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Au bord de la rivi�re

C'�tait l'�t� dernier, en Ard�che.
La saison �tant propice aux exhibitions, je venais de me faire une super �pilation intime dans les moindres recoins, avec un super rasage en "V" sur le pubis.

A chaque fois c'est la m�me chose quand je m'�pile, quand je sens l'air frais me glisser entre les cuisses, mes fesses se cambrent, mes muscles se rel�chent, mes doigts se retrouvent irr�m�diablement en train de me fouiller, c'en est trop !!
Direction la rivi�re, je pr�pare mon sac, et me voila parti, j'ai h�te d'y arriver.
Je gare ma voiture, et je m'engage pour 20 minutes de marche dans les sentiers pour atteindre le lieu des rencontres propices.

Un petit tour du propri�taire pour rep�rer : peu de monde, �a n'est que le d�but de l'apr�s-midi, il faut se montrer patient, mais, alors que je me dirigeais vers un endroit confortable pour �taler ma serviette, je vois sur ma gauche un monsieur, allonge sur le dos, qui me fixe derri�re ses lunettes de soleil, environ 45 ans, m�me allong� on devine facilement sa stature puissante et lorsque ma vue se fixe sur son entrejambe, mes yeux sortent de leur orbites, j'en suis bouche b�e, ses jambes l�g�rement �cart�es exhibent fi�rement un sexe d'une taille �norme reposant sur une paire de couilles g�n�reuses que j'imagine gorg�es de sperme bien cr�meux.
C'est pas possible !! Quel instrument !!
A cette seconde, je ne sais plus quoi faire, ma langue se coince sur mes l�vres, j'ai peur de l'approcher, si ce n'�tait qu'un naturiste venu prendre un bain de soleil, vu sa carrure, �a pourrait �tre dangereux de se tromper.

Je pressais le pas, le cerveau bouillonnant � 100 � l'heure devant ce que je venais de voir, il fallait que je me le fasse, je me voyais d�j� en train de gober son superbe gland. Ses couilles lourdes �taient bien charg�es, il �tait hors de question que je manque une occasion pareille de lui faire cracher la pur�e jusqu'a la derni�re goutte !!!

Tant pis, je vais m'allonger un peu plus loin, et hors de sa vue.
Etale sur le dos, les attributs bien en �vidence, j'offrais aux mateurs voisins la vue de mon pubis fra�chement ras� dont j'�tais tr�s fier.
Un quart d'heure plus tard, en tournant la t�te au-dessus de moi, je vois mon �talon, perch� sur un rocher, mon regard l'a surpris, il �tait brusquement sa main droite de son sexe qu'il venait de d�calotter, puis il s'en est retourn� sans plus attendre.

Je me rhabillais imm�diatement, ramassais mes affaires et d�cidais d'aller le rejoindre.
A quelques m�tres de lui, � nouveau sur sa serviette, je d�posais mon sac, j'�talais ma serviette, quittait mes v�tements, et en lui tournant le dos, je faisais lentement glisser mon string le long de mes fesses rebondies en le descendant le long de mes jambes pour lui faire entrevoir clairement o� il fallait qu'il ... vienne me le mettre tout entier !

C'est toujours un challenge pour moi de me faire enculer par de tr�s grosses bites, �a peut souvent faire mal, mais �a excite terriblement mes partenaire sur le plan visuel de fourrer leur �norme chibre dans un petit cul comme le mien, la diff�rence de gabarit est �norme, et �a semble vraiment obsc�ne.
De taille, il me rappelait un �tudiant black aux mensurations enfl�es qui m'avait fait d�licieusement souffrir sur le balcon de sa chambre en cit�e U.

Avec ces chaudes pens�es, je me passais du mono� a la vanille sur le corps, massais quelques secondes ma bite qui avait commenc� ;� grossir un peu puis m'allongeais sur le cot�.
Une jambe l�g�rement relev�e, j'attrapais mon flacon pour faire tomber quelques gouttes sur mes fesses, puis d'un geste lent, j'�talais le liquide sur mes fesses luisantes tout en fixant dans les yeux celui que je j'esp�rais �tre mon futur �talon.
Mes doigts s'attardaient sur les contours de mon anus, j'�cartais encore plus les cuisses, �tant fermement d�cid� � lui montrer comme ma peau �tait super lisse, histoire de lui laisser comprendre son int�r�t � y frotter sa belle queue.

