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Un serpent dans le lavabo.

Septembre, il fait chaud, je suis en stage dans une grande ville du Sud Ouest pour toute la semaine.
Je loge dans un h�tel o� l'on entre avec une carte bancaire.
C'est lundi soir, il est plus de 22 heures, je me suis douch�, j'ai juste sur moi un mini short de sport et je r�vise mes cours.
Tiens! On frappe � la porte! Qui �a peut bien �tre? je ne connais personne ici.
Bon! Je vais ouvrir et je me trouve nez � nez avec un jeune asiatique compl�tement affol� :
- Monsieur ! Monsieur ! S'il vous pla�t ! Aidez-moi ! Il y a un serpent dans mon lavabo !
- Mais, il n'y a personne dans l'h�tel qui peut vous d�panner?
-Non! j'ai �t� voir ! Tout le personnel est parti � cette heure ci ! Je vous en prie monsieur, aidez moi !
- bon! je vais aller voir �a !

Apr�s avoir ferm� ma piaule, je suis le jeune asiatique, il occupe la chambre � c�t� de la mienne. Il referme la porte derri�re nous. Je m'approche du lavabo avec pr�caution, m'attendant � me retrouver face � face avec un monstre. Effectivement, une queue de reptile tr�s fine, d�passe du lavabo. J'avance plus pr�s et je vois un pauvre petit l�zard prisonnier dans le lavabo.

J'avise une revue pos�e sur le lit, je la prends, le la tends au l�zard, il grimpe dessus et je lui rend la libert� par la fen�tre.
Le jeune asiatique se confond en remerciements :
- oh ! merci monsieur! J'ai eu si peur ! Qu'est-ce que je peux faire pour vous remercier?
Pendant qu'il me dit �a, je repose la revue o� je l'ai prise et je m'aper�ois qu'il s'agit d'un magazine gay tr�s connu.
Du coup, je me mets � d�tailler de plus pr�s le mec.
Beau gosse, bien foutu, belle gueule, il porte un jean moulant et une chemisette � carreaux verts et blancs. Merde! je me le ferais bien!
Ah ! il me demande ce qu'il peut faire pour me remercier !
Mon regard fait des allers et retours entre lui et le magazine. Il comprends tout et me dit avec un petit accent exquis :
- Vous aimez le gay ?

Pour toute r�ponse, je m'approche de lui, le prends dans mes bras et lui roule une pelle f�roce. Au d�but, surpris, il essaie d'�chapper � mon �treinte, puis se laisse faire, r�pond � mon baiser et me prouve en deux temps trois mouvements qu'il est tr�s dou� en langue.
Je caresse son corps muscl�, je bande � n'en plus pouvoir, je d�fais les boutons de sa chemisette un par un, son torse lisse se d�voile, un vrai petit tr�sor.

La chemisette est par terre, je d�boucle son ceinturon, je fais sauter les boutons de son jean, je lui arrache, il porte un mini slip noir en lycra, c'est doux au toucher, mais ce qui m'int�resse c'est la bosse qu'il y a dedans;
Ce n'est pas tr�s volumineux mais qu'est ce que c'est dur, en plus, au bout de son gland, sur le tissu noir appara�t un petit rond de mouille.
Je n'en peut plus! Le jean est enlev�, je fous ma main dans son slip, il fout la sienne dans mon short et c'est le d�but de la jouissance.

En moins de deux, son slip et mon short sont par terre, on est � poil tous les deux, on s'embrasse, on se caresse, je lui suce la bite, il me suce la mienne, je lui met un doigt dans le cul, il me fourre le sien;
On tombe sur son lit, il est �tendu sur le dos, le sexe bien dress�, je m'appr�te � m'empaler dessus, il m'arr�te et va chercher des pr�servatifs.
J'habille sa bite et je pr�sente mon cul dessus, je me fais enfiler sans effort, ahhh! C'est bon !

Pendant longtemps, je monte, je descends, je me tortille, qu'est ce qu'il me fait jouir. Mais lui aussi! je le sens se contacter et dans un r�le de plaisir il crache sa pur�e.
Il me dit : A moi maintenant.

Il me pose une capote et se fout � quatre pattes. C'est un vrai bonheur de poss�der ce petit cul bien muscl�, ah ! Je lui en fout plein, il aime �a, il crie encore! Encore, d�fonce moi ! J'aime la bite ! Plus fort! Plus fort!
Je suis tellement excit� que �a va partir plus vite que j'aurais voulu, j'ai juste le temps de d�culer, de p�ter la capote, je gicle mon sperme sur son dos. Crev�, je m'abats dessus, on est coll�s l'un � l'autre.

On a d� s'endormir un peu, on s'�veille ensemble, il me sourit, je lui souris.
-On prend une douche ?
- D'accord !

On va donc sous la douche, on se savonne, on rigole, on se touche les parties intimes, r�sultat, on bande comme pas possible.
Profitant de nos culs savonneux, on se fait chacun une petite enculette et c'est tout propres, rinc�s et heureux qu'on se retrouve dans les bras l'un de l'autre.
Je dois maintenant repartir, je reprends mon short , � c�t�, je vois son petit slip noir, la trace de mouille est encore visible.

Je le prends et lui dis :
- Tu est l� jusqu'� quand ?
- Je repars vendredi
- Moi aussi, �coute, je garde ton slip, si tu veux le r�cup�rer, viens me voir demain soir dans ma chambre.
Il est venu le mardi soir.

On a ensuite pass� nos deux derni�res nuits ensemble. Celle du jeudi au vendredi est rest�e inoubliable, on a ppresque pas dormi, on a fait l'amour je ne sais plus combien de fois. . .
Il habite loin, on garde contact mais on ne se reverra probablement plus. Je l'ai tellement aim� que je me suis fait tatouer un petit l�zard sur l'�paule.

Zigom

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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