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Soumission / Domination 139

Le samedi matin, je descends de mon R1 flambant neuf devant la concession SUZUKI.

Je suis en avance et la porte est encore verrouill�e. Je lis sur la porte qu'en fait ils ne vont ouvrir que dans trois quarts d'heure. Je quitte mon casque et mate la vitrine. bient�t un jeune (mon �ge environ) vient vers moi et me fait signe de retourner � la porte. il m'ouvre, on se salut et il me demande (en me tutoyant) ce que je cherche chez eux vu le matos que j'avais entre les cuisses en arrivant et de me mater l'entrejambe.

Je ne sais pas pourquoi mais les vendeurs en concession moto sont toujours jeunes ! Moi �a ne me d�range pas, qu'ils soient jeunes ! Mais niveau allusions, faudrait qu'ils soient plus discrets !
Je l'observe de plus pr�s : jeans moulant un cul �troit et un paquet cons�quent, polo sigl� de la marque couvrant des �paules larges et chaussure sport/ville Adidas et au dessus de tout �a une t�te sympathique couronn�e de cheveux blonds en bataille.
Mon inspection �tait nettement visible et quand mes yeux ont rencontr�s les siens, il m'a demand� s'il me convenait ou s'il faudrait qu'il se fasse remplacer par un coll�gue.
Je le rassure en lui disant qu'� ce que j'ai pu voir jusque l�, il me convenait (je pense que cela lui aurait cout� de me l�cher, apr�s tout ils sont pay� en grande partie � la commission) mais que ma machine n'�tait que la partie �merg�e de l'iceberg.
Un grand sourire accompagn� du passage de sa langue sur ses l�vres m'ont indiqu� que nous n'en resterions probablement pas l�.

Les choses �tant cal�es, nous avons abord�s le sujet de ma pr�sence, en l'occurrence l'achat d'un GSXR 1000.
Devant la moto, il commence le pan�gyrique. Je le laisse faire 5mn puis je le coupe en lui disant que quoiqu'il me dise je lui en ach�terais un. Il me regarde sans comprendre. Je lui dis alors que c'est un cadeau pour un ami qui ne roule qu'en GSXR 1000 depuis qu'il a eu son permis.
il me regarde droit dans les yeux pour me dire que j'ai des amis qui ont beaucoup de chance.
Je soutiens son regard, beaux yeux bleus, je souris et lui glisse que j'attends quand m�me qu'il donne de sa personne. Je suis compris, et tr�s naturellement il m'indique les toilettes et pousse la courtoisie � m'y accompagner.

D�s la porte referm�e, il me plaque dessus et me roule une pelle d'enfer. Chaud le jeune vendeur alors qu'il sait d�j� qu'il a vendu la machine ! coll� contre moi, je sens sa queue gonfler sous le jeans et la mienne en faire autant sous le cuir. Le premier il se baisse et ouvre ma combi pour sortir ma bite. Sans la laisser � l'air plus que n�cessaire, il la recouvre de sa bouche. L'impression de rentrer dans une �tuve. Chaud, humide avec une langue qui voltige autour de mon gland, du grand art !
Je le rel�ve avant qu'il ne me fasse jouir. Je lui dis qu'il n'est pas oblig� d'en faire autant, il l'a d�j� vendu son GSXR. Il me r�pond qu'il avait flash� d�s qu'il m'avait vu de l'autre cot� de la vitre et redescend me sucer. Avec un effort suppl�mentaire, il me prend en entier. Dieu que c'est bon d'avoir le gland serr� dans une gorge !
Mais il va me faire jouir ce con ! je le rel�ve une deuxi�me fois. Il me roule un patin o� je retrouve le go�t de ma bite.
Mes mains sont sur ses jeans. La bosse s'est transform�e en une barre horizontale cons�quente. J'ai du mal � d�boutonner la braguette en tension. Quand j'y arrive enfin, une belle matraque tombe entre mes mains. J'y jette un oeil, bien rose, gland d�couvert, j'ai l'impression qu'elle est plus longue et plus grosse que la mienne. Comme nous sommes face � face, je superpose nos deux sexes. Finalement je dois faire quelques mm de plus en longueur mais il les rattrape en largeur. C'est son �troitesse de bassin qui m'avait tromp�.
Je lui glisse un interrogatif, actif ou passif ? Il me souffle que c'est comme je veux qu'on a encore 1/2 heure avant que �a s'agite dans la concession.
Je me baisse � mon tour et lui avale sa bite, direct du premier coup derri�re mes amygdales. Histoire de montrer que je suis pas novice non plus. Il appr�cie l'attention en me prenant la t�te et en me pilonnant la gorge, le tout agr�ment� d'un " putain, c'est rare ! ".
Mes mains libres sont parvenues � faire glisser le jeans de ses fesses et mes doigts ont pris le chemin de son trou, petit mais bien chaud. Je tends mes doigts vers le haut et il me les suce, les enduits de salive. Je peux alors lui pr�parer la rondelle. Un puis deux doigts entrent assez facilement. Il ne bande que plus dur. Apr�s avoir pu lui mettre un troisi�me, je me redresse, le tourne vers les lavabos. Il s'y accroche et le temps de me kpoter, je me pr�sente � sa porte arri�re. J'ouvre quand m�me un sachet de gel au dessus de mon gland et pousse fermement. Mon gland entre accompagn� d'un g�missement de plaisir. Je pousse jusqu'� dispara�tre compl�tement en lui. D'une main je v�rifie qu'il bande toujours. Je l'encule une bonne dizaine de minute puis me retire, j'ai envie de sa bite en moi.
La combi une pi�ce ne facilite pas la chose ! je fini par la virer compl�tement avec son aide. Et je prend sa place apr�s lui avoir donn� gel et Kpote.
Il commence par s'accroupir derri�re moi et me pr�parer l'oignon avec sa langue. D�j� dans ma bouche je l'avais trouv� tr�s longue (sa langue), il allait me le prouver une nouvelle fois, r�ussissant � p�n�trer mon trou de bien deux � trois cm.
Aussi bien pr�par� et surtout excit� par la situation, je me suis ouvert rapidement et tout aussi vite il me l'a mise. Pas de d�licatesse, rapport viril et fort, je me suis fait sauter en beaut�. Jeune mais d�j� bien exp�riment�, il � jou� de sa bite comme un virtuose de son archet sur son violon.
J'ai �clabouss� la fa�ence, utilisant mes muscles annaux pour lui bloquer la queue.
Il a �t� tr�s surpris de ne plus pouvoir bouger. En deux � trois contractions de la sorte je lui ai fait remplir sa kpote.
Quand il a d�cul�, il m'a dit que c'�tait la premi�re fois qu'on lui faisait ce coup. Et qu'il avait super aim�. Je me suis rhabill� avec son aide et une fois v�rifi�s mutuellement nous sommes retourn�s au magasin. Seul son boss nous a vu sortir des toilettes.
Nous sommes retourn�s devant le GSXR et il a fait semblant de me convaincre.
1/4 d'heure plus tard (pour �tre cr�dible), il m'emmenait � son boss pour conclure l'affaire.
J'achetais donc un GSXR 1000 de base, couleurs blanc et bleu classiques � livrer � la maison et au nom de Eric X. Je dis au boss que son vendeur �tant tellement bon, je ne discutais en rien le prix catalogue afin de lui assurer la meilleur commission possible. Il me r�pondit que parfois il avait cet effet l�. je lui conseillais alors vivement de le garder. Il me dit qu'il n'avait aucunement l'envie de le laisser partir que c'�tait son meilleur �l�ment. Je lui dis que je lui faisais confiance sur ce point n'ayant pas " test� " les autres. Comme le vendeur en question �tait encore � nos cot�s, j'ai eu le plaisir de le voir rougir jusqu'aux cheveux.
J'ajoutais � l'achat qu'Eric X (le futur propri�taire) avait cr�dit ouvert pour modifier sa machine (freins, pot d'�chappement, durites, bracelets...). Et pour le garantir, je laissais un ch�que de caution de 4 000 � � charge pour eux de me fournir les factures sign�es d'Eric.

En dernier point je demandais � ce que la livraison soit effectu� par son vendeur qui avait su si bien me convaincre. Point accept� de suite, et de fixer le jour de livraison. Et dernier d�tail j'exigeais un paquet cadeau rose vif avec un gros noeud rouge.

Quelques jours plus tard j'attendais impatiemment ma livraison.
18h la camionnette arrive. J'avais d�cid� de mettre la moto dans le garage � la place de la berline de Marc.
Je le fais reculer jusqu'aux portes et le vendeur sort me saluer. Je suis en jeans polo. Il s'approche et comme je vais pour lui serrer la main, il me prend le poignet et la colle � son sexe. De son autre main, il t�te le mien et coll�s me roule un patin que j'accepte volontiers.
Je me d�colle et lui dis " d'abord les choses s�rieuses ". Il est d'accord et j'ouvre le garage pour qu'il descende la moto. Il la place au milieu de l'espace vacant et retourne chercher la boite cadeau qu'ils ont r�alis�s. Il m'a dit qu'avec un de ses coll�gue, ils s'�taient bien amus�s � la faire. R�sultat : un grand paral�pip�de rectangle rose fuscia avec son noeud rouge dessus qui couvre parfaitement la moto.
Choses faites, il regarde un peu autour et voit notre alignement de motos, VFR, X11, Ducat 1100 S et le R1 et devant ma SLS toute neuve.
Il se retourne vers moi et me dit que je ne m'ennui pas ! J'acquiesce et lui donne un billet de 100� pli� pour la livraison et le colisage. Il me remercie sans regarder la valeur.
Il n'a pas d�band� depuis son arriv�e et m'avait mis dans le m�me �tat que lui.

Camion gar� et portes du garage ferm�es, nous avons repris notre salutation. Il a vraiment une langue plus longue que la normale ! Mais c'est tr�s bon.
Nos jeans respectifs d�j� trop �troits, le sont devenus encore plus et �a a �t� une v�ritable lib�ration que de les ouvrir.
A m�me le sol (b�ton propre) nous avons entam� un 69 torride. A qui avalera le plus loin la bite de l'autre. Sur ce point je l'ai battu de vitesse. Son gland obstruait mes voies digestives et respiratoires avant que le mien n'en fasse autant.
Pendant tout un moment �a n'a �t� que Slurp, Slurp. Puis ses doigts comme les miens sont entr�s en jeu et nous avons altern�s pipe / doigtage et anilingus.
Cette fois c'est lui qui a encul� en premier. J'ai retrouv� toute la fougue qu'il avait mis � notre premi�re rencontre. A 4 pattes, je me faisait monter comme une chienne. Deux fois je l'ai calm� car sinon il aurait jut�. Puis �a �t� mon tour, je l'ai encul� debout, plaqu� contre mon SLS. Alors que par les cheveux je lui tournais la t�te pour profiter de sa langue, j'ai entendu les portes s'ouvrir automatiquement et per�u les phares de la berline de Marc �clairer le paquet cadeaux. Mon vendeur s'est aper�u alors que nous n'�tions plus tout seuls. Il se serait je crois bien retir� mais je le coin�ais contre la carrosserie et il n'avait pas la carrure pour me repousser.
Marc est venu � notre hauteur et m'a rouler un patin sans que je ne me d�saccouple. ;

Le vendeur hallucinait de la situation. J'ai fait les pr�sentation le temps que Marc baisse son pantalon et se Kpote puis, je me suis retir� et il a pris ma place. Ses 2cm de long et son cm de diam�tre de plus ont propuls� notre jeune ami vers les cimes du plaisir. Comme il n'avait pas d�band�, je me suis intercal� et je me suis plant� sur sa bite.
Sous le rythme impos� par Marc, nous sommes doucement mont� en pression. Je sentais la queue de Daniel prendre encore du volume, il �tait en train de remplir sa kpote. Sa main qui me branlait depuis un moment a re�u mon sperme.
Avant qu'il ne jette ma production au sol ou qu'il ne s'essuie sur son pantalon, je lui ai pris la main et l'ai nettoy�e avec ma langue (miam). Un " quelle salope " est venu commenter le fait. Nous avons termin� Marc tous les deux avec une pipe � deux bouches jusqu'� ce qu'il couvre nos visages de sperme.

Vu l'heure, Marc a propos� au jeune vendeur de rester diner. Apr�s un coup de fil � son boss pour lui dire qu'il ne ram�nerait le camion que le lendemain matin, il a accept� l'invitation.

Jardinier

Suite de l'histoire

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