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Soumission / Domination 142

Avec l'�t� un peu bouscul� que j'ai pass�, j'avais compl�tement oubli� la commande de mon cockring en or (cf. �pisode122).
Le vendeur de la place Vend�me m'a appel� pour me dire qu'il �tait pr�t depuis longtemps d�j�.
Je d�cide de monter � Paris. Sur l'autoroute j'ai du mal � respecter les limitations de vitesse. D'ailleurs je n'y arrive pas ! j'arrive � Paris sans m'�tre fait prendre au radar et comme la derni�re fois gare le GSXR devant la " boutique ".
Mon vendeur m'attendait et c'est lui m�me qui m'ouvre la porte. impatient le bougre !

Dans un salon particulier, il me pr�sente ma commande. Je la prend en main. Lourd, l'anneau est parfaitement rond, la boule bien r�guli�re me semble un peu plus grosse que sur le mod�le. Je le fais remarquer et � l'aide d'un pieds � coulisse �lectronique, le vendeur en fait la constatation. 1mm de plus de diam�tre, �a va me comprimer grave l'ur�tre. J'en discute avec le vendeur qui me propose aussit�t de faire rectifier le bijou. Mais cela va prendre une semaine et m'obligera � un nouvel aller et retour � Paris avec le risque de nouveau de me faire attraper pour vitesse inconsid�r�e.

Me voyant pas chaud pour cette derni�re solution, il me dit que le mieux serait de le tester.
Quelle bonne id�e !
Aussit�t dit aussit�t fait, la combi sur les reins, je passe ma bite et mes couilles dans l'anneau en or blanc. Quand je ne bande pas, �a va, normal. Il est lourd et je dois bien le plaquer contre mon pubis. Pour voir en fonction normale, le vendeur s'est agenouill� devant moi et me suce. Il le fait bien et de le voir dans cette position en costume trois pi�ces me fait vite bander. Je sens bien la boule me comprimer le canal. Ce n'est pas d�sagr�able pour autant. Maintenant il faudrait que je teste en fonction plus hard. Je rel�ve le mec et le pousse sur la table de pr�sentation. Il d�fait de lui m�me ceinture et boutons pour descendre pantalon et slip d'un seul mouvement. Je kpote ma bite et comme il s'�carte les fesses pour me d�voiler son trou, m'enfonce dans ce dernier. Il est chaud et je rentre comme dans du beurre. Ma queue gonfle encore. L'anneau est � la limite de la douleur et c'est tr�s bon ! je vais le garder comme �a.
Je m'active dans son cul et finis par d�charger dans la kpote dans un furieux dernier coup de rein qui lui fait d�coller les pieds du sol. Le gicl�es me semble plus laborieuses mais la pression est plus grande. Je pense que sans kpote je vais juter plus loin encore.
Lui s'est sali la main.

Nous nous r�ajustons et je lui dis que je le prenais quand m�me en l'�tat � condition qu'il fasse un geste et de pr�ciser financier.
Nous discutons comme des marchands de tapis et j'arrive � lui extorquer 30% (sachant pertinemment qu'ils doublent ou triplent le prix de revient, je n'ai pas de scrupules).
Je d�cide de le garder sur moi pour le retour.
Le vendeur me demande, en passant sa main sur mon paquet, s'il y a quoi que ce soit qu'il puisse faire de plus pour moi.
Je le remercie mais pour le moment, rien.
Il insiste en me disant que si je suis seul sur Paris il se ferait un plaisir de me guider dans les lieux branch�s de la capitale.
Le retour se fait � la m�me vitesse que l'aller. Je sens bien l'anneau qui enserre ma tige � la base et quand je suis couch� sur le r�servoir, mes couilles s'�crasent dessus. �a me fait bander et me compresse encore plus !
Je n'y tiens plus et m'arr�te sur une aire de repos.
Personne cot� voiture. Je cale et verrouille ma moto puis, le casque � la main je descend cot� camions.
L� 1/2 douzaine de semis, les 3/4 rideaux tir�s. Sur les restants, des chauffeurs assez �g�s sauf 2 plus jeunes (25-35ans environ).
Je retourne fixer mon casque sur la moto et vais pisser.
Pas facile quand on bande ! j'essaye de penser � autre chose et, enfin, y r�ussi tout en restant raide.
C'est � ce moment l� qu'un des jeunes chauffeurs entre et s'installe � l'urinoir contigu (alors qu'il y en a 6 de front !).

