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R�veil brutal

J'en avais assez d'eux. Mes parents !!!
J'ai demain 19 ans et j'ai d�cid� de partir.
Il est 7h30, le r�veil matin sonne, l est temps sinon mon p�re va se lever pour aller travailler.
Je mis un jean Levi's moulant et un t-shirt court, tout cela pour �tre � l'aise pour marcher et faire du stop, voir du pays quoi !
Dans mon sac, je prends mes �conomies, des fringues de rechange, des livres.
Me voil� sur la route.
Je d�cide de commencer par tendre le pouce, on ne sait jamais.
A peine lev�, une voiture s'arr�te, mais ne va pas o� je veux aller. A vrai dire je ne sais pas o� je veux aller.
Puis un camion ! Il me dit " Gamin, tu vas o� ? "
Je lui dis " et vous ? "
" Allez grimpe ! "
Je monte dans ce grand camion, � c�t� de cet inconnu, je d�pose mon sac � l'arri�re, et commence � me d�tendre un peu.
Je ne dis pas grand-chose au d�but, je ne fais que r�pondre � ses questions.
Il me demande si je veux d�jeuner dans un snack de route, je r�ponds oui mais je n'ai pas beaucoup d'argent, il me dit que ce n'est pas cher.
Ok.
On s'arr�te sur un parking �norme, plein de camions de tout horizon.
Je lui dis que j'ai le vertige et que je pense ne pas r�ussir � sortir de cet engin. Il rit et descend et passe devant le camion, il vient � mon aide.
Il ouvre la porte et me tend la main. Je me retourne pour descendre en ne voyant pas le sol, ainsi je tends mon cul vers lui.
" Tu arrives � respirer dans cette paire de jean ?"
" Oui, pourquoi ? "
" Il est serr�, non ? "
" Un peu "
Il me prend par la taille et de ses bras me fait descendre en bas, quelle force.
Je le remercie. Je lui dis que j'ai oubli� mon sac dedans, il grimpe sur les marches et se penche pour le prendre. (Il est tr�s bien fait ce gars, beau cul bien rond dans un jean d�lav� d�j� bien us�).
" Merci ".
On avance tous les deux vers le snack, � l'int�rieur, l'odeur de frites, de gras br�l�, de bacon et de cigarettes me fait grimacer. Il sourit et me dit " Tu n'as jamais �t� dans ce genre de lieu. C'est un endroit de mec. "
" Non je ne connais pas ", et je lui demande o� sont les WC. " C'est au bout ". " Merci ".
Je me dirige et croise des regards noirs de mecs virils et des r�flexions comme " roule pas du cul la route est droite !, fag !, . " M�me un qui me met une claque sur les fesses, je cours vers les toilettes et �a ricane.
Je m'enferme dans une cabine et je reprends mon souffle. J'entends, " Eden, tu es l� ". " Oui ". " Allez viens, sors ". " Je pisse ". " Bon, je t'attends ".
Je sors apr�s avoir fini et je le vois qui m'attend devant. Il est souriant.
" Les �coute pas, ce sont des mecs entre eux, ils aiment charrier un peu ".
" Ca va, y a pas de soucis, je suis grand ".
" Bon, on se le prend ce petit-d�jeuner ".
" Oui ". " Bon et ne fais pas attention aux autres et s'il le faut je te d�fendrai ".
On sort tous les deux et les regards sont braqu�s sur Franck.
Un mec me choppe le bras et me dit " T'as pas 5 min pour me soulager aussi ".
" 5 min, c'est digne d'un mauvais coup ". Il se l�ve et Franck se met entre nous, et lui jette un regard noir.
C'est vrai qu'il est imposant Franck, il fait au moins 90 kg, et il est tr�s grand.
On part et on se dirige vers la caisse pour prendre � emporter.
Il me dit " Je crois qu'avec toi, je vais pas m'ennuyer, et que le voyage me promet des p�rip�ties d'envergure ".
" Je suis navr� de t'infliger cela ".
" Ne t'en fais pas pour cela, c'est des connards, il serait seul avec toi, il aurait �t� gentil rien que pour pouvoir avoir ton cul dans leur pieu ".
" Ok ". Sa phrase m'intrigue. On sort les bras charger de pain, caf�.
En se dirigeant vers le camion, je lui dis : " C'est pour �a que tu es gentil avec moi ? ".
Il �clate de rire, il s'arr�te, passe derri�re moi et regarde mes fesses, r�fl�chi et rit.
" Bon tu vas r�ussir � monter ? ".
" Oui ".
Je monte et tombe en avant (je me retrouve � quatre pattes sur le si�ge), il rigole et me met une petite claque sur mes fesses tout en �clatant de rire. Je me rel�ve et ris avec lui. " Arr�te, je me suis fait aux genoux ". " Petite nature ".
Il me donne les courses et vient s'asseoir pour conduire.
" Bon, on va o� d�jeuner puisque avec toi je suis grill� partout ". " Je sais pas ! ". Il d�marre et nous voil� partant pour un parc.
A notre arriv�e, il n'y a personne. Cool.
Il me dit de prendre une couverture sur son lit pour faire une nappe. Je me mets � quatre pattes pour y acc�der. Dans une glace d'appoint, je vois qu'il matte mon cul. Je fais expr�s de le tortiller et me cambre bien.
" Voil� je l'ai ". Son regard se d�tourne de suite.
Il m'aide � descendre en me portant, mais l� fait glisser le long de son corps ainsi mon cul passe de sa poitrine � son ventre et � bien plus bas.
Le d�jeuner passe vite, pris par des discussions de tout genre. Il me parle de lui, moi de moi. De son mariage rat�, de ses enfants qui lui manquent. J'apprends qu'il a 37 ans et qu'il parcourre les routes depuis d�j� 15 ans. Qu'il est � son compte et transporte des objets pour le compte d'investisseurs.
Moi, de mes �tudes, de mes parents trop catholique, trop riche, ayant la main mise sur leurs ouvriers, sur moi et mes fr�res.
Voil�, on repart du parc pour la route.
Je m'endors et me r�veille quelques heures apr�s. Je suis sur son lit.
Je me dirige vers le poste de conduite. " Coucou ".
" Salut, tu as bien dormi ". " Oui ". " Je t'ai mis dans le lit pour que tu sois mieux ". " Merci, il est quelle heure ". " L'heure de manger ". " Encore ". " Il est 22h00, Eden !! ".
" Ok ".
" On va dans un resto que j'adore et apr�s on cherchera une chambre ".
Apr�s avoir mang�, on se dirige vers un motel un peu glauque mais pas cher.
On entre dans la chambre, " Mon dieu ".
" C'est clair, c'est un peu sale ".
" J'esp�re qu'il n'y a pas de b�te ". " Tu as aussi peur des insectes ". " Oui ".
Il �clate de rire, " Tu es incroyable ". " Pourquoi ".
" Rien, je vais prendre une douche ".
Il prend son sac � dos et se dirige vers la douche.
Moi, je me mets � l'aise et retire ma veste en jean, mes chaussures, m'allonge sur le lit.
" Eden !!, Tu as du gel douche ?? "
" Oui ".
Je m'approche de la douche et tend le gel douche � Franck qui sort son bras du rideau.
" Merci, c'est cool ".
Je me regarde dans le miroir et d�cide de me brosser les dents. Il sort de la douche et ne me voit pas. (Quel superbe corps, pour son �ge, � part quelques rondeurs au ventre, il a gard� de pectoraux bien dessin�s, des poils marquant sa virilit�, une belle grosse queue tombante, et un dos en V). Il se retourne pour prendre une serviette et me voit pencher entrain de me brosser les dents. Dans la glace, je le vois mater mon cul et lubrifier la l�vre sup�rieure. " Alors cette douche ?".
Il se retourne en tirant un peu sur son pr�puce.
" Tr�s bonne ".
" Bon � moi, tu peux me laisser seul, je suis pudique ". " Oui ".
Il sort. Je me d�shabille et me retrouve nu dans cette salle de bain en sachant ce mec � c�t�, cela m'excite mais ne me fais pas des id�es. Je fais couler la douche et l'envie de regarder par le trou de la serrure, il est l� en train de s'essuyer le corps, il est beau, il touche le lit pour voir sa compliance, et met un cale�on � rayure.
Je me mets sous la douche, que c'est bon. Puis j'en sors, et prends une serviette que j'enroule sous mes aisselles. Je sors discr�tement de l� et je le vois allonger sur le ventre au-dessus des couvertures en train de dormir.
Je n'ai rien � part un t-shirt pour dormir, je me glisse � c�t� de lui et le regarde un moment.
La lumi�re de la lampe de chevet lui donne un caract�re de beaut� grecque, je passe au-dessus de lui et l'�teins.
Dans la nuit, on est r�veill� par des bruits de moteurs qui font un bruit du tonnerre. On se l�ve, et regarde par la fen�tre.
Rien, on retourne se coucher. Etant dans le gaz, je n'ai plus pens� que j'�tais nu, juste en t-shirt et grimpe sur le lit � quatre pattes. Quelle fut ma surprise lorsque je sens sur mes fesses la main de Franck.
Je me retourne et lui sourit. Il s'est directement mis nu et a mis ses mains fermement sur mon cul. " Viens l� ! ".
Je m'approche de lui, il m'embrasse tout en pelotant mes fesses.
Il retire mon T-shirt. Il me retourne sec et m'embrasse les fesses. Il me mange litt�ralement le cul, il l�che, l�che . ;Je me cambre bien, je soupire de plaisir.
Il s'allonge sur le lit, me faisant comprendre qu'il attend que je le suce. Je m'empresse de prendre en bouche sa queue qui a d�j� bien grandie. Il me tient la t�te, me regarde droit dans les yeux et de temps en temps met sa t�te en arri�re pour me faire voir son plaisir. Elle est tr�s grosse, environ 19 cm et se dresse devant ma bouche comme un piquet.
Je m'approche de lui et l'embrasse, il m'�carte les jambes et me retrouve � califourchon sur lui.
Il dirige sa bite sur mon trou et commence � entrer. C'est difficile mais commence un petit va et vient avec son bassin.
Il se l�ve et me retourne et dirige sa queue sur ma rosette. Et l� il tape plus fort, me marque son plaisir, sa virilit�, me donne des claques sur les fesses, s'essaie m�me � dire " Tiens prends �a, et �a ". Je ne dis rien, juste " Oui ".
Il se d�cha�ne sur mes fesses et fait claquer ses couilles sur mon p�rin�e. Nous prenons vraiment du plaisir.
Il sort sa queue d'un coup et crache sa pur�e sur mon dos.
On s'endort en sueur.
Le lendemain, c'est le soleil dans mes yeux qui me r�veille. Je regarde � c�t� de moi, personne.
Je me l�ve. Sur la table, un mot.
Je souris.
Je lis " Merci, Eden pour m'avoir vid� les couilles, tu as un pur cul, il a m�rit� ma queue de routier et ce que je lui ai mis cette nuit, t'es une pure salope, tu as de la chance que je ne t'aie pas fais avaler ma sauce.

Franck.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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