Cyrillo

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Savoir recevoir, correctement putain koi.

Je me souviens d'un jour, ou tout semblait noir ! Ce jour l�, je me disais qu'il fallait que je trouve quelqu'un, sinon mes couilles allaient exploser !
Mais je me disais qu'ils n'allaient pas tarder � venir ces mecs pour la vente de calendrier ! Surtout qu'il en avait deux avec qui j'avais baiser l'ann�e derni�re et que j'ai en m�moire les bites monstrueuses qui m'ont fait grimp� aux rideaux !

Malgr� l'attente je ne pouvais pas me permettre de me branler, sinon, je ne pourrais plus m'amuser avec eux ! Surtout qu'ils passent en dernier chez moi, tout expr�s !
Mais quelle torture !!!! DRIIIIINNNGGG !!!! On sonne � la porte ! Vite je fonce. Au moment ou j'ouvre la porte de l'appartement je r�alise que je ne porte que mon cale�on, et en plus c'est un vieux (j'ai du mal � jeter les v�tements dans lesquels je me sens bien, r�sultat je poss�de une armoire bourr�e de jeans laissant appara�tre plein de morceaux de mon �piderme et des cale�ons aussi us�s que ceux de la tronche Sim). Je vous rappelle que nous sommes le 20 D�cembre et que la temp�rature ext�rieure est super basse. Le Pompier qui se tient � 1 m�tre de moi � le regard qui tue.

Il poss�de des yeux lumineux de couleurs bleus. Il me fait " Ohhh vous allez attraper froid et apr�s je fais �tre oblig� de vous r�animer !! " (Ben si tu mets la langue pour les bouches � bouches moi je tombe dans les pommes direct). Il entre sans attendre mon invitation, mon couloir est assez �troit et son �paule vient toucher la mienne, Dieu du ciel ce type est trop canon. Son acolyte le suit sans dire un mot le regard plong� dans le gros sac qui contient les fameux calendriers. Nous voil� tout les trois dans le salon, le feu de chemin�e cr�pite et le programme de FIP (en �le de France la fr�quence est 105.1 pour les autres voir fipradio.com) permet de cr�er une ambiance de bar � cocktail. Un des nombreux avantage avec les militaires c'est la bande patronymique qui permet de conna�tre le sympatoche pr�nom de celui qui veut me r�animer. Donc Yoann doit avoir dans les 30 ans, vu le temps il porte par dessus son " treillis " un anorak hyper rembourr� ce qui m'emp�che d'imaginer comment il est foutu.

Je franchis une premi�re victoire lorsque je propose un chocolat chaud le deuxi�me, S�bastien (vive la bande patro) acquiesce vigoureusement en hochant la t�te plusieurs fois pour affirmer la sinc�rit� de son envie de chocolat. Je tends d�j� les bras pour r�cup�rer les deux gros anoraks. Une surprise agr�able, S�bastien a peut-�tre le sang chaud car il est en polo manche courte. Les 3 boutons du polo ne sont pas ferm�s, et le pantalon de treillis est ajust� au plus pr�t, je jette un regard gourmand de connaisseur � l'endroit que vous devinez. Je pr�pare en deux coups de cuill�re � pot trois chocolat bien chauds. Lorsque je reviens dans le salon S�bastien et Yoann sont sagement assis sur le canap�. Je fais expr�s de me faire une place entre eux deux. Seb commence � me montrer les mod�les de calendrier, mais on ne peut pas dire que les photos soient kiffantes. Je m'enfonce un peu plus dans les coussins, strat�gie qui me permet en �cartant les cuisses de poser mon genou sur celui de Yoann. Je lui sors :
- Les mecs vous avez du travail au niveau des pics par rapport � vos coll�gues du stade Fran�ais !
Yoann me r�pond du tac au tac en me sortant son portable,
- Regarde celle l�, t'en pense quoi ?

Il tient l'�cran du portable devant mes yeux et je vois Yoann torse nu, luisant de cr�me solaire, comme je remarque que son doigt me prive d'une partie de l'image je lui enl�ve prestement son portable des mains. Bonne initiative J, en effet j'ai maintenant sous mes yeux avides une belle repr�sentation de son body sans aucun v�tement. Yoann comme tout les pompiers passe plusieurs heures tout les jours � effectuer du sports et de la musculations. J'ai sur 4 Cm d'image couleurs (haute d�finition) le r�sultat. Les muscles apparaissent clairement dessin�s car chez Yoann par de surcharge pond�rale, rien � jeter. Il a un corps massif avec une solide ossature sur laquelle 70k de muscles bien ferme sont un appel aux caresses les plus sensuels et excitantes. Pas de poils sur sa poitrine. La taille des muscles de ses �paules est un v�ritable appel aux savantes et sensuelles l�chouilles que mes l�vres imaginent d�j�. Je me visualise ma langue en train de lui l�cher le ventre depuis ses larges t�tons jusqu'� son nombril hymne � l'apoth�ose de sa virilit� triomphante. Une superbe toison de poils brun fonc�s entoure comme une for�t son gourdin attrayant. Lorsque je remarque la forte toison de ses jambes, sortant de ma r�serve habituelle (koi pas la peine de hurler de rire, des fois je suis timide, si c'est vrai !) je m'enhardie � poser la paume de ma main largement ouverte, et un peu moite de sueur, sur son genou en disant :

- Tu ne peux pas imaginer l'effet que pourrait produire cette photo en taille r�elle !

Tout en disant cela je remonte ma main vers sa cuisse et sa braguette ferm� � ce moment mais Quand J il est cho les futes ils volent toujours assez rapidement. Je maintiens une bonne pression de ma main sur sa cuisse cela me permet de sentir la puissance et la fermet� compact de sa jambe. Voulant ne pas laisser l'ombre d'un doute sur la suite des �v�nements il �carte un peu plus ses jambes, ainsi j'ai la totalit� de sa cuisse chaude qui est pos� sur la mienne. Ca promet d'�tre Hot this night.

Il lorgne la grosse bosse qui d�forme mon cale�on et en souriant il me presse la bite comme pour en v�rifier la fermet� en disant :

- Apparemment tu es Ok pour nous offrir plus qu'un chocolat chaud !
Il lance un clin d'oeil � S�bastien et lui dit :

- S�bastien toi tu n'as pas ton portable alors il faut lui montrer en direct live.

S�bastien me regarde de ses yeux sombres en me disant :
- Commence � r�fl�chir � la r�compense que tu me donneras.

S�bastien me fait un strip h�t�ro � savoir qu'il enl�ve ses rangers en premier, il retire ses chaussettes qu'ils enfoncent dans les rangers, son pantalon tombe dans la seconde suivante, il l�ve les bras et enl�ve son polo. En 10 secondes chrono le voil� abdos d'acier tablette de chocolat devant moi � moins d'un m�tre. Et il s'approche encore plus en me disant, d'une voix peut-�tre un peu rauque :
- Voil� le jack pot pour toi c'est toi vire mon slip.

Je me suis mis � bander encore plus fort, cela me faisait mal tellement le sang affluait dans ma teub, j'aurais pu cass� un verre en tapant dessus avec ! Faut pas grand-chose pour me faire bander ! Je me suis mis � genou devant S�bastien et j'ai approch� ma t�te devant son slip qui commen�ait a �tre trop serrer dedans ! Ma bouche commen�ait par s'agripper au bord de l'�lastique, puis le fit descendre jusqu'au pied. Je remontais lentement le long de ses cuisses, tout en lui donnant des baisers dessus. Je l'entendis soupir� et dire que c'�tait bon !

Arriv� devant son pieu, je lui f�licitais sur la taille de sa bite. Une belle b�te de 23cm sur 5 ! Je commen�ais alors � lui pomper le pieu de toute sa longueur.
Pendant ce temps, Yoann commen�ait � se d�v�tir compl�tement et ils m'aid�rent � me foutre � poil aussi. Je leur dit qu'on serais mieux tout les trois dans mon extra-large de lit !
A peine arriv�e, on se foutait des pelles interminables, tout en nous paluchant pour faire gonfler notre envie de baise. Une fois nos bites bien dress�es, on s'est mis en trio de 69. Et chacun su�ait l'autre. Moi j'avais la bite de S�bastien ; S�bastien su�ait la bite de Yoann ; Yoann me su�ait ! Tout en su�ant, nous nous efforcions de masser les couilles et la rondelle en m�me temps pour pr�parer le chemin des bites dans nos culs.

S�bastien arr�ta de sucer et nous demanda de nous positionner pour recevoir � tour de r�le sa bite.
Il mit une capote, nous enduis du gel par paquet, et sans tra�ner, m'enfourna illico jusqu'� la garde sans douceur ! J'ai cru que j'allais tomb� dans les pommes tellement que j'ai cru qu'il m'avait d�chir� en deux ! Heureusement que Yoann s'occupait de me branler en attendant son tour ! Yoann avait une imagination et une sensualit� d�bordante. Voyant que ses caresses risquaient de me conduire trop t�t � la jute, il d�cide de m�langer nos langues en reprenant de gros palots profonds. Nous cherchions � gagner le concours de celui qui enfoncera la langue le loin dans la gorge de l'autre. Nous �tions tr�s motiv� l'un comme l'autre et pendant que nous �changions nos salives, j'entendais la respiration de S�bastien devenir de plus en plus saccad�e. Je ne voulais pas que mes deux nouveaux potes jouissent trop rapidement, la nuit ne fait que commencer. Je lui sors " Seb fait une petite pause, allonge toi sur le dos, Y et moi nous allons faire en sorte que tu te d�tendes ".

Seb se retire donc de mon trou. Comme j'attendais chaque soir depuis 10 jours la visite de mes 2 pompiers, cela fait donc presque 2 semaines que chaque soir je passe 30 minutes � me laver � grand renfort de savon sp�cial hygi�ne intime et de l'accessoire que j'ai achet� il y a longtemps dans une boutique IEM � Paris. C'est comme un gode, mais en inox et tu l'adaptes � la place de la pomme de la douche. De l'extr�mit� de l'accessoire gicle un jet d'eau (il faut r�gler le d�bit de l'eau par trop fort). Tu te godes avec le truc et ainsi ton trou est m�ga propre, lorsque le mec approche de ta rondelle sa langue et donc son nez il respire une odeur de propre et de savon. J'ai enlev� prestement la kapot de la bite de seb. En posant mes deux mains sur ses �paules je l'allonge sur le dos. Yoann et moi nous unissons nos efforts et nos gestes. Moi je suis assez fort avec ma langue pour d�poser sur chaque millim�tre de son �piderme sensible des smacks. Yoann lui pr�f�re jouer avec l'extr�mit� de ses doigts.

Il poss�de de superbe pogne, nos soins attentifs procurent des sensations � Seb dont les frissons lui h�rissent les poils de ses bras. Lui aussi nous embrasse le visage, le cou, la poitrine. D'un accord tacite chacun de nous �vite de toucher � nos sexes respectifs. Le mien reste dur malgr� tout, la charge �rotique, r�sultat des contacts avec le corps de ses deux gar�ons tellement �mouvants dans l'absence de retenu, est trop importante. Puis le d�sir de Yoann devient plus fort que ses inhibitions, les muscles de mes cuisses tremblent lorsque ses doigts se prom�nent sur les globes de mes fesses. Ils s'approchent de plus en plus de mon trou. J'aper�ois Seb qui recouvre la teub de yoann d'une kapot, et le badigeonne de gel. L'index de Yoann est maintenant enfonc� � fond, rejoint par son majeur, il me branle le cul avec ses 2 doigts et je constate que ce spectacle �moustille Seb dont le pieu reprend du volume.

Je suis � 4 pattes, ma langue l�che largement les deux couilles de Seb, je la sors le plus largement possible en m'appliquant le plus que je peux afin de donner le plaisir que Seb est en droit de recevoir. J'ai soudain le gland de Yoann qui pousse mon orifice, comme je sais que je vais avoir le trou d�truit par la taille du cylindre j'engloutis la bite de Seb comme �a je ne peux pas crier. Du gland de Seb s'�coule quelques gouttes de jute il est arriv�e � ne pas jouir je le vois � son visage concentr�, je ne bouge plus, mais je serre mes l�vres sur son cylindre en sentant mon trou �carter par les 7 Cm de la teub de yoann. Je sens maintenant le bas du ventre de Yoann contre mes fesses, ouf. Mais la douleur est toujours intense surtout que maintenant il commence des mouvements de hanches amples ou � chaque fois son sexe se retire largement pour se r�enfoncer de plus belle, Son bas ventre tape mes fesses, et je sens aussi ses couilles qui viennent s'�craser contre mes boules.

Seb a pos� ses deux mains sur ma nuque et il me commence � me d�foncer de sa grosse teub. Il doit �tre � bout il veux juter une premi�re fois. Pas de doute les bruits que fait Seb sont �loquents, il prend bien son pied avec moi. Bingo un grossissement brusque de son gland pr�c�de 4 gros jets de sperme qui remplissent compl�tement ma bouche, je continue � bien aspirer sans ouvrir la bouche en avalant au fur et � mesure. Le go�t de son sperme est super, bien sal�. Comme il jute vraiment d'une fa�on abondante je peux bien sentir sa jute sur toute ma langue.

