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soir�e "torso"

Vendredi soir c'est soir�e " torso " au qg bar. Je me pointe vers les 21h45 juste avant que �a soit torse nu obligatoire, histoire de voir les mecs se foutre torse nu les uns apr�s les autres � partir de 22h. Je sonne, le mec du bar ouvre. " Salut, ce soir c'est torse nu � partir de 22h. " Je r�ponds OK et j'entre, m'installe au bar, commande un verre. Le barman discute avec un pote en marcel, brun, r�bl�, tatouage sur l'�paule, poils noirs sur les bras et la poitrine. Vers les moins dix, moins cinq, le mec peut plus attendre et vire son marcel, histoire d'exhiber son torse muscl� : il a les pectoraux tr�s d�velopp�s, la poitrine et l'abdomen velus. On est assis c�te � c�t� au bar, je suis en t-shirt et son bras fr�le le mien de temps en temps, les poils de son avant-bras me caressent la peau, �a me fait bander.

Juste apr�s 22h, quelqu'un sonne pour entrer et avant d'aller ouvrir, c'est au tour du barman de se mettre torse nu. Vu ce qu'on devinait sous son t-shirt moulant je me doutais qu'il �tait baraqu�, mais torse nu on voit que c'est une vraie armoire � glace : pectoraux d'acier, muscles des bras saillants sous une peau basan�e. J'avais aper�u dans l'�chancrure de son t-shirt une toison abondante, mais je me doutais pas que son torse �tait � ce point couvert de poils noirs longs et fris�s. Il va ouvrir, annonce encore " Salut, ce soir c'est torse nu ", les clients entrent et se foutent torse nu, comme l'ont fait les mecs qui �taient d�j� l�. Une fois qu'ils les a servis le barman m'avise et me fait : " eh, au fait, il faudrait peut-�tre te mettre torse nu, toi aussi ! " Je fais le mec qui a oubli�, qui s'est rendu compte de rien, alors que bien s�r j'ai gard� mon t-shirt pour faire en sorte qu'il m'ordonne de me foutre torse nu et au moment o� je vire le haut, je bande encore plus.

C'est le moment d'aller faire un tour en bas, l� o� �a se passe. Mes yeux s'habituent vite � la p�nombre, j'adore cette atmosph�re de mecs tous torse nu qui se tournent autour et se reluquent. Mon voisin du bar se pointe, se cale contre le rebord le long du mur, les pouces accroch�s � la ceinture du pantalon, ce qui met en valeur les muscles des �paules et du thorax. Je m'approche, le complimente sur son tatouage, lui demande s'il a d� se raser les poils de la poitrine pour se le faire faire, il me dit que oui, j'en profite pour lui passer la main sur la poitrine : il a les pectoraux si d�velopp�s que je peux quasiment les soupeser avec la main. Je caresse, puis pince ses t�tons qui sont super pointus, il sourit, alors je plonge la t�te au creux de sa poitrine et je hume son odeur en passant le nez dans sa toison pendant qu'il me caresse les poils du torse. Ca doit plaire aux voisins, parce qu'ils s'approchent et je sens plusieurs mains qui me parcourent le dos, le ventre la poitrine. Ma queue est super raide dans mon froc et elle suinte � mort.

Apr�s avoir mordill� les t�tons du mec du bar, je me redresse et m'�carte un peu pour contempler son torse muscl�. Un mec en profite pour se mettre � genoux devant lui et lui d�faire la braguette d'une main, pendant qu'il lui caresse les poils de l'abdomen de l'autre. Deux autres mecs s'occupent de moi : l'un derri�re me caresse le torse en s'attardant sur mes t�tons et mes aisselles, tandis que l'autre m'embrasse et me l�che le cou, l'�paule, la poitrine en me chauffant de son souffle humide. Je tends une main vers l'avant pour me repayer un tour de la toison �paisse et douce du mec du bar, et l'autre vers l'arri�re pour caresser le ventre du mec qui me caresse le torse : je sens un ventre ferme couvert d'une agr�able fourrure et je descends, passe la main sous la ceinture de son jean. Il m'aide en la d�faisant et je mets la main sur un beau paquet bien chaud. Sa queue jaillit du slip, elle est bien grosse, bien raide et bien d�goulinante. Pendant que je branle le mec de derri�re, celui qui s'est foutu � genoux a commenc� � sucer le mec du bar et celui qui me l�chait le cou s'est baiss� devant moi. On est cinq mecs torse nu qui se touchent et se sucent, j'ai quatre mains qui me parcourent le torse et l'une des miennes saisit une grosse queue band�e tandis que l'autre est plong�e dans une toison drue couvrant un torse puissant : c'est g�nial, j'ai rarement autant band�, mon cale�on va craquer, c'est le moment de sortir mon dard, surtout qu'il y en a un qui veut y go�ter.