Il sort un beau service trois pi�ces couilles ras�es et poils taill�s et jetant un regard vers le mien, me dit " joli mat�riel ".
Quand je lui dis que je bande depuis Paris, il rigole. J'�carte plus ma combi qu'il voit le cockring et j'ajoute " �a plus le r�servoir de ma moto... ".
L� il comprend et me dit qu'il faut alors rem�dier � cela pour que le reste de ma route se fasse dans de bonnes conditions et de prendre ma bite dans sa main.
Je le laisse faire. Il me pousse dans les WC pour handicap�s et je pose mes fesses contre le lavabo. A genoux, il me suce la teub. Il n'est pas mauvais, m�choire l�g�rement trop �troite mais �a passe quand m�me.
Il est vorace � croire que �a fait une semaine qu'il n'a rien suc� !
Lentement il me mange plus et fini par �craser son nez dans mon pubis et son menton sur mes couilles.
Il me dit qu'il veut mon jus. �a me refroidit direct ! J'h�site m�me � le laisser continuer.
Je r�fl�chis que si il me demande cela c'est qu'il le fait avec d'autre et d'un coup je d�bande.
Le mec est �tonn� et tourne vers moi un regard interrogatif. Je lui dis que c'est ce qu'il vient de me dire. Il est surpris, habituellement, �a excite les mecs un maximum.
Je m'excuse et remballe le mat�riel.
Nous nous s�parons sur une poign�e de main et une derni�re ironie " le r�sultat voulu (d�bander) a �t� obtenu ".

Retour calme jusqu'� la maison. J'arrive � temps pour emmener Jimmy � son rendez vous.
C'est maintenant devenu une routine, client connu + op�rateur souple et serviable = bon moment pour les deux et bonne rentr�e d'argent pour l'op�rateur et moi.

Je sais que j'avais presque d�cid� de raccrocher de ce cot� l�, mais j'ai du mal � laisser Jimmy et surtout Ed tout seuls. Mon cot� s�curitaire ou mon cot� voyeurisme ? surement un peu des deux. Je suis discret, avec des personnes consentantes dont je connais les noms et les adresses, je ne crains pas grand chose de ce cot� l�. d'autant plus que deux personnes dans la s�curit� nationale sont parmi mes clients.

Soir�e calme. Juste un coup de fil de Daniel (le vendeur de moto) qui stresse un peu pour son deuxi�me rendez vous.
Je lui en demande la cause, sachant que pour sa premi�re prestation, son client avait �t� ravi.
Il me dit que la premi�re fois j'�tais � ses cot�s. �a me fait rire et il finit par rire aussi. Je lui dis de rester naturel, pas la peine de forcer sa nature et d'essayer de paraitre diff�rent de ce que l'on est. Il me dit que c'est pas le cot� sexe qui l'inqui�te mais le reste, la culture g�n�rale. Je lui conseille quand il est chez lui de laisser sa t�l� branch� sur les chaines de documentaires et d'infos en continu. M�me quand il sera plong� dans une revue moto cela rentrera.

Je lui demande comment �a se passe dans la concession. De ce cot� l�, pas de changement de rythme, son boss l'encule une � deux fois par semaine et lui se vide dans le jeune apprenti au moins une fois par jour. Il me fait envie ce con ! Je lui dis que j'aimerai bien le rencontrer. Il me propose alors de me l'amener � domicile. Comme c'est un " fou " de belles m�caniques, il sera excit� � l'id�e de voir et de monter dans une Mercedes SLS AMG.

Marc �tant encore en d�placement, je lui propose de ne pas reporter le coup et de me l'amener d�s ce soir. C'est OK mais il me pr�vient qu'il n'est pas tr�s " exp�riment� " cot� cul. ses pipes ne sont que passables mais son cul vaut le d�tour.

