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Soumission / Domination 144

Comme promis lors de notre premi�re rencontre avec Alex et Johan (SD 130), notre nouvelle rencontre s'est d�roul�e chez eux.
Comme le temps commence � rafraichir s�rieusement et que le climat est incertain, nous y allons avec mon SLS. 5h de route � vitesse autoris�e, nous n'en mettrons que 4 car j'ai �t� tr�s raisonnable dans mes exc�s de vitesse !
Le GPS nous am�ne jusque devant le portail d'une grande propri�t� en bordure de ville.
Sonnette, vid�o, le portail glisse et je monte, entre les arbres, une all�e en S cachant la maison de la rue.

Grosse maison bourgeoise XIX�me avec perron � escalier double qui met le niveau de r�ception � un demi-�tage au dessus du sol.
Pas de gens de service, c'est Johan qui descend nous accueillir et prendre nos bagages (petits). Bisous, c'est effarant comme nous nous ressemblons. D'ailleurs Marc lui a d�j� mis la main au cul !
Alex nous attend et nous offre de nous rafraichir, passage aux toilettes du niveau.
Comme il est l'heure, nous attaquons avec un ap�ritif. Puis un d�jeuner ou je fais attention de ne pas trop manger en pr�vision du reste de la journ�e.

Apr�s le caf�, Alex nous fait les honneurs de leur maison. La cuisine et une biblioth�que / salle de billard manquaient � notre connaissance de l'�tage. Au dessus un premier niveau de chambre, seulement 4 mais immenses �quip�es de lits King size, avec chacune une salle de bain digne du meilleur palace. Au dessus l'�tage des commodit�s, lingerie, et trois chambres plus petites (pour le service quand il y en avait) et une salle d'eau commune, WC.
Alex avait gard� pour la fin le meilleur, le sous sol. A demi enterr�, d'�troites fen�tres horizontales au ras des plafonds �clairent les pi�ces. Le quart de la surface de la maison est occup� par une cave et la chaufferie.

Le reste vient d'�tre �quip�e � neuf. Nous reconnaissons l'influence de notre salle de sport et de notre donjon dans son am�nagement.
Nous p�n�trons d'abord dans une salle de sport un peu plus petite que la notre mais bien �quip� avec au fond les sanitaires, WC s�par�s mais lavabos et douches communes.
Un passage derri�re la derni�re des douches donne acc�s � leur donjon. Sous un �clairage plus chiche, nous voyons que bien que plus petit aussi, il doit �tre capable de recevoir au moins une bonne demi douzaine de mecs.

Excit� Marc chope l'un de nous deux par le cou et c'est en lui roulant une pelle qu'il devine qui c'est, et ce n'est pas moi ! Alex me pousse contre un sling, ses mains p�trissant mes fesses.
Je le laisse faire un peu. Je d�boutonne rapidement mon jeans et il le pousse vers le bas, d�gageant le shorty avec et d�voilant mon fessier. Les chaussures volent, le polo aussi et je me retrouve nu install� sur l'appareillage de suspension. Je jette un coup d'oeil vers mon mec. Il s'occupe de remplir de ses 22cm la bouche de mon sosie (et sa gorge par la m�me occasion).
Je n'ai pas le temps d'en voir plus, ma vue est soudain bouch�e par l'apparition des 23 x 6 d'Alex qui r�clament un abri.
;J'ouvre grand la bouche et le gland d'Alex y progresse sans s'arr�ter jusqu'aux couilles. Je maitrise ma respiration et l'envie que j'ai de vomir. Bien que j'ai fait attention au d�jeuner, j'ai trop mang� !

Quelques d�tails triviaux (ex�cut�s dans les toilettes) plus tard, je reprends le taf et supporte sans broncher le ramonage de ma gorge. Absorb� par ma pipe, c'est dans le lointain que j'entends Johan g�mir sous les mains et la bite de Marc.
;La bite que je su�ais quitte ma bouche et c'est maintenant une langue que je sens sur mon anus. Alex prend le temps de bien me d�tendre la rondelle. C'est un pro de l'anilingus. Marc c'est pas trop son truc, un peu mais c'est surtout avec ses doigts qu'il me pr�pare la rondelle. Je ferme les yeux et concentre toute mon attention sur mon oignon. C'est divin. Il fait tourner sa langue ni trop ni pas assez vite, la pointe dans mon trou et y fait entrer de la salive...
Je suis tout � l'attente de sensations � venir qu'il va provoquer en moi que je suis surpris de sentir Johan se coucher sur moi en 69.

J'ouvre les yeux sur son sexe et louche sur ses couilles ras�e. Il me suce, je ne peux que lui rendre la politesse. Je vois bient�t la queue de Marc, couverte de latex, approcher l'anus de mon alter �go. Je place une main sur chaque fesse et �carte ces derni�res pour faciliter le travail. Je sens aussit�t la m�me chose m'arriver et le gland d'Alex se poser sur ma rondelle.
Nos deux hommes se mettent d'accord et en m�me temps s'enfoncent dans le mec de l'autre. La pouss�e �tant bien �gale, le sling ne bouge pas et le coup de rein de Marc en phase terminale pousse le gland de Johan dans ma gorge. Je sens pareillement mon gland d�passer la glotte de Johan dans le m�me temps ou je sens les couilles d'Alex me caresser le sacrum.
Nos deux hommes nous regardent ainsi emmanch�s quelques instants avant de se mettre � nous limer.

Une bouche sur son sexe avec un sexe dans sa bouche et un autre dans le cul, difficile de faire mieux question bouchage de trous !
Sous mes yeux, je vois la rondelle de Johan s'ouvrir sous la pouss�e de Marc et se referm� quand il en sort. J'ai l'impression de pouvoir voir la mienne se faire d�plisser par la queue d'Alex tant leur synchronisme est bon.

Johan et moi nous savourons nos positions de passifs pas inactifs pour autant. Je t�te sa bite comme si ma vie en d�pendait et je le sens qui m'aspire avec autant d'ardeur. Les coups de boutoirs qui d�foncent nos cul commencent tout doucement � se d�synchroniser et nous finissons secou�s, le sling balan�ant entre nos deux m�les. Je sens ma rondelle s'ouvrir encore un peu plus avant qu'Alex ne me fixe contre ses cuisses et d�charge au fond de mon cul (dans sa kpote). C'est � peu pr�s ce qu'a du ressentir Johan au m�me moment.
Nous avons juste le temps de recracher nos bites avant de juter entre nous, barbouillant de sperme nos pecs et abdos.

Deux " plops " plus tard, nous �tions lib�r�s de nos " broches ".
Johan est rest� sur moi le temps de r�cup�rer un peu et je n'ai pas eu la force de le virer. Ce n'est que quand Alex a gueul� que les douches �taient libres que nous nous sommes d�coll�s (le sperme ayant s�ch� entre temps) puis relev�s.
Quand nous sommes arriv�s aux sanitaires s�parant le donjon d'avec la salle de gym, Alex et Marc en sortaient en peignoirs. Alex nous dit de les rejoindre au salon quand nous serons pr�ts.

Avec Johan, nous avons pris tout notre temps sous les douches. Chacun savonnant, massant l'autre, nous avons fini dans les bras l'un de l'autre � nous rouler un patin magistral, trop bon cette impression de " masturbation ;continuelle ". Je pense que c'est un peu ce que doivent ressentir les jumeaux Tic et Tac, faudra qu'on en discute.
Comme le m�lange de salive avait raviv� notre libido, ma bite est venue tr�s naturellement boucher le cul de Johan, pour son plus grand plaisir. sous les douches, je l'ai encul� debout, lui ses mains sur le mur carrel� amortissaient mes assauts, alors que les miennes sur ses hanches dirigeaient l'action.

Je l'ai fait jouir sur le carrelage blanc puis je me retirais pour juter sur son dos.

Nouvelle douche, un s�chage qui a dur� presque autant de temps que notre passage sous l'eau et nous sommes remont�s rejoindre nos m�les.
Ils �taient en train de discuter d'Ammed et Samir nos deux hommes de services. Alex demandait � Marc o� nous les avions trouv�s, combien ils nous coutaient et autres d�tails.
Johan peu int�ress� par le sujet me demanda si je pouvais l'emmener tester le SLS.
;Dans le m�me �tat d'esprit, je pr�venais Marc et Alex que nous partions faire un tour en voiture.
Marc me recommanda d'�tre raisonnable (difficile avec un tel monstre) et Alex nous dit d'�tre s�rieux, ses contacts � la police n'�tant pas de permanence ce WE.

Le bip du portail dans la poche, nous les avons laiss�. Sous la direction de Johan qui conna�t bien le coin, nous sommes arriv�s � l'autoroute. D�but de WE, je pr�f�re prendre le sens province pour faire le rep�rage de radar et revenir sur la direction de Paris moins susceptible d'abriter les bleus.

Bien m'en a pris, sur 50Km nous rep�rons deux radars dans ce sens mais rien en face. Sortie puis retour. Peu de v�hicules, d�s la sortie de la bretelle, j'enfonce l'acc�l�rateur au plancher. Les vitesses automatiques passent � une vitesse folle et nous sommes � 250 Km/h le dos coll� au baquet.les voitures que nous doublons sembles aspir�es vers nous. Johan est ravi. A peine 1/4 heure plus tard, nous passions devant notre sortie.
Johan me dit de continuer jusqu'� la prochaine aire d'autoroute, �a y drague un peu.
Au ralenti (135 Km/h), nous arrivons et je me gare devant le bloc sanitaire, dans l'enfilade de l'entr�e homme.

Nous restons quelques instants � mater. Quelques mecs entrent et sortent des WC. Ceux qui en sont sortis fl�nent autour du b�timent.
Avec Johan nous d�cidons d'aller les narguer.
Quand nous entrons, il reste deux places sur les 6 urinoirs nous nous pla�ons cote � cote. Je pisse, il pisse et nous bandons. Quelques coups de poignet et les 4 autres matent vers nous. Nos queues �goutt�es, nous nous les �changeons. J'approche mon visage du sien et nous nous roulons un patin.

Silence de mort. Quand nous nous d�collons, les 4 autres mecs bandent et se branlent.
Je suis trop chaud pour qu'on en reste l�. Un coup d'oeil � Johan, nous sommes d'accord. On se r�ajuste un minimum et sortons pour occuper les WC pour handicap�s. Un mec essaye de nous suivre mais nous l'�conduisons, trop moche (�a, �a peut passer) et trop petitement mont� (c'est r�dhibitoire).

Comme un imb�cile, j'ai laiss� le mat�riel dans la caisse. Nous nous contentons de nous piper mutuellement. Je le fais juter en premier puis c'est son tour de m'amener � exploser avec sa bouche. j'ai failli me faire surprendre et lui juter dans sa gorge, tellement mon gland se plaisait derri�re son larynx.
Quand nous sortons, nous sommes mat�s par une bonne demi douzaine de mecs. J'attrape Johan par le cou et j'en rajoute une couche par un nouveau baiser accompagn� d'une main au paquet. Quand nous nous �cartons j'ajoute tout haut, " merci mon amour " et nous partons � la voiture.

Les regards nous ont suivis jusqu'� ce que nous sortions de l'aire de repos. Une fois sur l'autoroute, nous avons �clat� de rire. Johan super excit�, c'�tait la premi�re fois qu'il faisait ce genre de plan.
Retour � la maison. Johan raconte � Alex notre " aventure ". ;Marc nous dit que nous n'avons pas �t� tr�s courageux. Je lui dis que c'�tait pas l'objet et qu'en plus, la population �tait loin d'�tre � nos go�ts.

Jardinier

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