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Soumission / Domination 112

Jeudi.

Arriv� chez Emma, je rentre direct ma moto au garage. Je d�fais le haut de la combi et coince les manches � ma taille. Elle m'attend dans la cuisine avec un caf�. Pelle, je commence � l'entreprendre quand elle me dit : d�briefing.

Direction le salon, nous discutons de la soir�e du samedi. Elle revient sur le fait que je me suis bien d�brouill�, qu'un des deux patrons lui avait t�l�phoner pour lui demander o� elle m'avait trouv�. Quand elle me dit lequel c'est, je vois, c'�tait mon voisin de table et dont ;j'ai pr�venu le " neveu " de montrer un peu d'int�r�t autre que le fric. Je lui dis que c'est dommage que ce ne se soit pas pass� plus t�t, car je lui aurai refil� Jean. Elle me demande qui c'est . Je lui explique que c'est un ami qui aurait bien fait l'affaire, �tudes de commerce, mais qui est d�j� en " situation ".
Je vais voir avec Kev, apr�s tout ce serait plus stable que ses plans � la petite semaine. Les vieux, c'est dans ses cordes et cot� int�ress�, y'a pas de soucis. Il saura feindre (au minimum) un int�r�t pour les affaires de son boss. Je me promet de l'appeler d�s mon retour.

Comme elle est � cot� de moi sur le canap�, j'�courte la conversation en posant n�gligemment une main sur un sein. Sous ma paume, je sens son t�ton se dresser. Je fais pivoter ma main, cela masse le t�ton et lui tire quelques hal�tements. Elle cesse de parler et je peux l'embrasser. Nos langues se cherchent, se m�lent, s'emm�lent. Je bande dur sous le cuir.
Ma main quitte son sein pour descendre jusqu'� ses genoux et remonter sous sa jupe. Elle n'a pas de culotte ! J'ai donc un acc�s direct � sa chatte. J'y enfonce un doigt pour v�rifier l'�tat d'excitation. Je trouve un vagin brulant, mouill�, pr�t � �tre investi.
Elle se d�place et m'enjambe. Je l'ai maintenant face � moi, sur mes genoux, la chatte ventous�e sur mon paquet � continuer � me rouler un patin.

Je la repousse pour pouvoir d�faire ma combi jusqu'en bas et d�gager mon sexe.
Je le sors, laissant mes couilles � l'abris du cuir. Je n'ai pas le temps de kpoter qu'elle s'enfile ma bite dans sa chatte. Je l'engueule, la repousse et mets la protection elle revient aussit�t dessus. Elle se d�chaine, usant de ses muscles internes pour masser ma queue tout en montant et descendant.
Elle est devenue experte � ce petit jeu. Dans notre position, � chaque fois qu'elle s'enfonce au maximum la bite, son clito vient frotter contre la bande de poil qui me reste entre ma bite et mon nombril, renfor�ant son excitation.

Un mouvement plus brusque, je sors du vagin et quand elle se rassoit, je l'encule. �a ne l'arr�te pas et m�me �a renforce l'effet " clito ".
Elle me chevauche ainsi jusqu'� jouir, elle l�ve alors ses jambes pour s'enfoncer encore plus ma queue dans son cul et �craser comme il faut son clito contre mes abdos. Ses contractions tire mon jus et je rempli la kpote.
Elle s'�croule sur moi. Quand je sens ma bite ramollir, je la soul�ve, d�cule et retire la kpote. Elle se repose sur mes genoux et nous nous roulons une pelle magistrale.

Le t�l�phone sonne. Elle laisse mais � l'autre bout du fil, �a insiste. Emma finit par se lever et d�crocher. C'est le boss de l'autre soir qui voulait savoir si j'�tais l�. Elle r�alise soudain qu'elle lui avait dit me voir ce jeudi apr�s midi.

Je prend le combin�. Je l'entend me dire tout le bien qu'il pense de moi. Puis rapidement il me demande si je n'aurais pas un ami qui ferais le m�me taf que moi mais pour homme. Je lui dis que je croyais qu'il avait d�j� ce qu'il lui fallait. Il m'a expliqu� que d'un certain cot� il lui donnait toute satisfaction mais qu'en dehors de cela c'�tait une buse qui �tait incapable de s'int�resser � ses affaires.
Pensant � Kev, je lui demandais si un jeune homme dans les 27 ans, bien fait �videmment et titulaire d'une ma�trise en droit international serait susceptible de l'int�resser. Un oui enthousiaste m'est parvenu � l'oreille. Je prenais ses coordonn�es pour pouvoir le contacter, il m'a donn� son n° portable et je lui ai donn� le mien. Apr�s avoir raccroch�, je demandais � Emma si je pouvais engager cette affaire et reprenais le t�l�phone pour appeler Kev et lui laisser le message de me rappeler.

Nous avons eu le temps de nous baigner et de refaire l'amour sur les bords de la piscine avant que mon portable ne sonne.

Kev. Le message que je lui avait laiss� �tait suffisamment intrigant pour qu'il n'attende pas apr�s l'avoir lu. Je lui demande si il conna�t monsieur X. Il me dit oui, bien �videmment de nom. Je lui demande si cela l'int�resserait d'�tre son escort-boy attitr�, sexe et +. Il me demande combien. Je lui dis que �a se sera � lui de n�gocier mais qu'il ne me semblait pas radin. Pour avoir discuter avec son futur ex escort, je pouvait lui dire que cot� cul, c'�tait un bon passif qui aimait se faire tringler plusieurs fois par jour. Ce qu'il cherchait en plus c'�tait un type suffisamment intelligent pour comprendre son taf et ne pas faire que " gode " lors de diner en ville et je lui racontais comment je l'avais rencontr�.
Il me dit que �a l'int�ressait, il en avait mare de courir 3 ou 4 vieux � la fois pour assurer ses fins de mois et me demanda d'organiser la rencontre le plus t�t possible.

Appel au vieux qui nous fixe rendez vous pour le samedi 10h (hum, �a va coincer avec mon coaching ! si j'annule, Kev me devra un d�dommagement).
Je pr�viens Kev, je lui dis que contrairement � ses autres clients, il lui faudra porter le costume. Il me dit que �a va il en a un. Je lui donne rendez vous � la gare de Lyon, le rendez vous �tant sur Paris.

Quand je rentre le soir, je raconte tout � Marc. Il me demande si je n'avais pas �t� tent� par le poste. Je le regarde interloqu�, je n'y avais pas pens� une seule seconde. Il me dit alors que ce job assurais s�rement un train de vie aussi haut que le mien sans avoir � s'�chiner sur tous les fronts, avec un int�r�t intellectuel en plus.
Je saute sur lui et le plaque au tapis du salon mes jambes en travers des siennes et mes mains bloquant ses poignets au dessus de sa t�te. Il se laisse faire. Je me penche et l'embrasse. Je lui dis qu'effectivement le job est bon mais qu'il me manquerait le principal, lui ! Incidemment, je m'aper�ois qu'il m'a �t� tr�s facile de l'immobiliser. J'ai bien pris cot� muscle !

Je lui dis que je l'aime trop pour penser � le quitter. Je le sens bander contre ma propre queue raide depuis un bon moment d�j�. Je reprends notre baiser et lui l�che les poignets. Ses bras viennent m'enserrer. Il nous fait rouler et reprend le commandement. Nous faisons l'amour (et non pas une baise) sur le tapis. Je le d�shabille quand il en fait autant sur moi. Ses 22cm triomphants trouvent refuge au fond de ma gorge. C'est vraiment la bonne taille. Suffisamment gros pour me d�foncer la gorge mais pas trop ce qui permet de le supporter un bon moment. D'ailleurs il en profite bien, appr�ciant au plus haut point les massages provoqu�s par la d�glutition. En 69, il me bouffe le cul, l�chant, crachant sa salive directement dans ma rondelle pour la pr�parer.
Quand il s'est redress� et � quitt� ma bouche, je me suis plac� pour la sodo. A genoux, le torse pos� sur l'assise d'un des canap�s, la t�te enfoui dans mes bras, je me suis cambr� pour lui tendre mon cul.

J'ai commenc� par sentir ses mains se poser sur mes reins, glisser sur mes fesses et les �carter doucement. Un souffle frais sur ma rondelle et l'humidit� de sa langue pleine de salive l'a fait fr�mir. Bient�t c'est le contact avec la chair lisse et �lastique de son gland que je sens sur mon anus.je me d�tends, il pousse et me p�n�tre. Trop bon ! je le sens faire entrer ses 22cm, caresser au passage ma prostate et la d�passer jusqu'� coller ses couilles aux miennes.
Il reste bloqu� au fond quelques instants avant de se retirer compl�tement. Il r�investi mon trou avec la m�me d�licatesse. Impatient, je recule un peu brusquement pour prendre plus rapidement ses 5 derniers cm.

C'est le d�clencheur des " hostilit�s ". ses mains remontent mon dos pour se poser sur mes �paules et soudain, la tornade arrive. Il me prend violemment le cul � grand coups de bite, tirant � lui mes �paules pour mieux me perforer. Je rejette ma t�te en arri�re et il vient me manger la bouche, mordre mes l�vres (heureusement que je bosse � la maison car j'aurais eu de la peine � expliquer pourquoi elle serait aussi gonfl�es demain matin). Il se d�cha�ne et j'adore. Ses grand coups de bite succ�dant � un pilonnage en r�gle de ma prostate, me font d�coller comme jamais. Il module ses coups de reins de fa�on � me maintenir au plus haut de l'excitation sans provoquer mon �jaculation. Son gland masse ma prostate � l'aller comme au retour provoquant en moi un frisson � chaque fois.

Quand je l'entend souffler plus fort, je sais qu'il ne va pas tarder. J'use de mon anneau pour serrer plus fort sa bite le freinant dans ses mouvement mais amplifiant la stimulation. On ne r�siste pas longtemps tous les deux � ce petit jeu et il explose en moi quand je jute dans ma main. Une fois d�coll�s, j'avale mon jus et nous nous roulons un patin jusqu'� ce que ma bouche soit nettoy�e du moindre spermatozo�de.

Petite soir�e en t�te � t�te. Je crois que �a l'a rassur� le fait que je ne sois pas int�ress� par un job d'escort � temps complet. Comme je le sens pensif, je reviens sur le sujet et lui dis que si j'aime bien baiser tout azimut, il est le seul mec avec qui ;je fais l'amour. Je m'endors dans ses bras, la t�te contre son �paule.

Jardinier

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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