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Soumission / Domination 159

Emma, Th�o

Avec l'autorisation de Marc, deux jours apr�s notre retour, je vais passer 24 h avec Emma.

Le bip du portail marche toujours et je rentre direct ma SLS dans le garage. Je p�n�tre dans la maison par les cuisines, au passage je claque un bisou sur la joue frip�e de la vieille cuisini�re en lui disant que sa cuisine sentait bon, ce qui me vaut une r�primande (affectueuse) de sa part et file vers le salon chercher Emma. Je la cherche, jusqu'� ce que son majordome m'indique la piscine.

Je l'y retrouve en train de faire des longueurs. Je me mets nu en quelques secondes (il va falloir que je laisse quelques maillots de bain sur place) et plonge la rejoindre.

J'�merge juste devant elle. Elle me rentre dedans et je la prend dans mes bras. Elle s'enroule autour de moi et nous nous embrassons furieusement. Sa langue se bat avec la mienne pendant que ses jambes viennent ceindre ma taille.

Je r�agis instantan�ment et bande comme un malade. Comme elle s'accroche � moi, de mes mains libres je lui d�fais le haut. Les pointes dures de ses seins viennent s'�craser contre mes pecs.
Je glisse mes mains sous ses fesses et �carte le tissu. Mes doigts prennent possession de sa chatte. Elle est brulante et tremp�e. Ma verge raide trouve sans probl�me le passage aid�e en cela par les mouvements de bassin d'Emma.
Je m'enfonce sans trouver de r�sistance. Emma me l�che les l�vres et la t�te en arri�re exprime son contentement.
Avant que mes va et vient n'aient compl�tement remplac� son lubrifiant naturel par l'eau de la piscine, je nous en sors faisant attention de ne pas glisser dans l'escalier.

Je la porte sur ma bite jusqu'� une m�ridienne et la pose sur le dos. Je reprends alors le limage de sa chatte. Prenant bien soin de lui �craser le clito � chaque p�n�tration, je lui arrache un premier orgasme. J'encha�ne, relevant ses jambes contre mon torse, je change de trou et me mets � lui limer l'oignon. Sans autre lubrifiant que celui d�pos� sur ma queue lors de mon passage dans son vagin, je suis bien serr� par son anus. C'est trop, trop bon ! Pour elle aussi, c'est bon. Elle ne peut retenir ses g�missements et de les entendre, cela m'excite encore plus. Donc j'y vais plus fort, ce qui renforce son plaisir.
Je pose mes mains sur ses seins et joue quelques instants avec ses t�tons, le deuxi�me orgasme arrive et il m'aurait presque fait sortir d'Emma. Ses jambes contract�es me repoussaient.

Comme je n'avais toujours pas jut�, j'ai repris mes va et vient. Fatigu� de la position, je l'ai prise dans mes bras et suis parti me coucher sur le carrelage (chauffage au sol, il n'est pas froid ...pour les techniciens !). Elle m'a alors chevauch� jusqu'� ce que j'explose en elle puis s'est affal�e sur moi sans retirer mon sexe de son trou. Je l'ai laiss� reprendre ses esprits tout en lui caressant le dos.

Une bonne douche commune plus tard et v�tus d�cemment, nous sommes retourn�s � la civilisation, en l'occurrence le d�jeuner.

Alors que je lui raconte La Dominique, expurg�e de la partie location de sexe, ce qui en fait se r�sume � pas grand chose d'autre que " farnient� " et bronzette, je lui dis soudain qu'� mon prochain passage je laisserais quelques maillots de bain. Elle me redemande quelle taille je fais chez Ausssiebum et me dit qu'elle m'en ach�tera par internet.

J'avais mis � l'oreille son dernier cadeau (le pendentif en �meraude) qui ressortait bien sur ma peau hal�e, elle m'en a d'ailleurs fait le compliment, tout comme de la marque de mon bronzage. Elle m'a avou� que mon petit cul blanc �tait franchement un appel au viol.

Apr�s un d�but d'apr�s midi consacr� aux affaires (remise � niveau de mes connaissance de sa boite et des derni�res d�cisions la concernant), nous avons remis cela.
En fin d'expos�, comme sa pr�sence � mes cot�s me rendait band�, je me suis gliss� � ses pieds. Je lui ai �cart� les cuisses et rapproch� ses fesses du bord du fauteuil. Ma t�te sous sa jupe je lui ai ventous� sa chatte avec ma bouche par dessus le fin voile de sa culotte. J'ai �t� r�compens� par un claquement de ses cuisses sur mes oreilles ! Par pr�caution, mes mains � l'int�rieur de ses cuisses pour les tenir �cart�es et �viter la r�p�tition, j"ai saliv� pour coller le tissu � ses l�vres. A coups de langue j'ai m�me r�ussi � l'insinuer entre les grandes l�vres et � le coller au clitoris. L�, j'ai du mettre mes �paules en travers de ses cuisses pour qu'elle ne m'�crase pas la t�te !

Je suis sorti de sous le bureau, l'ai rejointe et lev�e de son fauteuil, puis je l'ai pli�e les seins sur ses papiers, j'a trouss� sa jupe sur ses reins, baiss� sa culotte et j'ai enfourn� ma queue. Wou que c'est bon ! m�me si ce sera encore meilleur quand je serais dans son cul.je fais trembler son lourd bureau par mes coups de rein r�p�t�s. Je la fourre jusqu'� ressentir ses contractions vaginales, l� seulement je passe au trou du dessus. Ok, un cul c'est vraiment meilleur. Beaucoup plus serr� et nerveux, moins baveux aussi, je prend plus de plaisir � la sodomiser.
Elle le sait et me laisse faire. Elle m�me prend aussi du plaisir � la chose. Je l'encule grave, sans retenue je me laisse aller � de grands coups de reins qui me font la limer sur toute ma longueur. J'explose en me fixant tout au fond de son cul. le plaisir m'a an�anti quelques instants et je reprend pied assis dans son fauteuil alors qu'elle r�ajuste sa jupe. Je range le mat�riel et ferme les boutons de mon jeans.

Nous passerons la soir�e au restaurant avec les parents de Pierre (amis communs). J'aurais alors des nouvelles de mon ex partenaire sexuel et de son " mari ". Il excelle � l'�cole d'Archi et son mec est tr�s content de son cursus.

Nous nous quittons le lendemain matin non sans avoir fait l'amour encore deux fois (le soir avant de s'endormir et le matin au r�veil).

Je me presse car en d�but d'apr�s midi je dois retrouver Th�o. Ed m'a convaincu de laisser Samir assurer son d�placement pour que je m'occupe de Th�o son fr�re.
Je me suis laiss� faire. Faut dire que le ptit Th�o est loin de me laisser de marbre. Il correspond tout � fait � mes crit�res pour �tre l'actif de la situation. Petit, fin, hanches �troites et imberbe bien que tr�s form� sexuellement (19cm !), tout ce qui assure mon plaisir de dominant.

Nous laissons Ed partir avec Samir et Th�o me fait entrer dans la maison. Nous croisons le personnel. Je lui fais la remarque qu'ils risquent de cafter � ses parents sur ses fr�quentations. Il me dit de ne pas m'inqui�ter, il en sait sur eux suffisamment pour qu'ils se taisent.

J'entre pour la premi�re fois dans sa chambre. 30m² minimum, un coin lit avec un deux places de bonne dimension et le reste install� en salon de TV/jeux vid�o et un coin bureau. Le tout sobre sans affiches d�biles sur les murs.

Il lance un film sur le grand �cran. On y voit un tas de mecs se sucer, s'enculer... Th�o me dit, " l�, tu vois ? je voudrais que tu me fasses cela " en me montrant plusieurs positions de sodomie.
Puis il se jette dans mes bras pour me rouler un patin. Je fond !
Je le laisse me d�v�tir alors qu'il se met nu en deux secondes. Il me pousse et me fait tomber dos sur son lit.
Il �carte mes pieds encore au sol et s'agenouille entre pour venir me pomper. Il a encore fait des progr�s et me suce presque aussi bien que Jimmy. Je le questionne sur sa pratique. Il me sort un gode qu'il a pris soin de choisir de mes dimensions et me pr�cise qu'il s'y est acharn� dessus tous les soirs jusqu'� r�ussir � le prendre en gorge.
Cela dit il replonge pour me faire profiter de son exp�rience nouvelle. J'appr�cie effectivement de limer ses amygdales avec la couronne de mon gland.
Seul, il a appris � maitriser les r�flexes de renvoi lorsque le gland touche puis d�passe la glotte.
Il enfonce ma bite dans sa bouche et joue � me faire passer dans un sens puis l'autre cette barri�re. Quand mon gland stationne dans sa gorge, il d�glutit naturellement ce qui m'excite encore plus. Je suis oblig� de lui prendre les �paules pour calmer le jeu.
Je le fais grimper sur moi � l'envers. Comme cela il est dans le bon sens pour me sucer pendant que je peux de mon cot� lui pr�parer l'oignon. A grand coups de langue je d�pose une bonne couche de salive sur son petit trou. S'il s'est entrain� cot� gorge, cela ne me semble pas �tre le cas � l'autre extr�mit� de son tube digestif.
;Lors d'une pose, il me dit que cot� cul, il n'avait pas utilis� son nouveau jouet afin d'�tre bien serr� pour moi. Je repars � l'assaut de son anus et � force de l�chage et doigtage, j'arrive � le d�tendre suffisamment pour envisager une investigation par ma queue.
Il l'a bien senti lui aussi et s'est retourn� sur moi. Un genou de chaque cot� de mes hanches, ma queue droite contre ses fesses, il me roule une pelle. Son cul semble dou� de sa propre vie et sans d�coller ses l�vres des miennes, il bouge son boule jusqu'� ce que mon gland se pose sur sa rosette. L�, il donne un petit coup de rein et enfonce mon gland dedans. Hargg ! que c'est bon !!
Je le laisse g�rer et petit � petit, il s'enfonce jusqu'� poser ses fesses sur mes cuisses.
Tout comme son fr�re il fait de l'�quitation et cela se sent dans sa maitrise des va et vient. Il se redresse en prenant appui sur mes pecs et galope sur ma bite. je vois sur son visage qu'il aime �a ce petit salaud !