Yoann continue de me pistonn� sans savoir si je prend mon pied ou pas ! Seul son plaisir l'int�resse ! Mais � un moment donner, je dis stop ! Yoann ne l'entend pas de cette oreille et il dit � S�bastien que je dois recevoir une le�on ! Si bien que les deux mecs m'empoignent et me ligote sur mon lit avec des menottes que j'avais mis en �vidence sur ma table de nuit.
Ils me dirent que j'avais bien calcul� mon coup et que pour me punir j'allais souffrir un max avec deux bites dans le cul !
J'hallucinais ! Je vois dans ma t�te ce que �� risque de donner comme aper�u les deux bites dans mon cul ! La, je rigole plus et je leurs dit que c'est fini la rigolade. Mais ils se regardent, me regardent et m'annonce que �� ne faisait que commencer la soir�e ! S�bastien me susurra � l'oreille qu'il allait inviter d'autres mecs de la caserne � venir se soulager les couilles ! Vu que leurs salopes de femmes ne foutaient plus rien au lit avec eux ! Bref ! J'�tais parti pour �tre le vide couille de la soir�e ! Je les suppliais de ne pas faire ��, mais ils s'en branlaient ! Je vis S�bastien et Yoann chacun avec son portable t�l�phoner � leurs potes pour savoir s'ils sont int�resser.

Ils avaient mis leur haut parleur pour que j'entende la r�ponse. Presque tous ceux qui ont �t� contact�s ont accepter � la seul condition ; que j'ai les yeux bander pour que je reconnaisse personne ! Quelques minutes plus tard, j'entendis la sonnette et des voix qui rigolaient de me voir d�j� en position pour accueillir leurs bites, sans que je puisse les voir, car j'aie les yeux bander ! Mais j'avais l'exp�rience de savoir si le mec �tait un vieux ou un jeune. Par la duret� de la bite ! A ce moment j'avais encore un petit espoir que le bandeau ne soit pas super opaque et que je puisse mater un peu ou moins la silhouette du mec. Ben les pompiers doivent faire des stages sp�ciaux "Comment g�rer une prise d'otage" et les salauds ils savent faire un bandeau qui ne laisse m�me passer un seul photon. Bref je flippais super grave. Il y a avait un brouhaha tel que j'ai �t� surpris lorsque j'ai senti le premier gland de cette nuit sur mes l�vres. Sucer sans pouvoir toucher le mec avec ses mains c'est frustrant. Le premier avait une bite "normale" je veux dire qu'elle me remplissait ma bouche mais j'avais pas la m�choire d�croch�e par un cylindre g�ant. En plus le mec en question il �tait venu pour cracher sa jute et il �tait bien cho, c'est lui qui faisait la plus grosse partie du travail en faisant des bons mouvements du bassin en faisant sortir et entrer sa teub enti�rement � chaque fois.

Lorsque sa bite sortait compl�tement de l'emprise de mes l�vres cela faisait un bruit mouill� et je sentais pendant une seconde sa main me la remettre illico au fond de la gorge. J'�tais donc en train de me dire que cela pourrait peut-�tre devenir agr�able et c'�tait quand m�me un fantasme que beaucoup de " joyeux " ont imagin� dans le petit coin pervers de leur cerveau. Lorsque j'ai senti son sperme me remplir la bouche j'ai manqu� de l'avaler de travers car j'avais rien vu (ah ah ah) venir pas de grognement ni de spasme de son gland. J'�tais en train de reprendre mon souffle car mine de rien je commen�ais � �tre un naze, car il ne faut pas oublier que nos petits jeux avec Yoann et Seb avaient commenc� il y a plus de 2 heures. Bon et c'est l� que j'ai vraiment regrett� d'�tre le trou de service. En effet je venais de sentir une main, qui devait faire pratiquement deux fois la taille de la mienne, se poser sur ma nuque. Au m�me moment j'ai cru qu'on me mettait un brugnon dans la bouche ! Mais non c'est le gigantesque gland d'une �norme queue qui cherchait � entrer de force dans ma petite bouche. Et en plus sa douche devait dater de ce matin tr�s t�t et le go�t ET l'odeur m'ont de suite donn� la gerbe.

J'ai essay� de saliver le plus possible pour faire passer cette odeur de bite pas propre le plus vite possible, mais son diam�tre �tait vraiment trop important. Comme je ne voulais pas recevoir des baffes je faisais juste attention que mes dents ne viennent pas racler sur la peau du zob. C'�tait super pas agr�able et l'expression �tre un trou � bite devenait une r�alit� pour moi. J'�tais tellement mal ; et je me sentais tellement humili� que j'ai senti des larmes venir, j'�tais incapable de me retenir de pleurer comme un petit gar�on qui vient de mettre ses doigts dans une prise de courant. Apparemment Yoann �tait rest� � cot� de moi et il a compris que j'�tais en train de trop morfl�. Il devait y avoir une autre bite disponible pour ma bouche avec une taille raisonnable et j'ai entendu Yoann dire :

- Tu es vraiment en train de trop lui ruiner la bouche, il faut qu'il puisse servir encore pour les deux autres, alors je te propose qu'on lui pr�pare son petit cul.

