la zone " nuit ", Marc a d�cid� de faire r�aliser un grand sommier de 10m de long par 2m de large et de le fixer au sol au centre de la pi�ce avec par dessus 5 matelas de 2m x 2m.

Dans le sommier, d'un cot� des grands tiroirs pour y caser les couettes en cas de besoin et de l'autre un s�rie de plus petits pour les accessoires indispensable dans notre maison : kpotes, gels, poppers, gants et une s�lection de plugs et godes r�alistics.

Je tapissais les murs de posters de stars du porno au cas, improbable, o� certains manqueraient d'inspiration !

R�sultat : une seconde salle de baise grand format dans la maison.

Nous d�cidions Marc et moi de la garder secr�te jusqu'� son inauguration le WE de la M�ga touze.

Jardinier

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