Ils arrivent vers 19h30. l'apprenti en passager de Daniel. Il descend, c'est un gabarit type Jimmy ou Ed, pas grand, pas gros, t�te de voyou, en jeans slim et blouson cuir moto.
Pr�sentations, il s'appelle C�dric. Il me demande en sautillant o� est la Mercedes. J'ouvre la porte du garage, il reste fig� 1,2 minutes ;puis il entre. Il h�site entre la caisse et les motos mais fini par privil�gier cette derni�re. Il tourne autour une fois, deux fois et me demande timidement s'il peut voir le moteur. J'entre dans la voiture, il regarde la cin�tique d'ouverture de la porti�re en aile mouette en fonctionnement puis l�ve le capot moteur que je viens de d�verrouiller et plonge dedans. Je l'entend commenter ce qu'il voit � l'attention de Daniel car moi, cot� m�canique, je ne sais que l'utiliser.

Alors qu'il est encore pli� sur l'aile de la voiture, je lui mets la main au cul, mes doigts enfon�ant le tissus du jeans entre ses fesses et je me couche sur lui pour lui glisser � l'oreille que la visite est payante.
Sans se d�monter, il me r�pond " normal pour une telle machine ". On est sur la m�me longueur d'onde.

Il d�colle son bassin de la t�le pour que je puisse d�faire sa ceinture et les boutons du jeans. Je tire pantalon et slip en m�me temps vers le bas d�gageant ses fesses. Pendant ce temps l�, il examine les diff�rents organes du moteur. Je d�couvre un joli petit cul tout rond. Je bande � me faire mal (j'ai mis mon nouveau cockring avant qu'ils arrivent !
Je lib�re mon sexe et le kpote. Obligeamment, Daniel fait couler une pochette de gel entre les fesses de l'apprenti. Je le pousse sur l'aile et pose mon gland sur sa rondelle, je pousse. Il couine un peu � la p�n�tration bien qu'habitu� aux 5,5 de Daniel. Son anneau serre bien ma teub gonfl�e � mort. Je m'enfonce sans tenir compte de ses g�missement et pose le cockring contre son trou �cartel�.

Quand je me retire, il en profite pour se d�coller de la t�le. Je pose une mains sur ses hanches et de l'autre v�rifie l'�tat de son sexe. A t�tons, je devine une petite bite (13/14cm) raide, fine (<4cm), surmontant de petites couilles, le tout ras� de pr�s.
La situation excite Daniel qui pose ses fesses sur l'aile de la voiture et demande � C�dric de le sucer.

Il n'h�site pas et commence sa sucette. J'ai beau pousser sur son bassin en fin d'enculage, je n'arrive pas � l'enfoncer � fond sur la tige de Daniel. Et ce dernier de me commenter la m�diocrit� de la pipe. En effet � ce que je vois C�dric n'arrive � lui bouffer que la moiti� de sa queue. Il me dit que c'est dommage car comme je peux le constater son cul est tr�s agr�able.
Je demande � Daniel s'il veut qu'on essaye d'y rem�dier. Il secoue la t�te verticalement. C�dric recrache la bite de Daniel et acquiesce � son tour, il aimerai bien sucer mieux mais n'y arrive pas.
Je lui dis que ce n'est qu'une question de technique puisque la volont� il l'a.

Je d�cule et d�kpote. Avec Daniel nous installons C�dric le dos sur un des �tablis du garage. La t�te en dehors du plateau pend de fa�on � aligner sa bouche avec sa gorge. Je lui fais sniffer un peu de poppers, �a ne peut qu'am�liorer sa motivation.

Ainsi pr�par�, je lui mets ma bite dans la bouche et m'enfonce. Je le laisse jouer un peu de sa langue avec elle. Il t�te bien mais pas profond. Je lui dis que je vais maintenant m'enfoncer totalement et lui dit d'avaler quand il sentira mon gland d�passer sa glotte. Un coup de rein sec me fait passer l'entr�e de sa gorge. Je le sens avaler et me retire aussit�t, pas la peine de lui provoquer un renvoi.
Je le laisse respirer un peu et recommence. Le second passage est plus facile et je vais plus profond. Il me faut bien 1/4 heure pour r�ussir � tout lui mettre sans qu'il vomisse.
Nous faisons une pause. Il s'assoit sur l'�tabli et me dit que c'est une sensation assez extraordinaire que de sentir un gland dans sa gorge, c'est une dimension autre que la simple pipe. Je lui confirme et lui dis que pour celui qui est suc�, c'est incomparablement meilleur, m�me si une langue agile qui tourne sur un gland surexcit� c'est bon aussi.

