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Le rugbyman
Voici une nouvelle histoire v�cue bien excitante.
A cette �poque, j'avais 27 ans et dans la ville o� je vivais, je me rendais r�guli�rement dans une discoth�que h�t�ro. Mais o� les homos y �taient bien accueillis, (voir Mon petit rugbyman).
Moi, les insultes me laissaient de glace. Et mes r�ponses aux " sale p�d� ! " �taient, " sale non, p�d� oui ! ", mais je ne souhaitais pas non plus provoquer ces mecs totalement h�t�ros. Totalement... pas si s�r que �a.
Cette nuit l�, au moment ou la discoth�que ferme, je me dirige vers la sortie, il n'y a presque plus personne. Puis, au dehors, un des rugbymans que j'avais vu � l'int�rieur, m'accoste un peu vivement :
- tu vas o� comme �a ?
�tonn�, je lui dis :
- je rentre chez moi.
- a pied ?
Je le trouve bien curieux mais je lui r�plique :
- oui, je n'habite pas tr�s loin.
- et tu y vas seul ?
De plus en plus surpris, je r�ponds un peu exc�d� :
- oui pourquoi ?
L�, il regarde autour de nous, se rassure que l'on est seuls, se rapproche et me dit :
- je peux venir chez toi ?
Maintenant, la situation est claire, il veut venir chez moi et esp�re s�rement me baiser. Il n'est pas mal physiquement et � l'air s�rieux, donc j'accepte, et il me dit :
- pars devant, je te suis de loin, je ne veux pas qu'on nous voie ensemble.
Donc, je prends la direction de mon petit studio de l'�poque. Pendant le chemin je me retourne plusieurs fois pour m'assurer qu'il me suit.
Je dois avouer que mon corps commence � r�agir. Ma bite commence d�j� � se dresser dans mon boxer et je sens mon anus qui se dilate, s�r de se faire �largir. M�me si je suis actif et passif, je pense que cet h�t�ro veut s'offrir mon petit cul.
Arriv� chez moi, aussit�t la porte refermer, il se jette sur moi et colle ses l�vres sur les miennes. Sa langue force l'entr�e et rentre profond�ment dans ma bouche pour me rouler une pelle, bien trop baveuse � mon go�t. Il continu, tout en se collant de plus en plus � moi. Je commence � �tre tr�s � l'�troit dans mon jean et boxer. Ma bite, au garde � vous, a atteint sa grosseur maximale. Je sens contre ma jambe la queue toute dure de mon rugbyman. Je d�cide d'en d�couvrit un peu plus. Je me met � genoux et baisse son pantalon. Il ne porte pas de dessous et son sexe appara�t bien droit devant mes yeux. Et l�... D�ception, la taille de sa bite n'est pas � la hauteur de mes esp�rances. Je suis m�me vex�, mon cul m�rite beaucoup mieux !
Je me d�cide tout de m�me � la sucer. Ma bouche coulisse habilement sur ce morceau de chair band� l'extr�me. Elle est tellement raide et rouge vif, que j'ai l'impression qu'elle va �clat�e. Lui, en extase devant mon savoir faire, pousse des g�missements si aigus, qu'il ressemble � ceux d'une femme.
Puis il me rel�ve de ses bras muscl�s et se met � me d�shabiller. Je lui fais la m�me chose et je d�couvre un corps superbement taill�, pas trop muscl� juste comme j"aime. La beaut� de son corps me console de la petite taille de sa queue.
Nus, debout, l'un face � l'autre, on se caresse mutuellement. Son torse est admirablement bien dessin�. Je prends beaucoup de plaisir � y promener mes mains. Il semble beaucoup appr�cier ma dext�rit�.
Lui, ne reste pas inactif, il me c�line tr�s agr�ablement avec ses mains sur tout le corps, puis il prend ma queue pour me branler. La d�licatesse de ses caresses me surprend d'un homme aussi baraqu� et viril que lui
Je descends bien vite mes mains, de son dos � son derri�re. Je rencontre une paire de fesses � damner un Saint. Je m'attarde � cet endroit, mes doigts s'insinuent entre les deux lobes de son cul, pour effleurer l'endroit d�fendu. Il se cambre en arri�re, son regard change et devient ardent. Ce gar�on si macho aimerait qu'on lui titille l'anus ?
Mais, il met fin � mes intrusions, se met � genoux devant moi et siffle d'admiration devant ma queue en s'exclament :
- tu as une teub superbe !
Assez fier, je ne fais que r�pondre :
- merci.
Puis, il approche son visage de ma tige, ouvre largement ses l�vres et m'inflige une pipe formidable, tant par son intensit� que par sa douceur. Il s'y prend avec tellement d'habilet�, de d�licatesses m�lang�es, que je me demande si c'est la premi�re pipe qu'il fait. Je me laisse aller � cette satisfaction qu'il me procure merveilleusement avec sa bouche et sa langue.
D'un coup, il stop sa fellation, il se rel�ve et en me regardant avec un regard f�brile, me demande :
- tu as des pr�servatifs ?
Je vois qu'il veut passer aux choses s�rieuses.
- oui, j'ai tout ce qu'il faut.
A ma grande surprise, il se dirige vers mon lit, se couche sur le ventre et d'une voix ferme me dit :
- vient me baisser !
Un peu d�concert�, mais ravi, je ne perds pas une minute. Je sort un pr�servatif de ma table de nuit et l'enfile tr�s vite. Lui, il se cambre et �carte ses fesses avec ses larges mains. Je distingue son anus gonfl� de d�sir. Je saisi une dose de gel, lubrifie abondamment ma queue, qui commence � me fait mal tellement elle est dure. J'enduis son entre fesse du reste du gel, ce qui le fait pousser un r�le de plaisir m�ler d'envie. Puis j'approche ma queue de son trou, je place d�licatement mon gland � l'entrer et pousse pour p�n�trer son canal br�lant. L'op�ration se montre plus compliqu�e que je croyais. Il est tr�s serr� et je dois y mette toute ma force pour pouvoir enfoncer mon gourdin dans son conduit. Je me concentre et lui dit :
- d�tend toi, donne toi, respire fort.
Il souffle tr�s fort, et petit � petit je sens son anus s'ouvrir sous l'effet de ma pression. Enfin, je sens mon gland �largir le contour de son anus. Alors que ma bite rentre dans ce cul qui me semble vierge, il pousse un cri de douleur ou de jouissance. J'arr�te ma progression de peur de l'avoir fait souffrir. Je lui demande :
- je t'ai fait mal ?
D'une voix �trangl� et �touff� il r�pond :
- non, c'est bon �a va ! Mais c'est la premi�re fois que je re�ois une bite. D'autres choses sont d�j� passer par l�, mais c'�tait pas aussi gros.
Je reste �bahi de ce qu'il vient de m'avouer; Il veut � pr�sent une vraie bite dans le cul. Mais est-ce vraiment la premi�re fois ?
- tu veux que je continu ?
- oui va s'y, mais doucement.
Je reprends la progression avec beaucoup de patience et sans heurt.
Apr�s plusieurs minutes, je glisse enti�rement en lui. Et tandis que ma large queue est enserr�e tout au fond de son cul, on pousse tout deux, des soupirs d'extase et de bonheur, comme une d�livrance.
Je commence alors de lents va et vient, qui s'acc�l�res progressivement tandis que nos cris de bonheur vont crescendo.
Mes mouvements sont bient�t accompagn�s par ses fesses qui remuent en cadences.
La jouissance monte en puissance rapidement. Et, apr�s bien vingt minutes de limage intensif, le plaisir atteint son paroxysme quand je mets mets � crier tout mon contentement, tandis que mon sexe crache �norm�ment de jus dans le pr�servatif. Chose surprenante, mon rugbyman est pris de violentes secousses et pousse de longs g�missements de satisfaction ressemblant �trangement � des plaintes.
L'ardeur tombe d'un coup, accompagn� du silence de nos deux corps. On reste quelques minutes sans bouger, rassasi�s de sexe. Je reprends peu � peu mes esprits, me " s�pare " de lui et me l�ve. Il se rel�ve et je vois qu'il a macul� son torse et mon lit d'une quantit� impressionnante de sperme.
G�n�, il baisse la t�te tel un enfant qui a fait une b�tise, puis me dit :
- d�sol�, excuse moi d'avoir sali tes draps.
Je lui r�ponds :
- apr�s le plaisir que tu m'as procur�, tu es totalement pardonn�.
On s'essuie avec du papier absorbant (quelle belle invention), puis il se rhabille.
Et avant de partir, comble de la situation, il m'embrasse goul�ment, puis prend fermement ma t�te ente ses mains et me dit d'une voix mena�ante :
- tu n'as pas int�r�t de raconter ce qui s'est pass�, sinon ...
Je le coupe et r�torque vivement :
- sinon tu me casses la gueule, c'est �a !
Surpris il ne r�pond rien, et je lui dis :
- ne t'inqui�te pas tes copains n'en sauront rien et tu restera pour eux l'h�t�ro macho que tu est.
- h� ! Ne dis pas �a, je n'aime pas !
Pour �viter que j'en dise plus, il m'embrasse longuement une derni�re fois et me quitte, en me lan�ant un :
- ciao !
Je l'ai revu plusieurs fois dans la discoth�que avec ses copains rugbymans, mais malgr� quelques regards furtifs, il ne s'est jamais rien pass� de plus, dommage.
Par contre, v�ridique, j'ai baiss� avec deux autres rugbymans apr�s lui.
Un qui m'a sauter trivialement et qui est parti comme il �tait venu, c'est-�-dire tr�s vite, sans grand plaisir pour moi. Un autre, avec qui �a �tait beaucoup mieux. Un point commun aux rugbymans, c'est la promesse que je dois leur faire, apr�s avoir bais�, est de ne surtout rien raconter � personne. Mais � vous je peux tout raconter.
Seithan
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