Et oui tout arrive, j'�tais content d'avoir droit � une petite pause, ma bouche vide, mes l�vres ferm�es, je commen�ais � reprendre un rythme de respiration normal. Soudain une main amie m'a pris la bite qui �tait devenue molle et a fait le n�cessaire pour qu'elle se r�veille. Le gar�on qui me branlait avait son visage � quelque centim�tre du mien et je pouvais sentir son odeur, un m�lange de d�o et de sueur. Je sentais son haleine sur mon visage. C'est incroyable que priv� de la vue seulement depuis 30 minutes je devenais hyper sensible aux odeurs et aux bruits qui m'entouraient. Le va et vient de sa main sur mon sexe, venant de plus en plus fr�n�tique j'ai rapidement senti que j'allais cracher, je ne sais pas pourquoi, mais j'essayais de rester impassible et c'est uniquement lorsque je l'entendis me chuchoter � l'oreille :

- Je te sens venir, ta bite est bien raide, je vois les muscles de tes abdos fr�mir, tu vas juter dans dix secondes paroles de R�mi.

Et R�mi avait raison, de mon gland gicla trois gros jets de sperme, je ne voyais toujours rien et lorsque j'ai senti les doigts mouill�s de R�mi sur mes l�vres j'ai compris qu'il voulait que je fasse un peu de m�nage. Yoann revient de ma cuisine et me dit :

- J devine ce que j'ai trouv� dans ton bac � l�gume ?

Oooohhhh seigneur j�sus dans mon bac � l�gume il n'y a qu'un concombre que j'ai achet� ce matin pour me faire un taboul�. Tant pis pour le taboul� ! Je serais curieux de voir ce que �� donne dans mon cul, car je sais qu'ils vont me l'enfoncer dans mon cul pour le pr�parer en vue du gros calibre que je venais de sucer. Un mec � la voix assez douce, rappela � l'ordre tout le monde pour choisir qui d'eux allait pr�par� mon cul par un lavage en r�gle, et me doigt� comme jamais je n'ai �t� doigt� de ma vie ! Au d�but, j'entendis le mec appel� un certain Marc pour �tre de corv�e ! Celui-ci annon�a que c'�tait son phantasme de pr�parer le cul de quelqu'un. Sauf que le phantasme en question est plus hard ! Il annon�a � ses coll�gues qu'il allait me fist� !

La c'est la panique ! je commence � les suppli� de ne pas faire cela, que jamais je ne l'ai pratiqu� ! Mais le Marc essaya de me rassur� tout en commen�ant � me doigt� avec un doigt, puis deux au d�but. Je commen�ais � avoir une �rection. Puis, apr�s quelques minutes de travaille, je sentis qu'on rajoutait deux doigts suppl�mentaires. Ca commen�ait � me faire mal, mais je tenais bon. Encore quelques minutes plus tard, mon cul bien dilat�, je sentis le dernier doigt entr� dans mon cul. Je me disais que j'allais mourir sur place ! Je n'en croyais pas mes sensations quand Marc m'annon�a que j'avais sa main dans mon cul, en train de masser ma prostate ! Mais pendant que Marc prenait soin de mon cul, les mecs autour de moi n'on pas ch�m�s ! Chacun leurs tours, ils passaient leurs bites dans ma bouche sans aller jusqu'au bout. Ils voulaient tous se vider les couilles en moi !

Puis Marc annon�a que j'�tais pr�t pour le sacrifice ! L'�norme bite prit place devant mon trou et me p�n�tra d'un seul coup ! L�, j'ai cru que j'allais crev� sur mon lit ! Puis avec douceur, j'ai senti le braquemart coulisser d'avant en arri�re, lentement au d�but, puis de plus en plus vite. L�, le point de non retour ! D'un dernier coup de rein, je sentis le mec s'arr�ter net, se contracter et jut� avec violence en moi ! (Tant pis pour le pr�servatif oubli� !)

Le mec sortit de moi et je sentis un autre se point� ! En faite, je l'ai reconnu plus tard, c'�tait mon concombre ! C'�tait assez bizarre, l'atmosph�re avait chang�e d'un seul coup, j'avais encore des tremblements dans certains des muscles de mes cuisses. Quelqu'un venait de me prendre le sexe dans la bouche et comme il su�ait super bien mon zob repris vite go�t � la vie et une taille honn�te. A ce moment les choses prirent un autre tournant, car je suis certain que deux bouches s'occupent maintenant que ma barre. Le troisi�me gar�on qui m'enculait avec mon cucurbitac�e en profitait pour me tripoter les couilles et de temps en temps je sentais sa langue sur mon dos, il suivait ma colonne vert�brale et remontait en l�chant ma sueur de la raie de mon cul jusqu'� ma nuque. Plus aucun bruit de discussion, juste quatre respirations plus ou moins rauques. Des petits bruits que j'essayais de situer dans l'espace, j'avais vraiment envie que l'on me retire le bandeau, mais en m�me temps je me disais que cela aurait pu d�truire le contrat avec les potes de Yoann et Seb qui voulaient garder l'anonymat. Les expertes caresses buccales des deux suceurs me conduisent inexorablement � me faire cracher son jus. J'avais plus rien entre les l�vres et donc je ne manquais pas de manifester mon plaisir en poussant des g�missements qui ne faisaient pas trop folasse je l'esp�re. Lorsque je sentis les contractions de ma teub qui annon�ait l'arriv�e imminence de mon sperme je dis avec une voix que je ne reconnu pas :
- Putain, je vais spermer !!
Je tremble de mon corps et de ma queue doit sortir une bonne quantit� de sperme. La voix de S�b me dit :
- Allez esp�ce de vicelard, l�che maintenant !

Lorsque je sors ma langue je me rends compte que je suis en train de l�cher mon sperme qu'il a recueilli dans la paume de sa main. Puis une autre bite entre dans ma bouche juste pour me la remplir de jus. Le silence envahi la pi�ce, j'entends bien des bruits qui me laissent imaginer que je vais me retrouver seul d'un instant � l'autre. Mais je me dis " bon avant de partir Seb ou Yoann viendront me d�livrer ". J'�tais tellement crev� apr�s tout les efforts que je venais de faire que je ne suis pas rendu compte que j'�tais en train de glisser dans le sommeil.

Je me r�veille en sursaut lorsque la sonnerie de mon portable retenti. C'est un SMS de Yoann, il me convoque pour me louer � 2 nouveaux potes dans l'ancienne zone industrielle. Voici son SMS :

1H du mat, ancien entrep�t Danzas, l'int�rieur du cul bien propre. 2 potes et moi nous t'attendons pour te remplir partout. Peut-�tre d'autre surprise.

Je suis encore � poils sur mon lit compl�tement d�fait, seul le drap du dessous est encore sur le matelas, les oreillers, la couette, le dessus de lit sont �parpill�s dans la chambre. J'ai du mal � me lever, j'ai des courbatures partout, c'est presque � 4 pattes que je me tra�ne vers la douche. Je laisse couler l'eau pendant si longtemps que le ballon est vide. Lorsque l'eau devient franchement froide, je suis motiv� pour m'extraire de la cabine. Je n'ose m�me pas me regarder dans le miroir. Je me frotte avec une serviette �ponge propre. Et toujours au radar je me d�cide qu'un peu de nourriture solide va m'aider � sortir de cet �tat comateux. Je suis donc tomb� sur mon lit pour 10 heures de sommeil r�parateur. Puis j'ai enfil� juste un surv�t (un mod�le ADDIDAS bleu) et mes skets FILA, ma bite un peu gonfl�e se balance librement dans mon bas de surv�t (pas de slip, pas de chaussette, pas de tee-shirt). Nous sommes le 21 D�cembre, il doit faire 5° j'ai la chair de poule. Je me dirige vers l'entrep�t abandonn�. La bite et le sperme de Yoann ont trop bon go�t. Et puis l'inconnu me tente terriblement depuis que j'ai en m�moire les sc�nes que j'ai v�cu la veille !

Bref ! 1h du matin allait arriv�e, mais j'avais le temps de fumer une clope avant la rencontre. Je me demandait comment allait �tre le fameux copain de Yoann ? S�rement un mec aussi crade et mal habill� ? Je me demandais si c'�tait pas une erreur finalement d'�tre venu ?
Je terminais la clope quand j'entendais le bruit d'une moto qui arrivait. Je me cachais derri�re un pilonne et j'attendis la suite des �v�nements. Je ne fus pas d��u, car Yoann dit � son pote :
" - Je crois qu'il va pas tarder Mathieu, mais auparavant, je voudrais bien que tu me taille une pipe !
-Et puis quoi encore ? R�pondait ce Mathieu. Fais moi une pipe en premier !
- Non, parce que c'est moi qui t'ai amen� ici pour faire plaisir � mon amant !
- Ben voyons ! et il ta laisser tomb� ? vu qu'il est en retard !
- Non, je crois qu'il se cache quelque part ! (puis en criant) allez ! tu peux venir ! je sais que tu es l� !
- Comment tu le sais que j'�tais l� ? lui criais-je.
- Ton parfum de douche !
- Merde !
- Ben oui, c'est pas pour rien que je t'ai demand� de te laver !
- Tu peux me dire c'est quoi ce plan ?
- Non, avant tout je te pr�sente Mathieu, il est ta surprise !
- Quel genre de surprise ?
- Montre lui Mathieu

La, je vis Mathieu venir vers moi et me d�tailler le corps comme si j'�tais une poup�e de marchandise. Puis il commen�a � me foutre � poil par un froid de chien ! Il me demande d'�tre � quatre pattes sur le sol, et de ne pas bouger ! Ni de regarder derri�re moi.
J'entendis des pas qui s'�loignait et qui revenait. J'entendis un bruit comme si on d�chirait une capote, et enfin, quelque chose de dur essaya de rentrer dans mon cul. Je tr�moussais un peu pour faciliter le passage. Mais � peine entr�, je ne pus �touff� un cri de surprise ! Je compris trop tard qu'on m'avait dup� en m'ayant foutu au cul un pic de glace dans le cul !
Je sentis ce pic aller et venir en moi, et la sensation �tait tellement nouveau pour moi que je me suis mis � bander comme jamais ! Et ce pic en est venu � bout en m'ayant fait �jacul� sans me touch�, rien que par le froids !

J'ai crus que j'allais tomber raide par terre !
Des fois les choses arrivent lentement et nous avons le temps de r�aliser. Il est �vident que suivant les cas on r�alise qu'il nous arrive un truc moche que l'on veux voir se terminer rapidement, a contrario des moments tr�s agr�ables finissent trop rapidement. Ici c'�tait un peu le cas, je venais pendant les quelques minutes de godage avec ce stalactite glac�e de ressentir un engourdissement progressif de mon trou. Voil� pour faire simple j'avais le cul anesth�si�. Ben il valait mieux vu que le deuxi�me pote de Yoann c'est le black g�ant de Carrefour. Alors maintenant VOUS les lecteurs, vous devez faire un effort de visualisation. Vous avez d�j� vu des films ou il y a un personnage de garde du corps ou de videur de boite de nuit. Un gigantesque NOIR. Non encore plus grand que cela.

En fait au cin�ma on se dit " bof c'est un effet d'optique la cam�ra filme en contre plong�e, etc etc. Mais dans la vraie vie il existe VRAIMENT des mecs qui mesurent 2m. Et qui p�se 130K. En fait je suis terroris� par ce barbare lorsque je vais � Carrefour je fr�mis en passant devant lui. Une fois il a pos� la chose �norme qui lui sert de main sur mon �paule, j'ai cru qu'une enclume venait de me tomber dessus ! J'avais oubli� de mettre mon sac � dos dans le casier, lorsque j'ai voulu faire une vanne sur le fait qu'il faudrait plut�t fouiller les gens � la sortie du magasin il m'a dit de sa grosse voix caverneuse " Monsieur les personnes que je fouille en garde un souvenir douloureux, faites en sorte de ne jamais commettre une infraction, sauf si vous aimez la souffrance ". Yoann et Mathieu me tienne chacun un bras, il me tra�ne litt�ralement jusqu'� une pi�ce " meubl�e " uniquement d'une table de laboratoire carrel�e. Lorsqu'il a ouvert sa braguette je me suis " putain la bite de ce mec est monstrueuse ". Et � ce moment pour ma plus grande malchance il ne bandait pas du tout. Il a d�calott� son gland qui a approximativement la taille de mon poing ! Le truc en question est rose !! Alors que sa colonne est marron fonc�. Sa peau est aussi noire que du charbon.

J'ai bien not� que lui aussi se demande comment je vais r�agir et supporter la dilation n�cessaire � l'introduction de sa teub (une semaine plus tard Yoann m'a dit que le diam�tre du truc �tait similaire � un saucisson � l'ail, charmant !!) Moi j'�tais tellement flipp� que j'ai pr�f�r� fermer les yeux. D'abord je claquais carr�ment des dents vu que le carrelage comme isolant thermique c'est pas g�nial. Yoann a sortie de son petit sac � dos un pot de truc dont il m'a tartin� le trou. Mathieu me regardait hilare, son regard disait clairement " tu vas avoir mal au cul, c'est rien de le dire ! ".
Au moment ou il a pos� ses deux mains sur mes hanches, j'ai ressenti la m�me chose qu'une petite crevette entre les pinces d'un homard. J'ai bien senti qu'il se passait un truc dans mon dos mais j'�tais dans un tel �tat entre le froid, mon cul refroidit par le morceau de glace, et la fatigue. Encourag� par mon absence de r�action il ma soulev� comme d'autre soul�ve un nourrisson et il ma r�ellement d�fonc�, d�truit, ruin�, atomis�, explos�, le trou. Comme il voulait voir l'expression d'horreur, de douleur, de stup�faction qui devait �tre la mienne il m'a pos� sur le dos les deux jambes pos�es sur sa poitrine. Au moment ou il a senti qu'il venait il a retir� son sexe et je me suis retrouv� englu� par la grosse quantit�, une quantit� ph�nom�nale (il est vraiment, il est vraiment, il est vraiment, la la la la,) de jute. Sans d�conn� je pense qu'il a crach� au moins 15cl de sperme. Mon docteur m'a donn� des antalgiques que j'ai pris pendant une semaine. En effet le lendemain la douleur �tait tellement intense et aigue que des larmes me coulaient des yeux. Seule consolation il m'a invit� le WE prochain je dois servir d'esclave pour son neveu qui a 18 ans et mesure d�j� 1.98. Mais vu que mon cul ne sera pas gu�rit encore de l'assaut de ce monstre, je lui ai demand� de recul� l'�ch�ance. Il me l'a refuser, et que si jamais je ne venais pas, ce serait lui qui viendrais et l�, ce seras encore plus douloureux ! Car ce seras pas une, mais deux bites noires qui me tueront !

La semaine passa vite, je commen�ais � paniquer au fur et � mesure que l'heure avan�ait. Je me disais que je devrais partir loin de chez moi ! et d'oublier tout ce que j'ai endur� !
Trop tard ! La sonnette retentit ! Je tremblais de tout mes membres et j'allais ouvrir, la mort dans l'�mes!

Mais surprise ! C'�tait pas les noirs, mais un maigrichon qui se tenait devant moi ! Blanc, 1m85, cheveux roux, yeux bleu (c'est rare les roux aux yeux bleu !), et une gueule d'enfer ! Bien habill�, et poli avec �� ! Je lui demandais ce qu'il voulait, et il me dit que c'�tait son oncle qui l'envoyait le chercher pour la partie promise. Je lui demandais son �ges ; 18ans qu'il me dit. Et moi qui croyais qu'il en avait deux ans de moins ? Malgr� moi je ne pouvais pas m'emp�cher de regarder la bosse que formait sa queue dans son bas de surv�tement, il a pas de slibard c'est certain, et la taille de la bosse me provoque toujours la m�me envie : Sucer. J'ouvre la porte largement et il entre en adoptant cette d�marche chaloup�e. A donf dans le clich� le keum. Je le pousse, en lui posant les deux mains sur les �paules, dans le canap�. Je suis d�j� � genou et il m'aide, en soulevant l�g�rement les fesses, lorsque je tire son fute. Sa bite est plut�t molle mais elle ne reste pas longtemps.

J'adopte de suite un rythme d'enfer, j'ai pas envi d'autre chose que de le voir juter et d'�tre ainsi d�barrass� de lui rapidement. Ma salive coule de ma bouche et ruisselle sur ses couilles ras�es. Je passe mes doigts dessus, et de temps en temps ma main " d�rape " et mon index fr�le son trou, il ne bronche pas lorsque je commence � lui enfoncer le pouce. Mon pouce est remplac� assez vite par mon majeur et mon index r�uni. Dommage j'ai pas regard� l'heure mais je pense qu'il a gicl� en 3 minutes pas plus. Une fois son gland tout rose bien propre, il se l�ve et me donne une gigantesque baffe dans la gueule en cirant " Sale PD t'as os� touch� � mon cul, je pense que tu vas �tre ch�tr� au minimum, mais mon oncle conna�t peut-�tre une punition plus hard encore. "

Je ne sais pas comment j'ai fait pour le foutre dehors, chaque muscle de mon corps tremblait comme si je venais de passer 1 heure dans un cong�lo. Je le menace de pr�venir la police s'il me laissais pas tranquille, lui et son oncle. Il �clate de rire en me faisant le geste universellement connu de l'�gorgement, il passe doucement son index au travers de gorge en faisant une grimace horrible � voir, je manque de g�rber direct. J'ai t�l�phon� � Yoann et aux autres pour leurs demander de m'oublier � l'avenir ! J'en ai profit� pour changer d'appart le lendemain, et de portable pour ne plus avoir de contact avec mes ex.

Mais le destin me rattrapa deux ans plus tard ! Un soir on sonne � ma porte, je demande qui c'est, on me r�pond :

- C'est les pompiers !!!

Fin

Alors pour info nous avons �crit ce petit d�lire � deux, on se marre encore. Si vous voulez conna�tre le pourcentage de d�lire et de r�el life, il suffit de nous �crire.

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