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Soumission / Domination 106

C'est la derni�re semaine de l'ancienne organisation (travail et baises).

Mercredi,

Jean fait sa derni�re passe chez le vieux au valet. D�s que nous entrons, j'annonce la nouvelle au client. Il est content et nous demande d'attendre 5mn. Il revient avec mon enveloppe. Elle me parait plus �paisse que d'habitude. Le temps de monter � la chambre, je l'ouvre et effectivement il a ajout� 50%. �a a du bon le changement de personnel !

Bien que la confiance se soit install�e, je ne voudrais pas qu'il s'autorise sur Jean des " excentricit�s " pour sa derni�re passe et je pr�f�re rester avec eux.

Ce n'est pas d�sagr�able d'autant plus que le valet (toujours aussi styl� et app�tissant) vient me servir. Il m'offre un verre et comme j'�carte les cuisses (ce qui plaque bien mon jeans sur ma bite band�e) il s'agenouille et d�grafe ma braguette.
Je lui prends la t�te ente mes mains et apr�s qu'il eut d�gag� ma queue, lui force (fa�on de parler, il est consentant) la bouche. ;C'est un vorace en manque, il me l'avale jusqu'aux couilles. Je dois plut�t le ralentir que le pousser � m'avaler entier !
Pendant ce temps l� sur le lit � baldaquin, Jean se fait d�monter la rondelle.
Je rel�ve le valet et lui ordonne de quitter le bas. Je vais l'enculer � demi-d�shabill�.
Il s'ex�cute et de lui-m�me se penche en appui sur un dossier de fauteuil, �cartant des deux mains ses fesses. Sa rondelle glabre me fait toujours autant d'effet et kpot�, je m'enfonce avec d�lice dans ce trou.

J'ai bien fait de rester avec Jean car je surprends une ou deux fois le client tenter des trucs pas " catholiques " style, enculage sans kpote et au final jutage dans la bouche de Jean. Les deux fois un regard appuy� � suffit � �viter le pire.
Je jute dans la kpote bien cal� au fond du valet. Trop bon !
De son cot� Jean � fini. Douches rapides et nous rentrons. Jean me remercie d'�tre rest� avec lui car il aurait �t� mal pour refuser les exc�s (vu la diff�rence de force entre lui et son client). Je lui dis que c'est normal, je me suis toujours bien occup� de lui. Il me demande s'il doit continuer � amener des jeunots � sa m�re. Je lui r�ponds que cela vaudrait mieux sinon elle risque d'�tre m�chamment en manque.

Il me dit alors que la moyenne d'�ge va augmenter, les portes du lyc�e s'�tant referm�es. Par contre des copains �tudiant en manque et surtout en manque de baise plus originale qu'en position du missionnaire, il en trouve quand il veut.
Je lui dis qu'il la g�re comme il veut, pour moi, maintenant ce n'est qu'une source de revenu parmi d'autre. Je lui demande de continuer � enregistrer. Peut �tre d�couvrirons nous un " sp�cial pervers " dans le lot. Il me dit que le bourge qui avait encul� son pote c'�tait d�j� pas mal. J'en conviens.
Je le laisse devant sa porte, je ne tiens pas particuli�rement � rencontrer sa reum.

Jeudi,
Je passe chez Emma. J'aime bien mes jeudis " h�t�ros ". Elle est chaude comme � notre deuxi�me rencontre. Aussit�t la porte de la maison pass�e, elle me saute dessus. Elle est nue et ses bras autour de mon cou, ses cuisses sur mes hanches, elle se colle � mon cuir comme une sangsue. Nous nous roulons un patin d'enfer alors que je la plaque contre le premier mur venu. Je bande sous le cuir et ne peux lib�rer mon sexe. Elle le sait et serre encore plus les cuisses autour de ma taille.

Sa chatte commence � mouiller mon cuir, je nous pousse jusqu'au s�jour et la d�pose sur la table. Je d� zippe ma combi en partant du base et kpote ma bite raide avant de lui d�foncer la chatte. C'est chaud et �a rentre tout seul ! Elle reste accroch�e � mon cou et nous continuons � m�langer nos salives.
C'est pas mal, mais elle sait que je pr�f�re son cul (c'est souvent le cas chez les bis tendance tr�s homo !).

Je la retourne, ses pieds au sol, les seins �cras�s sur le plateau de la table, je regarde quelques seconde ce cul avant de le perforer de ma bite. Hargggh que la r�sistance d'un anus est plus plaisant que la mollesse d'une chatte ! J'�te mes gants de moto et lui prend les �paules pour appuyer chacun de mes coups de reins. �a lui soul�ve les pieds du sol. Elle appr�cie la force de l'enculage.

Je glisse une de mes mains sur sa chatte et joue avec son clito. Je sens aussit�t son anus se serrer convulsivement. C'est encore meilleur !
Je glisse ma deuxi�me main sur un sein. Entre la stimulation anale, celle clitoridienne et le malaxage de son t�ton gauche, elle abdique et jouit bruyamment. Je suis oblig� de maintenir ses hanches de mes deux mains pour �viter d'�tre �ject� de son corps.

Je continu des va et vient d�sordonn�s, bloqu� dans mes mouvements par les contractions de son anus. Mais c'est trop bon et j'en rempli ma kpote.
Fatigu�, je me retire et me couche, dos sur la table � cot� d'elle.
Elle rampe sur moi et se colle sur mon cot�. Nous restons quelques instants. J'attends qu'elle sorte de l'�tat post co�tal en lui caressant d�licatement le dos.
Un bon 1/4 heure plus tard, elle se rel�ve sur un coude le regard fix� sur moi. Je ne bouge pas.

Elle d� zippe ma combi du bon cot� pour l'enlever, �carte les pans et rel�ve mon t-shirt pour me caresser les pecs et les abdos.
Je ne bouge toujours pas la laissant dans ses pens�es. Elle finit par me dire " bonjour ", c'est vrai que nous n'avions pas eu le temps de nous saluer !
Elle se penche sur mon nombril, pose sa langue dessus t remonte doucement. Passage sur mes t�tons encore raidis par le plaisir, glissement sur ma pomme d'Adam et atterrissage sur mes l�vres pour une pelle langoureuse.

Apr�s quelques instants, je me redresse. Je descends de ;la table, m'extirpe de ma combi et la dresse sur une chaise. Je pars me doucher. Au passage dans la chambre je choisis un shorty dans la collection qu'elle a acquise pour moi et me coule dans la douche.
Emma me rejoint quelques minutes plus tard alors que je me rince et reste sous le jet br�lant, d�lassant mes muscles. Je la savonne, la caressant plus que l'�trillant. Ses seins sont encore hypersensibles et le passage de mes paumes sur les t�tons la fait frissonner. Je la rince et nous restons embrass�s sous le jet. Une fois s�ch�s, j'enfile le shorty, Emma un peignoir et nous allons prendre un caf� � la cuisine.

Nous papotons, je lui fais part de ma nouvelle organisation (travail � la maison en ind�pendant, pas le recrutement de mes deux nouvelles putes !), elle me f�licite d'avoir fait le pas et me demande si je suis toujours " escort ". Je lui dis - oui bien s�r.
Du coup elle me demande si je pourrais me lib�rer un samedi soir, elle voudrait que je l'accompagne � une soir�e organis�e par un des associ�s de feu son mari. Quand je lui en demande la raison, elle me dit vouloir se d�barrasser d'un soupirant aupr�s de son portefeuille d'action ;en lui montrant qu'elle n'a besoin de personne pour mener sa vie.
L'id�e d'�tre un homme objet ne me fait pas peur, il faut juste que j'obtienne l'accord de Marc.
La date annonc�e me laisse le temps d'acqu�rir un vernis de connaissance du milieu des affaires aupr�s du p�re de Ric. Pour ce qui est du commerce, ma petite affaire m'a appris les rudiments de l'offre et la demande et niveau culturel, mon �ducation m'a laiss�e de beaux restes.

Nous refaisons l'amour avec plus de tendresse, la furie �tant pass�e avec notre premier rapport.

D�s que Marc rentre je lui parle de la demande d'Emma. Il me dit �tre d'accord. Depuis notre clash, nos rapports ont �volu�s et il me fait confiance. Il sait que m�me si je m'investi plus en tant qu'escort, c'est lui que j'aime.

Nous passons la soir�e � faire l'amour. Je le fais monter doucement en pression alternant pipes avec gobages de couilles et l�chages du p�rin�e. En ap�ritif, je r�ussis � le faire juter dans ma bouche. Je le bois et il me prend la bouche pour en r�cup�rer une partie.
Petit d�ner et nous remettons cela. Simplement, dans notre lit (chose assez rare il est vrai) il m'a fait l'amour divinement. Ses baisers, ses caresses et la force de sa p�n�tration font de lui un amant parfait. Apr�s m'avoir amen� � le supplier de m'enculer, il s'est ex�cut� pour mon plus grand plaisir. Chaque centim�tre se sa queue participe � la mont�e de l'excitation. Je m'applique � lui rendre la pareille en serrant mon anus pour lui masser la verge, arrivant � le bloquer quand il n'y laisse que le gland. Nous continuons ainsi, faisant varier les positions jusqu'� ce qu'il explose dans mon cul �crasant mes cuisses sur mon torse afin de pouvoir me rouler un patin. Sans me toucher, je jute entre nos deux corps coll�s.
Avant de nous endormir je lui dis que je l'aime et j'ai le plaisir de l'entendre me le dire aussi (ce qui est rare m�me si cela fait quelques temps qu'il en a convenu).

Vendredi

C'est mon dernier jour chez mon patron, je lui am�ne Jimmy pour le pr�senter et qu'ils fassent connaissance.
L'entretien se passe bien. Je lui fais visiter la boite, le vestiaire avec son placard, ses cottes et ses chaussures de s�curit�, la salle de repos, les quelques bureaux.
Son charme agit d�j� sur celle qui s'occupe de l'administration (et qui n'est autre que la femme du boss), je ne m'en fait plus pour lui !

Au retour, je lui dis qu'il est tr�s sexy dans sa combi de travail � double zip. Il rigole et verifie de sa main l'effet qu'il � produit sur moi. Je bande dur. Sans que je ne demande rien, il me d�boutonne le ;jeans et me pipe alors que je conduis. Heureusement que la voiture connait le chemin, car je n'ai pas vu grand-chose de la route. Arr�t� dans la cour de la maison, j'ai pris sa t�te entre mes mains et la bloquant contre le volant, je lui ai sodomis� la gorge. Il m'avait trop excit� de ptit con !
J'ai jut� dans a gueule en lui disant de tout avaler pour pas tacher le cuir des si�ge.
Quand nous sommes sortis, Samir et Ammed nous attendaient. Samir voulait savoir comment s'�tait pass� l'entretien d'embauche. C'est Jimmy qui lui a dit qu'il �tait pris et de tourner sur lui-m�me pour faire admirer la cotte grise et bleue.
Samir m'a remerci� d'avoir tir� Jimmy de l'avenir de dealer qui l'attendait.

D�s le samedi apr�s midi, j'ai �t� chercher Ed. A partir du moment o� il prend son portable, ses parents le laisse faire ce qu'il veut.
Je lui montre ses quartiers, qui sont les m�me que ceux de Jimmy et lui dis que le lit est assez grand pour eux deux (deux m�tres par deux, pour deux crevettes d'1,65m par m�me pas 50Kg).

En attendant, WE de formatage au futur taf.
Nous passons le plus clair de notre temps au donjon. De temps � autre, Marc nous rejoint pour se vider les couilles. J'organise des pauses o� nous profitons de la piscine. Autant je laisse Jimmy prendre le soleil, un beur bronz� �a le fait, autant Ed se couvre d'un peignoir quand on se repose sur les chaises longues, lui son attrait de blond c'est aussi sa peau tr�s blanche.
A la fin du W, avec Marc nous les double-sodomisons. Je les ai pr�par�s comme il faut et ils sont demandeurs. Apr�s un galop sur la selle �quip� de notre plus gros gode (le 28 x 7.5) o� Ed a expliqu� (fort de son exp�rience de cavalier) � Jimmy comment mimer les mouvements. Nous avons commenc� par Jimmy. Mes jambes emm�l�es � celles de Marc, nos bites coll�es, couvertes de graisse, j'ai demand� � Jimmy de venir s'assoir dessus.
Le gland de Marc juste entr� dans le sphincter, j'ai senti le mien pousser � la porte. Un petit coup de cul et Jimmy l'a fait passer. La suite a �t� un vrai d�lice. Lentement il s'est assis sur nos cuisses. Ed � cot� n'en perdait pas une miette, il savait que plus tard ce serait son tour. Jimmy l'a rassur� en nous disant que c'�tait trop bon !
Avec notre aide, il a amorc� un mouvement de pompe qui avait l'air de lui faire autant plaisir qu'� nous.

Apr�s quelques instants, �a a �t� le tour d'Ed. Avec lui il faut toujours un peu de poppers pour faciliter la chose. Une fois bien call�s dans on cul, nous avons vu notre ptit beur venir lui bouffer la tige. J'ai laiss� faire. Quand il s'asseyait sur nos cuisses, il sortait de la bouche de Jimmy pour y rentrer d�s qu'il retirait nos bite de son cul. Poppers, pipe ou excitation du moment, toujours est il qu'il s'est d�chain� et s'est d�fonc� l'anus sur nos bites raides � un rythme infernal.
Bien stimul�s par la premi�re double-sodo, nous avons tout l�ch� quand lui-m�me tapissait la gorge de son comparse de son sperme.

Nous nous sommes retrouv�s tous les 4 dos sur les tatamis � r�cup�rer de nos efforts. Pas longtemps, Ed s'est rappel� que Jimmy n'avait pas joui et a vite rem�di� � cela. Petite pipe et 30 secondes plus tard il avalait le sperme.
Ils sont revenus vers nous, Jimmy se couchant sur moi alors qu'Ed se posait sur Marc. Petits bisous et ils se sont endormis leurs t�tes call�es dans le creux de nos �paules.

Avec Marc, nous nous sommes regard�s et avons d�cid� de ne pas bouger tout de suite. Du coup nous nous sommes endormis aussi et c'est Samir et Ammed qui nous r�veill�s. Isol�, le temps ne passe pas avec la m�me vitesse dans le donjon.

Douches pour tout le monde et j'ai raccompagn� Ed quand Samir se chargeait de Jimmy.

Quand il faisait son petit sac � dos, je lui ai offert un plug de travail, pour qu'il puisse en semaine se roder l'anus accompagn� de son pot de graisse.

Comme l'autre fois, son fr�re �tait seul � l'attendre. C'est un gentil m�me. Quand nous avons pass�s la porte, il nous a saut�s au cou. C'est vrai qu'il a du s'ennuyer ferme, seul pendant deux jours. Il a cuisin� Ed pour savoir ce qu'il avait fait du WE. Ce dernier a �lud� en inventant des balades en moto. A mon d�part j'ai nettement senti sa petite bite raide sous son short contre mon cuir. Du coup j'ai gliss� dans l'oreille d'Ed que bient�t il faudra qu'il lui apprenne � se masturber !

Jardinier

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