La ruptureNe pouvant pas me remettre enti�rement de la rupture, d'avec mon ami C�dric, je tournais dans mon appartement depuis quelques semaines, ne sachant toujours pas trop quoi faire. En entrant dans une pi�ce de mon appartement, j'ai ouvert un carton que j'avais pos� l�. Dans le carton, il y avait les quelques affaires de C�dric, qu'il n'avait pas encore emmen�. Un tee-shirt avec l'inscription " Je suis ton homme ", une photo o� nous �tions sur une plage, en vacances l'�t� dernier � Mykonos, quelques romans et des objets, dont un briquet, deux bougeoirs, des CD et un DVD. Toute l'�motion que contenait ce carton vint m'envahir. Je suis alors tomb� � genoux, tenant dans mes mains cette photo, me laissant glisser le long du mur, j'ai ferm� les yeux et j'ai revu ces vacances. Tout ce qui a conduit � cette photo. Le soleil, le sable, C�dric, revenant de chez le marchant ambulant avec une demi-past�que. Rien que de revoir dans ma m�moire cette sc�ne me fit pleurer. Un flot de larmes me submergea ne pouvant plus s'arr�ter... J'�tais stupide de me laisser aller � de tels moments de sentimentalit�s. C'�tait faible de ma part... Il m'a ruin� psychologiquement, m'a laiss� me consumer dans mes pens�s, sans ce soucier de mon �tat, sans ce soucier de savoir si la bombe en moi avait explos� ou allait encore exploser... Ayant repris mes esprits, me regardant dans le miroir, je suis all� prendre une douche. Une sonnerie intense se fit entendre. Je coupais l'eau. Je pris une serviette me la mis autour de la taille, en me dirigeant vers la porte de mon appartement. Je n'attendais pas de visite. Ce devait s�rement �tre Julie, elle voulait savoir comment j'allais. J'avais pas r�pondu � ces SMS depuis une semaine, ce qui pour moi n'�tait pas normal... Arriv� devant la porte je regardais par l'espion... personne !! Je n'avais pas r�v�, on avait bien sonn�. Un autre coup d'oeil, toujours personne... bizarre ! J'ouvris la porte et j'eus un sursaut, C�dric se tenait devant moi ! Il s'�tait mis dans l'angle mort de l'espion pour me faire ouvrir. Voulant alors refermer, il bloqua la porte d'une main ferme. Ne voulant pas le laisser entrer, je fis tout pour le repousser. Mais il �tait trop fort pour moi, mes �motions ayant repris le dessus, je ne pouvais pas lutter... Mon corps coll� sur la porte ma t�te remplie de douleur et de chagrin... Une de ces mains me prit le cou, m'immobilisant le visage. Il s'approcha, me fixa de son regard profond, celui qui me fit en son temps chavirer. Il s'approcha encore, me laissant ainsi sentir sa peau � nouveau. Son odeur m'envahit comme au premier jour. Je pouvais presque toucher sa joux de la mienne. Il fit mine de vouloir m'embrasser, me regarda droit dans les yeux et avan�a sa bouche vers la mienne. Ses l�vres ouvertes, laissaient sortir sa langue, qui les mouilla. Mon regard �tait hypnotis� par cette vision. Sa bouche sur la mienne, le m�lange de nos langues. Et me laissa parterre, dans ma serviette. Il se dirigea vers dans la pi�ce ou se trouvait les deux cartons avec ces affaires. Ne voulant pas en rester l� je me suis relev�... Tout en essayant de finir ma phrase je m'�tais dirig� vers lui, voulant encore le frapper. Il bloqua mes bras � nouveau. Me plaqua contre le chambranle de la porte. Sa t�te �tant � nouveau � quelques millim�tres de la mienne. Son regard plong� dans le mien. Et je fis l'impensable. Je l'ai embrass�... Sur la bouche, une fois, puis deux. Ses l�vres n'ayant pas r�agit au premier baiser, mais au second. Il serra de plus belle sa prise sur mes poign�s. Sa t�te cherchant ma bouche pour ne pas arr�ter ce baiser. Ma t�te essayant de le fuir, mais il s'attaqua � mon cou. Non pas le cou, il me fait fondre � chaque fois... Je pin�ais mes l�vres savourant ce contact. Sa prise sur mes mains commen�ait � l�cher. Ses mains se tenant � mes hanches o� ma serviette tenait toujours. Mais d'un geste elle fut balay�e. Il avait vu sur ma bite, qui avec ce traitement �tait en semi-�rection. Pas un regard vers moi, juste ces mains sur mes cuisses et le contact de sa bouche sur mon gland. Puis se fut sur la hampe, sa langue, ces baisers. Elle se dressait en toute beaut�... Il ouvrit sa bouche et la goba. Il fit des sucions douces, lentes et sensuelles... Waouh ! Mieux que quand nous �tions un couple. Il avait pris de l'assurance et de la technique. Sa langue jouait avec ma bite, il su�a, l�cha, goba... Tout un r�gale... Ce salop savait y faire. Il devait avoir eu un autre mec ou a encore ou alors il m'a cach� des choses... Sa langue l�cha mes couilles, je fut pris de frissons, il les goba aussi et mes t�tons durcir de plus bel. De ma main je lui pris le visage et je le ramenai vers le mien. Nos regards se sont alors crois�, nos bouches, nos langues, nos doigts aussi. Je lui su�ai alors ces t�tons, qui durcirent imm�diatement, son cale�on �tait au bord de l'explosion. Je le fis glisser aussi rapidement que jamais. Elle se tenait l�, belle, vein�, sa peau recouvrant l�g�rement son gland. Sans m�nagement je l'ai gob� ! Surpris, il tressaillit ! Il venait de rompre le silence, je mis ma main sur sa bouche... il goba mes doigts, putain le petit salop... il suce bien... Mais moi aussi... Je repris mes va-et-viens sur sa tige, l�chant son pr�puce de temps en temps... il g�missait comme d'habitude. Mon traitement lui plaisait toujours autant. Il passa une main dans mes cheveux avec tendresse, je fermai les yeux et continuai � le sucer, une larme pointait au coin de l'oeil, il passa son pouce dessus et le l�cha. Un frisson passa sur mon dos. Un geste aussi tendre, venant de C�dric c'�tait si impensable... mais il venait de le faire. Je passai aux couilles, un r�gale. Belles, pleines et voulant tout donner. Ma seconde main alla se perdre sur ces fesses, lui malaxant son trou... je voulais lui faire ressentir toute la puissance de mon chagrin. Mais il me fit remonter vers lui et m'embrassa. Me retourna et se colla � moi, me faisant ressentir sa bite entre mes fesses, il l'a fit glisser encore et encore... il m'embrassa le cou, ces mains se baladaient sur tout mon corps, triturant mes t�tons, malaxant mes couilles, branlant ma bite... Merde que c'est bon... Il me fit prendre une position plus ad�quate pour pouvoir me prendre. Sa queue �tait raide comme jamais, mon trou dilat� au possible. Il enfila une capote et m'enfila aussi sec... Je fus surpris, mais la sensation de l'avoir en moi, me fit tout oublier. Il ne m'avait jamais prit. C'�tait toujours moi qui le pilonnais avec d�lectation, malgr� que ce soit lui le maillon fort de notre couple ... Et l�, j'allais de surprise en surprise. Il est de plus en plus tendre, ces va-et-vient plus sensuels, ces baisers aussi. Il me souleva et me porta jusqu'� la chambre et me posa sur le lit � quatre pattes et repris son travail dans mon anus. Sa bite est rentr�e comme dans du beurre. Il me bourra sans retenu et devint lent � nouveau. Ce m�lange me fit tomber vers l'avant laissant ma croupe en l'air. Il malaxa mes fesses, appuya sur sa bite la sortant et la rentrant dans mon trou dilat�. Mon visage laissant appara�tre des traits de plaisirs le suppliant de ne pas arr�ter. Mais il allait exploser, son corps laissant perler cette odeur typique. Ces contractions ne laissaient pas de doute. Il retira la capote et se branla. Il g�mit si fort que je ne savais pas s'il avait mal ou s'il jouissait. Mais les jets que j'ai re�us sur mes fesses et qui coulaient vers ma t�te �taient un bonheur total. Il claqua sa bite sur mes fesses, y laissant la derni�re goutte et massa l�g�rement mes fesses de ses mains. Je sentis tout � coup sa langue entrer dans mon trou qui �tait toujours dilat�. Puis elle se dirigea vers les jets de sperme qu'il avait gicl� sur moi et les l�cha tous sans y laisser une miette... Une vraie salope... Mon envie de le prendre � mon tour devint plus grande... je le repoussais vers le lit � mon tour. Il tomba sur le dos, �carta les jambes, se caressant le corps, me donnant envie. Sa bite �tait toujours aussi dur qu'avant. Il se branlait, se toucha le fion, se su�a un doigt et l'y plongea, il g�missait. Ma bite �tait dure aussi, ne pouvant plus retenir mes pulsions, j'enfilais une capote � mon tour, deux doigts dans son fion et il �tait si dilat� qu'il pouvait y faire p�n�trer ma bite et un gode. Ce que nous faisions de temps en temps. Ma bite allait et venait lentement, je voulais lui faire ressentir ma douceur � le p�n�trer. Avec mon gland je jouais � l'entr�e de son trou et le fis p�n�trer si lentement qu'une troisi�me fois ne fut pas possible, ses mains s'�taient pos� sur mes fesses et m'avaient attir� � lui, me faisant toucher le fond... Cette sensation fut torride, je l'ai alors attir� vers moi et l'ai serr� dans mes bras. Je l'ai embrass� tendrement. Il ressentit cela aussi, puisqu'il me serra avec tendresse et me rendit mon baiser. Il tendit sa main vers le tiroir, en sorti un gode et me le donna. Je le regarde et mets un peu de gel sur le gode et le glisse sur ma bite, tout en le p�n�trant. Il mordit sa l�vre inf�rieure et un rictus de plaisir apparu sur son visage. Mes mouvements de va-et-vient s'amplifiaient. Il g�missait de plus en plus. Il �tait au bord de la jouissance et moi aussi, je sortis le gode et y mis trois doigts, je voulais le toucher dans son trou, sentir de mes doigts le plaisir... Je pris sa bite dans la main, la branla et il �jacula en un rien de temps. Ces jets furent puissants et longs. Son ventre �tait plein de son foutre, chaud et doux. Ma bite allait exploser sous peu aussi. J'avais enlev� la capote et je me branlais aussi. Ma bite gicla de longs jets sur le ventre de C�dric, je jubilais et me convulsais de plaisir. Je me suis couch� sur lui nos corps se touchant et je r�partissais notre sperme entre lui et moi. Il me fit basculer et me l�cha le ventre, l�chant ainsi son sperme et le mien. De surprise en surprise. Nous sommes pass�s sous la douche ensemble et nous, nous sommes branl�s mutuellement. Ce qui m'a �tonn�, c'est que nous n'avons presque pas parl�. Nous avons fait l'amour dans mon lit, avons pris une douche ensemble et n'avons pas �chang� un mot. Des regards, oui, mais pas de paroles. Nos yeux, nos touch�s, nos bouches, nos langues ont eu beaucoup � faire et cela sans mot dire. Nous sommes alors all� nous coucher et avons dormi jusqu'au matin. Cher lecteur, j'esp�re que jusqu'ici ce r�cit vous a plu... Ne sachant pas comme devait finir cette nouvelle, j'ai donc �cris deux fins la premi�re, heureuse, la seconde, triste... Le soleil traversa les persiennes, laissant entr� une luminosit� naissante, les draps �taient froiss�s, je dormais sur le ventre et je tenais entre mes bras mon oreiller, la porte-fen�tre de mon balcon �tait ouverte et le bruit des oiseaux se faisait entendre. Je cherchais de la main C�dric. Il �tait couch� � c�t� de moi, en sentant ma main, il se blottit contre moi, m'embrassa dans le cou, me dit qu'il m'aimait et me demanda pardon et continua � dormir. Le soleil traversa les persiennes, laissant entr� une luminosit� naissante, les draps �taient froiss�s, je dormais sur le ventre et je tenais entre mes bras mon oreiller, la porte-fen�tre de mon balcon �tait ouverte et le bruit des oiseaux se faisait entendre. Je cherchais de la main C�dric. Mais j'�tais seul ! Seul dans mon lit. Il avait du partir alors que je dormais encore, ne voulant pas me r�veiller ou par peur que je lui refasse une sc�ne. Je me suis assis au bord du lit, j'ai fais le tour de ma chambre du regard et j'ai vu les capotes parterre, ce n'�tait pas un r�ve alors, il m'a bais� une derni�re fois... Et j'ai �clat� en sanglots... R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |