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Soumission / Domination 161

�largissement du cercle des baiseurs de Th�o

le WE qui a suivi le gang bang, j'ai invit� Ed et Th�o � la maison. Officiellement, ils �taient chez un ami d'Ed qui les couvrait au cas, fort improbable, o� leurs parents chercheraient � les joindre par un autre moyen que leurs t�l�phones portables.

Vu l'impatience de Th�o, je suis all� les chercher d�s le vendredi soir. D�s que j'eu gar� la 300C devant le portail de leur maison, ils ont saut�s dedans. Ed rel�gu� aux places arri�res par un Th�o hyper excit�. C'est la premi�re fois qu'il sort de chez lui pour un plan baise avec des inconnus, ceci explique cela.

J'ai un mal de chien � le faire tenir tranquille � mes cot�s. D�s son entr�e dans la voiture et la ceinture mise, il s'est pench� vers moi pour t�ter ma bite. Nous �tions encore en ville et n'importe quel passant pouvait nous voir. Ed, derri�re lui, a tir� s�chement sur la ceinture de s�curit� pour le bloquer � son si�ge. Cela l'a retenu juste le temps du p�riph�rique. Arriv� sur le bout d'autoroute que nous devions emprunter, il a rel�ch� la pression et Th�o a bascul� sur moi, la t�te entre mes cuisses.
Le plus dur pour lui a �t� de d�boutonner mon jeans. Pouss�s par ma queue bandante et avec sa position, les quelques boutons lui ont donn� quelques difficult�s.
Mais l'opini�tret� paye et quelques instants plus tard, ma bite se dressait fi�rement devant le volant. Elle n'est pas rest�e longtemps sans couverture puisqu'aussit�t sa bouche est venue la chapeauter. Vive le r�gulateur de vitesse ! j'ai pu profiter sans risquer de brusques acc�l�rations d'un pipe rendue encore plus excitante par la situation.
Durant le trajet, j'ai eu droit � quelques appels de phares de camionneurs ayant rep�r� le petit man�ge qui se passait dans la voiture. Ed �tait un peu frustr� de ne pouvoir se joindre � nous.

J'ai quand m�me r�ussit � me retenir jusqu'� la maison (pour les techniciens, le passage du p�age aux bornes CB �vite tout risque de choquer les agents de l'autoroute).

Nous arrivons � la maison avant Marc. La r�ception par Samir et Ammed en shorty cuir fait halluciner le petit Th�o.
Nous faisons le tour de la maison. Th�o n'en fini plus d'�carquiller les yeux. L'�cran g�ant de TV du salon, la piscine qui fume de l'autre cot� de la baie vitr�e et surtout la salle de sport au sous sol le font kiffer un maximum.
Avec Ed, nous profitons d'�tre au sous sol pour nous pr�parer � la soir�e. Th�o nous imite et nous nous retrouvons tous les trois sous les douches communes. A quatre mains, nous lavons Th�o qui se tortille car sensible aux chatouilles.

Quand nous passons aux flexibles munis de tubes � lavement, Th�o est surpris, il n'avait pas encore vu cela dans les films de boule qu'il avait t�l�charg�.
Je lui explique comment cela marche et de lui m�me se penche en avant pour me faciliter le taf. J'y vais lentement avec une eau ti�de. Quelques secondes suffisent � le " remplir ". Il court vite aux WC se vider puis revient recommencer. A la 4�me fois il nous annonce tout fier que c'�tait ressorti tout propre. J'enchaine avec Ed. En trois fois il est propre. Puis je m'auto traite.
Passage � la case traitement des poils. Ed passe en premier et rafra�chi son aspect. Moi je l'ai fait le matin m�me, il ne reste plus que Th�o. Sans �tre imberbe, il n'a encore que peu de pilosit� et seules ses aisselles et sa bite sont � travailler.
Sous les bras ce sera rien, pour la queue j'h�site puis me d�cide � tout raser sauf deux carr�s d'environ 1cm de cot� taill�s courts au dessus de sa bite � droite et � gauche. Cela �vitera de le croire impub�re (le risque si, avec son physique juv�nile, ils �tait compl�tement ras�).

Il se regarde dans les grandes glaces de la salle de muscu, tourne sur lui m�me et se trouve " so cute " (trop mignon) comme le dit sa m�re (les rares fois o� ils se croisent). Puis vient la r�action : merde ! qu' est ce qu'ils vont dire les copains au sport.
L� c'est � Ed de jouer. Il lui donne les r�ponses � envoyer dans les dents des petits camarades pour faire cesser les remarques. Cela va du " moi, je pr�f�re comme cela " � un " tu serais pas un peu Pd � me mater comme �a ? " qui a le dont de calmer les plus virulents.

Je tends � Ed un Jock strap et en choisi un parmi ceux que j'avais achet� pour Jimmy, taille S. Pour la ceinture �lastique �a va, par contre pour y ranger tout son " mat�riel " c'est juste. La poche a beau �tre �lastique, en S elle est quand m�me sacr�ment petite !

Nous remontons au salon attendre Marc. Samir nous accueille avec une proposition de rafraichissements qui nous fera attendre l'ap�ro. Il avise le probl�me de Th�o et me propose de m�tiner les �lastiques d'un jock de taille S avec la poche d'un de taille M.
Pour v�rifier nous faisons essayer un Jock de cette taille � Th�o qui finalement est mieux dans une poche taille L.
Samir part avec les deux pi�ces s�lectionn�es et nous dit qu'il n'en a que pour quelques minutes.

C'est le cas et Th�o se trouve avec un sous v�tement � ses tailles. Je demande � Samir depuis quand il faisait couturi�re. R�ponse depuis qu'il avait achet� une machine pour modifier les fringues d'Ammed � ses besoins particuliers et certains de Jimmy � la demande de mes clients.

Nous avons le temps d'approfondir avant que Marc ne rentre. Il appel Jimmy qui nous arrive rev�tu d'un jeans modifi� ;et de plusieurs autres dans les bras.

Le premier est simplement avec une ouverture dans la couture du cul maintenue par un velcro quasi invisible. Jimmy me dit que depuis qu'il l'a, un de nos client ne le prend plus que par l�, sans le faire d�shabiller plus que le haut. Il se change et un autre jeans laisse appara�tre la m�me op�ration d'ouverture mais avec trois pattes � boutons pour la maintenir ferm�e.
Le troisi�me jeans est lui transform� en chaps, comme c'�tait � partir d'un sling, le r�sultat �tait bien moulant et par dessus le jock qu'il portait cela rendait tr�s sexe.

Jimmy en plus de faire le mannequin �tait tr�s intrigu� par Th�o sinon un peu jaloux. Il s'est arrang� pour rester en notre compagnie jusqu'� ce que Marc rentre.

Th�o s'est �tonn� quelques instants de la complicit� entre son fr�re et Jimmy, jusqu'� ce qu'Ed lui en dise un peu plus sur ses apr�s midi et leurs travail commun.

Quand Marc est arriv�, il a trouv� 4 jeunes mecs pr�ts � le satisfaire. Apr�s que je lui ai roul� un super patin d'accueil, je lui ai pr�sent� le petit nouveau. Ce dernier un peu gauche, les joues rouges et beaucoup moins fier que tout � l'heure, s'est pr�sent� debout, les mains dans le dos, la t�te dirig�e vers le bas.
Marc lui a pris le menton pour lui faire lever les yeux et croiser son regard. Les yeux dans les yeux, il lui a demand� si c'�tait bien ce qu'il voulait. Hochement positif de la t�te, Marc nous demande alors (aux autres) de le d�shabiller. Une fois nu devant Th�o qui n'avait pas boug� d'un poil, il poussa l�g�rement sur ses �paules.
Il a compris tout de suite ce que Marc voulait et s'est agenouill�. Quand la queue de Marc en cours d'�rection a atteint le bon niveau, Th�o l'a prise en bouche et aval�e jusqu'aux couilles. Surprise pour Marc que je n'avais pas tenu au courant des progr�s de mon dernier prot�g�.
En quelques secondes sa queue avait atteint sa taille maxi et vaillamment Th�o continuait � la prendre enti�re dans sa bouche.
Marc me f�licita de mon talent de professeur. Il appr�ciait sans vergogne la douceur et l'�troitesse de la gorge de Th�o.
Jimmy et Ed chauds aussi s'�taient attaqu�s � mon Jock distendu et � deux me l�chaient, su�aient la bite.

Connaissant mon homme, je savais que t�t ou tard il enculerait Th�o. Je d�tachais Jimmy de moi avec mission de lui pr�parer l'anus.
Il s'est couch� sur le dos et j'ai demand� � Th�o de s'asseoir sur son visage. Sans qu'il ne cesse sa pipe, il se faisait maintenant manger l'oignon histoire de bien l'attendrir.

De mon cot� j'avais entam� un 69 avec Ed, lui me su�ant la bite et moi lui pr�parant le cul.
Quand Jimmy a r�pondu oui � la demande de Marc concernant la pr�paration du petit trou de Th�o, lui et moi sommes pass�s aux choses s�rieuses : l'enculage !

Nous avons mis cote � cote les deux fr�res, dos sur le canap�. Leurs jambes relev�s sur nos �paules (moi kpot� et Marc non) nous avons pli� les genoux pour poser nos gland sur les anus respectifs en attente.

J'ai demand� � Jimmy de graisser les ensembles (bite et cul) et de popperiser Th�o lors de la premi�re entr�e de Marc.

En m�me temps nous avons p�n�tr� les deux fr�res. Ed, curieux, regardait les r�actions de son fr�re qui lui cherchait dans mes yeux ma satisfaction.

Sans un cri, il s'est pris les 22x6 de Marc comme un grand et je l'ai entendu soupirer un " quel cul ! ".
Tendrement les deux fr�res se sont tenus la main alors que nous les besognions s�rieusement.
Est-ce la situation insolite ?, l'excitation du moment ?, ou l'effet de nos queues frappant r�guli�rement leurs prostates, toujours est ils qu'ils bandaient comme des fous distendant les poches de leurs jocks jusqu'� juter dedans sans se toucher.
J'acc�l�rais alors mes mouvements pour juter � mon tour rapidement.
Marc plus exigent et plus endurant, a attendu plant� au fond du trpu de Th�o que ce dernier expulse ses dernier millilitres de sperme avant de recommencer les va et vient.
C'�tait un grande premi�re pour Th�o que je n'avais jamais encore repris imm�diatement apr�s la jouissance. Il a mis d'ailleurs quelques minutes avant de s'y faire (la nouvelle couche de gel pos�e par Jimmy et le nouveau sniffage de poppers l'y aidant fortement).
Nous avons alors regard� Marc faire. Apr�s l'avoir plant� profond sur son pieu, il s'est redress�, le tenant dans ses bras. Instinctivement Th�o a crois� ses jambes autour de la taille de Marc, aidant � la stabilit� de l'ensemble en d�placement.
Marc s'est alors assis sur le bord du canap� et a demand� � Th�o de le chevaucher.
De nouveau tr�s chaud, Th�o a entam� un grand prix d'Am�rique sur Marc. Jusqu'� ce que ce dernier le fixe plant� � fond sur sa queue et de plusieurs coups de rein explicites de ses �jaculations arrive � le soulever et � rentrer encore plus en lui. Th�o s'est de nouveau r�pandu et cette fois ci son sperme est venu s'�taler sur les abdos de mon mec juste avant que lui m�me se plaque sur son torse, un sourire de contentement sur ses l�vres.
Jimmy explose entre les mains d'Ed qui ne pouvait le laisser sans jouir lui aussi.

J'aide Th�o � se redresser et se d�planter de Marc. il s'accroche dans mes bras et me roule un patin tout mouill� de ses larmes. Quand je l'interroge, il me dit que c'est de plaisir et je le crois.

Tout le monde direction les douches du sous sol, puis retour au rez de chauss�e pour le d�ner.

Jardinier

Suite de l'histoire

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