Mon inconnu ne perdait pas une miette du spectacle, une fois fini, j'avalais une gorg�e d'eau fra�che, je me relevais, m'approchais de lui en lui faisant mon plus gracieux sourire et lui demandais :
" S'il vous plait Monsieur, je peux vous l�cher les couilles ?? "
;L� dessus, il parut un peu surpris devant mon ton direct, et ne me r�pondait pas, ses yeux exprimaient une surprise totale, je m'agenouillais devant lui en posant mes mains sur ses cuisses et en les pressant l�g�rement vers l'ext�rieur pour lui faire comprendre qu'il devait les ouvrir un peu plus, je m'avan�ais un peu et tout en le fixant droit dans les yeux je refermais ma main gauche sur son �norme paquet surprise tendis que ma main droite saisissait la hampe de son sexe. Il �tait lourd, je soupesais avec d�lice le joyau qui allait me d�foncer la rondelle pour peu que je m'y prenne bien avec lui.

Je salivais comme un pitt-bull devant un morceau de viande, quelques va-et-vient le long de la verge et je gobais le gland de mon male avec la ferme intention de ne pas le l�cher avant de l'avoir mis sur les rotules, son sexe grandissait dans ma bouche, j'en avais plein les m�choires, �a grossissait encore et son sexe pointait vers le ciel aussi dur que de la pierre, pour le remercier, je mordais dans ses couilles en jubilant � cause du sperme qu'elles renfermaient, ma langue l�chait avec gourmandise sa bite sur toute sa longueur, je frottais son sexe contre mon visage comme pour m'impr�gner de son odeur et r�-enfournais sa verge de plus belle au fond de ma gorge, ma salive d�goulinait le long, j'acc�l�rais le mouvement de ma main et le su�ais de plus en plus vite � grande amplitude.
" Comme �a ? Vous aimez Monsieur, je vous suce bien ?
plus vite ? .. ou plus fort ? Votre bite est splendide Monsieur !
Qu'est-ce qu'elle est grosse !!! "

Mon amant tentait de s'agripper contre les rochers en serrant les dents et en g�missant, la torture �tait d�licieuse et je le tenais en mon pouvoir. Tout en lui administrant une bonne pipe qui ne devrait s'arr�ter qu'apr�s lui avoir bien essor� les couilles, je r�vais � cette queue qui allait me ramoner le cul et ma rondelle commen�ait � s'entrouvrir comme pour r�clamer son d�.

Ca tombait bien, car mon inconnu me saisi la t�te entre ses grosses mains pour me stopper, claqua une main sur mes fesses en les approchant de lui, il se mit � genou derri�re moi, me for�ant � me courber en avant et � cambrer les fesses vers le haut.
" Tu vas d�rouiller petite salope, tu vas voir ce que je vais te mettre ! "
" Oh oui mon bon Monsieur, faites moi voir, j'ai envie de voir, faites moi voir ce que vous savez faire avec votre gros chibre. Vous allez me p�ter le cul ? "
Mon male dominant posait ses mains sur mes fesses, il les �cartaient largement, et dans une seconde, je fondis de plaisir, sa langue venait s'affaler sur ma rondelle dilat�e, il salivait comme un fou, il la plongeait dans mon anus qui lui laissait tout le passage possible, j'avais de la salive plein le cul, �a d�goulinait le long de mes fesses, je g�missais comme une chienne, je bandais comme un �ne.
" Tu aimes bien me bouffer le cul mon salaud ? hein tu aimes �a ? "
Je reculais sur son visage pour forcer sa langue � me p�n�trer, c'�tait trop bon.
" J'adore te l�cher le cul sale pute ! Qu'est-ce que c'est bon ! Qu'est-ce que t'es bonne sale garce !! "

Devant ces d�clarations encourageantes, je d�cidais de le maintenir en position de force pour me faire tringler bient�t.
Je me couchais sur lui en 69 en lui offrant mon cul � besogner encore tendis que je le pompais pour maintenir sa verge au top niveau, ce qui n'�tais visiblement pas la peine vu la raideur de l'engin. Je saisis une capote, la d�roulais lentement le long de sa queue tout en la flattant comme je savais le faire.
Une anxi�t� me traversa l'esprit, l�, j'allais avoir mal, je comprends toujours pas pourquoi je persiste � courir les grosses bites de ce calibre car �a fait souvent un peu mal, mais le plaisir est trop bon quand �a commence � glisser.
Je faisais un demi-tour en un �clair, une main entre mes jambes, je plongeais un doigt dans ma rosace, je le regardais fixement et lui dis :

" ENCULE MOI ! PREND MOI BIEN A FOND ! J'ADORE AVOIR MAL AU CUL APRES AVOIR BIEN BAISE. "

Il pris place derri�re moi, et appuya son gland �norme � l'entr�e me mon anus. N'y pouvant plus, je saisissais sa bite � pleine main et faisais lentement rentrer dans mes entrailles, je continuais � bander comme un fou, je marquais une courte pause pour souffler, fermais les yeux, rel�chais mes muscles fessiers, et d'un coup puissant, je jetais mon cul en arri�re pour engloutir sa matraque en totalit�.
L'effet fut imm�diat, presque violent, j'entendis le claquement fort de ses couilles contre mon cul, je me sentis presque d�faillir, mon esprit voyait des �toiles � cause de la violence de l'intromission.
Quelques va-et-vient dans sa salive m�l�e � ma sueur, et c'�tait l'extase, je savourais chaque centim�tre de sa queue venir me remplir le cul, j'�tais litt�ralement �cartel�, qu'est-ce que c'est bon, je g�missais bruyamment.
" VAS Y MON CHERI, FAIS MOI L'AMOUR, CASSE MOI LE CUL !!! "

Je me faisais poss�der comme une femelle en Ruth et j'encourageais mon male dominant.
Une voix se fit retentir :
" LOOK ! TWO GUYS ARE FUCKING !! OH MY GOD ! LOOK AT THIS !! "
2 randonneuses venaient de stopper � quelques m�tres de nous.
Mon m�le reproducteur me tenait fermement par les hanches et m'administrait de grands coups de bite, trop tard pour aller se cacher.
Les 2 femmes avaient environ 35 ans et peut-�tre 40 ans pour l'autre, peut-�tre des hollandaises, je ne sais pas, l'une d'elle un peu forte s'approchait de nous en appelant sa copine " Look !! " et elles se marraient en nous regardant.

Mon �talon pas g�n� pour un sou se mit � califourchon derri�re moi, ses jambes enserraient les miennes, et ses mouvements devinrent encore plus grands, je sentais ses couilles frapper puissamment contre mon cul, je n'�tais plus qu'un pantin qui suivait ses mouvements, la randonneuse qui s'�tait approch�e fit tomber son short et sa culotte en moins de 10 secondes, elle s'accroupit devant moi en saisissant mes cheveux sans managements et en collant mon visage contre sa chatte poilue qui commen�ait � perler et me l�cha " LICK ME, FUCKING SLUT !!"
Moi, j'avais la bouche grande ouverte, l'extase et la fatigue ne me permettaient pas de renoncer, je me faisais ramoner le cul par une bite super large qui maintenant sortait de mon cul et y re-rentrait sans m�nagement. La randonneuse se branlait le clito d'une main tout en m'�crasant sa chatte sur la bouche pour que je la l�che, elle me couvrait le visage de sa mouille, mon �talon y allait de plus belle, ce jour la, on ne sera pas pass�s inaper�us, apr�s avoir joui sur mon visage, elle finissait de s'astiquer le clito, appuy�e contre sa copine arriv�e en renfort qui lui massait les seins � travers son tee-shirt, puis elle se releva face � moi, me tira par les cheveux pour me pisser dans la bouche.

Ca a d� �tre le d�clencheur c�r�bral de mon besogneur, il se releva brusquement sans m�nagement me mettant litt�ralement la rondelle en feu, a peine eu-je le temps de me retourner que j'entendis le claquement du pr�servatif qu'il venait d'arracher, en un quart de seconde ma bouche b�ante se jeta sur la bite de mon amant, mes l�vres n'eurent m�me pas le temps de toucher les gland violac� de mon ch�ri, une puissante gicl�e de sperme me frappa au fond du palais et me stoppa net, a peine eu-je le temps de me remettre de ma surprise qu'un deuxi�me flot m'�claboussa le visage, puis un troisi�me, j'empoignais fermement mais s�rement le chibre de mon bienfaiteur pour le vider compl�tement, c'en �tait trop, malgr� mes efforts, je n'arrivais pas � tout avaler !!

Le sperme d�goulinait le long de ma bouche, chacun de ses spasmes m'inondait, quand je reprenais ma respiration, une autre gicl�e abondante me souillait le visage.
Le r�le de mon ch�ri m'annon�ait la fin de nos �bats, je reprenais ma respiration une nouvelle fois et m'appliquais � finir de l�cher la bite pleine de sperme de cet amant exceptionnel, lequel allait et venait lentement dans ma bouche en donnant des va et vient, je gardais une main sur sa queue tendis que mes doigts recouperaient la semence qui coulait le long de ma bouche pour l'engloutir, pas question de laisser une seule goutte de ce nectar gluant et chaud dont je me d�lectais et c'�tait bien la moindre de choses pour remercier mon bienfaiteur.
Les randonneuses nous regardaient, p�trifi�es, choqu�es, je ne sais pas.

Je les regardais en souriant, tout fier de m'�tre fait sodomiser par un homme aussi puissant.
Malgr� ce que je venais de subir, j'en avais encore envie, mon anus en redemandait, je le fis savoir � mon male dominant qui, tr�s attentionn� m'enfon�ait 2 doigts dans ma rosace dilat�e pour me masser.

Il me fit promettre de venir le lendemain � son domicile, pour une surprise qu'il me r�servait, ce que je fis et que je raconterais plus tard quand j'aurais le courage de l'�crire.

Marco

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