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Soleil couchant

Le soleil couchant en cette fin de journ�e de juillet, je me reposais dans la verdure, face � l'�tang, quand je vis arriver de la rive un homme, juste de l'autre c�t�.

Je le reconnus, c'�tait le contre ma�tre de chantier de la nouvelle route.
Que faisait-il ici � cette heure ? Tous les cantonniers �taient rentr�s apr�s leur journ�e.

Il devait avoir 38, 40 ans, grand et b�ti solidement. Il a pass� sa main dans ses cheveux bruns et fris�s.
;Il regarda autour de lui, ne voyant personne il commen�a � se d�poiler retirant ses pataugas, j'osais � peine respirer de peur qu'il remarque ma pr�sence. � plat ventre derri�re un buisson et avec une trique d'enfer je le matais.

Il quitta ensuite sa combinaison d�couvrant un corps robuste, il �tait large d'�paules et de cuisses, muscl� et harmonieux bien qu'il soit massif.
Il �tait maintenant en slip, le cul bien moul� dans le coton blanc et devant, entre ses cuisses �paisses, un tr�s all�chant paquet distendait le cal but.
Un dernier regard a l'entour il balan�a les chaussettes et me tournant le dos tomba le sousvet.
Quel beau cul ; ; .......Joufflu et couvert de duvet brun, comme les poils de ses bras et de ses jambes. Il �tait tr�s velu du bas, jambes fesses, et bras, mais peu sur la poitrine, se qui faisait ressortir les pectoraux.
Ceux-ci �taient saillants avec des t�tons larges comme des pi�ces de deux euros.

Se tournant il fit quelques pas dans ma direction, une grosse masse brune se balan�ait entre ses cuisses � chaque pas. Un beau morceau de viande pendait lourdement, sont bas ventre et entre-jambes noires de poils.
Je distinguais mieux sa queue, bien qu'au repos, elle �tait longue et large, le pr�puce recouvrait son gland, mais le moulait si bien que c'�tait plus existant. Il se tripota la queue et se gratta les couilles en se dirigeant sur l'arbre devant moi.
De profil la cambrure de ses reins me fit transpirer et j'�tais dans tous mes �tats frottant mon bassin contre le sol. Il mit la main gauche sur la hanche pris sa verge en main droite et �cartant bien les jambes il pissa. Envoyant sur le tronc d'arbres un jet puissant d'urine. Apr�s se l'�tre secou� il entra dans l'eau et se mit � nager disparaissant sous l'eau.

J'ai largu� mon foutre dans mon slip sans me toucher puis je profitai pour dispara�tre,

Le lendemain midi, le d�jeuner vite aval� je me rendait a l'�tang, j'ai march� plus loin remontant vers l'ancienne route foresti�re et j'approchai des baraques de chantier. j'aper�us une caravane et un 4x4 Nissan a cot� en retrait des baraques.
La porte de la caravane �tait ouverte et j'entendis de la musique.

J'aper�u sa silhouette massive et m'approchait tel un randonneur.
Il se tenait debout non loin de la porte v�tue d'un pantalon de l'arm�e, il pr�parait du caf�. Il �tait seul et je m'entendis crier " il y a quelqu'un ".
Il sortit sur le pas de la porte tout �tonn� de me trouver l�. Je lui ai dit que je m'�tais mal r�cup�r� en sautant sur la route, que j'avais mal aux genoux et s'il pouvait m'indiquer un raccourci pour rejoindre le village.
Il me proposa de rentrer un instant et de prendre un caf� pour me remettre, et il me sembla tr�s content de trouver quelqu'un a qui parler.

J'ai pr�tendu v�rifier si j'avais un probl�me � la jambe et j'ai quitt� mon short pour me retrouver en slip, �grillard je lui est lanc� " �a doit �tre dur sans femme "oui me r�pondit-il en tirant une bouff�e de sa clope." C'est dur surtout le soir "et il contempla amoureusement la photo accroch�e sur le placard d'une pouffiasse les cuisses ouvertes et la chatte b�ante.

Comme cet homme �tait superbe, je n'ai pu m'emp�cher de triquer, en faisant semblant d'admirer moi aussi le poster en murmurant "faudrait que je m'ach�te des photos comme �a, moi aussi.
J'ai jet� un coup d'oeil discret a sa braguette, il bandait et tournant la t�te vers moi il me dit "a cette heure-l� d'habitude je reste seul un peu, les autres sont partis sur le chantier "et regardant ouvertement mon slip d�form� ma mon sexe raide, il ajouta "tu vois se que je veux dire "
J'ai d�cid� alors de tenter le tout pour le tout et je me suis mis � genoux a ses pieds en lui disant "si je te su�ais sa te changerai un peu et se serai meilleur ?'
Il a rougi d'un coup, il a allum� une nouvelle cigarette nerveusement et il ; a d�graf� sa ceinture et debout devant moi d�boutonn� sa braguette bien gonfl�e
Le pantalon grand ouvert, j'ai admir� la b�te et puis tout est tomb� sur ses pataugas.
Offert a mon regard son slip distendu, sa tige bombant le slibard d'une protub�rance de male en rut.

Il �carta les jambes un maximum, les fringues aux chevilles, les jambes muscl�es couvertes de poils noirs, il dit en d�signant la chose �norme entre ses cuisses musculeuses "allez vas y', j (entrepris de palper le slip lourdement charg�, malaxant la bite chaude derri�re le coton ma main glissa a i (int�rieur du slip et l� je sentais sous mes doigts sa grosse viande bouillante sa queue �tait courbe sur la gauche et tendait le slip sur la gauche une tache humide apparue sur le slip
,

Je descendis � deux mains le slip, d�couvrant de nouveau la for�t brune et la naissance de son pieu large qui jaillit du slip, un membre �norme et veineux, odorant d'une odeur masculine,
J'ai d�calott� sa queue avalant le gland baveux, puis enfon�ant la moiti� de sa queue dans ma gueule, ne pouvant l'avaler tout entier.
Je commen�ais mes va-et-vient et p�trissais ses couilles grosses et pendantes, ses boules roulaient dans ma main, il se cambra en r�lant "oh c'est bon "�a bite �tait raide et ruisselante de mouille et de salive, ma langue s'enroulait autour du gland et l�chant les 20 ;cm de queue descendait jusqu'aux valseuses.
Il fl�chit les genoux, �cartant bien les cuisses et ma main s'�gara dans la raie du cul quand mon doigt a farfouill� le trou, il commen�a a bouger du basin et a s'offrir, je le su�ais a fond et je l'ai senti se crisper, contractant ses muscles, son corps �tait secou� par des ondes d�vastatrices, la jouissance montait en lui du son anus a sa bite , secou� par un violent orgasme, des gicl�es de foutre inond�rent ma gorge et mon torse, ne pouvant plus avaler le sperme coulait sur mon menton, quand il se retira de ma bouche je re�u le dernier jet de semence sur le visage.

Sa pudeur �tait compl�tement envol�e, il ne pensait m�me pas a remonter son slip et son futal, il semblait combl� et se retournant il m'offrit son cul baissant son torse en avant ses fesses s'ouvrirent, magnifiques rondes et charnues le poil couvrait sa raie noire et son anus s'ouvrit s'offrant a ma queue.

Je rentrai en lui, mon pieu chauff� a blanc doucement, ma bite enduite de son foutre le d�fon�ait coup par coup je pilonnais ses entrailles a la cadence r�guli�re d'une machine.

Il soufflait et souffrait � chaque passage de mon gland et gueula comme un porc quand mon sperme envahit ses boyaux, je le remplissais.

Apr�s avoir repris nos esprits, il m'offrit une clope, et me dit" reviens quand tu veux prendre un caf�

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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