Cyrillo

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SOIR�E CLUB SURPRISES SM

Paul et Andr� sont ensemble depuis plus de dix ans. Paul a 48 ans, il est grand, l�g�rement enrob�, le cr�ne ras� sans faire skinhead. Andr� est plus petit et tr�s muscl�. Cet homme adorable de 46 ans peut rapidement devenir teigneux � la moindre provocation. Ce sont les amis qui m'ont initi�, non pas aux plaisirs masculins, mais � ce monde, cette fa�on de vivre, la pr�s�ance, les lieux, les clubs gays.

J'ai 35 ans, sans �tre 100 % gay, je me complais dans ce monde. Je ni suis pas venu par d�pit, bien que mes amours avec les femmes que j'adore, n'aient pas �t� p�rennes. C�t� sexe, en dehors de mes penchants SM, j'ai gard� une passion, celle des sous-v�tements f�minins ! Apr�s en avoir offert � mes douces gazelles, qui ne les portaient que rarement, j'ai d�cid� de m'en offrir depuis que je suis c�libataire. Le contact de ces tissus m'excite tellement qu'il m'arrive d'en porter � la maison, pour le plaisir de me sentir moul� de ces nobles �toffes.

J'en ai parl� � Paul et Andr�, qui en souriant mais sans moquerie, m'ont incit� � en porter lors de certaines de nos soir�es. La premi�re fois, j'�tais particuli�rement g�n�, mais ils ont su me mettre � l'aise comme on sait le faire dans ce milieu plus tol�rant que les h�t�ros. Depuis pr�s d'en an, une complicit� s'est install�e, Andr� m'appelle parfois sa petite femelle, lors de certains jeux cuisants pour mes fesses expos�es et soulign�es par un string ou un collant ajour�.

SOIREE CLUB

R�cemment, ils se sont mis en t�te de m'aider � r�aliser mon fantasme de porter en public des sous-v�tements f�minins. Les pr�paratifs de cette soir�e �rotiques lorsque je choisissais puis en essayais diff�rentes tenues m'ont fait fantasmer sur leurs id�es qui ne pouvaient �tre que perverses. Entre les envies et la concr�tisation, le pas � franchir �tait aussi important que de franchir le pas de la porte de mon appartement avec une tenue achet�e � prix d'or sous mes v�tements masculins. Enfin, j'ai os� ! Enfin, j'ai os� !

22 heures

Nous sommes au bar d'un club gay/SM, je n'ai toujours pas le courage de me d�voiler alors que Paul est d�j� en tenue, avec un pantalon et un d�bardeur en cuir et sa casquette militaire. Andr� est all� se changer dans la salle r�serv�e � cet effet, avec des casiers ferm�s � cl� pour laisser ses affaires que je qualifierais de " civiles ".

Comme � son habitude, il porte son shaps, (pantalon ouvert entre les jambes), son short de cuir moulant ses parties grossies par un large cook-ring (anneau dans lequel on passe les couilles puis le sexe qu'il est impossible de le retirer si l'on bande) et son tee-shirt noir.

Moi, j'ai l'air cruche, je n'oserai pas me d�voiler et ma soir�e va �tre g�ch�e.

Paul et Andr�, devant mes h�sitations, m'offrent un whisky et m'encouragent mais en vain. Agac�, Andr� demande alors au barman de lui passer des menottes et un b�illon.

Je ne dis rien, je regarde les �v�nements un peu comme si j'�tais � l'ext�rieur et ne r�siste pas quand il me plaque contre le bar, ram�ne mes bras dans mon dos en refermant les bracelets m�talliques sur mes poignets. Je me sens dr�le, ma t�te tourne un peu, je suis comme devant la t�l�, un spectateur ! Les consommateurs pr�s de nous, regardent la sc�ne avec int�r�t, esp�rant sans nul doute, un spectacle.

Paul trempe dans mon verre la boulle du b�illon puis en force ma bouche en me disant ; "profite, c'est ton dernier whisky de la soir�e " avec un clin d'oeil complice. Lorsqu'il referme la sangle derri�re ma nuque, je r�alise qu'ils vont s�rement me contraindre devant tout le monde. Chez eux ou chez moi, c'�tait diff�rent, mais maintenant j'ai peur et j'ai honte d'avance. En m�me temps, derri�re la contrainte, je vais pouvoir vivre mon fantasme, mais pourvu qu'ils �pargnent un peu ma pudeur, en m'amenant dans la petite salle du bas. Elle est sombre et ne peut contenir que six ou sept personnes. J'aurai du leur demander avant.

- Alors, mon grand, c'est quoi ta petite surprise ? Me dit Andr� avec un regard plein de malice
en plaquant sa main entre mes jambes pour me tripoter de sa poigne qui peut �tre des plus ferme.

Ce type de jeu de rapport de force, n'est pas pour me d�plaire. Dans ces moments l�, je ne suis plus moi-m�me, je suis un esclave consentant qui cherche la contrainte, la punition et la sodomie. Ils savent que j'aime que l'on me bouscule un peu, mais c'est la premi�re fois que cela m'arrive en public. Je ne sais plus quoi penser.

La peur du ridicule me submerge soudain � l'id�e de me pr�cieuses voil�es, d�voil�es.

La main d'Andr� se referme et me pressurise les bijoux de famille. Je me tords de douleur en dandinant sur mes jambes qui semblent devenues coton. Paul entreprend d'ouvrir ma chemise ! Horreur totale ! NON ! Pas ici ! Pas devant tout le monde ! J'ai beau gigoter dans tous les sens, le rapport de force in�gal.

Paul passe son bras autour de mon cou et me serre contre lui pendant qu'Andr� ouvre mon pantalon en toile. Quand il se baisse pour le faire descendre, je pourrai lui donner un coup de pied dans la figure, mais je n'ose pas et me contente d'un " mmpphh " d�sesp�r�s dans mon b�illon.

Paul accentue sa pression autour de mon cou et d'une main entreprend d'ouvrir ma chemise. A l'issue d'une courte lutte in�gale, je me retrouve dans une situation difficile avec un tourbillon de sentiments de honte et de d�sespoir. Mon pantalon en corolle sur mes chevilles castre toute tentative de fuite.

Les clients du club se rapprochent et contemplent la sc�ne d'un air amus�. Cet homme b�illonn� et menott�, debout comme un " i " en sous-v�tements blancs, bas, string, porte-jarretelles, avec un corset en satin et son pantalon aux chevilles c'est bien moi !

Pour couronner l'exhibition, Andr� remonte ma chemise et la bloque dans la sangle de mon b�illon.

- Ben dit donc, tu n'as pas fait dans la dentelle ! Me lance Andr� tr�s amus� en me laissant en plan pour s'asseoir sur un tabouret de bar et siroter " mon " verre.

- Ma petite femelle, adore �tre expos�e et tripot�e, alors si les mains vous d�mangent, n'h�sitez pas ! Dit Paul aux curieux.

Deux hommes s'approchent. L'un est v�tu d'un pantalon en cuir et porte un harnais, l'autre �galement mais porte une casquette US Air force. L'un deux se met face � moi, m'observe puis caresse mes jambes et mes hanches. Sa main vient � l'int�rieur de ma cuisse, remonte puis flatte mon entrejambe, pendant que l'autre homme � la casquette pelote ma croupe expos�e, la presse, puis laisse s'insinuer un doigt entre mes fesses.

Mes sentiments et mes sensations sont tr�s m�l�s. J'ai l'air cruche et pourtant, je vibre d'un plaisir inconnu sous leurs mains fureteuses et quelque chose de pervers s'anime du c�t� de mon bas ventre.

L'homme � la casquette se baisse derri�re-moi, �carte mes fesses puis y plaque son visage et se met � me l�cher. Sa langue agace mon petit anneau autour de la ficelle du string, je ne sais plus o� je suis. Je perds mes derniers rep�res. Puis il s'interrompt pour retirer mes chaussures et mon pantalon.

Une grande claque retentissante et cuisante vient de s'abattre sur ma croupe.

- T'as un beau cul tu sais, on en mangerait ! Me dit l'homme � la casquette en attrapant son copain par l'oreille pour le diriger vers ses jambes.

Celui-ci, apparemment habitu� � ce traitement, ne se r�volte pas et ouvre son pantalon pour en extraire une belle verge band�e qu'il se met aussit�t � sucer goul�ment. Moi qui fantasmais sur une petite exhibition furtive et discr�te dans une des petites salles du sous-sol, je me retrouve ainsi v�tu au coeur d'un v�ritable spectacle SM devant une quinzaine de personnes.

Pendant que son acolyte le suce avec conviction, l'homme � la casquette sort de sa poche un tube de gel et un pr�servatif en me disant : " Tu vas y passer " !

Le ton �tait presque interrogatif, mais sans attendre r�ellement la r�ponse, il dirige sa main charg�e de lubrifiant vers mes fesses. Ses doigts �cartent mon joufflu et la ficelle du string pour laisser place � son majeur qui rapidement franchit la barri�re de mon anus.

