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Soumission / Domination 150
Le samedi pr�vu pour le double Gang Bang est arriv�.
La veille je suis all� chercher les clefs du gite et j'ai mis le chauffage (pour tenir � poil vaut mieux 23/24° que 10/12° !).
Jimmy m'aide � mettre tout en place. J'avais demand� un deuxi�me table basse au loueur et je la trouve en arrivant. M�me mod�le en ch�ne massif. Elles tiendront le choc.
Le traiteur livre vers 16h le buffet que j'ai command� et nous rangeons tout cela au frigo pr�t � �tre sorti.
La salle est d�gag� de tout ce qui encombre, tapis, chaises, bibelots, tableaux... nous ne laissons que les supports horizontaux, les deux tables basses, la table de salle � manger et un buffet. Les deux canap�s sont pouss�s contre les murs. Nous r�quisitionnons une des chambres pour les besoins du " personnel " les autres serviront aux clients.
17h arriv�e de Ric et de Jean. Ils sont contents de travailler ensemble. J'explique en gros comment va se passer la soir�e et ils partent se pr�parer. Tout �tant en place, Jimmy et moi allons les aider. Apr�s leurs douches, nous les massons avec une huile qui rend leurs peaux satin�es. Puis pr�paration de leurs rondelles, m�me si elles sont habitu�es aux gros calibres, ce soir il y aura de l'exceptionnel avec une bonne demi douzaine de blacks mont�s plus de 26 x 6 dont Eric.
Nous travaillons surtout la profondeur. Lavements, graissage en profondeur puis v�rification par godage. Jimmy et moi nous sortons de la pr�paration, bandants comme des fous ! C'est aussi le cas de nos deux acolytes.
Tout le monde se calme.
Vers 20h les clients commencent � arriver et il sera 21h quand le dernier de mes deux " flics " fermera la porte.
L'heure d'attente est pass�e par les premiers, un verre � la main, � mater et t�ter Ric et Jean encore v�tus (petitement : shorts de sport ultra courts et marcels deux tailles trop petites). Pour Jimmy j'ai mis les choses au clair, il n'est l� que pour le service classique (kpote, gel...) pas de cul avec lui. La d�ception de certain s'efface d�s que les deux proies (volontaires) sont � poil (enfin fa�on de dire vue l'�tat glabre de leurs corps).
Les caresses et autres pincements sur la " marchandise " reprennent. Ric et Jean passent de l'un � l'autre. Je suis bient�t le seul avec Jimmy encore habill�.
Les quelques blacks qui se demandaient les raisons de la pr�sence de blancs, ont vite compris quand les slips ont vol�s. Ce n'�tait pas les plus petitement mont�s des participants (le p�re de Ric ou m�me Xavier sont mont�s plus gros que pas mal de blacks !).
A partir de l�, les choses s�rieuses ont commenc�es. J'ai �t� bien content d'avoir emmen� Jimmy pour me seconder car sinon je n'aurais pas pu tout surveiller. Comme d'habitude deux-trois ont fait des difficult�s pour se kpoter, mais Eric et d'autres participants ont vite mis les choses au point sans que j'ai � intervenir.
Pendant plus de 3 h, Ric et Jean se sont fait p�n�trer par les deux bouts.
Dans un premier temps, deux groupes se sont form�s, chacun entourant un de mes " employ� ". L� nous avons assist� � deux gangs bang en parall�le, m�me si les " m�les " changeaient de groupe assez souvent.
Puis les deux tables basses ont �t� coll�es et les deux centres d'attention r�unis.
Quelques clients leur ont demand� de faire un 69. Une fois en position, ils ont �t� pris chacun par tous les participants.
D�coll�s, cote � cote, ils ont subi en parall�le l'assaut de leurs bouches et culs.
C'est tr�s esth�tique � voir que la p�n�tration de corps blancs par de monstrueuses bites noires. On distingue bien l'�cartement auquel est soumis l'anus perfor� pour accepter l'intromission.
Que ce soit le corps muscl� de Ric ou celui plus fr�le de Jean, le contraste des couleurs ajoute � l'excitation g�n�rale, m�me si les 4 bites blanches pr�sentes exigent autant de souplesse anale.
Plusieurs fois au cours de la soir�e, certain de mes " clients " sont venus me remercier pour ce plan (sachant qu'ils ont pay� le prix fort, c'est gratifiant).
Ils (les clients) se sont entraid�s pour r�ussir quelques positions plut�t instables.
Certaines (positions) ont amen� � de grand fous rires. Mais personne n'a d�band� pour autant et les trous de mes deux acolytes ont �t� bouch�s � plus de 80% du temps !
Jimmy qui assistait pour la premi�re fois � ce genre d'activit�, n'en a pas perdu une miette. Je pense que cela lui aura donn� des id�es et je suis s�r que le prochain gang bang que j'organiserais sera pour lui. Je vois que par moment �a le d�mange de participer.
Jean a �t� le premier � l�cher question physique. Ses deniers utilisateurs ont �t� oblig�s de tout faire et l'apoth�ose d'une �jaculation simultan�e s'est faite sur son corps ext�nu�.
Mais aucun participant ne lui en a fait grief, il faut dire que tous �taient d�j� pass�s au moins une fois sinon deux dans sa bouche et son cul.
Ric, lui, avec sa forme physique a assur� comme un pro. Volontaire sur les pipes, se faisant saillir par les �talons comme une jument en manque, exigeant pas ses coups de reins, des enculages virils, il s'est �clat� � la fin, couvert de sperme, sous les mains de son p�re et de DGSE r�unies � travailler ses t�tons.
Pendant la s�ance, avec Jimmy j'avais assur� l'approvisionnement en boissons et victuailles, m�me si c'est plut�t une fois tous vid�s pour la au moins deuxi�me fois que mes clients en ont plus profit�. Ric et Jean en ont profit� pour aller se laver. Les clients sont partis certains directement d'autres apr�s avoir profit� des salle de bains � leur disposition.
Le dernier � partir fut " DGSE " qui m'a dit avoir pris toutes les plaques min�ralogiques et qu'il me ferait un topo de chaque participant. Je le remerciais et lui dit que pour la moto, je connaissais d�j� tout. Nous nous sommes retrouv�s tous les 4 seuls dans le grand gite. La fatigue �tait telle qu'il �tait hors de question de rentrer et nous sommes rest�s jusqu'au lendemain matin.
Nous avons tous dormis dans le m�me lit, serr�s les uns contre les autres.
Avant de nous endormir, Ric et Jean nous ont suc�s vu que nous n'avions pas particip�s aux activit�s du soir. Jimmy et moi avons d�vers� au moins un litre de foutre chacun !
R�veils d�pareill�s. Avec Jimmy je suis le premier � me r�veiller. Nous nous levons discr�tement et nous nous douchons ensemble puis rangeons le g�te.
Quand Ric et Jean se l�vent � leu tour, tout le gite est redevenu normal. Nous leur pr�parons un petit d�jeuner assembl� des restes de la veille, � part le caf�, c'est plut�t charcuterie et petits fours.
Avant de nous s�parer, je les appelle tous pour la distribution de leur salaire. Ric et Jean se r�crient estimant que je leur avais rendu service puisqu'ils �taient autant demandeurs que les mecs qui les ont saut�. Je remballe mon carnet de ch�ques, pour Jimmy, c'est diff�rent, il �marge au service de la maison.
Tous comptes fait, frais d�duits, c'est une bonne soir�e question rapport financier. Mais comme la majorit� est en liquide, cela n�cessite un peu de gymnastique mon�taire (� 2 ;000 � le ticket d'entr�e par personne !).
Retour � la maison. Juste le temps pour Jimmy de se pr�parer pour son client de l'apr�s midi. Maintenant qu'il a son permis et que j'ai achet� une petite voiture, il se d�brouille pour y aller seul les 3/4 du temps. Mes clients sont s�rieux et ils respectent nos engagements " rubis sur l'ongle ".
Je profite de mon apr�s midi libre pour passer voir Emma. Nous ne sommes pas jeudi mais maintenant son personnel sait pour nous et reste dans ses quartiers quand nous nous isolons.
A l'arriv�e je croise le majordome. Il me demande si je suis content de ma nouvelle voiture. C'est un ancien fou de m�canique qui s'ennui � mourir de conduire la grosse Mercedes de madame. Comme je sais que je vais rester au moins deux bonnes heures, je lui donne mes clefs et lui dit d'aller faire un tour.
Si avant cela il m'aimait bien, maintenant je pourrais lui demander la lune !
Quand je rejoins Emma je lui dis ce que je venais de faire. Elle savait pour son chauffeur, son mari l'avait engag� lorsque �a craignait pour les grands patrons (risque d'enl�vement) et qu'il savait piloter fa�on urgence et protection, la Mercedes ayant re�u un blindage.
Ces consid�rations domestiques pass�es, je passe � la phase " inceste " de notre relation.
Roulage de patin, mont�e graduelle de nos excitations mutuelles. Je la laisse prendre l'initiative. C'est � elle de commencer � nous d�nuder. Mes mains pressent ses seins au travers du chemisier, ma jambe droite s'insinue entre ses cuisses et vient comprimer son pubis.
L�, enfin, elle se l�che. Mon sweet vole en travers de la pi�ce suivi de pr�s par mon polo, je fais alors tomber sa veste de tailleur et son chemisier. Quand elle s'attaque � mes Jeans, je d�grafe sa jupe qui lui tombe � ses pieds. Je suis en shorty devant elle qui porte encore bas culotte et soutient gorge. Eminemment sexy le tableau !
Quand je d�tache le soutient gorge, ses seins descendent d'� peine 2cm, sans avoir �t� op�r�s, ils sont encore tr�s beaux et bien ronds.
Je fais tomber ses bas et sa culotte alors qu'elle me retire mon shorty. Nus l'un contre l'autre, nous reprenons notre baiser. Ma bite raide creuse son ventre. Elle glisse contre moi et � genoux commence une fellation dans les r�gles.
Elle est devenue super bonne su le sujet. Pendant tout un moment elle ne s'occupe que de mon gland, le l�chant, l'englobant dans sa bouche, passant sa langue sous la couronne, aga�ant le frein et pointant le trou duquel sort mon jus qu'elle aime tant.
Quand ce dernier est plus que rouge de ses attentions, elle me prend graduellement de plus en plus profond�ment jusqu'� poser son front sur mes abdos, mon gland emprisonn� dans sa gorge.
C'est vraiment devenu une suceuse de premi�re ! Je dois penser � autre chose pour m'�viter de jouir trop vite !
C'est quand je n'en peu plus qu'� mon tour je l'emm�ne � l'orgasme. Contrairement � nous, les femmes peuvent on plus de capacit� � en avoir plusieurs tr�s rapproch�s, du coup je ne me retiens pas.
Je la rel�ve et � mon tour descend le long de son corps. Son cou m'am�ne � ses seins dont je t�te chaque bout jusqu'� ce qu'il soit gonfl� et raide. Je les abandonne alors pour glisser jusqu'� ses l�vres du bas. Je commence par un roulage de pelle (non r�ciproque faute de langue !) et suce chaque l�vre pour les rendre hypersensibles et gonfl�es. Seulement alors je m'attaque � son clitoris. M�me traitement. Le rendre si sensible que chaque attouchement provoque un effet tel qu'Emma arrive difficilement � savoir si c'est du plaisir ou de la douleur. J'obtiens alors de sa part un premier orgasme qui m'oblige � me redresser pour la tenir dans mes bras sinon elle chuterait au sol. Quand je lui fais cela couch� sur un lit, ses cuisses m'�crasent les oreilles !
Sa faiblesse est passag�re et ce premier orgasme lui a ouvert l'app�tit. Elle s'accroche � mes �paules et l�ve un jambe pour faire passe ma queue sous elle. Comme je bande comme un malade (et que ma bite cherche � se coller � mes abdos), quelques mouvements suffisent pour faire entrer mon gland dans sa chatte.
Elle est br�lante et mouill�e. Je la p�n�tre jusqu'aux couilles.
Elle fatigue sur la pointe de son pied. Je la soul�ve et la pousse sur la premi�re surface horizontale que je trouve. Je peux alors la labourer comme il faut. Elle contractes ses muscles et je me sens bien pris par son vagin. Elle arriverait presque � me faire jouir dedans ! Mais comme je pr�f�re son cul, je ne m'y attarde pas plus que n�cessaire. Ma queue bien lubrifi�e de sa mouille je change de trou et enfonce avec d�lice sa porte arri�re. ;J'appr�cie la fermet� de son anus. Elle m�me aime de plus en plus cette pratique qui l'am�ne aussi � l'orgasme. Il faut dire que pendant l'enculage, je m'occupe aussi de sa chatte, son clito et ses seins. Je suis s�r qu'elle prendrait un pied pas possible si je lui faisais l'amour avec un autre mec. Vu comme elle r�agit � la p�n�tration simultan�e avec un gode, je pense qu'elle d�collerait pas possible avec deux vraies queues en elle. Mais �a, ce sera � elle de le demander.
En attendant nous baisons comme des forcen�s et j'arrive � lui juter dans le cul juste au moment o� elle jouit elle m�me. Ses contraction me bloquent et ajoute � mon plaisir.
Une fois les corps d�tendus nous ramassons nos v�tements �pars et filons dans sa chambre. Douche ensemble o� nous nous c�linons un peu, puis nous nous mettons pr�sentable. Je reste en shorty seulement. Le chauffage de la maison � 22° me permet cette fantaisie (mon cot� exhibitionniste qui ressort, m�me quand il n'y a pas grand monde pour regarder !).
Quand nous �mergeons de nos quartiers, le majordome est l� � me tendre mes clefs en me remerciant. Je lui demande si il y a pris du plaisir et sa r�ponse est tr�s positive, je suis content pour lui.
Jardinier
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