D�s que j'ai d�ball� mon mat�riel, il se jette goul�ment dessus, me suce le gland, m'avale la hampe, me fait entrer et sortir de sa bouche chaude. Je regarde le mec du bar : on est face � face, tous les deux torse nu en train de se faire pomper, c'est comme si c'�tait mon reflet dans le miroir, sauf que je n'ai pas la main sur la surface froide du verre, mais pos�e sur son �paule muscl�e, agripp�e � ses pectoraux puissants, plong�e dans son aisselle chaude et tremp�e de sueur. Il s'avance, moi aussi, on se roule une �norme galoche, sa langue parcourt tous les recoins de ma bouche, me l�che les l�vres, le menton, le cou, la poitrine, les seins, puis revient � ma bouche. Pendant ce temps, le mec de derri�re a profit� de l'ouverture de mon jean pour me malaxer les fesses et aventurer un doigt dans ma raie. Comme je ne me d�bats pas, il y met la main, ins�re un doigt, puis deux dans mon cul. Tout est humide : la salive des uns, la mouille des autres, la sueur de tous, �a glisse, �a poisse, �a sent, mon cul se dilate, le mec fait des va et vient avec ses doigts, ma queue gonfle encore dans la bouche du mec qui me pompe, j'ai l'impression que je vais �clater.

Pendant un instant je sens plus rien derri�re moi et j'entends le petit clac de la capote qu'on enfile : je sais ce que �a veut dire... l'instant d'apr�s, la queue que j'avais tout � l'heure � la main commence � faire son entr�e dans mon cul. Le mec me fr�le, se colle � moi, je sens contre mon dos la chaleur de sa peau, la fermet� de sa musculature, le grattement de ses poils et la moiteur de sa sueur. Son souffle est dans mon cou, ses mains sur mon ventre et mon torse ; il a compris que j'aime qu'on me caresse le torse, les poils, les t�tons, les aisselles. Tous mes sens sont en action, tout mon corps est excit�, tout en moi se dilate, le mec de derri�re m'a maintenant fourr� toute sa queue dans le fion et il me bourre consciencieusement. Ma queue est au fond d'une gorge, mon cul rempli par un gros dard band�, ma bouche se fait prendre par une langue experte et mes mains t�tent du muscle, de la sueur et du poil : je sais pas ce qu'il pourrait m'arriver de plus.

Soudain, saccades du mec du bar qui continue � me rouler une pelle, il geint, il a d� d�charger. Puis stupeur au moment o� se redresse son pompeur : il est encore plus bandant que lui, un grand, blond, muscl�, la stature �lanc�e mais le muscle puissant et un torse... on peut m�me plus parler de poilu � ce stade-l� ; il a une toison qui doit bien faire cinq centim�tres d'�paisseur, qui lui remonte des aisselles sur les pectoraux et des pectoraux jusque dans le cou ; et avec �a une gueule de dieu, grand front, pommettes prononc�es, menton carr�, yeux en amande, il sourit. Je ne sais plus o� donner des yeux et des mains : � ma gauche un brun costaud aux muscles tout en rondeur, � ma droite un blond athl�tique et �lanc�. Ils approchent tous les deux le visage pour m'embrasser, mais je les repousse car je sais que je n'en a pas pour tr�s longtemps et je veux pouvoir les reluquer au moment de jouir : mes mains caressent, malaxent chacune l'un de ces deux torses �galement muscl�s, �galement velus.

Je sens que le rythme ralentit, puis s'acc�l�re soudain dans mon cul, la queue qui me bourre gonfle, me racle la prostate et l'anus. Au moment o� le mec de derri�re me gicle dans le cul, je crache la pur�e dans la gueule de mon suceur, les narines emplies d'une odeur �cre de sueur et de foutre, et les mains plong�es dans les poils tremp�s des deux torses nus qui me font face.

Gill

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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