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Si c'�tait vrai... 2

Hummmmm... L'h�tel......

D�cidemment, mon imagination tr�s fertile � la base n'en finit pas de se d�velopper sur ce site...

Mes visites d�sormais r�guli�res, ne cessent d'alimenter mes fantasmes...

Un nouveau d�placement professionnel me conduit � s�journer dans un h�tel en proche banlieu parisienne.
Pour des raisons pratiques, mon arriv�e a lieu le samedi apr�s-midi.
Me pr�sentant � la r�ception, je suis accueilli par un homme d'une soixantaine d'ann�e, peu discret sur sa fa�on de me reluquer, et affichant clairement ses tendances bi.
Je n'en montre rien, mais il me confie qu'il est content de me voir, car l'hotel est vide ce w-e.
En fait, � part un habitu� et deux couples de passages, personne n'a r�serv� pour ce w-e.
Je n'en tiens pas compte et rejoins ma chambre, pourvu de mon code de client me permettant d'acc�der � internet.
Je m'installe, et me pr�parant � un w-e long et "chiant", je m'aventure sur le net en qu�te de photos et de vid�os de mecs m�rs alimentant mes fantasmes.
L'h�tel a une forme de "U".
Je ne m'en aper�ois pas de suite, mais il me semble de temps en temps apercevoir une silhouette dans la fen�tre d'une chambre dans l'aile d'en face.
Je n'y pr�te pas attention, et poursuis ma qu�te.
L'apr�s-midi passe et je multiplie les masturbations devant les diverses photos et vid�os gays que je consulte.
En d�but de soir�e, j'entends frapper � ma porte.
J'ouvre, en ayant pris soin de cacher l'�cran de mon pc, et vois le r�ceptionniste.
Lui: "d�sol� de vous "interrompre", comme l'h�tel est vide, je me permettais de venir voir si vous aviez besoin de quelque chose?..."
Je ne comprends pas de suite l'objet de sa d�marche, et lui r�ponds timidement: "tout va bien, merci beaucoup..."
Lui: "Je vous en prie, je suis l� si vous avez besoin de quoi que ce soit...".
J'entends � sa voix un sous-entendu que je ne comprends pas de suite.
Moi: "Merci, c'est tr�s gentil � vous..."
A la fin de ma phrase il me scrute de la t�te au pied, et me lan�ant un clin d'oeil, s'en retourne � sa r�ception...
La soir�e avance, et je continue de mater mes sites gays, avec toujours cette impression de silhouette pr�sente dans la fen�tre de la chambre d'en face.
L'un de mes grands fantasmes �tant de porter de la lingerie f�minine, je profite d'un dialogue en webcam pour m'en v�tir et avoir une conversation coquine avec un interlocuteur.
Ma conversation n'avait pas d�marr� depuis 5 min, lorsque j'entends � nouveau frapper � ma porte.
G�n�, j'enfile rapidement le peignoir fournit dans la salle de bain pour aller ouvrir.
A nouveau le r�ceptionniste se pr�sente.
Lui: "d�sol� de vous d�ranger � nouveau, un client m'a dit qu'une fuite provenant de la chambre du dessus coulait dans sa chambre, alors je suis venu v�rifier..."
En terminant sa phrase, il entre dans ma chambre, me d�visageant de la t�te aux pieds.
Je ne cache pas une certaine g�ne, et il le voit.
En effet, mon peignoir est long, mais pas suffisament pour couvrir les bas f�minin que je portais � l'occasion de ma conversation sur msn.
Il le souligne.
Lui: "oh..... d�sol�, je tombe mal apparement..." me dit-il en me fixant.
Je rougis, et ne r�ponds rien.
Lui: "Ne vous en faites pas, j'ai l'habitude..."
Terminant sa phrase, il caresse ma hanche.
La pression de sa caresse se rafermit, et finit par se transformer en "poigne", me guidant vers mon lit.
Je ne dis toujours rien.
Il m'y assoit.
Mon peignoir s'ouvre, laissant clairement voir ce que je porte...
Il devine ma timidit� et en profite.
Il me regarde dans les yeux.
Lui: "Finalement, je ne tombe pas si mal que �a..."
Pronon�ant ces mots, il prend doucement ma t�te de la main droite, et de sa main gauche ouvre sa braguette.