Je reprend les choses en main. Je me redresse, le prend dans mes bras et bascule. Il se retrouve le dos sur son lit et moi au dessus de lui. Je ram�ne ses jambes � mon cou et l�, je donne la pleine mesure de mon envie. Je le lime sur toute la longueur de ma queue, la faisant sortir compl�tement avant de la lui remettre dedans jusqu'aux couilles. Il g�mit qu'il adore ma bite, que c'est la seule qui lui fera du bien etc. (va falloir qu'on en reparle plus tard !) en attendant, il attire ma t�te vers la sienne et nous revoil� partis dans un patin. Il me rappelle une des positions qu'il voulait essayer. J'explique : moi debout, lui plant� sur ma bite ses jambes autour de ma taille, le dos coll� � un mur. Je m'ex�cute et je le plaque contre un mur. Dans cette position, je lui mets un maximum de ma queue et il serre les jambes le plu haut possible pour ne pas laisser un seul mm de ma bite en dehors de lui. Heureusement que c'est un poids plume. C'est le genre de chose que je fais encore avec Jimmy lui aussi dans la m�me cat�gorie de poids.
Je le fais sauter quelques minutes sur mon pieu puis je le pose sur son bureau. Mes mains sur ses �paules pour le plaquer au plateau, ses jambes relev�es qu'il maintient au niveau de ses genoux, Les fesses au bord, je l'encule en le regardant bien dans les yeux. il ne baisse pas son regard et je vois dedans son plaisir arriver.

J'acc�l�re le rythme et nous nous envoyons en l'air. Je me plante une derni�re fois a fond de son cul et y d�verse ma production de semence. Lui, �jacule su son ventre et jusque sur son visage.
Je ramasse son sperme avec ma langue et viens lui d�poser dans sa bouche avant que nous nous roulions une pelle une peu grasse. Il suce ma langue comme si c'�tait ma bite. Je suis sur qu'il a aval� la majeur partie de son jus ! � l'autre bout, je d�bande et ma bite glisse doucement hors de son trou. Je sens qu'il le resserre au fur et � mesure de ma diminution de volume. Quand je sors enfin, pas une trace suspecte n'accompagne ma bite.
;Nous rejoignons le lit o� moi sur le dos r�cup�re alors que Th�o vient se coucher sur moi la t�te sur mes pecs. D'une main je lui caresse le dos alors que l'autre repose sur sa t�te.
Dans le lointain, nous parvient les hal�tement des acteurs porno qui arrivent aussi � leur fin.

Un bon 1/4 d'heure plus tard, je d�cide d'�claircir plusieurs choses.
Tout d'abord je dois r�fr�ner cet " amour " naissant. Je lui dis que je suis d�j� avec quelqu'un, r�ponse : il s'en fout ! Que cette personne, je l'aime, r�ponse : lui aussi il m'aime. Que ma vie passe plus � baiser avec tout ce qui bouge plut�t que de bosser derri�re un bureau, r�ponse : il n'est pas jaloux.
En d�sespoir de cause, je lui montre la facette la plus noire de moi et je lui dis que les ptits jeunes comme lui, je les loues � de vieux messieurs libidineux � grosses bites, r�ponse : si tu veux que je fasse partie de ton �curie, je le ferais !

Il a r�ponse � tout ce gamin !! En attendant pas question de laisser mes clients habituels poser leurs mains sur lui ! � la rigueur je l'offrirais � Marc qui aime bien aussi ce genre de " crevette ".

Je le traite de fou. Je lui dis que s'il �tait tomber sur un tordu, il serait d�j� en train de faire le tapin. Il me r�pond qu'il s'en fout puisqu'il est tomb� sur moi ! logique imparable !!

Nous n'avons pas vu le temps passer et c'est Ed qui vient nous pr�venir que leurs parents ne vont plus tarder � passer par la maison et venir voir si leurs prog�nitures n'ont besoin de rien. Nous nous rhabillons vite fait et je les quitte.

De retour � la maison je ne peux cacher cela � Marc. Il me dit que c'est bien fait etque cela me pendait au nez depuis un bout de temps. Si j'avais r�ussit � �viter cela avec Ric, Pierre, Jimmy ou Ed, il s'y attendait quand m�me. Je lui dis que Th�o �tait m�me pr�t � faire la pute pour moi. Cela l'a confort� dans le fait qu'il �tait vraiment amoureux de moi, sachant qu'il refusait � son fr�re de lui faire un pipe ou de se laisser enculer.

Comme je disais � Marc que je n'avais pas envie que mes clients posent leurs mains sur lui, il me demanda si de mon cot� y'aurait pas non plus une pointe de sentiment.
Je lui dis que juste de type grand fr�re et lui assurait que s'il le d�sirait, je le lui am�nerai pour qu'il le baise.
Il me dit qu'avec lui �a ne comptait pas �tant donn� que je l'aimais mais qu'il r�fl�chirait quand m�me � ma proposition.

Jardinier

Suite de l'histoire

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