C�dric se couche tout seul sur l'�tabli et attend que l'on remette cela. Un petit coup de poppers (pour lui) et je m'enfonce de nouveau dans sa bouche. il a bien pris le coup et je me sens aspir� vers sa gorge. Une fois, deux fois, puis je c�de la place � Daniel impatient de tester les nouvelles capacit�s de son poulain. Je fais attention que dans sa pr�cipitation il n'�touffe pas C�dric.
A limer la gorge avec son gland, il g�mit de plaisir. il me dit que c'est infiniment meilleur. Ses deux mains sur les oreilles de C�dric, il s'enfonce dans sa gorge avec la r�gularit� d'un m�tronome. C�dric calme respire bien. N'ayant pour le moment rien � faire, son cul �tant inaccessible de par sa position, je caresse son torse, t-shirt sous les aisselles. son petit gabarit ne l'emp�che pas d'�tre muscl�. Ma main courre sur ses abdos et ses pecs exempts naturellement de poils. Je descend plus bas et le branle. Il �carte les genoux (les chevilles entrav�es par son jeans), c'est un appel � un doigtage. Ma main glisse sous ses couilles et mon majeur suivit rapidement de mon index traversent sa rondelle encore souple du souvenir de ma queue.

Je fouille du regard le garage pour trouver un support ad�quat qui nous permettrait � Daniel et moi de nous enfoncer ensemble dans C�dric. Je ne vois que la caisse rose qui emballait le GSXR d'Eric. Couch� sur le cot� avec un planche dessus �a devrait faire l'affaire.
Je les laisse tous les deux le temps d'ex�cuter mon id�e. Puis je reviens � eux et alors que j'attrape C�dric par les pieds, dis � Daniel de le prendre par les bras.
Nous le transf�rons ainsi jusqu'� son nouveau lieu de plaisir.
Pas trop mal. Daniel se met � genoux pour replacer sa bite dans la bouche et la gorge de C�dric et moi en face de lui, les chevilles de son suceur sur mes �paules, je m'enfonce � nouveau dans la chaleur de son boyau.
Pris des deux cot�, C�dric monte tout seul en pression et je jugule au moins deux fois ses mont�e de foutre avant de le laisser aller. Petite bite, petites couilles mais gros rendement ! il s'en met partout du nombril � sa bouche remplie de Daniel. Je compte au moins 6 � 7 gicl�es blanches. Je donne quelques coups de reins suppl�mentaires et sort vite pour lui juter dessus. Mon sperme laisse de longues train�es ;qui croisent celles pr�c�demment dessin�es par le sien.
C'est alors au tour de Daniel d'y aller de sa contribution. Couvrant le bronzage de notre petit ami d'une nouvelle couche.

J'enl�ve le plus gros avec du Sopalin et comme il ne peu se rhabiller comme cela, d�cide que nous allions nous doucher � notre salle de sport qui � une entr�e directe sur le cot� de la maison. On remonte nos pantalons et ils me suivent au travers de la cour.
Dans l'entr�e, je fais d�chausser avant de traverser notre salle de msucu et d'atteindre les douches communes. Yeux grands ouverts de mes deux acolytes que je pousse sous les douches. V�tements vite retir�s, et l'eau chaude vient nous mouiller. Avec Daniel, je savonne C�dric qui se tord sous les chatouillis que nos mains lui procurent.
Sous les jets d'eau, ils n'ont pas vu arriver Ammed qui nous attend avec trois peignoirs sur les bras. Ce n'est que quand je coupe l'eau qu'ils le voient et ont un mouvement de recul. Ammed nous tends les peignoirs et me demande (fa�on grand style) si ces messieurs dinerons avec moi ce soir.

Il est tard et j'insiste pour qu'ils restent manger avant de partir.
Nous montons � la maison par l'escalier int�rieur. ;En attendant que le repas soit pr�t, je m'alcoolise avec C�dric alors que Daniel se contente d'un jus de tomate retour moto oblige.
Nous dinons calmement. C�dric me remercie de lui avoir fait d�couvrir ses capacit�s de gorge profonde, Daniel me donne des nouvelles des modifications du GSXR d'Eric...

ils me quittent apr�s 23h.

Jardinier

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