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Saint Trop.

Depuis plusieurs ann�es, je vais passer deux semaines de vacances en ao�t dans la maison de mon oncle et ma tante, pr�s de Saint-Tropez. Je m'entends bien avec eux, mais ils ne sont pas toujours l� : mon oncle travaille toute la journ�e, ma tante part souvent faire de courts voyages avec des amis. Ils ont un grand jardin tr�s bien entretenu, qui n�cessite des soins r�guliers, et pour �a ils engagent des jardiniers qui viennent tous les jours plusieurs heures. L'�t� dernier, le lendemain de mon arriv�e, je me suis lev� tard et suis sorti de ma chambre en boxer : je savais que j'�tais seul dans la maison. Je me rends dans la cuisine pour m'y pr�parer un caf�, et en jetant un coup d'oeil par la fen�tre je vois qu'un jardinier travaille dans le jardin. Il a l'air d'avoir une bonne trentaine d'ann�es, peut-�tre 35, et il est torse nu sous la chaleur �crasante. Sa peau est luisante de sueur, son corps est muscl�, viril, je vois d'ici malgr� la distance qu'il est assez poilu!
sur la poitrine et sous les bras. Il est brun, n'est pas grand, sans doute un peu plus petit que moi, et plut�t trapu. Je le matte quelques instants, et finit par croiser son regard. Il me fait un signe de la main, je lui r�ponds, puis me d�cide � boire mon caf� avant de prendre une douche. Quand, une heure plus tard, je sors de la maison, il n'est plus l�.

Le lendemain, je me l�ve � nouveau assez tard, et suis surpris de voir que ce n'est plus le m�me jardinier : un homme du m�me �ge, blond, plus grand et plus mince, mais aux muscles saillants �galement, le remplace. M�me sc�ne : je le matte un peu, et lui fait bonjour d'un geste auquel il r�pond poliment. Au bout de quelques jours, je comprends qu'ils se relaient : ils sont l� chacun un jour sur deux. Un matin o� je sais que ce sera le trapu, je me l�ve un peu plus t�t, et prend directement une douche avant de descendre en boxer dans la cuisine. Je regarde rapidement dehors : il est l�, toujours torse nu, en train de travailler � quelques pas au bord de la terrasse. Il se sent probablement observ� puisqu'il l�ve les yeux vers moi et me sourit. La fen�tre est ouverte, je lui lance " Bonjour ! Vous allez bien ?
- �a va, merci ! Et vous ? Il fait super chaud, vous �tes bien, vous, au frais !
- Vous voulez entrer une minute ? Je vous fais un caf�.
- Avec plaisir ! "
Il me rejoint dans la cuisine, on discute un peu, il me dit que ses patrons l'ont mis au courant de la venue d'un de leurs neveux, mais qu'il s'attendait � un petit gar�on. Je rigole, on se raconte un peu nos vies, il est jardinier professionnel et a mont� son entreprise avec l'autre type qui vient un jour sur deux. On en vient vite au tutoiement. Je l'�coute en me disant qu'il est d�cid�ment tr�s bandant, et d'ailleurs je commence � �tre sacr�ment excit�. Heureusement, mon �rection est masqu�e par la table autour de laquelle nous sommes assis, jusqu'� ce qu'il me demande si je peux lui faire un autre caf� avant qu'il retourne bosser... Je bafouille et lui montre la cafeti�re : " Oh, ben vas-y sers-toi, c'est juste l�... "
Il se l�ve, mais rapidement me dis ; " Je comprends pas comment �a marche, tu peux me montrer ? "
Je n'ai plus le choix : je me l�ve malgr� mon �rection moul�e par mon boxer, et me colle tr�s vite au plan de travail pour le cacher. Trop tard, il a vu ! Il sourit : " Qu'est-ce qui t'arrive ? T'es excit� ? "
Je rougis, et sans r�pondre autre chose que des bafouillages je mets la cafeti�re en route. Il reprend : " Tu sais, finalement, j'ai pas trop envie de caf�... Mais il y a autre chose qui pourrait bien me r�veiller.... " Et il commence � me caresser les fesses. Je suis un peu g�n� : je ne voudrais pas qu'il se foute de ma gueule et raconte �a � ma famille... Mais puisqu'il continue et se met m�me � me tripoter plus en profondeur � travers mon boxer, je me cambre un peu en g�missant, et aper�ois une belle bosse sous son jean ! Il se penche vers moi et me glisse � l'oreille : " Tu veux pas me sucer un peu ? " Je fais oui de la t�te et me baisse pour me mettre � genoux, il d�fait sa braguette et en sort une belle bite d�j� bien raide, d'une taille cons�quente. Je me jette dessus et commence � la l�cher, puis je suce son gland et fais progressivement entrer toute sa queue dans ma bouche pour faire de longs va et vient dessus en malaxant ses couilles de mes doigts ; il pose ses mains su!
r ma t�te et me caresse doucement les cheveux en faisant quelques mouvements du bassin. Apr�s quelques minutes de cette pipe de plus en plus profonde, il me prend par les �paules et me fait relever en me plaquant le ventre contre le plan de travail ; il m'�carte alors les cuisses � deux mains et crache sur mon trou offert, je g�mis de plus belle pendant qu'il me travaille � trois doigts, en crachant r�guli�rement dessus pour bien lubrifier, puis fait glisser sa queue contre ma raie. Je l'encourage en g�missant plus fort, il pr�sente alors son gland contre mon cul, en tenant sa queue d'une main, et l'enfonce doucement, centim�tre par centim�tre, en m'embrassant dans le cou et en s'arr�tant de temps en temps pour m'habituer � la largeur de son sexe. Quand il sent que je suis pr�t, il ressort compl�tement puis la rentre d'un coup, toute enti�re : je me mets � crier, de surprise et de douleur m�l�e de plaisir, et lui commence � me limer en profondeur, ses couilles claquent d'un !
bruit sec contre mon cul, et me prend sauvagement, tr�s silencieusement. Je n'entends que mes cris de plaisir qui r�sonnent dans la cuisine pendant qu'il me laboure consciencieusement, s'enfon�ant au plus profond de mon cul et s'y arr�tant quelques secondes avant de se remettre � faire ses va et vient toujours plus bestiaux. Sa sueur coule de son torse et vient s'�craser sur mon dos, il m'enserre la taille de ses bras puissants, ses mains cherchent ma queue, il la caresse tout en me p�n�trant toujours � coups de bite fermes et virils, je sens sa respiration rauque dans mon cou, il se fait soudain plus haletant et vient se bloquer profond�ment entre mes fesses pour d�charger son foutre dans mes entrailles. Je sens ses gicl�es chaudes qui me remplissent, il refait quelques mouvements en moi puis s'arr�te sans sortir sa queue de mon cul, me d�posant quelques baisers dans le dos, sur le cou, et me caressant les fesses. Je commence alors � me branler et la jouissance ne tarde pas!
: j'envoie mon sperme sur le bois du plan de travail. Voyant cela, il sort enfin de moi et me sourit : " C'�tait super. Merci. " Il se rhabille rapidement, et apr�s un clin d'oeil retourne � son travail. J'enl�ve les traces de sperme qui tra�nent dans la cuisine puis vais prendre une deuxi�me douche, en retenant sur le chemin les coul�es de son jus qui d�goulinent sur mes cuisses. Quand je sors de la douche, il n'y a plus personne.

