Un soir de gr�ve 3Tout autour de nous, le sol est jonch� de nos v�tements jet�s en vrac, t�moins immobiles de la passion qui s'est empar�e de nous. Je me rel�ve lentement et Matthieu m'entra�ne vers la salle de bain. Pendant qu'il fait couler l'eau dans la cabine de douche, je prends le temps de l'observer. Il est, sous ses traits fins et lisses, particuli�rement bien proportionn�. Rien n'est en trop, rien ne manque. Un grain de peau soyeux, une pilosit� masculine, juste ce qu'il faut pour souligner son physique d'homme, mais qui laisse des larges espaces imberbes et lisses. Il a aussi un fessier de r�ve. Deux belles fesses fermes, avec cette fossette sur chacune d'entre elles qui me font craquer. Je ne peux r�sister � les toucher. Ma main se dirige vers ces deux bosses si excitantes et lentement en appr�cie les formes, le toucher, la fermet�. Matthieu semble aimer cette caresse, car j'entends un soupir d'aise. Il se laisse faire, et j'en profite pour m'approcher et me coller � lui. Je d�pose sur ses �paules un doux baiser, pendant que mes mains enserrent ses hanches. Son dos se frotte � mon torse, ses fesses frottent mon sexe. Il ondule lentement, r�veillant mes ardeurs au contact de sa peau et en respirant ses effluves de m�le apr�s l'amour. Je sens mon sexe qui se dresse entre ses fesses, et Matthieu de plus en plus insistant contre mon pubis. Soudain il bascule son torse en avant et me pr�sente son post�rieur. " Prends-moi Romain, l� maintenant " me dit-il avec une force et un d�sir dans la voix qui me surprennent. Je vais pour lui pr�parer sa rondelle quand il me dit " Non comme �a !!! A sec !!! Je veux te sentir m'enculer, me d�chirer !!! " " Je vais te faire mal " dis-je presque inquiet de sa demande " Vas-y bon sang !! Encule-moi !!! " Je d�pose et �tale un peu de salive sur mon gland de nouveau gonfl� de d�sir et le pose sur sa rondelle poilue. Je commence � le p�n�trer quand il recule pour s'empaler sur mon sexe raide. Ma queue rentre toute seule dans son trou, presque trop vite, comme happ�e !!! Il pousse alors un grand cri animal, primaire, de jouissance. En deux secondes ma queue s'est enfonc�e jusqu'au pubis dans son anus et je le sens d�j� fr�missant, ne demandant qu'� �tre lim�. Alors je lui saisis les hanches et commence un limage en r�gle. Au d�but, je ne vais pas trop vite parce que moi ca me brule un peu, mais il en veut encore plus. Je vois son regard dans le miroir et c'est celui d'un homme qui aime ce qu'il est en train de vivre. J'y vois toute sa jouissance, tout son plaisir � sentir une bite de mec dans son cul. A chaque fois que je m'enfonce dans ses entrailles, il pousse un " ahhh " rauque de plaisir. J'acc�l�re le mouvement pour le satisfaire encore plus. Mon sexe coulisse maintenant a merveille dans son ventre, et j'enchaine coup de bite sur coup de rein. Ses fesses tremblent � chaque fois que mon ventre les touches. Il s'agrippe sur le bord de la vasque pour r�sister � mes assauts. Je me penche sur ses reins et passe ma main sous son ventre pour saisir sa queue. Je d�couvre un membre raide, dur comme la pierre !!! Il bande comme un fou pendant que je l'encule. Il aime se faire d�foncer !!! Il m'a pris comme un dieu et il a un cul divin !!! Je l'astique au rythme de mon pilonnage et j'acc�l�re encore mes va et vient. Les cris rauques sont remplac�s par des " ouiii " saccad�s et je sens d'un coup sa verge qui dans un dernier spasme se contracte et crache une pur�e chaude et �paisse sur la porcelaine blanche. Il avait encore de la r�serve apr�s m'avoir rempli le ventre sur le canap� !!!! Un immense cri de jouissance jaillit de sa gorge, ce qui provoque mon �jaculation dans son cul de r�ve. Je lui f�conde les entrailles en m�lant ma voix � la sienne. Apr�s ce second orgasme de folie, je d�cule lentement, relevant Matthieu. Il se retourne et me plaque au mur, me roulant une pelle