Il en sort son sexe, encore mou, et me le pr�sente.
J'ai un reflexe de recul, mais sa main se rafermit sur mes cheveux.
Et me sentant litt�ralement saisi, je ne bouge plus.
Nous nous regardons, et dans nos regard s'expriment d�sormais les r�les qu'implique cette situation.
Lui: "Depuis toute � l'heure je te vois m�ter des sites gays, alors �tant donn� ton d�guisement, ce serait dommage de ne pas en profiter..."
C'�tait donc lui la silhouette...
Moi: "Mais c'�tait juste..."
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase.
Lui: "Chutttt......" En enfilant son sexe dans ma bouche.
Il s'y enfonce � fond, et me regarde dans les yeux, en attendant que celui si durcisse dans ma gorge.
Lui: "tu sais, depuis le temps que je fais ce m�tier, j'ai vu beaucoup de choses, et il ne s'agit que de complicit�, je sais que tu en as envie..."
Ce faisant, il entame de lents vas-et-viens, toujours en me tenant la t�te de sa main droite.
Toujours dans un reflexe, mes mains se portent sur le haut de ses cuisses, comme pour le contenir.
Il s'en saisit, et les plaque sur ma t�te.
Je ne suis plus d�sormais qu'une poup�e dont il baise la bouche.
Ses vas-et-viens s'acc�l�rent.
Lui: "C'est �a, avale bien ma queue..."
La fr�n�sie l'emporte et il se soulage sur mon peignoir.
Lui :"Hummmmmmmm......, merci beacuoup."
je ne r�ponds pas, et reste intimid�.
Mon comportement lui montre ma soumission dans cette situation.
Lui: "Je pense que ce serait dommage d'en rester l� non?...L�ve toi, et tourne toi"
Je ne r�ponds rien, et me l�ve. N'ob��ssant pas assez vite, il me retourne lui m�me, et me pousse � m'allonger sur mon lit, � quatre pattes.
Je sens mon peignoir se relever, laissant clairement voir le string en dentelle et les bas que je portais pour "allumer" mon interlocuteur.
Lui: "Tiens! Mais c'est de plus en plus int�ressant..."
Une main claque sur mes fesses!
Lui: "Est-ce que c'est assez clair pour toi?"
Je ne dis rien, et me contente de me retourner, en soutenant son regard en guise de r�ponse.
Moi: "Je ne sais pas si..."
Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase.
Un fess�e bien appuy�e finissant en caresse vient me couper la parole.
Puis une autre, et encore...
La s�rie se poursuit, et finalement m'excite.
Lui: "T'aimes �a ma cochonne..."
Moi: "Hummmmm...."
Lui: "J'en �tais s�r!"
Il continue de me punir.
Sa punition se pr�cise, il parcourt ma raie, et il glisse un doigt.
Moi: "Ouhhhhh......"
Lui: "Chutttttt... C'est rien... je vais y aller doucement..."
Avec un ton rassurant, il r�ussit � me mettre en confiance, et me d�tendre.
Je me laisse donc faire et appr�cie l'exploration de son index.
M'entendant g�mir, il le compl�te rapidement de son majeur.
Moi: "Ahhhhh......."
Lui, ajoutant une petite claque sur mes fesses: "... chutttt...... "
Je me mords les l�vres et le regarde fouiller mon anus...
Mon plaisir semble soumis � son doigt�.
Ca m'excite.
Il le sent.
Son excitation revient, et il rebande rapidement.
Je g�mis de plus en plus, et chaque fess�e lui indique que cette soumission m'excite...
Mes fesses se cambrent de plus en plus.
Notre complicit� s'installe.
Comme je ne dis rien, � part mes g�missements, ses fess�es s'intensifient, et son doigtage s'approfondit...
Lui: "alors?... �a te plait finalement...?..."
Moi: "Oui..." rouge de honte...
Lui, en reprenant de plus belle: "Tant mieux!"
Excit� de me voir novice et excit� de mon c�t� par ce m�le, il bande maintenant compl�tement.
Il saisit mes hanches des deux mains, fermement, mais doucement...
Lui: "Regarde moi".
Je me retourne, et le regarde, fesses cambr�es au maximum...
Lui: "T'as pas quelque chose � me demander?..." me demande-t-il avec un sourire complice...
Moi: "euh... "
Lui: "Allez, t'en en as qu'une envie hein?...T'es chaude ou pas?..."
Moi, timidement: "Oui..."
Lui: "Demande le moi, �a m'excite..."
Moi: "Prenez moi Monsieur..."
Lui, en frottant sa bite contre ma raie pour me chauffer encore plus: "C'est presque �a..."
Moi, compl�tement perdu et excit�: "Vas-y prends moi j'en peux plus!"
Lui: "Hummmmmmm....."
C�dant � ma requ�te, il entre doucement, mais fermement dans mon intimit�.
Sa queue est raide, mais fine, il n'a aucune mal, d'autant que j'�tais excit� depuis un moment...
Lui: "Hummm, mais t'es vraiment �troite....C'est bon �a..."
Moi: "Hummmmmm..... oui, c'est bon......"
Je sens ses mains se rafermir davantage sur mes hanches.
Il sent que sentir ma croupe poss�d�e par un m�le m�r m'excite au plus au point.
Notre complicit� s'installe, je lui offre mon cul, il m'offre sa bite.
Il prend son temps, et me baise gentiment.
Me sentant en confiance, je lui offre d'autant plus mon cul. Ayant toujours eu envie de me faire baiser comme une femelle, je joue le jeu, et lui aussi.
Me sentant en confiance, il me d�fonce litt�ralement le cul. Bien qu'ayant une queue fine, il me ramone � fond et je sens que �a commence � chauffer.
Ma douleur et mon plaisir se m�langent.
Je g�mis encore.
Lui: "Depuis toute � l'heure je te vois m�ter des sites de cul... J'�tais s�r que t'en avais envie... hein ma salope..."
Je le regarde et baisse les yeux en signe d'acquiescement.
Il acc�l�re ses vas-et-viens... et sa respiration suit.
Il prend vraiment un grand plaisir � me sodomiser. Peut-�tre plus encore d� au fait que je sois vierge, et qu'il baise un mec jusque l� habitu� � �tre actif avec les femmes.
Cette soumission l'excite.
Lui: "Ca te plait hein?... T'aimes bien �tre ma petite salope..."
Je ne r�ponds toujours rien, et me contente de g�mir � chacun de ses coups de reins qu'il enfonce plus profond�ment dans mon cul �troit.
Me sentant de plus en plus en confiance, je m'ouvre de plus en plus.
Il finit par sortir.
Lui: "Tourne toi ch�rie! mets toi sur le dos!"
J'ob��s.
Lui: "Hummmm..... maintenant �carte bien ton petit cul!"
En confiance, j'ob��s � nouveau, et au moment o� j'�carte mes fesses, il entre d'un coup en moi!
La rapidit� du geste me surprend et me fait crier...
Ca l'excite encore plus, et le voil� me prenant les jambes sur ses �paules, et me sodomisant encore plus fr�n�tiquement!
C'est une v�ritable furie!
Comme s'il s'agissait de sa premi�re et dernire baise, il me d�fonce compl�tement, je ne peux plus suivre, mais malgr� tout cette domination m'excite, alors je ne dis rien.
Je le regarde me baiser.
De sa main droite, il prend mes mains, et les coince au dessus de ma t�te, de la gauche, il me saisit par les cheveux:
Lui: "T'aimes �a ma salope, j'en ai pas fini avec ton p'tit cul...Tu vas passer un sacr� w-e, je te le dis..."
A ces mots, il s'�nerve une derni�re fois, et finit par se retirer, enlever sa capote, et me jouit sur le ventre.
Je sens son spreme chaud se r�pendre sur mon bas ventre.
Il marque ainsi d�finitivement son territoire. N'ayant pas joui, il ne me laisse pas en reste, et entreprend de me doigter, sur le dos.
Ainsi positionn�, il peut me voir prend mon pied, soumis � son doigtage.
Il remonte donc mes jambes de la main gauche, et enfonce son majeur et son index droigt d'un coup dans mon cul.
Je le regarde pour l'encourager.
Il me regarde aussi: "T'es vraiment chaude ma ch�rie, c'est bon �a....."
Puis finalement, il retire ses doigts.
Lui: "Je ne vais pas te d�ragner plus longtemps..."
Je ne sais pas quoi r�pondre, je suis encore excit�.
Il remonte son pantalon.
Lui: "Peut �tre que je pourrais repasser plus tard..."
Moi, bouillant, mais toujours intimid�: "bon, ok..."

Il repassera et me r�veillera pendant la nuit en finissant son service...

Notre complicit� install�e, et ayant gard� mes sous v�tements f�minins, il semble convenu implicitement que je me ferai baiser tout le w-e. Oubliant mes tabous et mes pr�jug�s, je me laisse faire.
Je suis une cochonne pour tout le w-e, et je lui appartiens.
Le dimanche soir, en finissant son service, il ne manque pas de repasser.

Nous ne discutons m�me plus, je m'assois, il s'approche, et j'ouvre spontan�ment son pantalon pour le sucer.
Je baisser sa braguette, d�fait sa ceinture, son pantalon, son boxer.
Sans les mains, j'effleure d�licatement son sexe avec la pointe de ma langue.
Une fois bien dur, je le prends en bouche, toujours sans les mains.
Je le pompe doucement, tr�s doucement, en le regardant droit dans les yeux. Comme pour le narguer, l'exciter...
Soudain, on frappe � la porte, puis quelqu'un entre...car il l'avait mal referm�e...
Un homme d'une soixantaine d'ann�e aussi, v�tu d'un costume, entre, et semble tr�s � l'aise.
Surpris, je sursaute, et je recule, mais mon "invit�" me saisit imm�diatement et m'intime avec un ton rassurant:
"Allons, ce n'est rien, c'est un ami..."
Moi: "Comment �a c'est un ami, c'est d�licat...je..."
Lui, posant son doigt sur ma bouche: "C'est rien, je vais te pr�senter..."
L'homme entre, s'approche, et me tend la main.
Rouge de honte, je la lui sers, d'un geste r�ciproque nous nous saluons alors que mon "amant" nous pr�sente, et il termine son geste en posant sa main sur sa braguette...
Le r�ceptionniste, avec beaucoup de diplomatie: "Je me suis permis de lui parler de toi, c'est un tr�s bon ami".
L'homme commen�ait d�j� � frotter ma main sur sa braguette que je sentais durcir...
Soumis � l'excitation du moment, je rentre dans le jeu, et alors que le r�ceptionniste entre � nouveau dans ma bouche, je poursuis les caresses sur lesquelles notre nouvel ami m'avait lanc�...
Dans la hardiesse du moment, je ne h�site pas, et ouvre sa braguette pour en sortir son sexe d�j� bien dur.
L'homme: "Hummmm.... si j'avais su, je serais arriv� plus t�t.... Tu avais raison... Elle aime �a..."
Encourag� par ces propos � mon sujet, je poursuis mes actes, et en su�ant mon r�ceptionniste, commence � branler lentement notre ami.
Mon r�ceptionniste d�cidement tr�s sensible ne tarde pas � jou�r.
Toujours avec beaucoup de courtoisie, n'�tant pas un accoutum� de la chose, il prend de se retirer avant, et se contente d'innonder ma poitrine.
Montrant ainsi son plaisir, mais aussi son territoire...
Ma bouche d�sormais vacante, notre ami s'en approche.
Son sexe est bien dur, et d�sormais la d�marche est presque automatique.
Je le l�che doucement, en le regardant lui aussi bien dans les yeux.
Au bout du compte, mon audace sera de toute fa�on punie... alors autant en profiter et jouer le jeu.
Je le pompe donc lentement. Excit�, il m'imprime des mouvements de vas-et-viens serr�s avec ses mains.
Mon r�ceptionniste maintenant satisfait, toujours avec courtoisie, me guide maintenant vers le plaisir de son ami.
Conscentant et excit�, je me laisse guider.
Il me prend par les cheveux, et m'am�ne gentiment � m'allonger � quatre pattes, les coudes sur le lit. Il me plaque litt�ralement la t�te sur l'oreiller.
Le r�ceptionniste: "Voil�, c'est bien ma ch�rie... on sait que t'aimes �a, alors laisse toi faire, �a va aller..."
Plaquant ma t�te sur l'oreiller, tourn� vers lui, il me regarde offrir mon cul � son ami.
Ce qui ne tarde pas, car je sens d�j� ses mains saisir mes hanches, et le sens entrer dans mon cul, avec un sexe un peu plus gros que mon r�cepetionniste...
L'ami: "Hummmmm.... qu'elle est serr�e..... quel cul!!!!!"
Moi: "ohhhhhhhhhhh........"
Mon r�ceptionniste serrant mes cheveux: "Chuttttttt....... �a va aller...regarde moi"
Moi: "Hummmmmm...... aahhhhhhhhh....."
Le r�ceptionniste: "Regarde moi... t'aimes �a hein ma ch�rie... "
Moi: "Oui..... encore... mais doucement"
Je sens au claque s'abattre sur mes fesses...
Moi: "Hummmmmm......."
L'homme acc�l�re ses vas-et-viens, tandis que mon r�ceptionniste me maintient la t�te plaqu�e sur l'oreiller.
Leur fr�n�sie est contagieuse, j'ai tellement fantasm� de me faire baiser, que la situation de me faire prendre par deux mecs me parait surr�aliste.
Laissant notre invit� finir de se satisfaire, je prends l'initiative de caresser le sexe de mon r�ceptionniste, afin de montrer une partiticipation plus active.
Constatant que pour quelqu'un de timide je me montrais pour le moins entreprenant, il rebande � nouveau.
L'invit� se retire et enl�ve sa capote, pour finir par innonder ma chute de rein, marquant aussi son territoire, tout en ne m'imposant pas sa semance.

dans l'intensit� du moment, je n'arrive pas � jouir, et pretexte un besoin pour aller au toilette, ou je me finis.

En revenant, les deux hommes me proposent de boire un verre.
Notre invit� dans son sac avait apport� une bonne bouteille de Bordeaux...
Nous trinquons, bavardons...

Le r�ceptionniste: "Hummmmm...... bien... je vais peut �tre faire un peu d'heure sup alors..."

Le r�ceptionniste finira son service et restera avec son ami dans ma chambre. Il me prendront � tour de r�le, ensemble, et individuellement, en me permettant d'assouvir mon fantasme d'�tre une bonne cochonne docile pour m�le actif (dominant, mais courtois...).

Le lundi matin, chacun reprendra ses activit�s, et je quitterai l'hotel comme si de rien n'�tait, en m'�tant fait offrir la possibilit� de repasser quand je veux...

Bien � vous,

Cooljeff

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