Le lendemain, je me l�ve avec l'espoir que mon jardinier brun soit exceptionnellement revenu � la place du blond. D�ception : c'est le blond, craquant aussi avec son grand corps muscl�, mais probablement h�t�ro, qui est l�. Je lui fais quand m�me un petit bonjour de la main, puis m'attable, un caf� � la main. Il ne tarde pas � toquer � la porte-fen�tre, et me lance, d'une voix grave : " Il parait que tu offres le caf� ? ". Il accompagne sa question d'un sourire plein de sous-entendus... Je me dirige vers la cafeti�re, mais il m'arr�te en posant son bras sur le mien : " Pas la peine, on va passer directement aux choses s�rieuses ". Et il d�balle aussit�t une �norme bite encore molle ! Je m'agenouille tout de suite pour la prendre en bouche, ce qu'il semble appr�cier puisqu'il m'y encourage en m'agrippant les cheveux pour mettre sa queue entre mes l�ves ; je la l�che, la suce, elle devient dure et prend des proportions incroyables, jusqu'� me remplir compl�tement la bouche. Son g!
land atteint le fond de ma gorge, et il me maintient fermement la t�te pour diriger ma fellation. Il me nique vraiment la bouche sans s'occuper du fait que j'�touffe, et me d�fonce la gorge � grands coups de queue. Apr�s dix bonnes minutes de ce traitement, il me retourne brutalement et me fait mettre � quatre pattes ; je me dis que comme l'autre il va me pr�parer avec ses doigts et sa salive, mais non ! Il place directement sa queue contre mon trou et commence � forcer ! Je gueule, je proteste : " Arr�te ! Tu me fais mal ! ". Mais il n'en a rien � foutre et continue � forcer l'entr�e de mon cul, avant de donner un grand coup de queue pour me l'enfoncer � fond bien violemment. Il se met alors � me bourrer, en me claquant les fesses et en me traitant de salope ; il me baise sans piti� pendant au moins vingt minutes. Je prends maintenant beaucoup de plaisir � sentir son �norme bite qui me d�fonce compl�tement, et le lui fait comprendre en g�missant comme une pute en chaleur, c!
e qui ne tarde pas � le faire jouir dans le fond de mon cul en r�lant. Apr�s avoir sorti sa bite de moi, il me retourne encore et me mets sa queue dans la bouche pour la lui nettoyer, ce que je fais avec plaisir, passant ma langue partout afin de bien avaler toutes les traces de sperme qui restent. Il se rhabille, et sans un mot, sans un regard, retourne au jardin.

Le lendemain, j'en parle au brun qui m'explique qu'il a racont� nos �bats � son coll�gue, puisqu'il sentait bien que j'�tais super chaud... Et comme j'approuve, il me demande � nouveau de lui vider les couilles.
Vous imaginez bien que j'ai pass� le reste de mes vacances � �a...

Pierre

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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