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Sexe en libert�
Ce matin-l�, je m'�tais lev� avec un tr�s gros app�tit sexuel. Je me suis servi un caf�, aval� une r�tie, bross� les dents et je suis sorti � toute vitesse de la maison. Cette fois, j'avais choisi d'aller � la quincaillerie. L�-bas, je savais que j'allais y trouver plein de mecs int�ressants.
Arriv� sur place, j'ai arr�t� ma voiture dans le stationnement et d�j�, en descedant de mon auto, j'ai aper�u un candidat plut�t bandant. J'ai entrepris de le suivre � l'int�rieur. Il portait un jean moulant qui soulignait clairement les formes arrondies de son joli cul et, sa braguette semblait tr�s prometteuse. Ce beau mec s'en est all� au rayon des vis et des clous, o� je l'ai suivi. Arriv� pr�s de lui, je lui ai tap� l'�paule, il s'est retourn� :
-Oui? A-t-il demand� en me regardant.
Il �tait beau � croquer. La trentaine environ.
Sans dire un mot, je me suis agenouill� devant lui et j'ai ouvert sa braguette. J'ai sorti sa queue et je me suis mis � la sucer. L'homme � ferm� les yeux et � profit� de ce moment de d�lice. Sa bite �tait �norme et savoureuse. Je la pompais all�grement puis, apr�s quelques instants il a �jacul� dans ma bouche. Glouton comme je le suis, j'ai tout aval�. Il a remont� sa fermeture �clair, m'a remerci� puis il a continu� � vaquer � ses occupations. Je me suis alors mis en qu�te d'une autre proie.
Je pris un peu mon temps, question de dig�rer tout ce bon jus chaud que je vensais d'ingurgiter puis, un autre type a attir� mon attention. Blond, barbu, grand et costaud. Lui aussi portait un jean moulant qui mettait tout en valeur. Le gars �tait pench� sur une panoplie d'outils de bricolage en autre, des perceuses �lectriques. Je l'ai abord� en glissant ma main par-derri�re dans son entre-jambe :
-Tu sais tout ce qu'on peut faire avec �a? Lui ai-je demand� tandis qu'il tenait un de ces engins dans sa main.
-Non. Faudrait me montrer. Qu'il m'a soupir� en se redressant.
-Reste comme �a, que je lui ai sugg�r�. Je voulais qu'il demeure pench� devant moi, le cul bien en �vidence.
Il a d�pos� la perceuse sur la tablette et l� par-derri�re, j'ai d�fait la boucle de sa ceinture, d�tach� le bouton, descendue la fermeture �clair et tir� son patalon jusqu'� ses chevilles. Il portait un string blanc. D'embl�e, j'ai d�gag� son anus et j'y ai plaqu� la langue. Il a cambr� les reins et j'ai pu le d�florer � ma guise. Il go�tait tr�s bon, son cul �tait ras� et son anus semblait habitu� � ce genre de jeux. Ses fesses �taient dodues � point, fermes et chaudes. Je les palpais en m�me temps que je lui fouillais l'int�rieur avec ma langue. Il m'a laiss� faire pendant un bon moment puis, il s'est retourn�, la queue band�e comme un �talon. Il me l'a fourr�e dans la gorge d'un seul trait. Je l'ai suc� � peine quelques minutes qu'il a tout fait gicler au fond de ma gorge. J'ai cru m'�touffer tellement il y en avait. Mais, gourmand comme je le suis, j'ai tout aval� en me pourl�chant. Le type � remont� son pantalon, m'a lanc� un franc sourire et je suis reparti.
Jamais deux sans trois me suis-je dit. Cette fois, j'en voulais deux � la fois. Pourquoi pas?
J'ai d�ambul� dans le vaste magasin, plein de gens circulaient tout autour. J'avais r�ellement l'embarras du choix. Tiens, je vis deux commis en train de discuter ensemble dans le d�partement de la salle de bains. Je les observais un moment. L'un devait avoir la trentaine tandis que l'autre, la quarantaine. Ils �taient plut�t mignons, bien roul�s mais, mon attention fut vite d�tourn�e par l'arriv�e de deux mecs qui venaient visiblement acheter quelque chose. L'un d'eux s'est adress� � l'un des vendeurs.
-Nous aimerions voir les lavabos, s'il-vous-plait.
-Suivez-nous. A r�pondu le vendeur, accompagn� de son coll�gue.
"Ok, ils allaient �tre quatre finalement... "
-Excusez-moi, ai-je os� � l'endroit de ce m�me vendeur.
-Oui monsieur?
-Vous permettez? Ai-je ajout� en posant ma main sur l'enflure de son pantalon.
Il a acqui�sc� par un sourire. Je me suis remis � genoux. Tous les quatre formaient un cercle autour de moi. J'ai ouvert toutes les braguettes, fait jaillir les queues et, je me suis mis � les sucer l'une apr�s l'autre. J'avais touch� le jackpot car, ces d�licieuses bites �taient toutes aussi grosses les unes que les autres. Le glouton que je suis s'en ai mis plein la gueule. Les mecs r�laient de plaisir tandis que je m'appliquais � les servir � tour de r�le. L'un des vendeurs, celui dans la trentaine, a �jacul� le premier. Il m'a fait gicler plusieurs rasades dans la gorge puis, l'un de deux clients, noir et poilu en a fait autant. Son sperme �tait br�lant et tr�s savoureux ; il glissait dans la gorge comme du miel chaud. Les deux autres sont venus en m�me temps. J'ai donc �t� oblig� de prendre les deux queues � la fois. " Wow! Que je me suis dit. Quelle quantit� de jus! " Selon mon estimation, jusqu'� ce moment, je crois que j'avais aval� la valeur d'une tasse de foutre. Bonne r�colte.
On m'a remerci� chaudement et tout le monde est reparti comme il �tait venu. Moi, je n'�tais pas encore satisfait, biens�r.
Cette fois-ci, je voulais quelque chose de tr�s hot. Voil� que j'aper�ois le Coin du Jardin. Il y a l� des tables, des parasols, des chaises longues... Une id�e s'est mise � germer dans ma t�te. Il me manquait seulement, Le candidat.
Les gens d�ambulaient tout autour de moi et je n'aurais franchement pas eu de difficult� � arr�t� mon choix sur un type quelconque mais, je le voulais particulier. J'ai pris mon temps pour inventorier ce qui s'offrait � moi.
L�, une voix forte, tr�s masculine et suivie d'un rire gras m'a fait me retourner. En le voyant, j'ai tout de suite su que ce serait lui. Six pieds au moins, les �paules larges, la taille fine, le cul bomb� et un visage � faire damner les anges. Il m'a souri. Je lui ai fait signe de venir me voir. Il a march� jusqu'� moi avec dans le yeux, un petit air lubrique.
-On fait �a o�? M'a-t-il interrog�.
-Ici.
Je lui ai d�sign� un lit de camp fait de toile. Tout de suite il a retir� son t-shirt et j'ai �t� �poustoufl� par son incroyable musculature. Puis il a d�tach� sa ceinture et retir� son jean. Il portait un string noir.
-Viens m'enlever �a mon gars. Qu'il a murmur� en souriant.
-Je me suis d�pouill� de tous mes v�tements en un �clair et je lui ai arrach� son minuscule cale�on. Sa queue �tait � demi �rig�e, grosse comme mon poignet, le gland circoncis, lisse, en forme de champignon presque aussi gros qu'une lime juteuse. J'ai fait gliss� la masse chaude et go�teuse dans ma bouche. Hum! D�lice. Je savais que je la voulais dans mon joli petit cul. Je l'ai astiqu�e un peu, elle venait de redoubler en proportion et, j'ai sorti la bouteille de poppers. J'en ai sniff� tout plein puis, je me suis senti envelopp� d'une vapeur cotonneuse. Je me suis enduis le trou du cul de lubrifiant et je me suis agenouill� sur le lit, l'anus palpitant tourn� vers lui.
Le mec y a appuy� son gros gland et, sans trop de m�nagement le salaud s'est introduit d'une seule traite. Les poppers m'ont aid� � encaiss� le choc. L�, il s'est mis � me labourer litt�ralement le cul. � tout moment, je sniffais des poppers pour savourer au maximum mon plaisir. Je sentais le gland �norme frapper au fond de mon cul. Mon corps �tait parcouru de courants �lectriques. J'avais le cul en levrette, la face coll�e sur le matelas, la bave coulant de ma bouche haletante. Le mec redoulait d'ardeur, frappait de toutes ses forces avec son solide bassin. Un nectare s'�chappait de mon trou juteux. Ce grand gaillard avait un cul d'enfer avec un drogon tatou� sur une fesse. On aurait dit qu'il avait �t� mis au monde pour baiser. J'en savourais chaque secondes et chaque secousse. Je d�vissais et revissais le bouchon de ma bouteille de poppers � toutes les deux minutes. J'avais la t�te qui tournait, pleine de fantasmes les plus fous. Mes entrailles br�laient d'un feu si ardent qu'il embrasait tout mon corps et mettait ma bite � feu et � sang. Elle me collait au ventre tellement elle �tait raide et gonfl�e. Je sentais que si cela devait continuer, j'allais venir sans avoir � me toucher. J'ai alors sniff� � nouveau des poppers comme un malade puis, incitant le mec � cogner encore plus fort, comme la lave d'un volcan, mon foutre a jailli avec une telle force que j'ai failli m'�vanouir de plaisir. Le mec m'a alors retourn� sur le dos, m'a rentr� sa grosse queue dans la bouche et, il a tout d�charg� en poussant de longs g�missements.
Cette fois j'�tais rassasi�. J'ai quitt� le magasin, sourire aux l�vres en songeant que j'allais fort probablement y revenir bient�t. Mais, il y avait tant d'endroits comme celui-l� o� je pouvais trouv� satisfaction : les magasins � rayons, les concessionnaires automobiles, les garages, les a�roports, les parcs, les foires publiques... Tant de lieux propices au sexe en libert�!
Glouton
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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