Cyrillo

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Mon stage de sexe sous les serres

� l'�ge de dix-huit ans, j'�tais sacr�ment ind�cis dans tous les domaines. � cette �poque, je me cherchais vraiment beaucoup mais que je ne trouvais pas grand-chose. Mes parents et mes profs s'arrachaient les cheveux concernant mon orientation scolaire et je n'arrivais pas � me d�cider. J'oscillais entre les Beaux-Arts, l'horticulture, le journalisme et la boulangerie p�tisserie...
Et tout le reste �tait � l'avenant, je ne savais pas qui j'�tais ni ce pourquoi j'�tais fait...
Comme il devenait urgent de choisir une voie, nous avions pris rendez-vous dans une �cole d'horticulture et il en �tait ressorti que le directeur me demandait de faire un stage dans une entreprise, avec un rapport � l'appui et qu'il verrait ce qu'il pourrait faire � la rentr�e scolaire suivante.

C'est comme cela que j'ai commenc� � travailler chez C., une entreprise familiale d'horticulture � L. que ma grand-m�re connaissait tr�s bien.
Monsieur C. �tait un homme assez bourru, mais qui avait un coeur en or. Sa femme, toute petite et toute rondelette, s'occupait plut�t du magasin. Leur fils Fran�ois �tait mari� � une jeune femme qui me fascinait. Elle avait des cheveux tr�s longs auburn, �tait toujours tr�s maquill�e et s'habillait hyper sexy surtout pour une petite ville comme L. Il y avait aussi une fille C. qui aidait beaucoup au magasin, s'occupait des bouquets, des couronnes etc...
Le p�re C. m'avait tout de suite confi� � Fran�ois, son fils, en lui demandant de me prendre en main, de me montrer toutes les facettes du boulot et de m'aider pour faire mon rapport de fin de stage.

Fran�ois avait vingt-huit ans. Je le trouvais plut�t beau mec, grand, costaud et bien assorti avec sa femme Annick. Je me disais qu'il devait prendre un sacr� pied avec une bombe pareille...
� l'�poque, je n'�tais pas plus m�r question sexe que sur tout le reste Je flashais autant sur une nana sexy, bien foutue et maquill�e � outrance, que sur un mec muscl� et viril... En attendant, j'�tais encore puceau et mes exp�riences sexuelles se r�duisaient simplement aux nombreux fantasmes que j'avais d�velopp�s...
Une chose est s�re, c'est que Fran�ois ne m'inspirait rien du tout. Je le trouvais vachement sympa, mais c'est tout.
Les deux premiers jours, il me fit visiter les serres, m'expliqua le fonctionnement de l'entreprise et commen�a � me faire faire des petits boulots. Moi, je m'appliquais du mieux que je le pouvais et je commen�ais � penser que peut-�tre, j'�tais vraiment fait pour ce m�tier-l�.

Le troisi�me jour, Fran�ois m'emmena avec lui dans une serre pour pr�parer les boutures de g�raniums. Il me montra comment m'y prendre, puis me fit remplir les godets et planter les boutures qu'il pr�parait. Mais il commen�a � avoir un comportement curieux, qui me mit tr�s mal � l'aise et que je ne comprenais pas. Quand il m'apportait les boutures, il passait son temps � me toucher. Au d�but, ce fut simplement les mains et je n'y fis pas du tout attention. Mais quand ce fut les �paules, le dos et jusqu'aux fesses, et que �a devint syst�matique, je commen�ai � me demander ce qui m'arrivait, ce que j'avais fait et si je r�vais ou pas... En plus, comme si de rien n'�tait, il continuait � m'expliquer diverses techniques de bouturages et de multiplication.
Fran�ois en connaissait un rayon sur le sujet et il �tait passionn� par son travail. J'�tais pris entre l'envie de le rabrouer vertement ou le laisser continuer et tenter de mettre � profit tout ce qu'il pouvait m'apprendre. Je poussai un ouf de soulagement quand il me dit qu'il �tait l'heure de manger. Nous prenions tous le repas de midi en commun chez ses parents, y compris les deux ouvriers horticoles qui travaillaient dans l'entreprise. C'�tait sympa, il r�gnait vraiment une bonne ambiance.
L'apr�s-midi, quand nous rev�nmes dans la serre Fran�ois et moi pour continuer le boulot, je suffoquai compl�tement en y p�n�trant. Il devait y faire au moins 35° et l'atmosph�re �tait irrespirable.

Fran�ois se mit � rire et �ta son tee-shirt : "C'est normal avec ce temps... Fais en autant, autrement, tu ne tiendras pas et pense � boire beaucoup..."
Je me mis torse nu et pestai de ne pas avoir pens� � prendre un short au lieu de ce jean qui commen�ait � me coller partout. Fran�ois, lui, n'avait qu'un short tr�s l�ger sur le dos. Nous repr�mes le travail, mais Fran�ois ne tarda pas � recommencer le m�me man�ge que le matin. Si ce n'est qu'il me caressait de mani�re plus appuy�e et qu'il �tait difficile d'avoir encore des doutes.
Je ne savais plus o� me fourrer pour �viter son contact et je pensai m�me � un moment � tout plaquer pour ne plus revenir.

Il m'apportait une nouvelle cagette de boutures et se pressa carr�ment contre mon dos. On �tait tellement en sueur que je sentais sa peau coller et poisser contre la mienne. Il soufflait dans ma nuque et je crus sentir, horrifi�, quelque chose de dur se presser � travers le tissu de mon jean au niveau de la raie de mes fesses.

- Tu t'y prends bien, il n'y a aucun probl�me, fit Fran�ois dans mon cou. Mais il faut plus tasser la tourbe et faire attention � ne pas laisser de poches d'air pour �viter la pourriture...
Et il passa ses bras de chaque c�t� de moi pour me montrer comment faire. Mais se faisant, il se frottait contre mes fesses et me pressait fortement les hanches contre la tablette. J'�tais compl�tement p�trifi� et n'arrivais m�me pas � penser. Fran�ois se d�cha�nait dans mon dos et je ne sentais que trop bien son sexe dur se frotter sans arr�t contre mon cul. � un moment, il souffla fort et bruyamment, puis se d�tacha de moi. Je jetai un coup d'oeil vers son short et j'en rougis jusqu'aux oreilles. Tout le devant �tait d�goulinant de sperme et je me passai aussit�t la main sur les fesses. Mon jean �tait englu� de foutre et je m'en mis plein les doigts.

J'en avais des larmes aux yeux et tout se troublait devant moi.
Je ne vis m�me pas Fran�ois s'approcher � nouveau. Mais il me prit par les �paules et demanda doucement : "C'est si d�sagr�able que �a ? J'en ai besoin, je suis d�sol�..."
- Mais... et ta femme ? Soufflai-je.
- Annick ! Pff, une vraie salope � vous d�go�ter compl�tement des gonzesses... C'est maladif chez elle, je ne connais personne qui ne lui soit pas pass� dessus. M�me toi, elle va tout faire pour te foutre dans son pieu, je pourrais le parier...
- En attendant, fis-je violemment, ce n'est pas elle qui vient de se soulager contre moi... C'est d�gueulasse...
- Et merde ! s'�cria Fran�ois violemment. ...Cette salope ne veut m�me plus que je la touche... J'en suis malade... En plus, dans un bled pareil, tout se sait, on ne peut rien faire, rien vivre... On cr�ve dans cette ville...

Fran�ois se remit rageusement � son travail. Il �tait tellement hors de lui que je n'osai plus lui parler et �a dura jusqu'� la fin de la journ�e.
Sur le chemin du retour, je n'arr�tais pas de penser � Fran�ois. C'est s�r qu'il m'avait choqu� par son comportement, mais en m�me temps, il piquait ma curiosit� au vif sans que je sache trop pourquoi. En fait, en y r�fl�chissant honn�tement, j'avais l'impression que ce que je lui reprochais le plus, c'est tout simplement de s'�tre servi de moi comme si je n'avais �t� qu'un simple bout de bois. Il ne m'avait rien demand�, rien dit et j'�tais humili� qu'il m'ait utilis� comme il l'aurait fait d'un objet quelconque. Mais je ne pensais plus � tout plaquer...

Le lendemain, toute la matin�e se passa sans que Fran�ois n'ait un comportement �quivoque en quoi que ce soit. Je me pris � penser qu'il lui �tait arriv� un simple accident et que cela ne se reproduirait jamais.
Mais cet apr�s-midi l�, c'est dans la serre aux chrysanth�mes qu'il me fit travailler. Il fallait pincer les plants et les passer � l'insecticide, � genoux ou accroupi et c'�tait tr�s fastidieux. Il faisait moins chaud que la veille, mais suffisamment quand m�me pour que nous ne soyons qu'en short lui et moi. � un moment et sans que je l'ai entendu s'approcher de moi, je me retrouvai plaqu� contre lui et il se mit � me peloter les fesses.
- Et merde, Fran�ois, arr�te ! M'�criai-je.
Il passa sa main dans mon short, m'attrapa la queue et commen�a � me branler. Je me d�battais de toutes mes forces, mais il �tait sacr�ment costaud et il ne me l�chait pas.
- Arr�te, sans �a je hurle et je d�balle tout... continuai-je.
- Tu es vraiment s�r de ce que tu dis ? demanda Fran�ois d'une voix ironique. Moi, j'en suis pas s�r du tout...

Et le salaud, il avait bien raison. Je bandais tellement dans sa main que je n'aurais jamais pu appeler personne pour ne pas avoir la honte d'�tre surpris dans un �tat pareil. Fran�ois fit glisser mon short et se mit � me branler encore plus vigoureusement avec sa grosse main calleuse. Son souffle rauque me chauffait la nuque et le contact de son corps contribuait bizarrement � m'exciter beaucoup plus que je ne l'aurais voulu. Je me mis � d�charger dans sa main. Il pressa mon gland et s'amusa � enduire toute ma queue avec mon foutre. Puis il finit par se l�cher les doigts.
- Mais t'es vraiment d�gueulasse ! M'�criai-je.
- Tu as tort de le prendre comme �a parce que toi aussi, tu vas savoir le go�t que �a a...
Je ne comprenais pas, mais il se releva en me maintenant � genoux. Son short �tait compl�tement d�form� par sa queue en pleine �rection et il la fit aller et venir sur tout mon visage. �a me paraissait �tre un sacr� morceau et elle d�gageait une odeur vraiment bizarre qui m'attirait et m'�coeurait tout � la fois.
- Alors, merde ! S'impatienta Fran�ois. Ne me dis pas que c'est si difficile que �a, je ne te croirais pas...
J'attrapai timidement les bords de son short et le fis glisser. J'en avais la bouche toute s�che et j'avais les id�es compl�tement confuses. La bite de Fran�ois m'apparu �norme... vraiment rien � voir avec la mienne. Elle se dressait droite comme un I le long de son ventre. Son odeur ind�finissable s'�tait faite beaucoup plus forte et elle m'affolait un peu sans que je sache pourquoi.
- J'esp�re que tu comptes t'en occuper avant ce soir, fit Fran�ois ironique, parce qu'elle ne pourra jamais attendre jusque-l�...
Je saisis sa queue et la sentis vibrer dans ma main. "Enfin ! s'�cria Fran�ois. D�p�che-toi de me sucer... je vais pas tenir longtemps � ce train-l�..."

Je pris timidement le bout du gland dans ma bouche et un go�t douce�tre m'emplit aussit�t le palais. Pas vraiment d�sagr�able, mais tr�s bizarre. Fran�ois m'enfon�a sa bite plus profond�ment et commen�a � aller et venir dans ma bouche. Je sentis brusquement que j'avais moi-m�me un d�but d'�rection et �a me bouleversa compl�tement. Fran�ois acc�l�rait sa cadence et me fichait son gland jusque dans la gorge. Ma bouche se remplit tout d'un coup d'un jus �pais et abondant qui giclait par saccade. Je voulus me d�gager mais Fran�ois m'immobilisait la t�te et je commen�ai � avaler son foutre. C'�tait �cre au d�but, mais �a devenait plus doux et m�me l�g�rement sucr� au fur et � mesure que j'en absorbais.

Fran�ois retira son sexe de ma bouche. Quelques gouttes laiteuses suintaient encore : "Tiens, fit-il, l�che un peu pour que �a recommence pas comme hier, o� je m'en suis foutu partout...
Je su�ai � nouveau son gland pendant quelques instants et il me l�cha pour remettre son short.
- Allez, fini la r�cr�, y a du boulot � finir... et il se remit aussit�t au travail comme s'il ne s'�tait jamais rien pass�.

Je recommen�ai aussi � pincer les plants de chrysanth�mes et j'�tais furieux contre moi. J'aurais trouv� normal d'en vouloir � Fran�ois et de partir imm�diatement pour ne plus jamais remettre les pieds ici, mais je n'y arrivais pas. �a me mettait compl�tement en rage et Fran�ois me rappela m�me � l'ordre en me disant de surveiller ce que je faisais...
Le lendemain, je m'attendais � chaque instant � ce que Fran�ois me saute dessus, mais comme la veille, la matin�e se passa normalement.

C'est � nouveau dans l'apr�s midi qu'il me surprit � un moment o� je ne l'attendais pas. On travaillait � nouveau dans la serre des g�raniums et on d�goulinait de sueur. J'�tais en train de prendre une pellet� de tourbe dans le coin de la serre o� elle �tait stock�e en y formant un grand monticule. Fran�ois �tait d�j� sur moi et je me retrouvais � quatre pattes, le nez dans la tourbe chaude. Il arracha � moiti� mon short et m'�carta les fesses. Je me d�battais violemment mais je n'avais aucun moyen de lui �chapper. Je sentis sa langue passer sur mon anus et j'�touffai un cri. Il m'�cartela davantage et se mit � me l�cher en me mouillant abondamment de salive. Je trouvais �a franchement d�go�tant et je cherchai par tous les moyens � lui �chapper sans y parvenir.

Quand il for�a l'entr�e de mon sphincter avec la pointe de sa langue, je sursautai et poussai un cri. Il me p�n�tra davantage et fit tourner sa langue pleine de salive. Je la sentais me fouiller le cul et m'ouvrir d�sagr�ablement. Puis j'entendis Fran�ois se cracher dans les doigts et il m'en enfon�a doucement un dans le corps. Il se mit � masser mes muscles et mon colon. Je n'osais m�me plus bouger de peur de me d�chirer les chairs si je continuais � me d�battre. Je sentais mon cul s'ouvrir plus grand sous les doigts de Fran�ois et j'�tais litt�ralement mort de honte. Il m'enfon�a deux, puis trois doigts en les inondant de salive. Il ne me faisait m�me pas si mal que �a et en fait, il s'y prenait tr�s bien, mais �a me remplissait de d�go�t.

Quand Fran�ois m'attrapa par les hanches et appliqua son gland � l'entr�e de mon sphincter pour me p�n�trer, je recommen�ais � gigoter dans tous les sens et � me d�battre comme un beau diable.
Fran�ois me dit simplement et tr�s calmement : "Si tu continues, �a va te faire mal alors que j'ai tout fait pour �viter que tu aies mal. Mais c'est toi qui vois..."
Je me calmai aussit�t et Fran�ois commen�a � me p�n�trer. Tout mon corps se contracta aussit�t. J'attendais la douleur, j'�tais s�r d'avoir horriblement mal et j'en avais une trouille bleue. Mais Fran�ois s'y prenait d'une �trange fa�on. Il s'enfon�ait imperceptiblement et j'avais l'impression qu'il me p�n�trait pendant des heures et des heures et qu'il n'avait toujours pas fini de m'enfouir sa queue dans le corps. Mais � part cette impression odieuse d'avoir quelque chose d'�tranger qui s'insinuait en moi, je ne ressentais aucune douleur.

- Tu vois, fit Fran�ois, je suis compl�tement � fond... et je suis s�r que tu n'as pas eu mal du tout...
Il se mit � me faire coulisser tr�s doucement sur sa bite et � me fouiller tr�s lentement l'int�rieur du ventre. C'�tait tellement lent que mon corps n'avait aucune difficult� � s'adapter et � �pouser ce corps �tranger. Et puis, petit � petit, il se mit � faire des vas et viens un peu plus rapides, un peu plus profonds... plus rythm�s aussi. Je commen�ais � comprendre ce que le terme d�fonc� pouvait vouloir dire. J'avais bien l'impression d'�tre pilonn� en profondeur et que cette bite me remplissait tout le corps.
Brusquement, je sentis un liquide chaud m'inonder compl�tement et Fran�ois r�la bruyamment. Il sortit aussit�t sa bite et continua � faire gicler son sperme sur mes fesses. Je sentais sa semence couler sur mon dos et le long de mes cuisses et j'en �tais mort d'humiliation.

Quand Fran�ois m'approcha fermement la t�te de son sexe d�goulinant de foutre, j'ouvris la bouche sans m�me r�sister. Je le l�chai et retrouvai ce m�me go�t bizarrement �cre, sucr� et doux de la veille. Mais j'y sentais aussi le go�t de mon cul et je faillis vomir.
Fran�ois me caressa la t�te et me renversa brusquement dans la tourbe. Elle nous collait � la peau et on en �tait recouvert de la t�te aux pieds. Je me demandais seulement quel supplice il allait encore m'infliger...
Fran�ois s'allongea � plat ventre, me prit fermement la queue et se mit � la branler vigoureusement. Sa main calleuse et dure m'astiqua jusqu'� ce que mon jus explose le long de ma verge. Il appliqua alors juste le bout de mon gland entre ses l�vres entrouvertes et il pompa tout mon sperme sans qu'une seule goutte ne s'�chappe de sa bouche.
Puis il remonta tranquillement son short et se remit au travail...

C'�tait le week-end et je ne travaillais �videmment pas. Mais il m'arriva plusieurs fois durant ces deux journ�es de repos de me demander si je ne devenais pas compl�tement fou. Les mains calleuses de Fran�ois sur mon corps me manquaient. Son odeur aussi... je sentais parfois le go�t de son sperme me remonter dans la bouche... J'oubliais compl�tement mon humiliation et je ne ressentais plus que le besoin de ses mains sur moi...

Je d�cidai de ne pas revenir le lundi et de prendre imm�diatement un billet de train. Mais je n'arrivai jamais jusqu'� la gare et le lundi, j'�tais � mon poste de travail...
C'est bien la premi�re fois o�, d�s le matin, il porta directement les mains sur mes fesses et se mit � les p�trir sans vergogne. Et moi, c'est bien la premi�re fois que je portai directement les mains � la braguette d'un homme et que je me mettais � lui p�trir la queue sans vergogne. Fran�ois eut un mouvement de surprise, puis il sourit largement. "Il y a du boulot, aujourd'hui... fit-il narquois... Il y a deux jours de travail � rattraper et j'ai rien pu y faire du tout..."

Je m'agenouillai aussit�t et je m'emm�lais en voulant lui d�faire la braguette trop pr�cipitamment. Fran�ois s'appuya contre la tablette et se laissa faire en respirant un peu plus fort. J'�tais tellement impatient de sentir cette curieuse odeur qui impr�gnait sa queue et qui agissait bizarrement sur moi que j'enfouissais compl�tement mon nez dans son slip et que je m'en remplis compl�tement les narines. Je savais maintenant que je raffolais litt�ralement de l'odeur d'une queue alors que celle d'une chatte m'avait toujours paru plut�t �coeurante...

Quand je baissai le slip de Fran�ois, ce fut encore pire. J'avais tous les sens en �bullition... je bandais, je mouillais et j'en fr�missais de la t�te aux pieds.
Je me jetai sur sa bite et la su�ai en la pompant � fond. Fran�ois se contentait de me caresser les cheveux, bien camp� sur ses jambes, sans dire un mot.
Sa verge se gonfla encore et une gicl�e �paisse fusa dans ma gorge et me remplit toute la bouche. Je lui pris la queue � pleines mains et me mis � la branler et � la presser comme pour en extraire tout le foutre et j'avalai goul�ment tout ce que je pus.

Fran�ois �clata brusquement de rire : "Bah dis donc, dire que ce week-end, j'ai eu des scrupules et je me suis dit que mon �tat de manque m'avait peut-�tre aveugl� et que je pouvais t'avoir traumatis�... J'ai pas arr�t� de me poser des questions..."
- C'est vrai que jusqu'� maintenant, je ne savais pas par qui j'�tais le plus attir�," remarquai-je en relevant la t�te. Je me mis � rire aussi : "Une chose est s�re, c'est que j'adore �a..." et je lui pris � nouveau la queue � pleine main.
Elle se mit aussit�t � enfler et � durcir. "Merde ! fit Fran�ois. Je suis tellement en manque qu'il va encore falloir me soulager..."

Il m'entra�na vers le monticule de tourbe et je me d�shabillai prestement. Je m'y roulais aussit�t en riant : "J'adore �a... c'est tellement chaud, doux et l�ger, on dirait que c'est vivant..."
- C'est vivant, dit Fran�ois en m'attrapant par les hanches. C'est m�me une mati�re noble pour moi... qui met des centaines d'ann�es � se former...
Il for�ait d�j� mon sphincter et s'y prenait moins d�licatement que la premi�re fois. �a me d�fon�ait le corps et �a me faisait un mal de chien. "D�tends-toi, fit-il en m'appliquant une grande claque sur les fesses. Plus on se contracte, plus �a fait mal..."
J'essayais tant bien que mal de me rel�cher mais je sentais sa queue m'�carteler les chairs et s'enfoncer douloureusement tout au fond de moi. Puis elle se mit � coulisser dans mon corps � une cadence de plus en plus rapide. Je n'avais d�j� plus mal et surtout, j'en avais envie de cette bite � l'int�rieur de moi. Je sentais que je mouillais beaucoup et je me cambrai au maximum pour bien la sentir aller et venir et me procurer un sacr� plaisir.

Fran�ois m'inonda de semence et je trouvais cette sensation vraiment g�niale. Quand il sortit de mon corps, je me jetais sur sa bite pour la nettoyer de tout son foutre, et le go�t de mon cul ne me g�na m�me plus.
- Bon, on a perdu du temps... Mais c'est enti�rement de ma faute..." et Fran�ois se rhabilla rapidement et se mit imm�diatement au travail.
Mais c'est moi, maintenant, qui pelotait Fran�ois � chaque fois qu'il �tait � ma port�e... et je ne m'en privais pas. Il faisait expr�s, d'ailleurs, de me fournir des occasions de le tripoter. Lui aussi me passait souvent la main aux fesses ou me palpai les couilles, tout en continuant � bosser sur le m�me rythme.
L'apr�s-midi, nous sommes retourn�s nous occuper des chrysanth�mes, mais un des ouvriers travailla avec nous jusqu'� la fin de la journ�e.
J'avais commenc� depuis un moment � comprendre que dans ce boulot, c'est la loi du travail qui rythmait absolument tout. J'�tais certain que Fran�ois avait pass� son week-end entier � trimer comme un malade et en fait, je n'�tais plus certain du tout d'�tre vraiment fait pour �tre horticulteur.
L'ouvrier partit � 18 h et Fran�ois me demanda aussit�t : "Tu veux bien faire un tout petit peu d'heures sup. ?"

