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"Un peu de romantisme cela ne fait pas de mal"
Avec un bande de copain de la fac, on avait d�cider de louer un chalet � la montagne pour les vacances d'hiver afin de passer deux semaines au ski � s'�clater, � d�valer les pentes, ...
Et apr�s il y a bien fallu faire toutes les d�marches aupr�s de l'agence pour la r�servation du chalet, des remont�es...............
On est parti relativement t�t le soir, pour arriver le lendemain matin, afin de profiter au maximum de notre s�jour, qui nous a r�serv� quelques surprises, et de tailles surtout pour moi.
A peine arriver sur notre lieu de vill�giature, rentr�s dans le chalet, on a jet� aussit�t nos sacs dans l'entr�e, enfil�s nos tenues, et hop nous voil� sur les pistes. Mais je vous le donne en mille, expert de basse classe que l'on �tait, on �tait plus souvent assis sur la neige, que debout sur les skis, de vrai gamin. Cette journ�e bien remplie, finit de nous achever, par une bonne douche, bien m�rit�e, un bon repas, et hop le dodo. Le lendemain on se r�veillait relativement tard, on s'est pr�par� vitesse grand V, et nous revoil� sur les skis. Comme � notre habitude, on tombait plus que l'on ne restait sur les skis, mais � un moment je n'ai pas su m'arr�ter � temps, pour �viter un obstacle, qui me fit salement chut�. Ce qui devait m'arriver, m'arriva, et boum, j'�tais bon pour l'h�pital. Le m�decin, me banda la cheville, et me dit, bon c'est pas trop grave, mais bon repos total de la cheville pendant 10 jours, et s�ance de kin� pendant 1 mois. Je lui dis, donc je peux faire une croix sur le ski, et oui me r�pondit-il. G�nial, mon s�jour au ski de foutu. Je lui dis, vous avez un num�ro de kin� � me donner, car je ne suis pas de la r�gion. Ce qu'il fit en quelques secondes.
Rentrer au chalet, je t�l�phonais au kin�, pendant que eux les copains �taient reparti ski�, je leur avais dit, allez pas g�ch� vos vacances pour moi. C'�tait un rempla�ant, il avait une voix plut�t agr�able au t�l�phone. Il me dit qu'il pouvait venir d'ici � une demi - heure, un rdv s'�tant annul�. Je lui dis ok, vers quelle heure ? 19h30, parfait.
Les copains eux, s'�tait inscrit pour la descente de la piste de nuit. Je leur ai dit c'est pas grave, allez y. 19h30, arrivait, on sonna � la porte. J'hurlais, qui est ce ? C'est le kin�, entrez, la porte est ouverte. Il rentra, enleva ses skis, son manteau, et vint vers moi. Quelle surprise, je n'ai pas eu quand je l'ai vu. De loin il laissait deviner, quelqu'un d'agr�able � regarder ; mais de pr�s, s'en �tait � tomber par terre. Il me dit, bon donc, expliquez moi un peu plus en d�tail ce qui se passe. Je lui donnais la lettre du m�decin, et lui expliquait par la m�me, toute l'histoire. Il me dit, c'est pas bien grave, c'est m�me plut�t habituel, surtout quand on fait du ski pour la 1�re fois. Et on partit � rigoler.
Il me demanda, d'enlever mon pantalon de ski, je lui ai dit, c'est une combinaison, vous allez devoir m'aider, � l'enlever. Ce qu'il fit avec une extr�me d�licatesse. Je lui demandais apr�s la s�ance, s'il voulait un caf� bien chaud. Il me r�pondit que oui, je sautais sur une jambe jusqu'� la cuisine, et je lui pr�parais son caf�. Il me dit, attendez j'arrive, mais moi t�tu comme une mule, je voulus lui rapporter son caf�, et l�, quand il arriva � ma hauteur, il prit la tasse de caf�, mais malheureusement, je lui fis renverser, l�g�rement sur lui, car je venais de me rattraper � son bras. Je devais rouge de honte. Il me prit le bras, et me dit c'est pas grave. L� un blanc, se passa, nos regards, se croisait et se troublait. On �changea, un baiser furtif, mais agr�able. Il me demande, quand est ce qu'il pouvait venir pour la prochaine s�ance, je lui dis apr�s demain, m�me heure. Il me dit ah ben oui, pourquoi pas ?
Le surlendemain arriva, et mon kin� fut pile au rdv. Je lui ouvris la porte, et il me demanda, alors, cette cheville, comment va t'elle ? Je lui r�pondis, bien, vous avez fait des miracles docteur. Je fermais la porte. Notre s�ance commen�a, et bien sur, j'avais le droit au massage de la cheville, et du bas de la jambe. Ce qui me procura un l�ger soupir et frisson. Je lui dis, la s�ance finit, si vous voulez, l� il me reprit, et me dit, tu peux me dire tu. Ok, donc si tu veux tu peux rester � manger, � moins que ta femme ne t'attende. Il partit � rire, et je lui demandais pourquoi ? Et bien, tu ne te rappelles pas hier soir, on s'est l�g�rement embrass�, je lui dis oui, mais bon cela n'engage � rien. Il me dit, bon ben si pour lui. AH, ok, pourquoi pas apr�s tout. Donc est ce que tu restes manger ou pas ? Il me dit, ben et tes copains, ils sont pas l�, je lui dis non, cette bande de l�cheur, est partis faire un tour en ville. OK, je vais t'aider � pr�parer le d�ner. Le d�ner fut tr�s simple, mais devant des chandelles, avec un peu de champagne. Je lui dis, tant qu'on est dans le romantisme, vu notre lanc�e, je lui dis et bien, prenons, un bon caf�, mais devant la chemin�e. Il me dit wow, je lui dis et oui, c�t� fleur bleue.
On prenait un caf�, et bien sur, au bout d'un moment forc�ment, on s'est �chang� un baiser. Plut�t agr�able ? On venait de finir notre caf�, que l'on posait � peine nos tasses, et voil�, on recommen�ait � s'embrasser, mais l� de plus en plus longuement, et en �changeant des caresses. Il me dit c'est la 1�re fois que �a m'arrive, draguait un patient, ben disons que je t'ai fait aussi du rentre dedans, comme on dit. Il dit c'est vrai. T'es choqu�, il me dit, tu vas voir si je suis choqu�, et l� il m'embrassait fougueusement, en enlevant d�licatement, le maillon que j'avais mis. Il m'embrassait sur tout le corps, un pied d'enfer que j'�tais entrain de prendre. Il me dit, tu veux que je te.. suce, je lui dis tu veux ? Avec un l�ger sourire. Et l� ce fut des plus m�morable.
Par la suite, comme j'�tais blesser, il se mit nu devant moi, � genoux, pour que je le suce � mon tour. Il me tendit une capote, et me dit je peux ? Je lui dis oui, et l� il m'enroula doucement la capote, pour ensuite venir s'asseoir sur moi, et commencer un long va et vient. Je ne r�sistais pas longtemps � tous cela, et je d�chargeais sur son dos muscl� et bronz� � la fois par le ski. Il se retira, se masturba sur mon torse, et vint d�charger un liquide chaud et agr�able au toucher, sur mon torse. On s'essuya mutuellement, puis on se rhabilla. On se quitter sur un baiser, doux et chaleureux. Et on recommen�a cela � chacun de nos s�ances de kin�. Mettant dehors sous un faux pr�texte les copains dehors, pendant sa venue. Il me laisse un agr�able souvenir de vacances, d'ailleurs, on doit se revoir la semaine prochaine, chez moi.
Comme quoi, un peu de romantisme, n'a jamais fait de mal.
Story
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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