Un si joli voisin�pisode 1: une cuisine chaude C'�tait un dimanche d'hiver, en fin de journ�e. A l'�poque, j'habitais une petite chambre dans une r�sidence �tudiante ; 3 chambres par �tage avec cuisine et toilettes communes. Dans les 2 autres chambres de l'�tage, un couple, S�bastien et Sylvie, et dans la deuxi�me, Silv�rio, un beau mec brun � l'allure italienne, un peu taciturne que j'aurai bien branch�, mais qui �tait rest� jusqu'� pr�sent sourd � mes allusions. Moi c'est 185, 78, blond, yeux bleus, muscl�. Ce soir l�, je suis all� me chercher un yaourt dans le frigo. Il �tait 21 h, j'�tais v�tu seulement d'un cale�on et d'un tee-shirt. En entrant dans la cuisine, j'ai vu S�bastien en train de pr�parer le d�ner pour lui et Sylvie. Il touillait en continu dans une casserole. Juste "bonsoir, bonsoir", je n'avais jamais d�pass� ce stade l� de la conversation avec S�bastien. C'est en sortant de la cuisine que j'ai remarqu� que, si S�bastien avait gard� pull et chemise (on �tait en hiver), il �tait, pour le bas, v�tu d'un cale�on, sans pantalon le bougre. Un cale�on blanc sans fantaisie, d'o� �mergeaient 2 jambes muscl�es couvertes de poils blonds. Je l'ai regard� comme jamais je ne l'avais regard�. C'est vrai que finalement, il �tait pas mal, mon petit voisin h�t�ro : 25 ans, 1m70, mince sous ses fringues toujours trop larges qu'il semblait affectionner. Une bonne t�te sympa avec des petites lunettes rondes. Il me souriait presque b�tement tout en continuant ses mouvements de cuill�re dans la casserole. Il souriait car il avait remarqu� que je matais ses jambes. Il semblait presque g�n�. Moi j'ai band� aussit�t sans r�fl�chir pourquoi un d�sir brusque m'avait envahi si soudainement. J'avais envie de S�bastien maintenant et ici. Je me suis approch� lentement de lui. Il me regardait en souriant toujours. Il ne pouvait pas ne pas avoir vu la d�formation ind�cente que faisait ma queue sous mon cale�on. Je me suis approch� encore plus pr�s, � sentir sa respiration et son parfum. J'ai pos� ma main droite sur sa fesse et j'ai commenc� � lui masser avec douceur. Il semblait t�tanis�, il ne disait rien. Je l'ai caress� sans m'arr�ter ; j'ai gliss� lentement ma main sous son cale�on pour caresser les fins poils blonds du duvet qui couvraient tout son cul que j'ai trouv� ferme et muscl�. Ma main gauche ne resta pas inactive. Je la glissais sous sa chemise pour caresser ses muscles abdominaux durs et sa peau douce, je la flattais de mes doigts. Je remontais vers ses pectoraux, �tonn� de trouver une telle musculature. S�bastien gagnait � �tre explor� sans ses v�tements ! Je cherchais puis trouvais un t�ton que je caressais jusqu'� le faire durcir entre 2 doigts. Il ferma les yeux et g�mit � cette caresse. Il eut juste le r�flexe d'�ter la casserole de la plaque �lectrique. Alternant sein droit et sein gauche, je lui donnais du plaisir tout en poursuivant mes caresses sur son petit cul. Ma main gauche refit le chemin inverse, direction son ventre. Je jouai avec l'�lastique du cale�on 2 secondes. Le tissu �tait tendu et d�form� aussi par une �rection que je devinais �norme. En plus il �tait tr�s bien mont�, mon voisin ! Je lui malaxais cette bonne queue � travers le tissu. Ma main n'arrivait pas � le prendre suffisamment pour en faire le tour et appr�cier sa grosseur ; je la glissais sous l'�lastique. Je le branlais avec douceur, alternant mes caresses sur sa queue et ses couilles. Il avait toujours les yeux ferm�s et une expression de plaisir s'�talait sur son visage. Derri�re, je glissais ma main entre ses fesses, l� entre les 2 lobes o� le poil est si doux. Le temps de lubrifier mon doigt avec ma salive, j'�tais ma main puis reprenant mon exploration, je cherchais son trou pour y glisser mon index. Pas d'opposition de sa part quand je franchissais l'orifice. Il g�missait de moins en moins discr�tement. Il fallait faire vite avant que sa copine ne s'�tonne de son absence prolong�e. Mes 2 mains s'activaient sur son sexe et ses fesses. Je me collais � lui pour chercher ses l�vres. Il me laissa l'embrasser, doucement d'abord, puis il me rendit mon baiser d'une langue goulue. Je n'en pouvais plus de d�sir retenu. Il fallait que je sorte ma queue. J'avais envie de le baiser, de plus en plus depuis que je sentais son trou s'ouvrir sous mes doigts avec douceur. De mes 2 mains, je lui d�chirais le cale�on. Puis le guidant doucement, je le for�ais � se coucher sur la table de la cuisine. Le forcer �tait d'ailleurs un terme un peu exag�r�. Il s'allongea sur le dos. Il ne se d�battit pas vraiment quand je lui enleva son pull et sa chemise pour d�gager totalement sa musculature. Son pieu se dressait devant moi. Je le mis dans ma bouche et le su�ais avec gourmandise. Quelle bonne queue ! Mais je n'avais pas le temps de m'attarder. J'abandonnai avec regret cette queue magnifique pour glisser ma langue plus basse entre ses cuisses. En relevant ses jambes sur mes �paules, je d�gageai son trou que je l�chais d'une langue avide. Il ne refusait pas ma caresse et g�missait avec des r�les qui indiquaient combien il appr�ciait ces nouveaux plaisirs. Cela ne dura pas longtemps non plus car je ne n'avais qu'une envie, c'�tait de l'enculer � fond. Le temps de me relever et de sortir ma queue de mon cale�on, je m'approchais de son cul offert. Je le baisais sans plus de pr�liminaires. Son cul vierge �tait si serr� que je dus m'y reprendre � 2 reprises. Enfin je for�ais ses muscles et me retrouvais d�licieusement engain� dans son cul. Il jouissait du cul comme s'il connaissait �a depuis longtemps. Ses chevilles appuy�es sur mes �paules, je pouvais en m�me temps caresser ses jambes muscl�es qui avaient provoqu� mon d�sir. Je ne me retenais plus d�sormais mes coups de boutoir tant il semblait appr�cier �a. Il se branlait maintenant en bougeant du bassin comme s'il voulait prendre ma queue encore plus profond. Ses muscles engainaient mon sexe tendu avec bonheur. Je le limais � fond. Il ouvrit les yeux, m'affrontant d'un regard de jouissance. Il ouvrit la bouche pour me crier un "baise-moi � fond" pas tellement �touff� ; " T'aimes �a te faire baiser par une bonne grosse queue, petit mec", je lui r�ponds ; "Oui, il a l'air d'aimer �a, tu crois pas". Qui vient de dire cela ? Je vois S�bastien se d�composer, l'air affol�. Je n'arr�ta pourtant pas mes va-et-vient entre ses cuisses, ce qui le refait jouir du cul et reprendre une expression de jouissance. Je tournais la t�te pour voir l'origine de cette voix m�le. Dans l'entreb�illement de la porte de la cuisine rest�e ouverte, Silv�rio. Un sourire aux l�vres... Je ne m'interrompis pas de baiser S�bastien quand que je vis que Silv�rio se malaxait la queue � travers le jean. Je sautais le pas : "tu viens ?". "Ouais !" R�pondit-il d'une voix excit�e. Il ferma la porte derri�re lui et s'approcha de moi. Je l'embrassa avec fougue. Quelle vigueur dans ses l�vres ! Ses mains ne rest�rent pas plus inactives que sa langue. De l'une il branla la queue de S�bastien qui ne savait plus o� donner du plaisir de mec, de l'autre il me d�barrassa de mon tee-shirt et de mon cale�on. J'�tais nu devant lui encore tout habill�. Je repoussais ses l�vres si bonnes et lui cria presque "d�shabille-toi !". Je ralentissais le rythme de ma queue dans le petit cul de S�bastien. Tous 2 nous regardions Silv�rio se d�sapper. Il jouissait le petit salaud, du spectacle qu'il nous offrait ! Lentement dans