Sa main ferm�e dans ma chevelure m'oblige � me pencher en avant pendant que l'autre fouille un instant mon �troit conduit. Tout s'encha�ne alors rapidement. Il donne le pr�servatif � son copain, qui le lui enfile en l�chant les doigts de la main qui vient de me fouiller les reins. Ils me dirigent vers une table, je me laisse guider sans r�sistance, de toute fa�on je ne contr�le plus rien, mais ai-je envie ou puis-je contr�ler quelque chose ?

Autour de nous, on se tripote ou se suce, d'autres s'embrassent. Paul et Andr� sont au fond de la salle, avec le couple qui �tait � c�t� de nous au d�but. Les salopards, m'ont abandonn� !

Tout en me maintenant fermement contre la table, il se fraie un passage entre mes fesses par son ami �cart�es et pose sa verge contre mon anus. Je fr�mis � son contact. Il me force, petit � petit, je sens mon anneau de chair �clore sous son gland de belle taille. Dans un ultime plongeon, il s'enfonce sans plus de pr�caution dans mon �troit conduit brutalement dilat�.

Mes sphincters sont douloureusement contract�s mais il n'en a que faire. Il se met en mouvement et me pistonne sans plus de m�nagement. Je crie dans mon b�illon et tente de me cambrer pour fuir son acharnement. Ses arguments de tardent point, d'une main il m'�crase les reins sur la table, de l'autre me claque les fesses violement.

Au bout d'un moment, perdu entre douleur, honte et plaisir, je commence � fondre, cesse de me plaindre pour g�mir, puis les fesses tendues et ouvertes, je lui offre mon anus �panoui qui s'extasie de plaisirs enivrants

Face � moi, les voyeurs se rincent l'oeil et commentent en consommant comme si cela leur donnait une bonne raison d'�tre l�.

Je ne parviens plus � discerner ce que je ressens, plaisir ou humiliation, souffrance ou volupt�
C'est comme si mon esprit s'�tait peu � peu �vad� de mon corps. Jambes �cart�es et p�n�tr� sauvagement devant tout le monde, je ne suis plus qu'un cul et je dois l'avouer, la honte s'apaise. Je flotte entre deux nuages. C'est dingue et pitoyable je sais, mais je me concentre sur les ondes voluptueuses qui traversent mon corps et rien d'autre ne compte plus pour moi.

L'un des spectateurs vulgaire lance : " putain ce qu'elle prend " le " elle " me g�ne terriblement, je ferme les yeux, j'ai trop honte de moi et de ce plaisir odieux.

L'�ch�ance attendue pointe son nez. Le mouvement s'acc�l�re puis s'arr�te soudain, un g�missement sonne la fin de mon humiliant plaisir. Il s'abandonne en moi et dans son pr�servatif qui je l'esp�re a r�sist� � ses sauvages asseaux. Puis il se retire, et viens s'asseoir sur la table, � c�t� de mon visage face au public. Comme si le sc�nario �tait jou� d'avance, son ami se pr�cipite pour lui retirer le pr�servatif et en boire sa g�n�reuse semence. Il semble s'en d�lecter.

Etendu sur la table, je contemple le spectacle de cet homme soumis qui ensuite se met � sucer la verge qui m'a donn� tant de plaisir. Mes fesses ouvertes et accueillantes g�n�rent d'autres envies. A mon tour voyeur, je n'ai pas pris garde aux mouvements des spectateurs. Quelqu'un se positionne derri�re moi, s�rement focalis� sur mon derri�re offert et soulign� de mes sous-v�tements blancs dans cette lumi�re tamis�e.

D'un pied je le repousse gentiment mais fermement avant de me relever avec difficult�. J'ai eu mon compte d'�motions pour ce soir, je n'ai plus d'envie m�me si je n'ai pas joui au sens propre du terme. L'homme d��u abandonne, s'il avait voulu de force, me prendre � son tour, je n'aurai g�re pu r�sister, mais cette forme de violence n'existe pas dans un club gay SM.

EPILOGUE

Paul et Andr�, me raccompagnent chez moi puis me souhaitent bonne nuit en me faisant la bise dans la lueur des phares de leur voiture. La cl� dans la serrure de ma maison vide d'amour, en dehors de celui du chat " Minette " sonne la fin d'une soir�e si diff�rente de celles v�cues d'habitude.

Apr�s la douche salvatrice, avec le chat ronronnant sur le lit pr�s de moi, le plaisir solitaire dans le noir de la chambre est finalement terne car ce qu'il manque dans cette maison, c'est de l'amour � partager.

TSM


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