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SALOPE A DISPOSITION...
Apr�s qu'Alex et Hakim soient partis, Franck me fit descendre avec lui dans le salon. Il sortit une bi�re du frigo et s'installa sur le canap� pour mater un match de foot � la t�l�vision. Il m'ordonna de venir � ses pieds. Il s'�tait mis en jogging et �tait pieds nus.
- L�che-moi les pieds salope.
Je m'ex�cutais pendant presque un quart d'heure. Il buvait toujours sa bi�re. Il me fit redresser la t�te et me cracha une grosse gorg�e de bi�re sur le visage.
- Tu es vraiment une bonne pute !
- Oui.
A ce moment-l�, la porte de l'entr�e s'ouvrit et un grand black en jean et blouson noir entra.
- Salut Moktar ! J'ai mis de la bi�re au frais, si tu veux.
- Non, pas maintenant.
Il entra dans le salon et me d�visagea.
- C'est lui la pute � dispo ? Beau cul !
- Il est enti�rement � ton service, mec.
- Pas tout de suite. L� je suis naze et v�n�re ! Je me suis fait virer du boulot !
- Putain, tu as d�conn� ?
- Je me suis pris la t�te avec mon chef et... Bref, je lui ai foutu mon poing dans la gueule !
- Merde ! Installe-toi. Cette salope va te l�cher les pieds pour te d�tendre.
Il m'ordonna de lui l�cher les pieds. Je m'approchai de lui, lui �tai ses chaussures et ses chaussettes et commen�a � lui l�cher les pieds.
- Tu as raison, Franck, c'est un vrai esclave. Une vrai lope.
- Grave.
Je le l�chais depuis cinq minutes quand on sonna � la porte. Franck alla ouvrir.
- Moktar, c'est le proprio, il veut son ch�que. Il le veut maintenant.
- Merde ! Fais le entrer.
Moktar se leva et alla saluer le proprio qui venait d'entrer dans le salon. C'�tait un beur d'environ 45 ans, bien portant avec plus de graisse que de muscles. Mais raisonnable ! Il avait les cheveux noirs tr�s court et un bouc. Des yeux noirs.
- Ecoutez M. Kharssim, je pourrais vous donner le ch�que dans deux jours. J'attend un virement de mon travail, d�clara Moktar.
- �a fait d�j� dix jours que je vous laisse. C'est fini les d�lais.
- Je vous dis que �a sera s�r dans deux jours. Vous avez ma parole.
- Difficile de vous croire.
- Pour vous faire patienter encore un peu, je vous offre �a, d�clara Moktar en me d�signant.
Le proprio porta son attention sur moi et me remarqua enti�rement nu et � quatre pattes.
- Quoi ?
- Je vous offre la possibilit� de vous divertir avec cette salope. Ne faites pas le d�sint�ress�, vous habitez au dessus et on conna�t vos penchants pour les keums quand votre femme n'est pas l�.
Le proprio me regarda sans r�pondre puis finit par dire : " Mais ma femme est l� ce soir.
- Vous �tes �galement chez vous, ici, alors profitez en sur place.
- Bien, mais �a veut pas dire que j'accepte le d�lai. Je teste avant.
- Vous devez accepter pour vous r�galer, pr�cisa Moktar. Regardez ce beau cul et cette bouche � pipe. Vous en avez jamais eu de tel.
- Ok.
- Vous pouvez monter avec lui l� haut. Quant � toi salope, tu vas faire tout ce que M. Kharssim te dira. Compris ? Sinon tu vas d�rouiller.
Le proprio me fit monter � l'�tage dans la chambre.
- Alors tu n'es qu'une pute ? (J'acquies�ais). C'est bien de baiser des salopes comme toi, �a en redemande toujours.
Il enleva son pull d�voilant son torse poilu et enrob�.
- Approche, salope.
Je rampais vers lui, compl�tement nu. Il ouvrit son jean et son slip et les retira, se retrouvant en chaussettes devant moi.
- L�che mes pieds !
Je retirai ses chaussettes et m'ex�cutais.
- Bien sale pute.
Il m'attrapa par la t�te et me colla sa queue dans la bouche m'ordonnant de sucer. Je m'ex�cutais en avalant sa queue d�j� dure � l'id�e de me baiser. Elle n'�tait pas tr�s grande (autour de 15 cm) mais assez grosse. Je devais bien ouvrir la bouche pour le sucer. Je le su�ais en faisant glisser ma langue dessus ? Ceci l'excita au plus haut point. Il m'attrapa les cheveux et commen�a � me d�foncer la bouche. Il entrait enti�rement sa grosse queue dans ma bouche pour m'enfoncer la t�te dans ses poils.
- Hum, tu es vraiment une salope ! Je crois que tu vas faire plusieurs s�jours chez moi ! Tu aimerais �a sale pute ?
- Oui.
- Passe moi une capote !
Je me relevai et ouvris le placard o� j'avais vu Franck prendre les pr�servatifs dans l'apr�s-midi. Il y avait �galement du gel. Je lui tendis la capote et pendant qu'il l'enfilait je me badigeonnais le cul de gel pour limiter la douleur. Bien m'en pris car une fois que je fus � quatre pattes, il s'enfon�a direct me faisant gueuler de douleur. Il me limait vite puis ralentissait d�montrant ainsi qu'il ne voulait pas jouir trop vite. Pendant cinq minutes il me d�fon�a le cul en m'insultant. Alors que je commen�ais � prendre mon pied, il s'arr�ta net et se retira.
- Tu n'as pas joui de la journ�e ? C'est trop facile �a petite pute ! Allez vide toi les couilles !
- Mais...
- Ta gueule, beugla t'il en me collant une baffe. Ex�cution salope !
Il voulait me faire jouir pour que je n'ai plus de d�sir sexuel et que ses saillies de taureau me fasse l'effet d'un viol. Je commen�ais � me branler. Il m'exhorta � jouir pas � me caresser. Finalement je jouissais dans mes mains et sur le carrelage.
- L�che ton foutre, m'ordonna t'il !
- Non, c'est...
Une autre baffe !
- Ob�is sale pute !
Je me penchai et l�chai tout le sperme que j'avais foutu par terre.
- Penche-toi de nouveau salope !
Je me remis � quatre pattes et il s'enfon�a de nouveau dans mon cul lubrifi�. Cette fois, ce fut douloureux et humiliant. Je n'�prouvais plus le moindre plaisir. Il pris tout son temps, s'arr�tant souvent. Il m'insultait copieusement. Sa queue me d�chirait les entrailles. Ses mains me tenaient solidement par les hanches pour mieux assurer sa prise et ainsi mieux me d�foncer. Apr�s dix minutes, il se retira d'un coup, puis �tant la capote, m'attrapa par les cheveux et �jacula sur ma gueule.
- Tu vois, l� tu es vraiment une sale pute !
Il s'essuya avec ma veste qui �tait toujours par terre. Voyant qu'elle �tait pleine de foutre, il me regarda puis l�cha :
- Tu es un vrai trou � jouir, un vide-couille ! Dis-toi qu'on va se revoir tr�s vite, sale pute.
Il descendit l'escalier et j'entendis qu'il accordait un d�lai d'une semaine � Franck et Moktar. Il ajouta qu'il y aurait d'autres visites pour valider compl�tement l'accord.
Pierre
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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