monumentale, pleine de fougue d'ardeur, de virilit�, tout en me prenant les couilles et en les malaxant presque � m'en faire mal !!! Je le plaque contre moi et lui rend la pareille sur ses fesses encore chaudes de mon sodomie. Il me pousse alors sous la douche o� nous sommes accueillis par un jet d'eau chaude. Il continue malgr� l'eau qui ruisselle sur nos visages et sur nos corps unis � m'embrasser � pleine bouche, couvrant mon corps, mes fesses et mon sexe de caresses passionn�es, comme s'il voulait profiter de chaque instant pour user et abuser de moi. Je me laisse entra�ner par son d�sir, lui rendant caresse pour caresse, me frottant � lui avec la m�me passion d�vorante. Il semble insatiable, comme s'il voulait rattraper un temps perdu ou profiter de cet instant pour faire provision d'amours masculines. Malgr� nos deux s�ances d'amour rapproch�es, je sens que mon sexe entre ses doigts ne demande qua repartir dans ses entrailles. Mais auparavant, je vais l'honorer de ma bouche. Je me d�gage de son �treinte et glisse lentement le long de son corps, me retrouvant � genoux devant son sexe encore mou mais toujours gonfl� de plaisir et de d�sir. Je d�calotte son gland lentement et le lape avec d�lice. Il sent l'homme, le m�le, la b�te sexuelle. Je l'avale puis le suce avec attention, lentement, couvrant chaque parcelle de ce gland qui grossit encore dans ma bouche de baiser et coup de langue. Son sexe, pourtant �puis� par deux orgasmes successifs, se redresse peu � peu, m'obligeant � me redresser un peu pour suivre son ascension vers le nombril de Matthieu. Et je pompe � fond son chibre �norme et dur une fois encore. Je pompe a fond cet organe qui m'a tellement donn� tout � l'heure sur le canap�. Matthieu semble au bord de la crise cardiaque. Je sens toutes ses terminaisons nerveuses sur le point d'exploser, comme � vif sur son gland rouge et sa grosse queue qui me remplit la gorge. Je suce sa bite avec d�lice, encore et encore. Je lui gobe ses deux couilles poilues pendant que mon majeur lui caresse et fouille l'anus. Il essaie de me retenir. Je sens qu'il n'en peut plus de plaisir, mais je continue encore et encore � le sucer, jusqu'� l'extase. Pendant 20 minutes au moins je le pompe � fond, et je sens l� encore qu'il va jouir. Mais dans un supr�me effort, il r�ussit malgr� tout � se d�gager de mes caresses buccales. Je le regarde, presque d��u de ne pas l'avoir emmen� jusqu'o� bout, quand, sans m�nagement, il me rel�ve, me retourne en me faisant courber le dos et m'encule d'un coup, sans retenue, pour se livrer � une d�fonce comme rarement j'en ai connu. Il me lime avec une telle vigueur et une telle violence que j'ai presque l'impression de me faire violer. Mais cette bestialit� dans la sodomie me procure des vagues de plaisir anal sans pr�c�dent et je me soumets � son d�sir sans r�sistance. Il m'encule comme un fou, me rentrant toute sa bite par grand coup dans le cul, me d�fon�ant litt�ralement le cul. Cette sodomie sauvage ne dure que tr�s peu de temps quand je le sens deculer d'un coup sec et venir gicler sur mes reins. Aussit�t apr�s, il s'effondre de plaisir dans la cabine assis � terre la bite toute pantelante entre ses cuisses, le regard loin, le souffle court. Je me tourne vers lui et d�verse apr�s une courte masturbation ce qu'il me reste de foutre dans des couilles d�j� ass�ch�es par deux jouissances intenses sur son visage et son torse, avant de glisser et de le rejoindre au sol de la cabine. Je ne sais pas combien de temps nous sommes rest�s ainsi, l'eau coulant sur nos corps �puis�s de tant de sexe, de jouissance et d'orgasme. Au bout d'un moment, il me regarde enfin et me dit avec un grand sourire plein de tendresse et de complicit� : " alors, on va la boire cette bouteille... " Romain JM
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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |