Cyrillo

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Risque d'incendie

Pascal est pompier en Corse ; c'est un beau petit Corse, pas grand, trapu, larges �paules, torse puissant, bras et cuisses d'acier. Il est d'astreinte pour surveiller une zone � fort risque d'incendie : on est en plein �t�, il est dans son camion gar� sur un terrain d�gag� surplombant le maquis. Il fait une chaleur caniculaire dans le camion. Pascal est en sueur, son uniforme commence � se tremper sous les aisselles, dans le dos, et sur le haut de la poitrine. " Qu'est-ce qu'on cr�ve ", fait-il � son coll�gue. " Tu l'as dit, r�pond le coll�gue, et qu'est-ce qu'on s'emmerde. "

Comme tout bon Corse, Pascal n'aime pas transpirer dans ses fringues quand il fait chaud ; les autres m�diterran�ens, les Italiens, les Espagnols..., ils endurent la canicule sous les �paisseurs incroyables de fringues ; pas les Corses. C'est comme s'ils ne supportaient pas de mouiller la chemise : d�s que la temp�rature monte, �a se met torse nu. Les ouvriers sur les chantiers, les mecs � v�lo, les livreurs : tous torse nu. M�me les gars qui installent les terrasses de caf� avant l'ouverture : plut�t que de salir leur belle chemise de service, ils installent la terrasse torse poil pour transpirer � l'aise.

Bref, Pascal n'en peut plus et d�fait un bouton de col pour laisser passer un peu d'air, puis un deuxi�me, qui laisse appara�tre quelques poils noirs dans l'encolure de la chemise. Ca fait longtemps qu'il a vir� le blouson et il commence � trouver que, m�me en manches courtes, il cr�ve encore de chaud. Alors il d�fait encore deux boutons et sa chemise est � moiti� ouverte.

- T'as qu'� te foutre torse nu tant que t'y es, lui lance le coll�gue.
- Quoi ? Ca craindrait, tu crois, si je me mettais torse nu ?
- C'est pas franchement la tenue r�glementaire, disons !
- En attendant on cr�ve, �a m'emp�chera pas de surveiller et si �a crame, j'aurai bien le temps de me rhabiller.

Tout en disant ces mots, il d�fait bien vite les boutons restants et �te sa chemise, soulag� de sentir enfin le peu d'air qui souffle lui parcourir le torse. Il place la chemise sur le dossier du si�ge et se r�installe, pose la t�te sur l'appuie-t�te, ferme un instant les yeux et se passe une main sur la poitrine, tremp�e de sueur. Quand il rouvre les yeux, il croise le regard du coll�gue fix� sur son torse.

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien, je trouve que �a craint.
- Essaie et tu verras si �a craint ou si c'est bien, dit Pascal en se caressant le torse.

Une demi-heure passe o� Pascal continue � se passer de temps en temps une main dans les poils de la poitrine et o� le coll�gue �tudie par moments son torse nu : pectoraux rebondis couverts de poils noirs fris�s, larges t�tons bruns, un filet de poils qui descend vers l'abdomen et s'�vase au dessus du pubis. Le coll�gue n'en peut plus, vire la veste qu'il avait ouverte il y a longtemps et d�fait un � un les boutons de sa chemise : elle est maintenant grande ouverte sur un torse muscl� et bronz�.

- T'en as trop fait ou pas assez ; allez, fous-toi torse nu, comme �a si le capitaine d�barque on lui dira que c'�tait vraiment pas supportable comme chaleur.

Le coll�gue ne se fait pas prier, retire la chemise et finit de se mettre torse nu. Pascal l'observe d'un air approbateur :

- Eh ben voil�, tu vois. Mais dis-moi, t'es vachement bronz�, en fait !
- Ben tu sais, quand tu viens du Continent, la Corse, la mer, la plage, t'en profites quoi ; moi, d�s que j'ai un moment je vais � la plage.
- En tout cas, tu fais pas que te bronzer la couenne � la plage, on dirait : tu nages beaucoup, non ? fait Pascal en observant la musculature g�n�reuse de son coll�gue.
- Ouais, pas mal, pourquoi tu dis �a ?
- Parce que �a se voit : t'es vachement baraqu�, t'as des bons muscles, surtout l� et l�, dit-il en posant successivement la main sur les pectoraux et l'�paule du coll�gue. Tu vois moi, je m'emp�te...

Pascal se passe une main sur le ventre, o� appara�t � peine le d�but d'un bourrelet, tandis que son coll�gue reste un peu interdit apr�s son geste. Son regard passe de son propre torse � celui de Pascal : il jauge sa musculature, le grain de sa peau, sa pilosit�... imagine Pascal en train de se taper une nana, la fille lui caresse le torse en s'attardant sur la toison de sa poitrine, lui suce la queue en g�missant, lui offre son trou � bourrer, Pascal la saisit d'un bras vigoureux, muscles des avant-bras tendus sous la peau bronz�e et velue, il la ramone consciencieusement, muscles du torse band�s, la sueur coule le long de ses flancs, sur sa poitrine, se perd dans les poils, un frisson lui parcourt le dos et le torse quand il est sur le point de jouir, ses poils se h�rissent... Le coll�gue commence � triquer dur.

- Tu vois, poursuit Pascal, �a commence comme �a, je devrais faire des abdos plus souvent.
- Ca se voit � peine, parvient � articuler le coll�gue.
- Tu parles ! T�te un peu, tu vas voir si j'ai pas un bourrelet.

Il lui saisit la main et la pose sur son abdomen. Le coll�gue t�te en effet la chair souple en surface, ferme en profondeur, la peau est douce, il appr�cie le contact des poils l�g�rement humides de sueur et s'enhardit.

- Ouais, c'est vrai, mais je suis s�r que �a fait pas fuir les gonzesses, hein ? Quand elles voient �a, elles doivent craquer, non ? dit-il en remontant la main le long de l'abdomen de Pascal pour la poser sur le haut de son torse nu, muscl�, velu.
- Ah, l�, c'est vrai qu'elles aiment, les gonzesses ! l�che Pascal en riant. Mais dis-moi, tu te d�brouilles pas mal aussi, je suis s�r, petit salaud : regarde-moi �a, t'as une belle gueule, t'es muscl� comme tout, t'as m�me la moquette et tout.

Alors que le coll�gue vient � peine d'enlever la main de son torse, Pascal pose la sienne sur le galbe g�n�reux des pectoraux couverts de poils ch�tains du coll�gue, qui n'en revient pas : d�cid�ment les choses prennent une tournure inattendue ; c'est le moment o� jamais :

- Ouais, c'est s�r que quand je me fous torse nu elles en peuvent plus : on dit que les meufs aiment pas les poils, mais moi, je peux te dire que si, elles en redemandent ; t'es s�rement d'accord avec moi, vu ce que t'as comme moquette - Pascal hoche la t�te -, mais ce qui les rend vraiment dingue, les gonzesses, c'est �a, dit-il en commen�ant � d�faire le bouton et la braguette de son pantalon.
- Le ouf, il va me montrer sa queue, maintenant !

En effet, le coll�gue ouvre largement son pantalon et en sort une teub d�j� bien band�e aux proportions flatteuses.

- J'y crois pas : y a deux secondes il voulait pas te foutre torse nu et maintenant il me montre sa bite !
- Avoue qu'avec �a, elles sont pas d��ues, les meufs, fait-il en soupesant son propre braquemart.
- Mais t'es circoncis ou quoi ?
- Ben oui, je suis juif : Samuel Cohen, t'avais pas tilt� ?
- Non, en tout cas, j'en ai jamais vu une circoncise. Mais c'est vrai que tu te d�brouilles pas mal c�t� taille !
- Et encore je bande pas compl�tement... allez � toi, fais voir... - Arr�te tes conneries... - Mais si, allez, on est entre mecs : en plus, moi j'en ai jamais vraiment vu de pas circoncise !

Apr�s une h�sitation, Pascal s'ex�cute, d�fait sa braguette ; comme il porte un slip, il doit soulever son cul pour descendre pantalon et slip jusqu'� mi-cuisse.

- Pas mal, fait Samuel ; et quand tu bandes, �a d�calotte le gland ?
- Ben ouais...
- Fais voir.
- Ben attends, c'est pas sur commande !
- OK, je vais t'aider.

Avant que Pascal n'ait eu le temps de protester, il lui saisit la queue, commence � la masser ; elle n'�tait d�j� qu'� demi molle, il la soup�se. " Elle est bien lourde ; comme la mienne : vas-y soup�se la mienne. " Il saisit la main de Pascal et la lui pose sur sa propre bite. Pascal n'a pas le choix, soup�se tandis que Samuel le branle pour de bon. La queue de Pascal est longue et charnue, d'une belle couleur fauve, la hampe est fortement vein�e et le gland sombre commence � suinter.

- Ca commence � venir, dis-moi, fait Samuel : c'est vrai que quand tu bandes �a d�gage le gland.
- J'ai jamais touch� la queue d'un autre mec... fait Pascal.
- Eh ben tu te d�brouilles bien pour un d�butant ! lance Samuel en commen�ant � caresser le torse de Pascal.

Il lui passe la main dans les poils de la poitrine, descend sur le ventre, pince l'imperceptible bourrelet, rit un coup, remonte vers le poitrail et se risque � caresser un t�ton : Pascal laisse �chapper un soupir et un grognement. " C'est gagn�, " se dit Samuel.

- Mais dis-moi, c'est que tu mouilles, dit-il.
- Ouais, je sais, �a surprend les meufs des fois, mais j'en ai eu une une fois qui m'a dit qu'il y a plein de mecs en fait qui mouillent et qu'elle pr�f�re, c'est plus agr�able, dit Pascal qui a cess� de branler son coll�gue, mais n'a pas l�ch� sa teub, maintenant band�e � fond.
- Et �a, tu te l'es d�j� fait faire ? dit-il en approchant sa bouche du sexe de Pascal pour lui l�cher le gland, la hampe, puis les boules, ce qui arrache un r�le de surprise et de plaisir � Pascal. On dirait que non, reprend Samuel entre deux coups de langue.

C'est le moment de passer � la vitesse sup�rieure : Samuel gobe carr�ment le sexe de Pascal, la mouille qui suinte du m�at lui remplit la bouche d'un go�t � la fois �cre et doux. Il donne un coup de langue � chaque passage, si bien que Pascal se tortille et geint � chaque fois.

- Oh putain, j'y crois pas... hh... il me suce, ce con... aahh... arr�te-toi, c'est pas possible... aah... putain, mais arr�te je te dis... ouuuh... putain qu'est-ce que tu suces bien, t'as appris �a o�... hh... - Branle-moi plut�t, fait Samuel qui a quitt� le manche de Pascal un instant pour venir lui l�cher goul�ment les t�tons.

Ils sont perdus dans les poils, sa salive mouille la toison de Pascal qui lui gratte la langue, il trouve le t�ton, charnu, lisse sur le tour, dur au milieu, il fait le tour du t�ton avec la langue, titille le bout, gobe le tout avec les l�vres, mordille l'extr�mit�, gobe � nouveau l'ensemble, repasse un coup de langue g�n�reux, avant de redescendre lentement vers la queue en l�chant au passage la peau du torse et de l'abdomen de Pascal que recouvre une belle �paisseur de poils boucl�s. Pendant ce temps, c'est sa main qui s'est occup�e du sexe de Pascal, reproduisant les mouvements que celui-ci fait sur sa propre queue.

Samuel a repris sa pipe, la queue de Pascal a pris toute sa grandeur et lui remplit bien le gosier, il alterne succion du gland et gorge profonde ; Pascal semble appr�cier puisqu'il g�mit, r�le et jure � chaque coup. " Putain, tu suces mieux qu'une meuf... hh... " fait-il en continuant � branler le chibre de Samuel comme si c'�tait le sien. Un bruit de pneus sur les graviers, un coup d'oeil dans le r�tro du camion : Pascal aper�oit la voiture du capitaine.

- Merde, il arrive ! crie Pascal.
- Merde, le capitaine, c'est lui ! s'exclame Samuel.
- Putain, c'est pas possible, tu fais chier, on est dans la merde.
- Ta gueule, le voil�, remballe tout !

Le capitaine arrive � leur hauteur avant qu'ils n'en aient eu le temps. Le camion �tant sur�lev�, il ne voit que leur torse nu. " Qu'est-ce que c'est que ce merdier ? Vous vous foutez de la gueule de qui ? Toute l'�le pourrait cramer, vous, vous �tes l�, torse poil... mais, mais qu'est-ce que vous foutez d'abord ? " hurle le capitaine en s'apercevant que les deux mecs tentent de remballer leur queue dans leur froc. Il ouvre la porte du camion et d�couvre ses deux hommes la queue � demi ramollie.

- Non mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Non seulement vous vous foutez torse nu pendant le service, mais vous vous BRANLEZ ?
- Capitaine, un pari idiot, r�pond Samuel... - Tu parleras quand on te donnera la parole ! Dans deux secondes vous allez me dire que vous �tiez en train de vous tailler des pipes ou quoi ? Cohen, des explications !
- C'est un pari idiot, Capitaine, il faisait une chaleur � crever, Capitaine, alors on s'est mis torse nu en se disant qu'il n'y avait pas de civil aux alentours pour nous voir et que s'il y avait une alerte on aurait le temps de... - ET LES REGLES DE PORT DE L'UNIFORME C'EST POUR LES CHIENS ?
- Non, Capitaine.
- Et �a m'explique pas ce que vous foutez la queue � l'air !
- C'est qu'on s'est mis � parler gonzesses, Capitaine, c'est �a le pari idiot : j'ai mis Carlotti au d�fi en lui disant que j'en avais une plus grosse que lui...

Le capitaine l'interrompt d'un rire cruel en d�taillant l'anatomie de ses hommes.

- Je veux pas vous vexer, Carlotti, mais je crois que Cohen a raison... en attendant, je vais devoir faire un rapport et je peux vous dire que �a va pas rester sans suite cette affaire.
- Capitaine, s'il vous pla�t, dit Pascal, pas de rapport, je vous en supplie.
- Vous faites moins le fier, Carlotti, on dirait ; vos proportions s'en ressentent, d'ailleurs, ricane-t-il en avisant le membre de Pascal qui s'est effectivement ratatin�. Vous par contre, Cohen, �a a pas l'air de vous d�plaire cette affaire si j'en juge par votre �tat, fait-il en d�signant l'�rection de Samuel qui reprend.
- C'est la situation, Capitaine, nous deux quasi � poil, torse nu et la bite � l'air, et vous en uniforme qui nous rappelez � l'ordre...

Samuel ne peut s'emp�cher de se toucher la queue en disant �a et il observe que le capitaine a marqu� un temps d'arr�t.

- Eh bien si vous prenez les choses comme �a, Cohen, on va essayer de s'arranger ; d'accord, Carlotti ? Je fais pas de rapport mais il va falloir �tre coop�ratif, dit-il narquois. Vous allez me montrer la m�canique. Puisque vous �tes en forme, Cohen, vous allez nous faire bander ce pauvre Carlotti... Allez, au travail !

Samuel h�site, puis sans rien dire tend une main vers le sexe de Pascal et commence � le masser, sans r�sultat.

- Pas comme �a, Cohen, vous voyez bien que �a ne donne rien. Allez-y franchement, faites preuve d'imagination, je crois que vous n'en manquez pas... Avec la bouche, Cohen, vous n'allez pas me faire croire que vous n'avez jamais fait �a, dit le capitaine qui a commenc� � se toucher l'entrejambe.

Samuel se penche sur le braquemart au repos de Pascal et se met � le l�cher, tandis que ce dernier, la larme � l'oeil, se lamente :

- C'est pas vrai... quel con... quelle merde... - Carlotti, vous allez cesser vos j�r�miades et faire un petit effort, je vous prie. C'est comme �a que vous remerciez Cohen qui vous taille une pipe ? En plus il s'y prend bien le salaud ; si ma femme me faisait �a ! Remerciez-le plut�t : allez, la main sur sa queue, branlez-le !

Pascal n'en croit pas ses oreilles mais s'ex�cute, tend la main vers le sexe totalement band� de Samuel et, au moment o� il le prend en main, commence � bander davantage.

- Eh ben voil�, Carlotti, je vois que �a vient ; vous aimez �a, on dirait, dit le capitaine qui a d�boutonn� son uniforme et se passe une main sur le haut du torse tandis que de l'autre il se masse la queue sans vergogne � travers le pantalon. Allez, Carlotti, mettez-y du coeur, voyez Cohen comme il vous suce g�n�reusement, �a vous a m�me donn� des proportions honorables : laissez-nous voir sa queue un instant, Cohen... Hm, pas mal, fait le capitaine tandis que Samuel a lib�r� le chibre de Pascal un instant. Toujours pas aussi bien que Cohen, mais �a commence � se d�fendre, ajoute-t-il en tendant une main vers la queue de Pascal. Vous faites pas vos 20 cm comme Cohen, mais vous �tes au-dessus de 15 cm, allez, dit-il en la saisissant pour la soupeser : belle texture, belle �lasticit�, beau galbe... Vous �tes mari� Carlotti ?
- Oui, Capitaine.
- Elle doit �tre contente de votre �quipement, votre femme ?
- Ca va, Capitaine, elle se plaint pas.
- Et elle vous suce bien ? Aussi bien que Cohen ?
- Pas tout � fait aussi bien, Capitaine.
- Voyez-vous �a ! Vous entendez, Cohen ? Eh ben restez pas l� sans rien faire quand on vous fait des compliments, remettez-vous y !

Tandis que Samuel s'ex�cute, le capitaine retire la veste de son uniforme, puis finit de d�boutonner sa chemise et la retire. Il est maintenant torse nu comme ses deux hommes : il n'a rien � leur envier c�t� musculature ; il faut dire qu'il s'entra�ne quotidiennement dans la salle de sport de la caserne, o� il pratique beaucoup les agr�s et la boxe : pectoraux d'acier, biceps bien gonfl�s, la quarantaine pass�e et pas un poil de graisse. Rien � leur envier non plus c�t� pilosit� : son torse est g�n�reusement garni d'une toison ch�tain fonc�. Samuel en est tout surpris : le capitaine fait partie de ces quadrag�naires largement chauves sur le cr�ne qui sont souvent bien velus c�t� torse, mais il n'a pas les bras tr�s poilus et on ne devine rien par l'encolure de sa chemise. Samuel ne l'avait encore jamais vu torse nu, pourtant il a souvent squatt� la salle de sport, le vestiaire, les douches dans l'espoir de le voir se d�saper... il en a vu un paquet de ses coll�gues, � poil, en slip, ou simplement torse nu, des minces, des baraqu�s, des blonds, des bruns, des glabres, des velus... mais le capitaine jamais.

Le capitaine d�boutonne son pantalon et sort sa queue pour se branler, puis s'approche de Pascal et commence � lui passer une main sur le torse et l'autre sur la cuisse. " Dites donc Carlotti, on croirait pas � vous voir en uniforme mais vous �tes sacr�ment baraqu�, vous devez pas mal fr�quenter la salle de sport, on dirait : un peu mou c�t� ventre, mais c'est bien pour les pectoraux... les bras, j'avais d�j� remarqu� qu'ils �taient bien muscl�s quand vous �tes en manches courtes, mais les pectoraux je savais pas... et puis vous �tes sacr�ment poilu, mon salaud : regardez-moi �a, Cohen, il a du poil plein le torse notre Carlotti, �a lui remonte jusque dans le cou ; elle doit aimer �a aussi, votre femme, Carlotti, hein ? Bon au fait, Carlotti, vous avez deux mains, n'est-ce pas ? Vous allez peut-�tre vous mettre � me branler, non ? "

Pascal est entre les larmes et l'extase : il se fait divinement sucer par Cohen, mais n'en revient pas d'�tre oblig� de branler deux queues � la fois. Celle du capitaine est massive, moins longue mais plus trapue que celle de Cohen. Il la prend tout de m�me fermement en main, elle est chaude, douce et lui palpite dans la main. " Pourvu que ces deux p�d�s veuillent pas m'enculer, � eux deux, ils pourraient faire ce qu'ils veulent ", se dit-il.

" Allez, Cohen, vous avez bien travaill�, vous avez droit � une petite g�terie � votre tour, " lance-t-il en sortant de sa poche un petit emballage carr� sous plastique. Pascal se dit que �a y est, qu'il va devoir passer � la casserole ; il est sur le point de hurler, de supplier, quand le capitaine reprend : " Je crois que Carlotti a bien appr�ci� votre pipe, mais qu'il voudrait maintenant vous limer le cul, pas vrai, Carlotti ? " Pascal ne parvient pas � articuler un mot.

- Pardonnez-lui, Cohen, il est tout �mu de vos effets de langue. Mais je pense que vous n'aurez rien contre, n'est-ce pas Cohen ?
- Non, Capitaine.
- Tr�s bien, c'est ce que je pensais. Au boulot, Carlotti ! Vous vous �tes bien fait sucer, maintenant � vous de travailler ; on va pas vous demander de vous faire mettre, j'imagine que c'est pas votre truc, mais baiser Cohen, je pense pas que �a vous d�range, au contraire, vu votre �tat, �a va vous soulager !

En un clin d'oeil, Samuel a fait lever Pascal, s'est mis � quatre pattes sur le si�ge, lui a offert son cul et s'est mis � sucer le braquemart du capitaine. Pascal s'est compl�tement d�barrass� de son pantalon : � poil, bottes d'uniforme aux pieds, tremp� de sueur dans la chaleur du camion, la peau moite et les poils d�goulinants, il �quipe maladroitement sa queue de la capote que lui a tendue la capitaine et commence � l'entrer dans le cul de Samuel. Il se rappelle la seule fois o� une meuf lui a laiss� faire �a, elle avait eu un peu mal, il avait fallu y aller doucement, alors il prend ses pr�cautions. " Allez-y franchement, Carlotti, je pense pas que Cohen en soit � son coup d'essai, si j'ose dire. Pas vrai Cohen ? " Samuel grogne en hochant la t�te sans l�cher le manche du capitaine. " Vous voyez, Carlotti, allez-y un bon coup, il aime bien �a Cohen... Ouh l� l�, mais dites-moi, c'est vrai qu'il suce � merveille, ce Cohen. "

Pascal se surprend lui-m�me de ne pas avoir d�band� un instant depuis le d�but de cette orgie. " Je suis pas p�d� pourtant ; pourquoi �a me fait bander de baiser avec ces deux mecs ? Pourtant ils ont pas l'air de gonzesses : c'est tous les deux des mecs tout ce qu'il y a de plus mec, muscl�s, poilus... " Tout en s'interrogeant Pascal s'affaire dans le cul de Samuel, qu'il tient par les hanches pour prendre prise. " Allez-y plus fort, Carlotti, lui ordonne le capitaine, vous en faites pas pour Cohen, je suis s�r qu'il aime �a quand �a cogne ! Il faut vous y mettre plus vigoureusement : je veux pas voir juste un petit coup de reins : dieu sait que vous avez du muscle ! Je veux voir toute la m�canique au travail ! "

Pascal s'ex�cute, passe une main sous le ventre de Samuel, se surprend � aimer le contact de cette toison de m�le sur l'abdomen, il se passe une main sur le torse pour se d�barrasser d'un peu de sueur, ses doigts rencontrent son propre t�ton, il se rappelle l'instant o� Samuel a commenc� � les lui caresser et l'effet que �a lui a fait pour la premi�re fois de sa vie, il commence � se caresser le torse en insistant sur les t�tons, ce qui d�cuple son plaisir, sa queue se gonfle encore un peu dans le cul de Samuel, qui a l'air d'appr�cier puisqu'il pousse un r�le un peu plus fort que les pr�c�dents.

" Eh bien, Carlotti, on retrouve le sourire ? C'est bien, �a plait bien � Cohen ce que vous lui faites, hh... j'ai l'impression qu'il va, aahh... m'arracher la queue � force de me la bouffer, mmhhmmmm... Eh bien, Cohen, si vous pouviez voir Carlotti, hhh... il y prend go�t, je crois : figurez-vous qu'il se caresse le torse, ooohhh... putain, quelle pipe vous me faites, Cohen ! On dirait qu'il aime bien caresser ses propres poils, Carlotti, le salaud, hh... il se caresse m�me les t�tons, comme un vrai p�d�, dites voir ; il faut dire qu'il est sacr�ment bien pourvu c�t� moquette, vous trouvez pas Cohen ? ahh... qu'est-ce que vous sucez bien, Cohen ! Mais au fait, elle est comment votre toison � vous ? Je l'ai seulement vue, mais pas touch�e, fait le capitaine en passant une main sur les pectoraux de Samuel. Oh l� l�, bien, Cohen, belle texture, j'avais seulement t�t� du torse de Carlotti, mais vous vous d�fendez bien de ce c�t�-l� aussi ; non seulement vous avez une belle grosse queue, mais il y a du muscle, il y a du poil, c'est ferme et c'est doux... Branlez-vous Cohen, branlez-vous, je veux sentir vos muscles qui s'activent... oui, comme �a, c'est bien, faites voir les �paules ? Ah oui, c'est bien rond, c'est bien gonfl�, le muscle est band�... le biceps ? Oui, bien, bien, vous avez la peau douce, Cohen, c'est agr�able, mais le mieux c'est de sentir vos pectoraux qui s'agitent quand vous vous branlez, et puis il faut bien que vous vous agrippiez au si�ge pour r�sister aux coups de bite de Carlotti, pas vrai ? Hmm, j'aime �a, sentir votre torse plein de poils qui se contracte. "

Samuel est en transe, il se fait bourrer des deux c�t�s et, m�me si la queue de Pascal n'est pas aussi bal�ze que la sienne, m�me si celle du capitaine ne lui entre pas dans le gosier jusqu'� la glotte, comme il aime, Pascal le d�fonce virilement et la capitaine en a une bien trapue qu'il peut gober avec ardeur. L'habitacle du camion est �touffant, Samuel d�gouline de sueur, elle lui ruisselle le long des flancs et du visage : il a le go�t de sa propre sueur qui se m�le � celui de la queue du capitaine, c'est aigre et sal�. Et l'odeur virile de Pascal qui se m�lange � la sienne lui tourne la t�te : ils ont marin� pendant plusieurs heures sous un soleil de plomb, �a sentait d�j� pas mal le fauve, mais depuis qu'ils se sont mis � parler cul, � se toucher, puis � baiser, c'est un festival de ph�romones de m�le en rut, Samuel a l'impression d'�tre un animal excit� par l'odeur �cre que d�gagent les aisselles, le torse, l'entrejambe de Pascal. Les mains du capitaine continuent � lui masser les muscles du torse, � se balader dans ses poils et � lui flatter les t�tons, il est aux anges.

" Redressez-vous, Cohen, laissez pas s'�chapper la queue de Carlotti, c'est bien gentil votre pipe, mais je crois que je vais go�ter un peu votre attirail : c'est pas tous les jours qu'on peut bouffer un tel engin ! " lance la capitaine.

Celui-ci monte � pr�sent dans le camion, Samuel redresse le buste pour permettre au capitaine de lui avaler le chibre, tout en pointant du cul pour continuer � se faire bien limer le cul par Pascal. Celui-ci commence � geindre s�rieusement, puis l�che : " Putain, quel cul, ahhh... quel cul, Samuel... t'aimes �a quand je te le bourre ? Hhmmmm... je vais te d�foncer le fion, Samuel, t'aimes �a, hein ? ahhhh... tu vas voir si elle est pas grosse ma queue, tiens... T'aimes �a quand je te passe une main sur le torse, Samuel ? Ooohhh... t'as bien aim� me caresser les seins, hein ? T'aimes bien quand je te caresse les tiens ? ahhh... Qu'est-ce que t'es velu, mon salaud, on sait � peine o� ils sont tes t�tons dans tout ce poil... " Samuel n'en peut carr�ment plus : excit� par les paroles de Pascal, le capitaine a redoubl� d'efforts sur sa bite et r�le en le su�ant � fond, la totalit� de la hampe, son gland lui butte au fond du gosier. Les caresses de Pascal font frissonner tout son corps. Tandis que sa prostate et son cul son honor�s des coups de bite g�n�reux de Pascal, il prom�ne la main sur le torse charnu, muscl�, ruisselant et velu du capitaine.

C'est � ce moment-l� que celui-ci geint et r�le en d�chargeant sur ses chevilles, mordant presque dans son extase le braquemart de Samuel, au m�me instant Pascal se cramponne d'une main � son flanc et lui pince le t�ton droit de l'autre, lui l�che l'�paule gauche avant de la mordre, puis hurle en jouissant. La queue de Pascal s'active toujours dans son fion, la bouche du capitaine sur sa queue, Samuel profite de ces derni�res fractions de seconde, jouit mentalement de se faire baiser par deux beaux m�les velus comme ceux-l� : il sent la langue de Pascal continuer � lui l�cher l'�paule puis le cou, son haleine chaude sur sa peau, il a les mains perdues dans l'�paisse toison qui couvre le torse du capitaine et, enivr� par l'odeur de sueur et de foutre, il crie " maintenant ! ", puis son cul se contracte sur la bite de Pascal et il d�charge un flot de sperme dans la bouche du capitaine.

Gill

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