un strip tease �rotique, pull, tee-shirt glissaient. Il se caressait la poitrine, le ventre. Le jean suivit le m�me chemin, d�voilant un slip trop petit pour une queue bien turgescente. Son corps �tait trapu, muscl� et couvert d'un fin poil noir comme du charbon. Sa queue �tait libre maintenant, tout aussi trapue et bien � l'horizontale. Il l'approcha avec une mine gourmande des l�vres de S�bastien. Celui me regarda un instant, ind�cis de savoir ce qu'il lui faut faire : "suce-le" je lui ordonna. Il s'ex�cuta, d'abord avec inqui�tude puis avec du plaisir, je le voyais � ses l�vres qui coulissaient et s'activaient avec fr�n�sie sur le pieu de Silv�rio. Celui-ci ne voulait pas �tre en reste. Il se pencha en avant et engloutit avec avidit� la queue tendue de S�bastien qui poussa un soupir de satisfaction, �touff� seulement par la queue sur laquelle il s'activait. Moi aussi je m'activais toujours, limant lentement et avec r�gularit� S�bastien. Je ne voulais pas jouir trop vite. Le spectacle de ces 2 m�les, muscl�s et band�s en un 69 tout autant improvis� que pervers, m'excitait comme jamais. J'arrachais Silv�rio � sa fellation pour lui rouler un nouveau patin m�morable, tant sa bouche �tait bonne � embrasser. Si seulement il s'�tait d�cid� plus t�t ! Je ne regrettais pourtant pas du tout de commencer � conna�tre son corps et son sexe par cette baise � 3. La queue de Silv�rio me fit envie, trapue et lourde sur 2 couilles velues. "Viens" je lui dis entre 2 baisers "j'ai envie de ta queue. Tu veux ?" Sa seule r�ponse fut de quitter la bouche � combien accueillante de S�bastien. Je sentis sa langue ouvrir mon cul avec d�lice. Large et souple, elle for�a sans trop de difficult�s mon trou excit�. "Viens vite, j'ai trop envie de ta queue" je lui r�p�tais, impatient. Ca y est, je sentis sa queue, son gland s'appuya entre mes fesses, me p�n�trant cm par cm jusqu'� ce que je sente ses couilles. Il serra ses 2 bras autour de ma poitrine. Ses poils se frottaient dans mon dos. Pris en sandwich de sexe entre le cul accueillant de S�bastien qui s'activait toujours en rythme du bassin et la queue de Silv�rio qui me d�fon�ait avec de moins en moins de douceur, je n'allais pas tenir longtemps. Sa large queue m'�cartelait le cul avec force et ses mots crus me mettaient en transe. Le taciturne voisin s'est mu� en baiseur redoutable. En me mordillant le cou, il me murmure des phrases obsc�nes : "C'est bon, dis petit salaud. Tu la sens bien ma queue ! Ca fait longtemps que t'en r�vais; et regardes S�bastien, c'est une bonne salope qui aime la queue et qui le savait pas encore. D�fonces-le bien � fond comme moi je te baise". Je vais bient�t d�charger et je le dis � mes 2 compagnons de baise. Dans un dernier coup de boutoir, Silv�rio m'accompagna en beuglant un cri de jouissance animale. Je jouissais � fond dans le cul de S�bastien qui se spasme � son tour. Son sperme jaillit et inonda son ventre et son torse. Je le branlais doucement pour prolonger son plaisir. La queue toujours tendue, j'accompagnais les mouvements de Silv�rio dans mon cul dans les entrailles de S�bastien. Un silence s'installa quelques secondes, puis un fou rire g�n�ral et des baisers entre 3 mecs qui viennent de jouir ensemble. Silv�rio se rhabilla rapidement et regagna sa chambre. S�bastien me regardait d'un air bizarre en ramassant son cale�on d�chir�. Je lui passa le mien qu'il enfila avec plaisir, moulant son cul muscl� dans le tissu qui m'avait recouvert. Il me donna un baiser rapide et ajouta un "� bient�t" avant de filer retrouver sa copine. Je retournais seul dans ma chambre et m'�croula nu dans mon lit trop grand. J'�tais trop bien. R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |