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Soumission 7
De retour des vacances, je me suis install� chez Marc bien que ce dernier ait repris le travail.
Il m'avait fallu user de pas mal d'arguments et de mensonges pour que ma m�re accepte. Selon elle, je passais plus de temps chez Marc que chez eux, � croire qu'ils n'avaient plus de fils !
Je lui dis qu'� 19 ans, c'�tait normal que je prenne mon ind�pendance !
Elle me r�pondit que je devrais plut�t aller avec des amis de mon age et que Marc �tait quand m�me un peu vieux. Je lui rappelais alors qu'ils m'interdisaient de fr�quenter la " racaille " voisine et la rassurais en lui disant que nous �tions souvent rejoint par des potes dans mes ages.
Marc rentrait tous les soirs. Je l'attendais pr�t � servir, douch�, �pil�, le cul bien propre, en jock et collier de chien.
En g�n�ral l'arriv�e �tait toujours la m�me, il s'installait dans un fauteuil et apr�s lui avoir servi un whisky, je plongeais ma t�te haut de ses cuisses afin de le purger des tensions de sa journ�e. Une bonne pipe bien profonde, �a d�lasse !! Et selon la forme, avant ou apr�s le d�ner j'avais droit � ma dose au fond du cul, j'aime toujours autant me prendre ses 22 dans le cul !! Sa fa�on de me sodomiser, allie douceur et force (beaucoup de force parfois), mais il me fait jouir � tous les coups !
Apr�s avoir pass� quelques jours au bord de la piscine quand le temps le permettait ou dans la salle de muscu � entretenir mon physique. Je me suis attaqu� au nettoyage des communs (cf. d�pucelage anal 3).
Apr�s avoir nettoy� et rang� le garage, je me suis attaqu� � l'�curie, vidant les restes de paille et de foin, d�logeant pas mal de petites b�tes !
Il ne restait qu'une porte que je n'avais jamais ouverte. Avec beaucoup de difficult�, j'ai r�ussi � ouvrir le ventail. �a coin�ait derri�re ! J'ai laiss� l'air se renouveler vu l'odeur de renferm� (c'�tait pas la tombe de toutankamon mais �a sentait bien le renferm� !).
Dans cette partie de la grange, il n'y a pas la moindre ouverture, le noir est complet. J'arrive a ouvrir le deuxi�me battant, le jour �claire une grande pi�ce (au moins 50m²) remplie de reliefs divers (reste de selles pour cheval, de pi�ces d'attelage...) les murs sont parsem�s d'anneaux et de cha�nes plant�s r�guli�rement sur deux hauteurs (1m50 et 2m50 environ). Au plafond, de grosses poutres soutiennent un plancher en bois qui semble solide et culmine � 3m. Un escalier droit courre sur le mur de droite.
Cet endroit me semble id�al pour cr�er un " donjon ". Je d�cide de tout nettoyer sans en parler � Marc. Je voudrais lui pr�senter l'endroit pr�t � servir.
Nous avons re�u un soir la visite d'Eric. �a faisait quelques semaines que nous ne l'avions vu. L'�t� faisant, il est arriv� en moto, avec des chaps lac�es serr� sur un jeans d�lav�. Son paquet ressortait encore plus qu'en pantalon de cuir. Je le sifflais quand il descendit de moto. Otant son casque, il �clata de rire et nous rejoint. Alors qu'il serre la main de Marc, je passe ma main sur la bosse et per�ois au travers du tissu la forme de son gland.
Il m'attrape la t�te et la pousse vers son bas ventre. Je me retrouve le nez �cras� sur son sexe qui durcit serr� dans le jeans. J'arrive difficilement � faire sauter les boutons � cause de la pression exerc�e de l'autre cot� !
Son boa se d�ploie et je me jette sur le gland. Eric impatient donne des coups de reins pour que j'en prenne plus dans ma bouche. Je l'entends dire � Marc que ma bouche est toujours aussi douce et que c'est une des rares o� il ne sente pas les dents ! (Ma m�choire bien carr�e laisse bien le passage vers ma gorge).
Pendant ce temps l�, Marc lui demandait si il avait revu Luc et Phil. Eric nous appris alors qu'ils �taient de retour dans la r�gion apr�s des vacances dans le sud et qu'ils �taient aussi bronz�s que nous. Marc soumit l'id�e de se refaire quelques partouzes avent la fin de la saison. Eric ne prenant pas de cong�s en �t� (beaucoup de gamin en moto �cole !) �tait partant. Nous pass�mes au salon ou Marc servi de ap�ros. Le miens se situant dans ses couilles, je me suis occup� � faire bander mon mec. De temps en temps j'alternai avec celle d'Eric.
Alors que j'embouchais pour la X�me fois la bite g�ante d'Eric, j'ai senti les mains de Marc mettre mon cul � nu et sa langue me lubrifier la pastille. Quelques dizaines de secondes plus tard, son sexe m'envahissait. Ses coups de b�lier rendaient ma pipe plus efficace ! il ne fallu pas longtemps avant que mon nez disparaisse dans les poils pubiens d'Eric (avec pas mal d'�touffements !!!).
Apr�s une inversion des places, je me suis retrouv� emmanch� sur les 26cm de chaire noire et la bouche remplie de mon mec.
26cm, c'est long ! il m'a fallu quelques instants pour m'y r�habituer. Marc avait pris ma t�te entre ses mains et impulsait le rythme de ma fellation. Quand il s'est mis � me pilonner le fond de la gorge j'ai su que je ne tarderais pas � �tre abreuv�. Et rapidement, j'ai re�u 6 bonnes gicl�es de son foutre d�lectable. Les contractions de mon anus sous l'effet de la jouissance, ont entra�n� la lib�ration des flots d'Eric dans la kpote. Son retrait soulagea mon cul l�g�rement endolori d'une telle saillie. Il nous fit admirer le volume qu'il avait �jacul� dans la kpote, � croire qu'il n'avait pas bais� depuis une semaine, avant de la jeter.
Nous quittant apr�s le d�ner, il nous a dit qu'il organiserait le w e suivant une touze avec Luc et Phil. Il me demanda alors si je pouvais y emmener Jean car les " clients " qu'il m'avait indiqu�s l'avaient tous rappel� pour le remercier du bon plan.
Je lui assurais que vu ce que ses connaissances m'avaient rapport�es, ces serait le moindre des remerciements.
Jardinier
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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