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Les routes de campagne

En voiture sur des routes de campagne avec un pote, on a chaud par ce temps orageux. On s'est tous les deux mis torse nu, lui en jean, moi en short ; lui grand, mince mais muscl�, moi plus petit et trapu, torse velu. Une main sur le volant, je me passe l'autre tant�t sur les poils des cuisses, tant�t sur les poils du torse. Ces caresses et l'odeur de sueur qui emplit l'habitacle commencent � m'exciter, mais m�me si j'ai d�j� bais� avec mon pote, je sais pas s'il voudrait l�, maintenant.
Puis, dans un bled, � la sortie d'un tournant, un chantier, deux mecs qui discutent : visiblement le ma�on et le ma�tre d'oeuvre. Evidemment c'est le ma�on qui attire mon regard vu qu'il est baraqu�, la quarantaine, et surtout qu'il est torse nu. Il faut faire vite : clignotant, premi�re � droite, je me gare entre deux b�timents.

- Qu'est-ce que tu fous ? me demande mon pote.
- Faut que je demande mon chemin.
- Je croyais que tu connaissais la route par coeur...
Je suis d�j� sorti de la bagnole et je m'approche des mecs du chantier. Je ne me presse surtout pas, pour profiter de la vue du torse du ma�on : j'ai rarement vu des �paules aussi carr�es et un poitrail aussi d�velopp�, � part chez des mecs qui font de la muscu ; mais lui, c'est de la muscu au naturel qu'il fait : ses bras, ses pectoraux, c'est du muscle ferme et c'est au boulot qu'il se les est d�velopp�s.
- Bonjour, excusez-moi, la direction de Rodez, s'il vous pla�t ?
J'ai fait expr�s de choisir un truc compliqu� pour que �a prenne du temps. Les mecs se regardent, me regardent et par chance c'est le ma�on qui a l'air de conna�tre. Il m'explique que je n'y suis pas du tout et, pour me montrer par o� passer, fait de grands gestes qui font s'agiter tous les muscles de ses �paules, de ses bras, de ses avant-bras et de sa poitrine. Je me suis approch� au maximum et je ne le regrette pas car sa peau couverte de poils bruns exhale l'odeur �cre du mec qui est au boulot depuis 7 heures du matin par temps orageux.
Je fais celui qui ne saisit pas.
- Vaudrait mieux que vous expliquiez � mon pote qui conna�t mieux la r�gion ; il est rest� dans la voiture.
- Je reviens, Ren�, fait mon ma�on en m'embo�tant le pas.
- OK, Manuel, je t'attends.
En cheminant vers la voiture, je lance la conversation.
- Je vois que vous vous �tes mis torse nu, vous aussi. C'est pas qu'il fasse tr�s chaud, mais le temps est lourd.
- Vous savez sur un chantier, de toute fa�on, on a vite chaud.
- En tout cas, �a doit �tre votre tenue habituelle vu comme vous �tes bronz�, lui dis-je en admirant sa peau tellement brune qu'on a par endroits du mal � distinguer la couleur des poils de celle du bronzage, l� o� la toison est la moins �paisse : sur le haut des bras, sur l'abdomen et � la jonction des aisselles et du torse.
- Ben toi aussi on dirait, mon gars, rigole-t-il en me donnant une petite claque sur l'�paule. Sentir la large main chaude et calleuse de Manuel sur ma peau me fait bander � mort et mon short est au bord de l'explosion, ce qu'il a l'air de remarquer, car je vois que son regard me parcourt le torse, de la poitrine au nombril et jusqu'� l'entrejambe. Il a l'air d'appr�cier ce qu'il voit parce qu'il s'attarde plus que de raison notamment sur mes pectoraux couverts de poils ch�tains. J'en profite alors pour me passer une main sur le torse en disant " putain qu'est-ce que je sue ! "

On arrive � la bagnole et mon pote Franck a visiblement compris mon man�ge. Le ma�on s'approche, salue Franck par la vitre et l�ve l'avant-bras pour lui parler en s'appuyant sur le haut de la porti�re : l'odeur de sueur renferm�e dans la bagnole se m�lange � celle qui s'�chappe des aisselles de Manuel et je vois que Franck appr�cie. Pendant que les deux discutent, je m'approche de Manuel pour faire semblant de suivre et, vu que je suis plus petit, je me d�brouille pour coller mon �paule gauche � son aisselle droite et mon bras � son flanc et Manuel ne fait aucun mouvement de recul.

Je me dis qu'il faut passer la vitesse sup�rieure et je m'�carte pour faire mine d'aller pisser entre les deux b�timents. Manuel me suit du regard en continuant � parler avec Franck et n'a pas l'air surpris quand je sors une queue bien band�e. J'entends " attends, je vais pisser un coup moi aussi ", puis un pas lourd et d�cid� et je retrouve Manuel � c�t� de moi qui commence � se d�boutonner. Je lui fais :
- Putain, la bagnole, la chaleur, �a me fout la gaule ; impossible de pisser avec une trique pareille.
- Tu vois, on en est au m�me point, dit Manuel en d�ballant un engin aussi imposant que sa carrure : tandis que ma queue est d�j� au garde � vous, la sienne ne bande m�me pas encore � fond et elle me semble pourtant �norme.

Elle est encore presque horizontale, le gland encore l�g�rement recouvert par le pr�puce, mais la grosse veine du dessus est bien gonfl�e et �a d�gouline du m�at. Je me tourne vers lui, lui attrape la bite d'une main tandis que je balade l'autre dans les poils de son torse. Ma main passe sous son aisselle, le long de son bras, remonte sur la poitrine, descend sur l'abdomen : tout son poil est doux, laineux et tremp� de sueur.

A ma grande surprise c'est lui qui se baisse le premier pour me prendre en bouche. Tandis qu'il gobe mon dard, je l'encourage en p�trissant ses �paules et ses pectoraux � pleines mains. Comme Franck nous a rejoints, Manuel se tourne vers lui, baisse son short et commence � le pomper. Pendant ce temps, Franck se penche vers moi pour me rouler un patin en me caressant le torse. Il sait que j'adore �a alors il me passe la main sous les aisselles et s'attarde sur mes t�tons hyper gonfl�s. Je sais que Franck aime bien mes pectoraux couverts de poils alors je les bande pour lui faire plaisir et pendant ce temps je me branle.

Mais c'est quand m�me pas pour �a que j'ai fait tout ce cirque, alors je dis � Manuel de se relever, je me repaie un passage de mains sur son torse, ses �paules et ses bras en m'attardant sur la fourrure boucl�e de sa poitrine. Puis je lui roule un pelle et me baisse pour admirer sa grosse queue maintenant compl�tement band�e, avant de l'enfourner lentement, centim�tre pare centim�tre.

Je me mets � pomper activement et j'ai le gland de Manuel qui viens buter au fond de mon gosier, tandis que je m'attarde � chaque fois pour bien profiter du moment o� mon nez s'enfouit dans les poils de son pubis : une puissante odeur musqu�e envahit mes narines et je dois me retenir pour ne pas tout d�charger tout de suite. D'autant que Franck continue � me caresser le torse en faisant glisser sa queue entre mes fesses, ce qui d�cuple mon excitation.

Alors je me redresse, je prends Manuel par les �paules et je lui fais signe de s'allonger par terre, pour que je puisse m'occuper en m�me temps de sa queue et de son torse. Manuel est sur le dos, je suis � quatre pattes et je suce Manuel tout en caressant d'une main son torse et de l'autre ses cuisses.

Je ne pouvais que le deviner avant qu'il ne baisse son jean, mais il a �videmment les jambes aussi muscl�es que le buste et je n'en peux plus de sentir la peau chaude et soyeuse de sa bite sous ma langue et la texture ferme de ses cuisses et de ses pectoraux sous mes doigts. Vu ma position, Franck s'est bien entendu mis � genoux et a enfil� la capote qu'il a toujours sur lui, et vas-y qu'il m'enfonce doucement son dard dans le cul.

Mon bonheur est � son comble quand Franck se met � me bourrer � grands coups tout en saisissant ma bite pour me branler. Tout est l� : j'ai une bite dans le cul, une autre dans la bouche, Franck me branle en me caressant le torse et en m'excitant les t�tons ; je n'ai rien d'autre � faire que de profiter du contact des cuisses et du torse de Manuel, de ses muscles et de ses poils, et d'attendre que �a vienne.

Et en l'espace de quelques secondes, la queue de Franck se dilate dans mon cul, la s�ve monte dans le pieu de Manuel, Franck jouit d'un coup, Manuel pousse un r�le, se raidit et me d�charge un flot de sperme dans la bouche pendant que j'inonde de foutre la main de Franck et l'abdomen velu de Manuel.

Gill

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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