Rue La FayetteJ'ai souvent envoy� des histoires � ob.ob5.ru, toutes r�elles et, � ma grande satisfaction, elles ont manifestement �t� appr�ci�es. G�n�ralement, j'y racontais mes vir�es dans les bordels naturistes de Paris, comme, par exemple,. �a baise et �a tire dans tous les coins, �a se suce et s'encule au bar et au sous-sol, le plus naturellement du monde. J'ai 35 ans, brun, 1m73 pour 68 kgs (apr�s un "gros' r�gime : Cyril est t�moin...). Etant tr�s bien pourvu par Dame Nature (bite de 20X7, circoncise, couilles ras�es et pendantes), les mecs veulent le plus souvent que je les encule. C'est le fantasme du TTBM. Je ne m'en plains pas, puisque j'en profite. Sauf qu'apr�s, � moins de poppers ou d'endurance, les salopes couinent que ma pine est trop grosse. J'aime bien d�foncer du petit cul, la sensation serr�e du petit cul, fa�on puceau � d�foncer. Cependant, cette fois-ci, �a s'est pass� diff�remment. En effet, un de mes amis, Marc, ancien militaire reconverti dans la s�curit�, m'a propos� un plan � quatre, chez lui, rue La Fayette. Il a l'habitude des partouzes, petites ou grandes, avec des mecs mari�s, bons p�res de famille, qui s'envoient en l'air en toute d�contraction. Mon pote m'avait pr�venu que je devrai �tre passif et arriver en avance, histoire de me pr�parer la rondelle. Apr�s tout, pourquoi pas jouer les lopes ? Autant varier les plaisirs... Marc est un vrai mec, muscl�, beaux pecs, viril, autoritaire, des couilles rondes comme des balles de tennis et un sexe normal. Il m'attendait en slip blanc et m'a ordonn� tout de suite de me d�saper. Direction la salle de bains o�, apr�s m'avoir enfonc� une canule dans le derche (je l'avais d�j� fait), il m'a � nouveau ras� la chatte anale, le pubis et les couilles � la tondeuse et au coupe-chou. Puis Marc m'a emmen� dans une chambre de son appart, occup�e par un grand lit, recouvert d'une alaise. Marc m'a demand� de me mettre en levrette et de bien cambrer mon cul. Il a commenc� � m'assouplir la rondelle en me la bouffant. Apr�s �a, il a commenc� � gentiment me titiller le trou, y introduire un doigt, puis deux, � me masser la prostate. Il sait y faire : c'est un de ses coll�gues GI qui l'a initi� quand il �tait en op�ration ext�rieure ! Moi, je poussais pour l'encourager. Il a sorti son matos : plugs, godes... Je lui ai demand� d'y aller mollo : je ne suis pas passif tous les jours. Ses potes sont arriv�s � ce moment l� : Roger et Philippe, chacun la quarantaine. Assez trapus tous les deux, le torse poilu, surtout pour Roger. La chambre n'�tait �clair�e que par la t�l� qui diffusait un porno. Dans la p�nombre, les deux ont �t� illico leurs fringues. Je devais avoir l'air fin, la croupe cambr�e, avec un gode viss� dans le fion. Roger m'a donn� une claque sur les fesses : " Alors, c'est lui le petit ? On va lui faire du bien. " Marc a r�pondu que, quand je voulais �tre chienne, je pouvais l'�tre. Roger me palpait les miches, tandis que Philippe passait devant moi, promenant devant ma bouche sa bite qui �tait enserr�e par un cokring en m�tal. Il commen�ait � bander s�rieusement. Sans mot dire, je la lui ai aval�e. Petit � petit, j'ai d�calott� son pr�puce, laissant appara�tre un gros gland, rouge vif et bien app�tissant. Pendant ce temps, Roger s'est foutu une capote et m'a badigeonn� le cul de gel. J'ai compris pourquoi quand j'ai vu son zob. Question longueur, il �tait correct ; mais la largeur, c'�tait autre chose ! Une v�ritable saucisse. Un truc � la circonf�rence �norme. Lentement, il a pouss� son gland. Putain ! Sa grosse verge a suivi et il a commenc� ses va et viens. Il m'avait saisi par les fesses et me tenait presque relev�. Lui-m�me s'�tait mis � croupetons. " Doucement, j'ai pas l'habitude " j'ai dit. Ils ont rigol� tous les trois. " Tu parles ! a dit Roger -Garage � bites ! ;etc... " Avec tout �a, j'arrivais plus trop � sucer Philippe qui lui aussi l'avait bien raide. Marc contemplait le spectacle. Au bout d'un moment, il a propos� � ses copains de trouver quelqu'un � loper. Comme j'avais le fion en feu, malgr� le poppers que je sniffais, j'ai pas dit non ! Marc a fini par choper un mec sur le r�seau qui n'habitait pas loin. Le gonze est arriv� peu de temps apr�s : grand, mince, cheveux blond mi-long en marcel et tongues. Il avait l'air d'avoir un peu fum�. Son attitude soumise a encourag� Roger qui a abandonn� mon cul et qui s'est occup� de celui du blond, avec Marc. Qu'est-ce que le blondinet a morfl� ! Ils l'ont lop� dans tous les sens, lui infligeant m�me une double p�n�tration. J'en croyais pas mes yeux : la profondeur anale du blondinet acceptait d�cid�ment les plus longs pieux de chair ! Pendant ce temps, je me suis remis � m'occuper du gros dard de Philippe. Il avait chang� de cockring, en mettant un en cuir, avec un ball strecher qui tirait ses couilles. Sa queue devenait br�lante. Il a joui en deux longs jets chauds et abondants. Je lui ai soigneusement nettoy� son gland. Quant au minet, Roger et Marc lui ont envoy� la sauce sur la tronche. Une belle �jac faciale. Je me suis fini � la main sur la gueule du minou : mon jus lui coulait sur les joues et le nez. J'ai regard� son trou : il l'avait encore largement ouvert apr�s la saillie... Ces obs�d�s l'avaient bien lim�. Le blondinet s'est �tal� le foutre sur tout le corps et s'est cass�, aussi tranquillement qu'il �tait venu. J'ai m�me cru qu'il partirait � poil avec ses tongues uniquement ! J'ai pris un verre avec Marc, Philippe et Roger. On �tait l� tous les quatre, assis tranquillement � poil dans le salon, � se palucher. Roger et Philippe m'ont un peu racont� leurs aventures respectives. Mais �a, avec tout ce qu'ils m'ont dit, �a pourrait faire d'autres histoires ! ... NicoR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |