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Soumission / Domination 15

Mon dernier passage chez la m�re de Jean pour l'hivernage du jardin vient d'avoir lieu.

Quand j'arrive, elle est l� � m'attendre. Je lui dit bonjour alors qu'elle se colle � moi, en manque depuis 4 semaines que je ne suis venu. Elle me dit de la baiser avant m�me le travail car sa chatte est br�lante d'envie. Je la calme de suite en lui rappelant que d'apr�s ce que je sais, elle n'est pas rest�e en jach�re tr�s longtemps et que je sais qu'elle s'est fait des puceaux entre temps !
Elle rougit et m'explique que son fils Jean la fait chanter et qu'il lui am�ne des copains pour les d�puceler.

Je lui demande si ils ont profit� de son cul ?
Elle me dit que non, seulement de sa chatte.
Je lui dis alors qu'� partir de ce jour, moi seul pourra utiliser ce trou. Qu'elle continue avec son fils et ses potes avec sa chatte et pour le prouver, je la pousse dans la salle � manger, lui �crase les seins sur la table et apr�s lui avoir �cart� les jambes et enfil� une Kpote (lubrifi�e quand m�me) je lui fais le cul. Ma p�n�tration � la hussarde de son anus lui arrache un cri dans une vell�it� d'esquive, bloqu�e par le meuble.

Les deux mains pos�es sur ses �paules pour qu'elle ne puisse se relever et pour bien ancrer mon pieu au fond, je la lime � grand coups de reins.
Le bruit de la table glissant sur le parquet attire Jean. Comme je le vois en train de bander, je lui dis de s'installer devant sa m�re pour qu'elle lui taille une pipe.
Pendant que nous faisons coulisser nos bites dans sa m�re, je l'informe des nouvelles r�gles, lui pr�cisant que lui et ses copains pourrons utiliser sa bouche et sa chatte mais que son cul m'est r�serv�.
Je me lib�re dans la Kpote quand Jean retourne � sa m�re une partie de lui m�me (c'est cyclique !).
Alors que je pars dans le jardin travailler, je demande � jean de me retrouver plus tard car cela fait longtemps que je ne me suis fait son cul.

En fin de journ�e, il me rejoint sous la douche. Il me s�che, puis se met nu. Je lui demande de Kpoter ma bite raidie par les frottements/massages de la serviette. Je le soul�ve, il n'a pas pris un gramme depuis que je le connais (mais aussi, vu les exercices auxquels je le contrains, le contraire serait �tonnant). Je positionne mon gland sur sa rondelle et le rel�che pour qu'il s'enfile ma bite jusqu'aux couilles tout en l'emp�chant de basculer en arri�re.

A sa m�re venue grappiller une s�ance de sexe suppl�mentaire, je dis qu'elle devra se contenter des d�pucelages jusqu'au printemps ! (c'est faux mais �a me fait tripper qu'elle le croit !) et je continue la d�fonce en r�gle du cul de son fils.
Mes mains pos�es sous ses fesses, je le fais coulisser sur ma queue.
Sa m�re encore pr�sente, Jean fait sa salope, me demandant de le " d�foncer comme une pute ", de " l'engrosser de mon sperme ", de " faire jouir son esclave ". L�, sa m�re ne tient plus et nous laisse enfin seuls.

M�me s'il est l�ger, ses 55 Kg finissent pas me fatiguer. Je le pose, dos sur une table de jardin et relevant ses jambes tout en les �cartant, je reprend le travail de son anus par de long va et vient o� je d�cule enti�rement avant de replonger jusqu'au fond.
Malgr� l'usage important pour ne pas dire intensif de mon petit Jean et du gabarit hors normes de ce qu'il prend dans le cul, sa rondelle reste bien muscl�e et enserre bien les 5cm de diam�tre de ma bite. A ma demande, il serre encore plus et je ressens les pulsions comme un massage.

Lorsque je sort, je lui demande de bien serrer avant de replonger dedans, �a me donne l'impression d'enfiler un cul vierge jusqu'� ce qu'il rel�che la pression.
De sa propre initiative, il s'accroche � mon cou, se retrouvant ainsi pli� en 2 sur mon torse. Il me demande de me coucher par terre, ce que je fais, puis ramenant ses jambes sous lui s'agenouille. Il se met alors � monter et descendre sur ma bite � toute vitesse. La chaleur monte. Je le bloque soudain bien assis sur mes cuisses pour faire retomber un peu la pression. Cette position lui ouvre bien les fesses et je peux entrer la totalit� de mes 20cm dans son trou.
Pour finir, je le mets dans la m�me position que sa m�re, pli�, le torse �cras� sur la table de jardin, les jambes �cart�es, je m'empare de son anus d'un long coup de reins. Accroch� � ses hanches, je le lime violemment jusqu'� exploser dans la Kpote. Ce n'est qu'� ce moment l� qu'il jouit lui aussi. Il commence � bien comprendre comment le monde marche !
Je termine ma douche seul, sous le jet d�lassant de l'eau br�lante.

Alors que je traverse la maison pour partir, je passe voir Jean dans sa chambre pour revoir avec lui le planning de ses prestations aupr�s des TTBM. Il me tend une enveloppe, je l'ouvre et fait le compte. Je lui dis qu'il y a beaucoup plus que pr�vu. Il me dit alors qu'il y a mis une part de ce qu'il gagne sur le " dos " de sa m�re. Je m'�tonne du montant mais il m'assure que ses potes sont tous des gosses de riches et qu'il n'h�site pas � les taxer grave !
J'en ris et lui dis qu'il peut continuer.
Quand je vais pour quitter la maison, sa m�re me tend mes �moluments. J'en contr�le aussi le montant et de m�me per�oit un plus non n�gligeable. Je l'interroge du regard, elle me dit que c'est ma " prime de fin d'ann�e ". Elle me demande si l'ann�e prochaine je continuerai � entretenir son jardin. Je lui dis que tant qu'elle ob�ira � mes ordres je m'occuperai d'elle et par extension de son jardin.

Lorsque je sors, je croise le mari. Il me retient pour savoir comment s'est pass�e mon ann�e d'entretien du jardin, me f�licitant du r�sultat car plusieurs fois des amis l'ont f�licit� pour l'�tat impeccable des parterres. Il me demande de l'accompagner jusqu'� son bureau.
Quand sa femme me voit revenir avec son mari, elle p�lit un peu. Je lui fais un grand sourire par dessus l "�paule de son mec et rentre � sa suite dans son bureau.
La conversation commence sur le jardin mais assez vite d�vie sur sa femme, me demandant de fa�on subtile, si lors de mes journ�es d "entretien, je n'aurais rien remarqu� de sp�cial.
Je lui assurais le contraire, le remerciant pour l'extr�me civilit� de son �pouse qui veillait � mon bien �tre en assurant ma r�hydratation.

Il me remercie de l'avoir rassur� et me demande ce que je deviens. Je lui dis avoir trouv� un job comme paysagiste chez un entrepreneur horticole. Il me demande alors si je vais continuer � faire leur jardin. Je l'assure que pour l'ann�e � venir ce sera encore le cas. Il me dit alors qu'il avait remarqu� que j'avais bien grandi, et que j'�tais devenu un beau jeune homme, que si j'avais besoin, la piscine �tait � ma disposition lorsque je passais (il savait que mes parents n'en disposaient pas)....

Je me demande si il n'�tait pas en train de me draguer. Ce serait le comble de me faire le p�re apr�s la m�re et le fils !! faut voir... mais ce serait juste pour le fun, c'est pas mon type de mec !
Toujours est il que je suis ressorti de son bureau avec une autre prime.

Pour la moto c'est sur je vais pouvoir sans souci en acheter une neuve pour rendre le X11, m�me si c'est sans probl�me que Marc me le laisse.

Jardinier

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