Cette question ! J'allais carr�ment lui sauter dessus, mais il se mit � rire et me fit : "Viens... suis-moi..." et il sortit en courant pour s'engouffrer dans la serre tropicale. Quand j'y entrai � mon tour je ne le voyais pas mais j'entendis sa voix qui provenait du fin fond de la serre : "Alors ! Tu vas me faire attendre combien de temps ?"
Je le retrouvai � l'endroit le plus touffu, au milieu des monsteras, des philos et des bouquets de ficus. Je me jetai sur lui et fourrai mon visage dans sa poitrine. Je n'avais pas respir� son odeur de toute l'apr�s-midi... Il sentait toujours un m�lange de sueur, de terre et de v�g�taux avec en plus quelque chose de subtil que je qualifierais d'un effluve de m�le qui se d�gageait de tout son corps.
Je sentais sa queue toute dure contre moi, et je passai ma main dans son short pour la caresser. Il soufflait et m'embrassa brusquement dans le cou. C'�tait bien la premi�re fois qu'il m'embrassait quelque part et j'en fus vraiment heureux.

Mais Fran�ois commen�ait � haleter bruyamment. Il envoya aussit�t voler son short et son slip et me d�shabilla en un tour de main. Il me plaqua le dos au sol, dans la terre meuble et remonta mes hanches en les ramenant sur ses cuisses. Je sentis aussit�t que je mouillai et que mes fesses s'ouvraient largement. Fran�ois me p�n�tra profond�ment et haussa encore mes reins pour se ficher plus loin dans mon corps. C'est la premi�re fois que je le voyais en train de me prendre et j'y prenais encore plus de plaisir.

Il prit ma verge qui �tait en pleine �rection et se mit � la branler en m�me temps qu'il allait et venait dans mon corps et me faisait coulisser sur sa queue. Je commen�ais � me tordre et � g�mir doucement sous l'intensit� du plaisir que je prenais. Pour la premi�re fois aussi, mes hanches suivaient sa cadence et s'empalaient compl�tement sur sa bite quand il revenait au fond de moi.
Fran�ois me pilonnait toujours plus vite et il me masturbait au m�me rythme. Je jouis en lui remplissant la main de sperme et je sentis ses gicl�es m'inonder tout le corps. Il porta sa main en coupe � ses l�vres, leva la t�te et laissa couler mon foutre dans sa gorge. �a lui d�goulinait des l�vres, tout le long du menton et jusque sur la poitrine. Il me fit un sourire narquois et se retira en s'allongeant au-dessus de moi, t�te-b�che. Il prit mon sexe dans sa bouche et je me jetai sur le sien. Je su�ai tout le sperme qui engluait sa queue et je continuai � l�cher longuement son gland bien apr�s qu'il soit parfaitement nettoy�.
Fran�ois se redressa et sourit : "Excuse-moi pour les heures sup. Tu n'auras qu'� partir plus t�t un autre jour..."
- Fous-toi de moi, fis-je en riant. Je ferais bien des heures sup. comme �a tous les jours..."

Et c'est exactement ce que je fis durant tout le temps qu'il me restait � passer dans l'entreprise C. Fran�ois m'offrit une �ducation sexuelle compl�te et me fit d�couvrir ma vraie nature. Peut �tre que sa personnalit� affirm�e a d�teint sur moi. Peut �tre que si sa femme Annick m'avait ouvert sa chatte, je serais un pur h�t�ro aujourd'hui. Qui peut savoir...

pierre75

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